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  Sujet: Backup des fanfictions sur AO3  
Belgarel

Réponses: 3
Vus: 8496

MessageForum: Aide, tutoriels et suggestions   Posté le: Lun 23 Jan 2023 19:08   Sujet: Backup des fanfictions sur AO3
Le sentiment est bien gentil et le sujet important ; mais le forum n'a pas autorité à publier sans leur accord les oeuvres de ses auteurs, autrices et autres auteurices. La responsabilité de cette démarche - à laquelle j'encourage mes pairs et que je ne traîne à effectuer moi-même que parce que, à l'exception de mon moins bon texte Dix Ans Après, j'ai publié mes écrits sous une autre plateforme (FF.NET, instable depuis sa création) et que j'ai de toute façon les sauvegardes sur plusieurs disques durs, un peu partout - retombe donc sur l'épaule des écrivain.e.s, et non du staff.
Mais +1 pour avoir souligné le point. Le Net n'est pas éternel.
  Sujet: [One-shots] Calendrier de l'avent 2021  
Belgarel

Réponses: 27
Vus: 40987

MessageForum: Fanfictions Code Lyoko   Posté le: Mar 29 Nov 2022 01:26   Sujet: [One-shots] Calendrier de l'avent 2021
Pour la postérité : je revendique la maternité des textes 1, 6, et 8. J'ai également participé au texte 19.

Ah, pardon. Identifier une expérience d'écriture sous contraintes par l'appellation "texte 1", ça serait un peu lui manquer de respect, non ? Ce serait comme de nommer "commentaire" un patchwok d'avis pas plus fouillés que "j'aime pas" ou "c'est bien." Franchement, à ce compte-là, pourquoi vous donner la peine de lire, si c'est pour pondre ça ? Parce que vous croyez que c'est votre devoir, en tant que "Pôle" ? C'est autre chose qu'une question d'ego, à ce stade ?


Édit de Borée As : Fidèle à tes propres valeurs, tu n'y es pas... Étant donné que JCV n'arbore toujours pas son avatar version Code Lyoko, nous nous doutions qu'il allait être aux abonnés absents cette année. À un moment donné, quand on peut davantage compter sur l'esprit du service public de ses opposants (une valeur de gauche !!!), un travail introspectif est peut-être à envisager. S'agissant des numéros, il ne faut y voir qu'un simple double (hum...) esprit cartésien. Un trait de caractère qui, hélas, se raréfie.
Edit : le service public, ça consiste pas à chier sur les trottoirs.

Mais revenons à nos moutons du berger.

Notre Vérité.
Pas grand mérite à deviner "ma griffe" ici, puisque j'y bashais JKR, comme toute personne trans qui se respecte. Ravie que vous ayez apprécié de découvrir Voldemort faisant des claquettes au point de le mentionner dans votre commentaire - parmi mille autres expériences de lecture qui auront pu vous faire plaisir cette année.
Faire de la comédie musicale, c'était nouveau pour moi aussi, et l'occasion d'en découvrir une ou deux au passage. Le plus fun, c'était de rimer d'une part, et d'autre part, de contraster avec le sens original des textes. Ou de suivre un mouvement de la musique. En somme, le côté intertextuel de tout le procédé. J'en suis venue à comprendre la joie qu'avait eue Violet Bottle l'an dernier, à nous partager des œuvres qu'iel connaissait bien, et qui lui tenaient à cœur.

Innocence Vorace.
Le lemon n'a jamais été mon genre de prédilection, et je n'avais jamais écrit d'histoire entre deux hommes. Je pense m'en être bien tirée : pour ce genre de textes, j'aime bien ma touche sentimentale et intimiste.
Évidemment, quand le pitch avait surgi, il nous était apparu évident que nous parlions du Michel Belpois de Nuova Linfa, interprété avec une espèce d'accent sicilien ou corse raté, qui nous aura valu de sacrés fous rires. C'était, en vrai, un plaisir de le revisiter pour en faire à la fois un homme, et un monstre. Ravie que ce texte vous ait plu, il partait du cœur.

Du berceau à la tombe.
Ah, celui-là, il était plus honnête que les exercices précédents. Loin de n'être qu'un simple "from romance to bromance" (merci au passage d'avoir souligné que vous l'aviez lu), il parle des peines de coeur, qui sont ultimement tout ce que je connais du parfum de l'amour. Deux amis qui digèrent leurs sentiments adolescents : encore un texte qui ne parle pas de la Vraie Romance comme dans les contes de fée, comme c'est triste. Plaignons-nous donc que le genre ne soit pas plus varié qu'intéressant.
Mais oui, des amours à sens unique, j'avoue que c'est un peu tiré par les cheveux, pour parler du duo Hiroki-Johnny ; et quoi, ensuite ? la jalousie, avec Ulrich et William ? Si je faisais ça, je répéterais les cirmes de mon meilleur texte. Ça nous emmène très loin de la série, tout ça juste pour parler de ce qui m'intéresse, c'est presque calqué de force.

19° Des Chiffres et des Lettres.
J'avoue, j'avoue. L'idée d'écrire un ship XANA / Mer Numérique, c'était un peu bateau. Déjà vu, déjà fait, et j'aurais tout aussi bien pu parler de Rachel et Ross, tellement c'est générique. Vous avez bien fait de ne pas le faire remarquer : ça ne valait pas la peine de s'y attarder.
Il s'agit, en réalité, du seul ship qui ne soit pas sorti d'un chapeau (quelques-uns se sont d'ailleurs empressés d'y retourner : nous n'allions pas jouer à répétition certaines cartes, que nous savions possibles, comme celle du "cinq années ont passé" dans le Walter-Aelita. Et oui, le Franz & Waldo lui aussi, est sorti d'un chapeau).
Ce fut un immense plaisir, plein de surprises, de jouer le rôle de XANA dans cet échange épistolaire. Face à un·e Bouteille buté·e qui refusait de comprendre le langage de mon I.A., à travers sa Mer Numérique alien qui illustrait à la perfection un autre aspect crucial de la romance – de toutes les relations, vraiment – : l'échec de la communication. Il s'est dégagé, presque par accident, quelque chose d'une horreur cosmique métatextuelle transcendant le simple drame, quand je lui expliquai que "Cette nuit de triomphe fut la première de ma vie." plaçait pour moi ce passage du récit en fin de saison 2.

Bref. Nous avons tou·te·s beaucoup de choses à dire sur ces textes, car ce sont nos enfants. Quoique nés de contraintes, nous avons dû composer, avec ingéniosité, passion, et nos propres personnalités, avec ces dernières, pour grandir en tant qu'auteurs, autrice, et auteur·rice. Il aurait été si simple de juste les bâcler ; mais non, nous voulions sincèrement jouer le jeu.
Merci de les avoir lus chacun avec autant d'attention que nous avons mis à les composer.
  Sujet: Poster d'Albert Einstein et autres easter eggs  
Belgarel

Réponses: 3
Vus: 12859

MessageForum: L'animé Code Lyoko   Posté le: Sam 26 Nov 2022 13:31   Sujet: Poster d'Albert Einstein et autres easter eggs
Il existe un one-shot sur ce faux raccord (qui contient aussi des allusions à Mondes Alternés).
  Sujet: [Fanfic] Gnosis [Terminée]  
Belgarel

Réponses: 0
Vus: 5135

MessageForum: Fanfictions Code Lyoko   Posté le: Ven 31 Déc 2021 22:52   Sujet: [Fanfic] Gnosis [Terminée]
Hello Smile
Chose promise pour 2021, chose dûment faite en 2021. Mon plus long texte depuis Dix Ans Après, et une de mes plus folles – et passionnées – expériences d'écriture. C'est peut-être la somme de toute mon œuvre dans ce fandom.

Avertissement : ce texte contient les éléments suivants :
Spoiler




  Sujet: [Poème] Un poème de Jérémie - L'Ange de mon cœur  
Belgarel

Réponses: 4
Vus: 6497

MessageForum: Fictions et textes   Posté le: Sam 14 Nov 2020 00:30   Sujet: [Poème] Un poème de Jérémie - L'Ange de mon cœur
Je comprends rien en poésie.
Valà, c'est dit.
Je sais que je ne comprends rien car j'ai fait des études de lettre pour m'en rendre compte.
En plus, je n'en lis pas.
Prends donc ce que je dis avec un grain de sel.

Le rythme et la technique, le formalisme, tout ça c'est bien c'est beau, mais ce n'est pas le but du jeu, en fait. L'esentiel, de ce que je comprends, c'est de faire un gueuloir. Non pas que ça n'ait pas son importance en prose (il m'arrive souvent de tellement polir certains passages que des paragraphes entiers sont truffés de faux alexandrins et autres octosyllabes, quelquefois sournoisement rimé), mais en poésie, c'est assez primordial. La poésie, c'est de la musique. Littéralement, historiquement, les troubadours ne sont pas une blague !

Le problème, c'est qu'en français, les règles de rythme et d'accentuation sont trop flexibles. Fin de partie pour le poète. Bye.

Lol, non. L'essentiel c'est que ce soit interprétable. Chantable. D'où l'intérêt de passer au gueuloir. De se dire - assez subjectivement - "tiens, ça je scande, ça marche, ça coule comme de l'eau". Ou, à l'inverse, "oh, là ça bloque, ça détruit un rythme établi, ça nous sort de nos habitudes => ça colle à ce que signifient les mots à cet endroit". (Car après tout, la vie n'est pas toujours un fleuve tranquille.)
Techniquement, on peut casser des habitudes profondément inculquées par une certaine éducation. Gargarise-toi d'éclater la tronche des alexandrins, et tu ne vises pas Homère, mais peut-être Rimbaud. Encore faut-il le faire à dessein. Que ton sujet et ton propos s'accordent avec les onze pieds, ou les hésitations. Au contraire, opère dans les contraintes du classicisme, et tu auras quelque chose qui colle peut-être plus à Jérémie, normal à l'extérieur, subtilement ardent à l'intérieur.

Donc en vrai, je vais lire avec toi, partager librement les impressions, mes pensées sur le rythme, histoire de te faire voir comment je lis, comment je réfléchis, tout ça. Garde à l'esprit que c'est très subjectif. Ce n'est pas un jugement de valeur. Comme tout le monde, j'ai un cul, le mien a tendance à se trouver en-dessous de là où je pète, et voilà le fin mot de l'histoire.
Je te précise ça car en particulier en poésie, il peut être douloureux de voir son travail être critiqué. Quelquefois, nous mettons de l'intime dans nos textes (j'en ai eu un rappel récemment, vous savez de quoi je parle), et il peut être difficile de voir quelque chose qu'on a créé se faire littéralement démonter en place publique par quelqu'un qui jugera "hm, cette pièce-là, c'est de la camelote, totalement démodé, 2,5/20".

Le Poète a écrit:
Depuis que je / l'ai rallumé
Intuitivemet, j'aurai dit 2-4-2. Mais 4-4, bien que conventionel, a l'avantage d'avoir une césure nette, et qui met en avant le sujet "je" d'autant plus clairement qu'elle interrompt la construction attendue de la phrase. Je, toi, je, toi, c'est important dans un poème d'amour. Donc je choisis 4-4, c'est expressif, ça a du cachet. Si ça se trouve, on aura un jeu de mot avec je. Je, jeu, tu vois.
Le Poète a écrit:
Ton doux visage / hant' mes pensées
Désolée, Iko, originellement, ce vers avait 9 pieds. D'après les règles. J'aime pas ça, je triche. Normalement, faudrait le marquer. Je comprends la réticence, ça fait chanson de taverne. Les grands savent faire sans ce genre d'expédients.
Mais ouais, je reste avec une césure 4-4. Que voulez-vous, c'est classique, hypnotique, ça permet de poser un rythme. Presque plat, en surface : très Jérémie comme on a dit. Oh là là, j'attends le 3-5 de la passion, vous n'avez pas idée.
Y'a un truc avec "âge" et "hanter" ? Un fantôme ou un rêve, parce qu'elle est virtuelle ?
Point de vue sonore, y'en a un peu dans tous les sens. Rien qui ressort, pas d'allitération, aucune sorte d'assonnance. On défierait presque les probabilités. Et ce n'est pas une rime en é qui soulèvera la barque. Perso, ça renforce plutôt cette idée d'un Jérémie scolaire en ennuieux en apparence. (Et encore, je serais Lamartine, je pinaillerais que pensée est mouillée alors que rallumé est sèche !)
Le Poète a écrit:
Au fond de moi / je n'ai qu'un désir
4-5. Eh, ça enfle, ça déborde ?...
Le Poète a écrit:
Celui / de te voir revenir,
Ah, non. 2-6, Voire 2-3-3 Je veux dire, lis ça à voix haute : la voix baisse en fin de phrase. Car non, ce n'est pas une virgule : c'est une fin de quatrain, une fin de proposition, ça clôt le propos, et pareil au vers 2 !
Dans les trucs qui marchent bien, y'a les rimes. Bon, pas de fausse note, "rallumé - pensées" et "désir [toi] revenir" ça se tient. C'est pas du Baudelaine, mais ça se tient. Les rimes plates (AABB), c'est plat. Jérémie scolaire, on l'a dit. Mais le truc que j'aime bien, et c'est probablement (#noRespect) accidentel (mais osef), c'est que "désir" répond à "rallumer" (oui, Jérémie est bouillant) et "revenir" à "hanter [les] pensées". Ce qui signifie que subtilement, on a une structure enjambée en place ! Une structure qui commence par faire un truc actif, mais finit toujours par retomber dans un deuxième temps, s'enfoncer dans une contemplation passive, un BA qui remplit et un DUM qui vide.
Et ça, ça se marie avec la dynamique de ces deux phrases. Ça porte un sens, ça commente Jérémie, et plus généralement, ça commente l'amour !

À l'issue de cette première strophe, j'ai peut-être pas d'allitérations ou de rythmes géniaux, mais j'ai une promesse. Une élément d'interprétation dont la suite du texte me dira si ça mène quelque part ou pas.
La réaction de ton lecteur, ce n'est pas forcément quelque chose que tu anticiperas. C'est impossible à maîtriser (pour commencer, il faudrait que tu connaisses mes attente sur le Jerlita, qui mine de rien ont gouverné mon expérience de lecture). Mais de ce que j'ai compris, c'est comme ça que la poésie, ça se lit. Tout le jeu technique sert l'expression. Le hic, c'est que le reste du texte contient des maladresses plus difficiles à contourner qu'en trichant avec des apostrophes, qui rapidement laissent à entendre que tu n'as pas cherche à travailler sur ce plan-là.
Si ça te paraît incroyablement difficile, c'est parce que ça l'est. Mais là encore, peut-être que je me plante du tout au tout. Peut-être que ce n'est qu'une façon d'approcher cette façon d'écrire, pas plu vraie ou légitime qu'une autre de nos jours. Sèche et académique, pédante, ou vieillotte. Pour ma part, je pense avoir compris que c'était ça, la poésie, et que ce n'est pas pour tout le monde. Sans doute pas pour moi, d'ailleurs.

Tu l'as compris, je ne vais pas faire subir un traitement aussi détaillé et "réaction en live" à tout ton texte. Ce serait fastidieux pour moi, fastidieux pour toi. Mais je vais souligner des choses qui m'ont sauté aux yeux ici et là.

Le Poète a écrit:
Nous nous / connaissons à peine
Là. Une de ces maladresses dont je parlais, qui cassent immédiatement mon interprétation d'avant. 2-3 ou 3-2 ? Où je la mets, la césure ?
3-2 dit "on se connaît" puis "ah non, ascenseur émotionnel, nous sommes étrangers, sad face". C'esst contredit par le vers suivant.
2-3 hésite, s'enlise, cale, avant un brusque coup d'accélérateur. Perso, je trouve ça un peu moche, même pas tout à fait réussi car on reste enlisés dans les sons en "n" et la bouche reste assez fermée. Bref, pas d'accélérateur : 2, 3, sad face, on reste sombre. Donc, si le vers suivant est positif, pourquoi ça commence pas par un "Mais" ?
Le Poète a écrit:
Et déjà entre nous l'harmonie règne
Peine au sens de "peu" (avec les autres sens qui trainent en fond, comme "travail" qui laisserait entendre que leur relation sera laborieuse voire carrément endeuillée (coucou Franz)), rimant avec "règne" ? après mes sutile interprétations des rimes du quatrain précédent, je suis confondue par ce faux pas Sad

Le Poète a écrit:
Moi qui n'étais rien qu'un génie
J'ai le droit de me moquer, là ? "Je suis juste un humbe génie, mon quotien intellectuel n'est que de 190, totalement normal, aussi moyen qu'Artemis Fowl (le vrai, pas celui de Disney).
Autant "qu'un intello" aurait pu porter des connotations négatives en milieu scolaire, autant un génie...

Le Poète a écrit:
Dans la mort comme dans la vie
Nos deux âmes resteront unies,
Réponse : si je suis Aelita et que je reçois ce poème, je fuis !
C'est pas parce que ça rime que c'est joli. Le double suicide me laisse tiède.
(Et oui, c'est différent de l'interprétation qu'on pourrait faire de "Dans la vie comme dans la mort". Comme, c'est soit connu, soit avant.)

Le Poète a écrit:
Qui sublime mes jours / et illumine mes nuits
C'est le seul alexandrin de ce poème. Rien que ça, ça le met sur un piédestal. L'alexandrin, le vers noble et épique, l'apogée du poème. Un alexandrin, quoi, forme classique par excellence, avec une césure à l'hémistiche (6-6), renforcée par une opposition évidente comme la pluie, et il est tellement... PLAT ! plat plat plat plat plat. Convenu. Usé jusqu'à la corde. Aucune imagination !
A ce stade, le poème devrait avoir développé des choses, balancé des surprises. Et ce que raconterait un vers pareil à cet endroit, presqu'à la fin, c'est assez tragique. L'idée que Jérémie est véritablement scolaire, que ses mots ne sont pas plus profonds, et se pensée très juvénile. Bref, qu'il versifie comme un perroquet, retombe dans des platitudes.
Encore une fois, je ne dis pas ça pour me moquer de toi. Je pense que tu as écrit ça sincèrement, et comme je l'ai déjà dit, je pense être une brêle en poésie. Simplement, je te partage comment on m'a appris à lire la poésie. Comment je comprends ces techniques, ces histoires de rythme, de consonnes, de musique et d'image, et comment tout cela est censé s'assembler. Pour des gens qui, en voyant un vers pareil, ont cette réaction, ce vers n'est pas nécessairement inintéressant : en contexte, il peut participer à une narration, et s'en trouver lourd de sens.

Dans l'ensemble, j'espère que ce décorticage t'aura ouvert des horizons. Je te rappelle encore une fois, très humblement, que si ça se trouve je suis complètement à côté de la plaque, que de nos jours plus aucun poète ne pense comme ça, etc. Mais en tous cas, il y a quelque chose à penser. Imagine, en musique classique, quelqu'un qui se contenterait de jouer le notes, et tu as un poète qui rime en alexandrins. Elle est pas là, la musique ; elle est pas là, la poésie.
Je te souhaite de poursuivre cette voie difficile, en tous cas. Ou peut-être de t'épanouir dans une poésie que je ne connais pas. Smile
  Sujet: [One-Shot] Vomir des larmes  
Belgarel

Réponses: 13
Vus: 15228

MessageForum: Fictions et textes   Posté le: Ven 06 Nov 2020 16:53   Sujet: [One-Shot] Vomir des larmes
C'est un commentaire en trois points. Un premier, bref, sur le texte. Un second, plus brûlant, sur le propos. Le dernier est un rant incontrôlé mais j'espère éducatif sur les divers enjeux que tu mentionnes.
Comme tu le dis toi-même :
Nelbsia a écrit:
s'il existe la moindre chance pour que ce qui est dénoncé dans cet écrit produise un écho utile plus tard, je me dois de le publier.
C'est la première fois que je te vois t'attaquer à un texte sur ce sujet, et de cette façon, et j'ai beaucoup à discuter sur ces sujets et leur traitement dans ce topic.

Nelbsia a écrit:
Les plus perspicaces auront compris : ce texte est une métaphore.
L'homosexualité a en fait été utilisée à la place de la paresse.
Non.
Voilà, c'est dit. Ton texte a un objectif, et il ne l'accomplit pas. Pourquoi ? Parce que si tu enlèves le paratexte, il n'y a rien dans le texte lui-même qui permette de soutenir solidement cette idée.

Tu auras peut-être l'idée de souligner la dernière phrase : « aller donner son cul pour réclamer des billets ». Il s'agit bien de "se bouger le cul pour trouver un travail, espèce de jeune paresseux", non ?
Non.
Il s'agit de prostitution. C'est l'interprétation la plus claire, la plus évidente, et le texte ne dit pas que ce soit à rapprocher de la paresse. Le texte parle explicitement d'homosexualité, avec un trope tellement éculé jusqu'à la corde qu'on ne peut pas s'y tromper, et pas à un seul moment il n'invite lui-même à traduire ce récit à un autre problème.

Une métaphore, pour être réussie, doit pouvoir être interprétée. Si je te dis que "c'est une mer sans fond", tu auras bien du mal à imaginer de quoi je parle. Enfin, au moins auras-tu une idée qu'il y a quelque chose à interpréter ici.
Belgarel a écrit:
La mer est une mer sans fond.
Spoiler
Maintenant, enlève le spoiler. Tu as l'impression d'avoir une oeuvre d'art sous les yeux ? Une pensée complète ? Moi non.
Si tu as besoin que ton paratexte fasse le boulot de ton texte pour toi, c'est que ton texte est mauvais.

Maintenant, je n'ai rien contre un essai qui soulignerait, toutes proportions gardées, les parallèles, affinités et similitudes, y compris jusque dans les formules. Enfin, si, on y reviendra, mais du moins il y a de la matière. C'est même pas obligé que ce soit un essai, une fiction peut le faire, souligner comment les deux choses se renforcent l'une l'autre.
Travail, famille, patrie. Travailleurs de père en fils. La figure du bon père de famille, pourvoyeur qui assure la subsistance de sa femme et de ses enfants. L'alpha blindé, le séducteur, le dominant, le maître. On s'imagine mal l'honnête travailleur dans un placard. Le chômage comme la marque d'une dégénérescence raciale, culturelle, gauchiste en général. Il y a de quoi faire.
Encore faut-il le faire.

* * *

Deuxième point, et là, ça va commencer à chauffer.
Ecrire une oppression et lui substituer une autre, tout simplement, ça ne fonctionne pas. Ce n'est pas parce qu'on a connu la maladie mentale qu'on comprend l'homophobie. Bordel, ce n'est même pas parce qu'on a a connu une maladie mentale qu'on comprend toute les conditions mentales ! Les stigmates sont différents, les représentations sont différentes, les conséquences ne sont pas les mêmes, les intérêts ne s'allient pas toujours, et croire qu'il suffit de photocopier la gayphobie en rose pour comprendre la lesbophobie, même pour des oppressions qui se ressemblent à ce point et jouent sur le même terrain, c'est oublier que la condition des femmes n'est pas - et c'est pas une histoire qui s'efface en cinquante ans - comparable à celle des hommes.
Or, là, ce que tu fais, avec ce texte qui fait "trope lgbt + trope lgbt + trope lgbt + trope lgbt" et conclut (en paratexte !) "au fait, il existe une bijection de { homoexualité } vers { paresse }, c'est dire que tout est traduisible, et au lecteur de faire l'effort d'interpréter !

Autant pour
Nelbsia a écrit:
Il chercha donc le meilleur « compromis », et crut presque le trouver : une fille assez « garçon manqué » de réputation, et qui se disait « libertine »...
je peux me dire que tu parles d'un CDD précaire à temps partiel, autant quand tu parles du "jeu sordide" que constitue une relation de convenance résultant de l'hétérosexualité forcée, autant je trouve l'équivalence avec un syndrome d'imposteur dont souffrirait un salarié astucieusement économe de sa force de travail questionnable et surtout, pas très pertinente si ton objectif est de souligner que non, la soi-disant "valeur-travail", ça s'applique pas très clairement aux conseillers en communication et marketing financier et autres bullshit jobs.
Ce point est particulièrement sensible dans la mesure où la communauté LGBTQIA²+ essuie régulièrement des vagues de réappropriation plus ou moins dégueulasses. Si tu ne sais pas ce qu'est une MAP, vas faire un tour sur twitter, tu verras des drapeaux intéressants - et autant pour les noMAP, tant qu'ils ne font pas dans la positivité ils ne me gênent pas, autant la plupart, c'est pas seulement gênant pour les LGBT, c'est carrément à vomir.
Une autre récupération, bien sûr, c'est le capitalisme qui s'en mêle. La marchandisation de nos identités est un outil d'acceptation, mais à double tranchant, et quand on vend son âme on sait toujours qu'elle ne finit pas entre des mains amies, mais entre des mains puissantes.

Encore une fois, ce n'est pas impossible, ce n'est pas inintéressant. Mais à moins d'être un balourd de Trump ou d'Icer qui cherche des voix à droite, quand on met les pieds dans un gêpier, on met des gants, car on a conscience de marcher sur des oeufs.
Et même quand tes parallèles sont explicites, ils sont grossièrement irréfléchis!
Nelbsia a écrit:
Un jeune paresseux n'a qu'à « aller donner son cul pour réclamer des billets ».
Bien, ça, d'utiliser la valeur dégradante de l'expression "se faire enculer par le patron" pour dénoncer le capitalisme. On se demanderait presque ce que pré-suppose cette valeur.
Ce qui illustre pourquoi la convergence des luttes n'est pas automatique.

Un autre problème qu'on rencontre souvent en convergence des luttes, ce sont les marxistes qui t'expliquent qu'on s'y intéressera une fois qu'adviendra la
REVOLUCIÓN, elle se fera automatiquement à tes couleurs et résoudra d'elle-même tous les problèmes du monde.
Ce sont les pire à convaincre que le féminisme ne s'est pas arrêté quand, in jure, on a "acquis" le droit de vote et, à la rigueur, le droit à l'avortement en plus de quelques législations offrant une protection (toute relative) contre les discriminations.
C'est là que ton propos, tout bien intentionné qu'il soit à la base, dérive vers l'invalidation des autres causes. On va dire que ça me gêne un peu.

* * *

Troisième partie, enfin, cosignée
VioletBottle. Celle-ci porte plus sur des questions de fond abordées dans le paratexte et tes réponses aux commentaires. Ce n'est pas un procès d'intentions - il est très clair que tu parles de choses personnelles parce que tu souffres que la société n'y soit pas plus sensible - mais c'est bien ta perspective, tes vues et tes propos politiques qui seront critiqués plus que ton texte.

Commençons par évacuer ce qui nous a fait bondir de nos sièges.
Nelbsia a écrit:
L'homophobie était la norme.
La peine de mort était la norme.
Le travail des enfants était la norme.
La soumission de la femme était la norme.
L'élimination des handicapés était la norme.
Toutes ces luttes souffrent énormément de la croyance qu'elles sont "terminées", appartiennent au passé, et que, dans l'ensemble, ces questions-là sont plutôt "résolues" par de jolis progrès.
C'est une position à peu près aussi absurde et insultante que celle qui consisterait à défendre que la semaine de 35 heures règle le droit du travail.

Déjà, dans les luttes, rien n'est jamais acquis.
  • Les violences LGBTphobes sont en recrudescence.
  • La peine de mort pour pédophiles, il y en a que ça fait bander. Sans parler du vrai sujet, qui est la justice punitive.
  • Ne t'en fais pas, les enfants travaillent toujours pour nous (entre Apple et Nestlé, t'en as sous les yeux et dans l'assiette).
    Spoiler
  • Les violences conjugales ou le plafond de verre ne sont pas des épiphénomènes de la domination masculine. Sais-tu que le droit à l'avortement est toujours menacé, même en Europe ?
  • Tuer des handicapés, c'est pas si choquant. S'intéresser à l'accessibilité ou à la psychophobie, si.
L'idée d'un Progrès Social vers plus de justice et de liberté, c'est le penchant intellectuel du "tout fout le camp". Démodé, idéologiquement marqué, pseudo-scientifique et dans les deux cas, nocif, en fait.
L'histoire, ça fonctionne pas comme ça. L'histoire, c'est un institut de chercheurs qui invente le terme "transexualité", se prend interdits et autodafés vingt ans plus tard. C'est fait de silence, de honte, d'invisibilisation et de stigmatisations jusqu'à ce qu'un jour, on arrive à faire reconnaître mondialement que la transexualité n'est pas une maladie mentale, et que la suivante, une panique morale s'élève en Grande-Bretagne et nous attaque à grands coups de désinformation, avec des conséquences législatives qui font reculer nos droits outre-manche, ou en Pologne, outre-Atlantique...
Ce. N'est. Jamais. Fini.

Pour ceux qui ça intéresserait, des collections de témoignages au format blog BD et/ou tumblr, enfin, ce genre de contenu. Parfois, la voix des gens réels parlent plus que les statistiques ou des articles un peu froids. Pour ceux que ça intéresse, recueils de témoignages féministes, lesbiens, trans, et je ne doute pas qu'avec un peu de recherche vous verrez des choses similaires (voire intersectionnelles) sur Youtube ou pour le validisme et le système pénal.

Enfin, et ce n'est pas tout. Comme je le disais plus haut, à essayer d'écrire sur la paresse à travers autre chose, tu maltraites ton sujet. Qu'est-ce que tu définis comme paresse ? L'oisiveté, le manque de productivité, la non-conformité inhérente au validisme du capitalisme, se sentir mal dans un bullshit job ?
Une chose importante à considérer, avec la façon dont fonctionnent les stigmates, c'est qu'ils adorent l'amalgame. Plus c'est vague, moins on a de concepts pour penser et comprendre la chose, plus facile il est de la rendre alien et de la méreprésenter. C'est avec ça qu'on se retrouve avec des tueurs en série travestis (coucou Bufallo Bill duSilence des Agneaux, coucou Robert Galbraith) qui nourrissent des représentations du public sur les personnes trans.
Si un sujet sociétal te tient à coeur, normalement, tu as un arsenal conceptuel à déployer pour éduquer. Tu as un vocabulaire, des références, des grilles de lecture du monde que tu veux transmettre. Permettre à des gens non sensibilisés de s'approprier ces outils, les diffuser et les normaliser, est un des plus grands objectifs de ce genre de texte de société. Pour éduquer, distinguer est premier, relier secondaire.
  Sujet: [Animation] La conversation téléphonique  
Belgarel

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MessageForum: Jeux et détente   Posté le: Ven 25 Sep 2015 13:11   Sujet: Re: [Animation] La conversation téléphonique
Allô ? Mr. Green

En pleine nuit, le portable de Yumi Ishiyama se met à sonner. Redoutant une alerte X.A.N.A, la japonaise décroche rapidement.
- Ulrich ?
- Allô ?
- Qu'est-ce qui se passe ? Alerte X.A.N.A ?
- Allô ? Allô, Yumi ?
- Quoi donc ? répondit la japonaise, hésitant entre la gène et l'agacement.
- Yumi, tu m'entends ? Je t'entends pas. Je crois que je suis dans un train...un tunnel.
- Mais... tu pouvais pas m’annoncer ça demain ? Le début des vacances, c'est le soir tu sais !?
- Ça doit être un tunnel, je vois de la lumière. Yumi, tu es là ?
- Mais t'es fou !? Tu as vu l'heure qu'il est ?
Puis, se rappelant de ses sentiments envers lui, la geisha souffla profondément pour se calmer. De toute façon, elle ne pouvait pas lui crier dessus sans prendre le risque de réveiller ses parents, ou pire : Son frère.
- Bon ça va plus de peur que de mal, corrigea-elle à son intention.
- Y-Yumi, rejoins-moi...je dois m'enfuir, j'ai peur !
Dès la mention du verbe, la jeune fille sentit ses joues s'empourprer.
- Bo.. bonne idée. Mais tu veux aller où ?
- YUMI, JE T'ENTENDS PAS, RÉPONDS ! JE FONCE SÛREMENT VERS UNE MORT CERTAINE, JE SAIS PAS OÙ JE SUIS MAIS VIENS, JE SAIS QUE TU ES LÀ, YUMIIII !
- Ah... Mais j'ai un exposé à faire en S.V.T pour la rentrée sur les énergies renouvelables. On avait prévu de se retrouver chez Maïtena.
- PUTAIN TU VAS QUAND MÊME PAS ME LAISSER CREVER ?!
- Ben... en fait nous on s'en fiche un peu. On est plus intéressées par le brevet. Y a le contrôle continu et...
- YUMI, RÉPONDS ! ÇA FAIT UNE ÉTERNITÉ QUE JE M'ÉPOUMO...
- Bon écoute, je ne peux rien te promettre. On en reparlera demain, là je suis un peu trop fatiguée pour réfléchir.
- ...Putain, grésilla le portable après un instant de silence angoissé. Je panique complètement, si ça continue ils vont me tu-
- Y a pas de mal, répondit-elle sèchement avant de raccrocher.
Elle soupira. Le cœur a ses raisons que la raison ignore, hélas.
  Sujet: [Blabla] Publication d'un roman  
Belgarel

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MessageForum: Blabla de la communauté   Posté le: Mer 23 Sep 2015 11:16   Sujet: [Blabla] Publication d'un roman
Chalut,
Pardon, je rectifie : une main qui jaillit du sol ouh là là un zombie sauve qui peut...

On m'a signalé hier ce topic, qui m'intéresse, parce que, précisément, tout doucement, je commence à m'initier au truc. Mon roman, vieux d'un an, vient de s'offrir une rapide relecture (étalée sur deux mois, Belgaflemme oblige) et est prêt à envoi.
Sauf que même si j'ai pas encore d'expérience, j'ai pas du tout la même approche que toi.

Alors ça va sans dire, Albin Michel, à moins de s'appeler Amélie Nothomb mieux vaut oublier. Surtout pour de la science-fiction un peu terne comme le machin que j'ai pondu Mr. Green
Mais d'après VioletBottle (qui prétend ne pas avoir le temps de faire un post, mais comme elle est la plus calée sur le sujet elle ferait bien de ramener ses fesses ici), Edilivre a une des pires réputations dans le monde de l'édition, et du peu que j'aie feuilleté du site, c'est également mon sentiment.
Elle estime que c'est moins un éditeur qu'un imprimeur ; la promotion est faible (au point où on explique qu'on créera une page pour le bouquin par réseau social, et une page automatique sur le site, waaaah -_-') et peu reluisante, et vu le degré d'implication dans la création du livre (genre : pas de relecture orthographique, étiquettage du genre approximatif), il paraît probable que le label "made in Edilivre" décourage plutôt les distributeurs qu'autre chose.
On en est au point où ils répondent en deux semaines. Je trouve ça extrêmement suspect. Les petites maisons annoncent souvent deux mois, voire plus ; j'en ai croisée une qui montre sans problème jusqu'à un an (mais garantit qu'il y aura réponse). Autrement dit : on envoie le manuscrit, mais ce n'est pas lu. Il n'y a pas de sélection. Dernier détail trouble : pas le moindre signe de ligne éditoriale sur le site.

Alors j'ai rien contre l'auto-édition, ça peut être très bien pour commencer en-dehors des circuits tout prêts et se faire un nom - même si ça doit être crevant par certains aspects, et qu'il faut payer de sa poche.
Mais d'après Bottle, Edilivre se fait une marge trop importante par rapport aux services qu'il propose. Après, il faut admettre, ça minimise les prises de risque.

Comme je débute dans mes recherches, je me concentre principalement sur les problèmes suivants :
Protéger son manuscrit (ou tapuscrit pour les maniaques) :
S'envoyer le truc par poste, plus la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques. Ça va chercher dans les 30€ à tout casser en tout, à renouveller de temps à autre. Si vous voulez le nec plus ultra, payez-vous un notaire, mais vous avez intérêt à être le prochain J.K.Rowling pour rentabiliser ça lors de votre procès, ça va chercher dans les 150€ ^_^
Surtout, éviter d'envoyer un extrait de manuscrit aux éditeurs. Paraît qu'y en a qui peuvent le prendre mal, comme une insulte.
Imprimer son manuscrit :
Y'a toute une affaire de marges, d'interlignes, de feuilles recto uniquement, de reliure en cahiers à spirales (et non avec des petits cordons de laine, voire sans reliure du tout) et j'en passe. Bref, planifiez votre passage à la COREP, et décalez vos envois de manière à pouvoir renvoyer à Y les manuscrits refusés par X (pour peu que vous alliez les chercher).
Sélectionner les maisons d'édition :
Et c'est là que le bât blesse. Je crois qu'il va falloir que j'établisse, méthodiquement, un petit document répertoriant les maisons possibles, leurs lignes éditoriales précises (fouillez les sites webs) et me renseigne sur la qualité associée. Enfin, pour être édité, le principal, ça reste d'éviter le "J'ai arrêté à la moitié. C'est très bien, mais on fait pas ce genre de trucs-là par chez nous."

Comme j'ai beaucoup de flemme, je prendrai des mois avant d'avoir établi mon plan et de passer à l'action. Si ça se trouve, j'opterai effectivement pour l'auto-édition, on ne sait jamais ; mais quitte à faire ça, je préfère le DIY (qui bien que couteux reste assez sûr et formateur).
Je reviendrai pleurnicher ici quand j'aurai perdu mes illusions. Oui, je commence à promettre des retours, c'est mauvais signe.
  Sujet: [Événement] La semaine du Graphisme - Seconde Édition  
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MessageForum: Graphisme et infographisme Code Lyoko   Posté le: Mar 05 Mai 2015 17:05   Sujet: [Événement] La semaine du Graphisme - Seconde Édition
Ikorih a écrit:
la plume symboliquement calée derrière l'oreille
Heureusement, le ridicule ne tue pas

Note, ma réaction n'est pas bien éloignée. Heureusement, cette créa a tout de même l'avantage de nous expliquer que les chats ne désirent pas gouverner la Terre, mais que leur plan véritable est de conquérir l'univers. On comprend mieux pourquoi on est encore en vie...

L'incrustation du chat-peinture fait zarb (on voit bien que le fond s'adapte à son contour), mais bon, ça colle et ça fait nuit ; j'aime beaucoup l'effet bulle (opacité, déformation, reflets de lumières saturées ou bleutées pour marquer la concavité), et apprécie beaucoup de voir celle-ci reflétée dans les yeux du chat avec le reste du cosmos (sérieusement, cette idée de colorer le ciel en fonction des yeux du chat, tant que ça colle, si c'est pas cool ?)
Les motifs floraux autour du cadre pourraient sembler incohérents (hormis la couleur), mais les attentifs auront repéré d'autres motifs du même style entre les yeux du chat et la Bulle, ce qui unifie la création.
Et le résultat est cool. Parce que le vocabulaire laudatif, c'est assez peu nuancé : soit positif, soit négatif, alors forcément, si ça caresse l'oeil et qu'il y a un chat, que peut-on faire ?

Sinon, la semaine du graphisme ? Remets ça quand tu veux, ça a ranimé mon compteur de posts Mr. Green
Plus honnêtement, je vais pas regarder des trucs par moi-même. Faire ça, c'était un moyen cool de stimuler l'attention et les discussions autour d'un truc qu'on sait d'avance plutôt bien foutu, et de se demander, le plus souvent, non pas : est-ce bien fait ? mais : pourquoi est-ce beau ?
  Sujet: Nouveaux Membres : Présentez-vous !!!  
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MessageForum: Blabla de la communauté   Posté le: Mar 05 Mai 2015 15:16   Sujet: Nouveaux Membres : Présentez-vous !!!
"un peu déçue" ? Ce n'est pas assez, je le crains Razz
Je rigole. J'en a d'autres, qui non content d'avoir survécu à plusieurs visionnages, ont même trouvé une certaine forme de plaisir, qui ne relevait pas de la simple pratique du nanar-love !

Hum. Sachons nous tenir.

Accueils formels, tout ça. Dis, tu aimes écrire des fanfics, ou commenter, ou lire, ou grapher, ou commenter du graph ? <3
Je mets un coeur parce que les avatars roses c'est beau. Osez le rose.
Puis comme ta vingtaine est "petite", toute suite, ça fait mignon. Ça te met dans notre moyenne d'âge, ceci dit.

Hum, je ne savons pas tenir quoi que ce soit.


Sinon, salutations au grand ingénieur. Tu serais peut-être un des premiers à avoir vraiment eu une petite soeur Mr. Green

Quant à sofiorak...heu...bienvenue, mais vraiment, avec ta ponctuation, je t'avertis tout de suite : le sous-forum fanfics, ça risque d'être compliqué... ^^"
Après, faire du pied aux fans de William, c'est une manoeuvre politique plutôt sûre (et moi-même je ne pourrais pas te contester sur ce point-là, le truc c'est que je suis plutôt d'accord avec eux, tout en n'aimant pas le personnage). Faire du pieds aux fans de David Tennant aussi, d'ailleurs Wink
  Sujet: Nouveaux Membres : Présentez-vous !!!  
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MessageForum: Blabla de la communauté   Posté le: Ven 01 Mai 2015 20:54   Sujet: Nouveaux Membres : Présentez-vous !!!
Jerem a écrit:
la teneur de tes propos rendent le message agressif et ne donne pas envie aux autres d'apprendre à te connaître.
Osef, elle a un avatar mignon, alors si, on a envie de la connaître.
Plus sérieusement, impossible de se brusquer quand elle a un ton aussi ouvertement léger. En outre, elle fait sa maligne en mode "Je sais tout ce qui se passe" ; mais après tout, elle n'est pas apprentie de sa "grande soeur" [que personne n'aura reconnue, vu la discrétion dont elle fait preuve sur Skype] pour rien Wink

Pas la peine de monter sur tes grands chevaux pour l'orthographe non plus. Certes, c'est pas parfait ("se forums" fait un peu saigner les yeux et il manque un accent sur un "a" quand elle tient "à" nous prévenir), mais ça reste totalement acceptable. Plus encore, d'un niveau très correct pour une collégienne de son âge.
Bon, oui, pour la ponctuation, les espaces après les points et les virgules, mais bon, encore une fois, osef Razz

M'enfin, je vois pas pourquoi je te parle, Jerem, puisque tu as eu le bon goût de te désintégrer tout seul à la fin de ton message (clash ! Cool )


Du coup, bienvenue à Ae-Ly-na (même si elle est déjà partie elle aussi...et non, je ne me lasse pas de cette blague).
Et à Lithium, qui est encore plus parti, ou pas, j'en sais rien. Peut-être est-il mort en visionnant le premier épisode de CLÉ.


EDIT : conséquence : pour que les gens ferment leur gueule, ne pas leur demander de le faire. Reverse-psychology, tout ça...
  Sujet: [Événement] La semaine du Graphisme - Seconde Édition  
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MessageForum: Graphisme et infographisme Code Lyoko   Posté le: Mar 28 Avr 2015 16:52   Sujet: [Événement] La semaine du Graphisme - Seconde Édition
Le jour 3 était très joli. Le ciel en pseudo-films (car aucun film ne projetterait jamais pareilles images) fonctionne très bien (surtout si on se souvient que la Nature relfète l'âme chez les romantiques), la classique métaphore du bateau et du voyage comme iter vitae car la latin c'est classe, le reflet (?) d'une plage tropicale lumineuse (ou surexposée) dans la voile gonflée de désirs...et surtout, la police d'écriture qui déchire sa maman ! Mr. Green
Comment ça, je fais des phrases décousues ? Mais je vous emmerde, je speed-commente, oké, c'est de l'art ! Razz

Pas super-fan du bonhomme de neige de Zéphyr en tant que création graphique (pourtant, je respecte grave ses capacités avec un logiciel, comme je crois l'avoir fait peut-être éventuellement possiblement sentir dans le premier Concours, qu'il avait remporté). Ceci dit, je viens de m'apercevoir que le blanc hivernal, le bleu icerien et les tons chaleureux au milieu de tout cela, sont précisément les couleurs/ambiances emblématiques de Noël. S'il en est responsable, le découpoage "artisanal" des cadres donne aussi au petit gars un aspect fait-main plus appréciable encore que la disposition ennuyeusement instable de ses boules.
Pardon.

La créa de Revelyan pète la classe, mais j'ai pas grand-chose à dire dessus. Enfin, faucheuse verte, couleur de l'espoir et des Serpentards, c'est pas commun, mais c'est cool. En résultat, tout le monde l'a dit mais je m'en fous, on voit juste une bonne grosse orgie d'effets qui rendent bien et même pas lourd, de cadres soignés avec des formes à mi-chemin entre flammes et ébullitions malsaines...bref, un bonbon pour l'oeil.
Et c'est moi ou le fond est rempli de vaisseaux fantômes gris ?

L'arrière-plan n'étant probablement pas de l'autrice, j'avais les mêmes réticences que Zéphyr devant la création du jour 6, mais deux choses me convainquent :
- Si je ne me trompe pas, Aelita est dans une tour, en face d'une interface. Avec un éclairage bleu. Putain, qu'il est pratique, cet outil de modification de la teinte. Mais il n'explique pas, par exemple, le reflet crépusculaire sur ses cheveux.
- La police, qui fait un peu "spooky wonderland" Car les champignons vénéneux, ça sent pas bon, dans une forêt merveilleuse.
J'ai, avec l'examen, constaté que les rayons de soleil perçant à travers les frondaisons, les particules étincelantes semblables à celles qui entourent Franz, et les motifs ramifiés de même couleur épousant délicatement les formes des arbres, avaient sans douté été rajoutés par la graphiste : loin de l'alourdir, grâce à une bonne gestion de l'opacité, ils donnent vie à la création.
Petit détail qui tue : la signature, en bas, a un design plutôt moderne et technophile. Pourquoi ça colle ? Parce qu'on le sait : Aelita vient, pour la première fois, de quitter sa tour. À quand l'apparition du cancrelat-sorcier ? Razz (OMJ, is this Verso ?)
Une conclusion parfaite a écrit:
Mon impression finale sur la création est très positive, je la trouve reposante à l’œil, elle donne envie de s'attarder sur les petits détails, même si elle laisse entrevoir un petit côté inquiétant.
  Sujet: [Événement] La semaine du Graphisme - Seconde Édition  
Belgarel

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MessageForum: Graphisme et infographisme Code Lyoko   Posté le: Mer 22 Avr 2015 21:20   Sujet: [Événement] La semaine du Graphisme - Seconde Édition
Quand j'ai vu cette image, j'ai eu l'impression d'un arrêt sur image dans une cinématique de jeu. Et pas une cinématique des années 90s ; non, plutôt la grande classe de l'ère PS2.
La première raison, c'est ce flou qui entoure le Skid, comme pour signaler un mouvement passé et un autre amorcé (bien visible sur la branche cassée). Ou comment, avec un truc simple et élégant, donner une impression de dynamique, et donc d'urgence.
La deuxième, c'est le soin du détail, qui donne le sentiment d'avoir affaire à un modèle soigneusement texturé : taches de rouille jaune, craquelures autour de l'impact sous le cockpit, suie mouchetée sur les navskids...franchement, ça donne un effet photoréaliste saisissant.

Je suis plus mittigée sur le feu. Oh, Dyssery l'a dit, très bien incrusté, on y croirait ; mais le placement, quand on prend un peu de recul, est tout de même étrange. Que le cockpit brûle, pourquoi pas ; de même pour la pointe, en bas du vaisseau, à la rigueur. Mais l'aile droite, et la pointe ! Un réacteur, j'aurais compris, mais qu'est-ce qu'il y a à brûler au bout de cette tige de plastique/métal ?
Les étincelles, par contre, j'approuve plus que Dyssery. La couleur qui se marie au fond, le placement (dans la continuité de l'idée de chute), le design en croix et sa netteté variée ; oh oui, surtout, sa netteté variée ! Cette diversité des "états d'étincelles" sert le dynamisme et l'aspect cinématographique de la créa, en ajoutant une impression de temps, et aussi un effet de focale (si on suppose qu'il s'agit d'un flou). Pour voir de quoi je parle, comparer le nuage resseré d'étincellles au-dessus de l'aile gauche, et les vagues éclats triangulaires à droite du vaisseau (toujours en haut).

La fumée m'a également fait un effet étrange. Trop localisée, trop blanche (bhééé c'est pas de l'eau qui s'évapore, quoi >.< bien que ça mette le Skid en valeur, de faire en sorte qu'il soit le seul élément sombre de l'image), trop cylindrique, trop "simple" en somme. Enfin, comparée au vaisseau, ça va sans dire : ellea une esthétique plutôt "aquarelle" qui, pour le coup, ne colle pas tout à fait. Mais ce n'est qu'un détail.

Pour le fond, le jaune convient très bien à une ambiance Cortex ; j'ai aussi le sentiment que l'inclinaison du Skid a été faite pour respecter les lignes de fracture. Ce qui m'avait surpris, c'était le sentiment que la résolution de l'arrière-plan était très différente de celle du Skid ; mais là encore, on retrouve cette notion de focale qui vient tout cohérenter.

Pour la police d'écriture ? Je n'ai pas envie de me fritter une nouvelle fois avec le Pôle Fiction, pas fou Mr. Green
Plus sérieusement, c'est vrai que pour une simple signature, je trouve le placement un peu voyant. Et le fait que Poppy s'en tire mieux que le Skid est intriguant : pourquoi la chose qui a mis le Skid dans cet état ne s'en prend pas à lui ? À moins que ce ne soit lui, l'ennemi des Lyokoguerriers ? Dans ce cas, pourquoi la brochette de Navs ne le grille pas ?
Je devrais aller dormir, je crois.
  Sujet: [Fanfic] Mondes Alternés  
Belgarel

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MessageForum: Fanfictions Code Lyoko   Posté le: Ven 10 Avr 2015 22:40   Sujet: [Fanfic] Mondes Alternés
Coucou !
Spoiler
Je rigole Very Happy Mais très joli commentaire, Ikorih.


Chapitre 8

Hé bien , on a plus de développement. Dévotion, sacrifice (d'elle-même et des autres), mensonge, dilemme, usurpation et mutinerie. Ça, ça forge et expose un caractère. , j'ai eu l'impression de voir un personnage, pas simplement un vecteur d'exposition de scénario ! Donc non, Asali a totalement quitté le second plan.
Étrangement, cependant, bien qu'elle soit celle qui en sache le plus, bien qu'elle soit une guerrière pragmatique, Asali est peut-être celle qui croit le plus en cette utopie. Qui craint que les survivants humains, n'ayant rien apris de la destruction de leur monde, n'amènent le chaos. C'est elle, aussi, plus qu'aELIta, qui fait le choix du secret d'État et du mensonge, et définit les finalités de la Reine.

Et donc, leçon d'utopie du jour :
Et pif que la Création échappe au Créateur. Aelita délègue la mission de Hopper et la néglige, créant d'immenses failles (résultant du désir humain même, et des structures supposées le limiter).
C'était la leçon d'utopie du jour.

À toute la thématique de l'utopie et du monde imaginaire s'ajoute, de fait et clairement, la plus grande crainte d'Aelita : son père. Ça fait un peu freudien dit comme ça, mais ce côté savant fou, jouant avec la vie de sa fille (#51, de mémoire), inquiétant et dangereux, est au cœur non seulement des souffrances d'Aelita, mais aussi de la genèse de XANA (qui est l'incarnation de la guerre homme/machine). Bref, le côté Dark de Franz est le noyau rêvé de l'univers d'Aelita.

Hum, la thématique de l'utopie commence à me gonfler…dis, vivement la saison 3, qu'on bouge un peu. Voire, qu'on la réhabilite (même si pour le coup, vu le principe de base des univers, ça serait un plot twist plutôt étrange…)


Odd tente d'expliquer à Asali ce qu'est le désespoir. Enfin une vraie connaissance, qui lui servira bientôt ! Surtout si Hopper est vivant ?

Sinon, pour la scène où Jérémie et Yumi tentent de faire progresser l'histoire…ce qui m'étonne, en effet, dans la passivité d'Eli, c'est la manière dont ce monde qu'elle est censée diriger tourne très bien sans elle. À se demander pourquoi Asali tenait temps à faire monter une Reine en carton sur le trône, si ce n'est pour les apparences. En fait, pas plus que notre monde, Verso ne repose sur de véritables informations : c'est, en définitive, la structure sociale, qui fait tourner le bazar. Et en particulier, les individus ne sont pas maîtres d'eux-mêmes : ils ne font que suivre bêtement leurs rêves figés, et les avis des autres. La thématique "Qu'est-ce qu'être un chef ?" prend toute son importance dans ce contexte-là.

Nœil :
Spoiler
  Sujet: [Fanfic] Replika on the Web  
Belgarel

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MessageForum: Fanfictions Code Lyoko   Posté le: Lun 06 Avr 2015 16:30   Sujet: [Fanfic] Replika on the Web
Hum, je crois que j'ai laissé filer…heureusement, RotW se lit vite ^^

Pour le chapitre 26, il était très bon. Peut-être même meilleur que les précédents. L'équilibre est parfait entre gestion du groupe, vie quotidienne, informations, descriptions qui sentent le vécu et posage-d'éléments-du-scénario. Même si on a tous compris que le père d'Adèle ne s'était pas simplement "désintéressé" de la question du premier coup d'œil.
Non, le problème, c'était de s'interrompre en permanence pour devoir faire l'Œil. Les prochains n'auront plus ce souci-là ^^

Chapitre 27.
Citation:
-Voilà le troisième voyage !
You son of a…Tu m'as carrément fait marcher, là ! Une seconde, j'y ai cru, à l'ellipse wtf ! Heureusement, non, dans RotW, on détaille tout, rien n'avance sans le lecteur : et ça implique les technobabillages qui donnent envie de faire des recherches (d'ailleurs, Meuringue connaît trop bien son affaire : moi, quand je galère en informatique, je suis bonne pour le net, la doc, le doute…et non, lui, il a de la bouteille, alors pif ! on fait sauter les vis et on plonge les mains dans le cambouis pour voir ce que ça donnera ! XD M'enfin, lui, il a un oncle informaticien-de-génie…)
Bon, le Mach2 explose en s'allumant. Ça rappelle la scène de la Genèse, tiens. En tous cas, ça contrastait bien avec l'activité bourdonnante de Fred auparavant. J'veux dire, technobabiller comme un passionné, c'est bien, mais ajoute une petite explosion, et le cocktail devient tout de suite plus polyvalent

La xanatification était un grand moment de joliment foutu. Ça fait un certain temps que j'en ai plus lu dans RotW, mais ça permettait de rappeler de quelle menace il est question, comment elle fonctionne, et surtout en quoi le Mach2 change la donne à ses yeux. Céleste en mode AGK, c'était valorisant (d'autant que Fred se la jouait très Jérémie, en effet) ; mais le rire qui a suivi sonne trop…bon enfant. James, Jessie et Tim sont évanouis et peut-être blessés après tout. Sans doute était-ce davantage une réaction nerveuse, auquel cas tu aurais peut-être dû l'expliciter.


On en arrive au "nouveau" chapitre. En tous cas, le dernier en date.
Très dans l'ambiance du D.A.. Pour le coup, on adresse une nouvelle fois les problématiques de l'enjeu et des responsabilités, avec un petit côté dark dans la mesure où XANA envoie une meringue (oui, bon, il s'appelle pas comme ça, mais osef) dans le coma. C'est donc contraints et acculés que nos "héros" vont risquer leur vie…pour peu qu'ils aient envie de reprendre du service !
Pour Fred, quelque part, tu as bien posé son désir type post-95 de faire quelque chose de plus grand que la vie de lycéen (qui fait pourtant tout le sel de ta fic) ; pourtant, je sens qu'il ne s'y remettra pas pour autant de gaieté de cœur. Cette situation stressante fait sans doute de lui un élément fragile du groupe, en dépit de son rôle de leader.
Citation:
Concernant les plans de X.A.N.A., tout le monde n'est pas infaillible. Et même Frédéric Meuringue peut se tromper...
C'est de la spoliation de plot twist Sad

Je laisserai les arcanes, qui sont essentiellement un rappel/redite de la genèse du Macstodonte, et un document personnel d'écrivain (la chronologie. Toujours important de la mettre au point, mine de rien).
Quant à l'épisode 29, il était très bien. Dommage que Céleste et Fred ne se soient pas mariés le soir même de la victoire contre XANA.


Allez…et sinon, évidemment :
Spoiler
 

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