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 Auteur  Message
  Sujet: Lyoko Guerriers fanart  
Vincent-49

Réponses: 3
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MessageForum: Le coin des artistes   Posté le: Lun 18 Juil 2022 20:38   Sujet: Lyoko Guerriers fanart
Très belle réalisation, un style avec beaucoup de fraicheur !
Je sais pas trop si c'est le mot, mais c'est ce que je ressens x)

Pour le coup des ailes d'Aelita, contrairement à ce que dit Cyclope, je ne pense pas qu'il y ait lieu de taper un scandale (faut pas déconner on est civilisé quand même) alors que tu n'as pas oublié le bracelet Wink
Et puis, dans la série elle ne les utilise pas si souvent que ça ses ailes. Au contraire, le fait de la voir sur l'overboard avec Odd rappelle la complicité qu'il y a entre les lyokoguerriers, donc c'est aussi sympa comme ça.

Les couleurs sont jolies, les dégradés rappellent la 3D de lyoko et il y a un réel dynamisme dans la disposition des éléments et les effets de flou de mouvement.

Le champs de force sur la manta est bien géré, c'est propre !

Donc très joli, curieux d'en voir plus !
  Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!  
Vincent-49

Réponses: 6226
Vus: 5029518

MessageForum: Projets partenaires   Posté le: Mer 01 Déc 2021 21:05   Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!
Encore une fois une bonne grosse claque !

Et dire que tu nous prévois 28 chapitres, à mon avis c'est pas la dernière Very Happy

Les décors sont fantastiques, les plans de l'extérieur de l'usine sont vraiment super ! Dans le DA on était limité à un plan de trois quart et une vue de profil de l'usine (en dehors du pont), mais là tu nous offres des vues inédites (mon attrait pour l'usine Renault n'est pas un secret) qui montrent vraiment la taille du bâtiment, littéralement démesuré !
Sur le plan lorsque Jérémie et Aelita débarquent sur l'île, les proportions sont vraiment fidèles (voir quatrième photo de la galerie suivante : https://www.attitudephoto.org/regards-patrimoine.html)

Les nouveaux programmes et le fait qu'il faille "travailler directement sur le hardware" - comme dirait Jérémie- est très intéressant.

Au delà de ça, la colorimétrie, les musiques qui nous plongent dans une ambiance de désespoir face à la menace qu'est devenu XANA, on sent que la fin est proche. C'est vraiment prenant.

Et tu sembles avoir prévu une histoire à la hauteur et que CL mérite pour aller plus loin.

Ce ne sera encore pas la dernière fois que je le dirai :
Bravo, et merci !
  Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!  
Vincent-49

Réponses: 6226
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MessageForum: Projets partenaires   Posté le: Dim 13 Juin 2021 11:24   Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!
Ca me plait !

Ca claque vraiment, la partie backstory a l'air incroyable, les décors (géniale la porte identique à celles de l'usine), le développement des relations entre les membres de Carthage, très cool tout ça !
Les animations 2D sont vraiment jolies et j'aime beaucoup le monoscan, trop sous-coté dans la série Laughing

Le fait que tout ça ne soit qu'un trailer, promet vraiment pour le reste Very Happy

Encore bon courage, ce que tu fais est un cadeau pour tous les fans
  Sujet: [One-Shot] Jour 2546  
Vincent-49

Réponses: 4
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MessageForum: Fanfictions Code Lyoko   Posté le: Jeu 02 Avr 2020 18:33   Sujet: [One-Shot] Jour 2546
Merci Icer, ça fait chaud au cœur !

En effet, le confinement ça pousse à tenter de nouvelles choses Smile

Développer l'histoire n'est pas exclu si mon inspiration est décidée, en tout cas cet accueil positif m'y fait réfléchir !
  Sujet: [One-Shot] Jour 2546  
Vincent-49

Réponses: 4
Vus: 9570

MessageForum: Fanfictions Code Lyoko   Posté le: Jeu 26 Mar 2020 22:50   Sujet: [One-Shot] Jour 2546
Merci beaucoup Zéphyr pour ce retour sympathique et intéressant.

Tu as vu juste sur beaucoup de points auxquels je vais répondre :

Citation:

Pourquoi Hopper prendrait-il la peine de donner son cours, à chaque reddite du 6 juin ? Le but premier de la boucle temporelle n'est-il pas justement de pouvoir travailler tranquillement en non-stop sur le supercalculateur, sans avoir à se soucier de ce genre de choses ? J'ai un peu de mal à avaler qu'il ait donné 2546 fois le même cours sans devenir plus fou qu'il ne l'était. Même si dans le cadre du texte, je conçois qu'il soit venu donner cours au jour 2546, son dernier sur Terre (une façon de mettre de l'ordre dans ses affaires je dirais), ça me semble beaucoup moins aller de soi pour les 2545 fois précédentes.


Ouais.... Je suis d'accord avec ta remarque. Lorsque j'ai commencé à écrire le texte, je tenais à prendre le temps de décrire l'atmosphère, les sensations et ce que ressentait Hopper. J'ai donc commencé par cette scène de classe qui me permettait d'introduire la double vie d'Hopper. Et bien que je me sois aussi fait la réflexion sur le fait qu'il devait péter un câble à force de faire ces cours, je suis parti dans l'idée qu'il revivait à chaque fois cette journée du 6 juin sans vraiment me dire qu'il avait peut-être le choix dans l'heure à laquelle il voulait retourner. Un point sur lequel j'aurais dû me repencher après coup.

Citation:

Le choix de l'usine est présenté comme allant de soi, et je regrette un peu qu'en-dehors de l'argument de la désertion de celle-ci, les raisons n'aient pas été plus développées. Par exemple : qu'est-ce qui dit que l'usine n'aurait pas été déconstruite dans les années à venir, ou qu'elle n'était pas régulièrement squattée, compromettant ainsi la discrétion ? Cela dit, la série n'aide pas de ce côté-là, l'usine étant présentée comme déserte 95% du temps, avec de très rares et situationnelles exceptions (l'épisode 80).
On peut même aller plus loin en se disant que même isolée, l'usine reste implantée en métropole, et qu'y faire venir des travailleurs pour les aménagements demeure risqué (et pas vraiment discret, visuellement parlant, sans parler du bruit - que le côté souterrain du laboratoire atténue, je l'admets).


J'y ai pensé aussi, je suis resté évasif sur ce sujet. Mon but étais surtout de présenter le pourquoi et le comment de la construction du complexe informatique, c'est pourquoi je ne me suis pas attardé sur ce point.
En fait, j'ai essayé de relater ces événements comme si l'on était dans la tête de Franz, qui se rappelle de ceux-ci sur le trajet menant au labo, et donc dans sa tête il ne se re-raconte pas toute l'histoire puisqu'il la connait. Ce sont surtout les aspects techniques, dont il est fier, qu'il se remémore.

De cette façon je laisse aussi des portes ouvertes, au cas où un jour il me viendrait l'envie d'en raconter encore plus, sait-on jamais !

Citation:

Je te félicite d'avoir pensé à ce point (en plus, il y a un amusant écho avec les CLC), mais à nouveau, j'ai du mal à concevoir que cela permette à Franz d'être discret. Au contraire, les employés d'une boîte qui ont un trou de mémoire subitement après avoir travaillé pour un client, ça reste extrêmement suspect. Et même si tu prévois le coup en disant que les petites structures posent moins de questions en voyant les montants proposés derrière, je ne les pense pas suffisamment capitalistes pour glisser sur l'amnésie soudaine de leurs employés comme ça.


Je me suis en effet inspiré du gant arrache-souvenirs des CLC, mais en utilisant le casque neuronal car je voulais quelque chose de plus canon par rapport à la série et plus "réaliste" (du moins qui fasse un peut moins cheaté). C'est un point compliqué, qui mériterait peut-être aussi d'être approfondi.


Citation:

Si tu as eu le bon réflexe de penser au fait que les CDs du journal ont été préparés et cachés au jour 2546, le fait de sous-entendre que les CDs ont été gravés/rangés au fur et à mesure ne fonctionne pas. Le retour vers le passé en boucle empêche la chose (dégravant les CDs en quelque sorte). En théorie, Hopper aurait dû procéder à la gravure de tous les CDs contenant son journal en une seule fois, en ce jour 2546 (pour le cryptage en revanche, le supercalculateur gardant en mémoire les choses malgré retour dans le temps, on peut tout à fait se dire qu'il l'a fait au fur et à mesure en effet).


Alors là, je m'incline ! Boulette de ma part, et merci de l'avoir relevée, ça montre que tu as vraiment analysé mon récit, et je t'en remercie !
Surtout que j'ai bien précisé à un moment qu'il avait pris des précautions avant de lancer les retours vers le passé, pour éviter justement de perdre à chaque fois ce qui était matériel. ex : les caméras dans le jardin

C'est pour cela notamment que Mr Pück était déjà caché dans le mur avant qu'il y mette la clé, pour que Aelita soit déjà au courant qu'il y est, même sans savoir pour quelle raison.

Citation:

A la fin de l'épisode 90, Aelita explique qu'elle suivait des cours par correspondance, à domicile. La phrase est donc fausse, par rapport au dessin animé. Attention à bien être raccord avec le support original dans le traitement d'un sujet de type back-story !


Je me suis laissé influencer par les CLC sur ce point, moi qui voulais coller le plus possible au DA... J'aurais du trouver une autre justification à sa balade en vélo.

Citation:

Une petite coquille pour finir : "censée".


Nan mais lui j'y arrive jamais, c'est déjà pas mal que je ne l'ai pas écrit "sencée" Laughing

Pour conclure, je reçois volontiers toutes tes remarques, et les garde dans ma tête, au cas où. J'ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce texte, mon premier, et je suis content que mon style plaise.

Au plaisir Zéphyr Wink
  Sujet: [One-Shot] Jour 2546  
Vincent-49

Réponses: 4
Vus: 9570

MessageForum: Fanfictions Code Lyoko   Posté le: Mer 25 Mar 2020 19:37   Sujet: [One-Shot] Jour 2546
Bonjour à tous !

Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas penché sur ce sujet, mais comme il parait qu'on a le temps, je me suis dis qu'il serait intéressant de l'écrire.
Qu'a-t-il pu ressentir en ce jour si particulier ? C'est ce que rapporte ce récit tout en proposant des éléments de réponses aux zones d'ombres qui entourent les origines de ce complexe informatique secret.
Bonne lecture !




Alors qu'il touche au but, il se remémore les événements qui l'ont conduit jusqu'ici.



Jour 2546

https://nsa40.casimages.com/img/2020/03/25/200325063535183873.png





Ils ne tenaient plus en place, cela faisait déjà plusieurs minutes que leur attention avaient été happée par l’idée de la pause déjeuner qui se profilait. Malgré son agacement de faire cours dans le vide ou presque, il y avait toujours deux ou trois élèves au premier rang qui ne perdaient pas une seule de ses paroles, il devait reconnaitre que lui aussi avait hâte d’entendre le gong annonciateur de délivrance. Après le week-end ensoleillé qu’ils venaient de déguster, les esprits n’étaient plus au travail.

Quand la sonnerie retentit, il ne fut qu’à peine étonné par la vitesse à laquelle la salle se vida tant il comprenait ses élèves, et tant de fois il avait vécu cette scène. Il savait exactement combien. Un cours sur la deuxième loi de Newton avant la pause, ce n’était peut-être pas la meilleure façon de garder une classe attentive. Peu importe, il avait d’autres préoccupations qui reléguaient celle-ci au point de la rendre inexistante.

Il accrocha sa blouse à la patère jouxtant le tableau noir, qu’il ne prit pas même le temps d’effacer, prit son cartable au cuir vieilli par les années passées à prendre la poussière des craies et franchit le seuil de la porte en prenant soin de la fermer derrière lui. Bien qu’il doutait que des élèves puissent être intéressés par un trafic de tubes à essais et autres ustensiles de chimie, il y avait des consignes auxquelles il fallait se tenir, et fermer la porte en faisait partie.

Le bâtiment des sciences, comme tout le monde le nommait, contrastait par son air de parpaing géant avec les autres bâtiments à l’architecture ancienne, avec leurs hautes fenêtres alignées et leurs longues séries d’arcades tant appréciées les jours de pluie comme de beau temps. Monsieur Hopper, comme tout le monde l’appelait ici, ne prit pas la peine de contourner le terrain d’athlétisme qui séparait le bâtiment des sciences de l’entrée du gymnase. Son pas décidé aurait pu laisser présager une envie pressante, cependant il ne s’arrêta pas au vestiaire après avoir franchi la porte à double battants bleus du gymnase. Sa démarche marquée par l’habitude d’effectuer ce trajet le conduisit dans un local normalement interdit d’accès, la chaufferie de l’établissement.

Hopper se dirigea vers la porte rouge sur le mur face à lui. Celle-ci s’ouvrait sur un couloir creusé directement dans le sol et menant au réseau d’égout de la ville. D’un côté une rambarde métallique permettait de compenser le sol au relief incertain tandis que des câbles courraient le long du mur opposé, alimentant des lampes allogènes disposées tout le long du passage. Il n’avait aucune idée de qui hormis lui utilisait ce passage, mais sa découverte quelques années plus tôt avait été bienvenue dans le cadre de ses activités. Si bien qu’il avait fait construire un passage similaire reliant directement sa maison, située en lisière de la forêt jouxtant le collège Kadic, à ces mêmes conduites souterraines. Le passage camouflé par le perron de l’Ermitage, la petite villa où il vivait, avait été construit dans la plus grande discrétion moyennant arrangement avec une petite entreprise de maçonnerie. Celle-là même avec laquelle il avait pris l’habitude de travailler depuis.

Il déboucha sur le réseau d’égouts, un canal bordé par deux pistes en béton, et parcouru la distance qui le séparait de l’embouchure donnant sur le fleuve de la ville. Le canal s’y déversait directement au travers d’une grille donnant sur toute la hauteur du passage et laissant filtrer la lumière dans le souterrain. Là une échelle le conduisit à une plaque donnant directement à l’entrée d’un pont.

Sortir des égouts en pleine ville aurait pu lui valoir des ennuis, cependant il savait qu’il ne risquait rien ici. Plus personne n’empruntait ce pont depuis des années, si bien qu’il ne risquait pas d’être surpris. En le traversant, il pouvait entendre le vent souffler sur l’ouvrage métallique, l’eau, et les murs du bâtiment décrépit se situant de l’autre côté. Immobile tel un paquebot dont le pont serait l’amarre, trônait au milieu du fleuve un imposant bâtiment long de plusieurs centaines de mètres et ceinturé par une interminable succession de baies verticales. L’usine, érigée entre les deux guerres avait nécessité la surélévation et le renforcement des berges de l’île la supportant, si bien que l’une et l’autre ne formaient qu’une. Ces travaux avaient été l’occasion de construire de profondes fondations comportant de multiples salles souterraines sous le niveau de l’eau. Cela faisait maintenant quelques années qu’elle avait fermé ses portes et attendait patiemment que son heure vienne. Lorsque Franz Hopper avait eu vent de l’existence de ce lieu isolé au milieu de la région parisienne, il n’avait pas hésité et était venu s’installer à proximité. Mettant à profit son curriculum vitae, il avait réussi sans mal à trouver un poste de professeur de physique-chimie dans le collège voisin.

Machinalement, Franz passa la grande porte de l’usine donnant sur une impressionnante cathédrale de métal et descendit une rampe pour arriver au niveau du sol. Il se dirigea vers le monte-charge menant aux étages inférieurs. Il se souvenait parfaitement de la première fois où il l’avait utilisé. Un peu inquiet à l’idée de confier sa vie à cette antiquité, il avait tout de même osé appuyer sur le bouton commandant la descente et l’appareil s’était mis en marche avec une étonnante réactivité. Il avait alors découvert trois salles empilées les unes sur les autres. Bien qu’il se soit demandé si leur existence n’avait pas pour unique but de soutenir l’usine juchée dessus, la présence d’un monte-charge signifiait tout de même qu’elles avaient dû être conçues à des fins précises.

Comme à son habitude, le rideau métallique descendit puis la machinerie se mit en branle pour disparaitre dans l’obscurité des entrailles de l’île-usine. Après une stabilisation non sans une certaine brutalité, se découvrit face à lui une porte métallique à deux vantaux coulissants solidement retenus l’un à l’autre par un imposant verrou à la mécanique complexe. Lorsqu’il avait décidé d’investir les lieux pour ses activités, Hopper avait dû prendre certaines mesures pour sécuriser son nouvel espace de travail. Cela n’avait pas été simple mais il avait fini par obtenir satisfaction auprès d’une société spécialisée dans la confection de salles fortes pour les banques. Franz préférait travailler avec de petites entreprises avec qui il était plus aisé de négocier pour obtenir leur discrétion et qui ne posaient pas de question face aux paiements généreux qu’il leur dispensait. Ainsi, trois portes blindées spécialement conçues avaient été installées à l’entrée de chaque salle de ce qu’il appelait maintenant son laboratoire.

En se déverrouillant, la porte s’ouvrit sur une salle au milieu de laquelle se trouvait un terminal informatique aux multiples écrans suspendus à ce qui ressemblait à un bras articulé. Lorsque Franz avait visité cette pièce pour la première fois, un cube de dix mètres de côtés aux murs recouverts d’une sorte de patchwork de plaques métalliques, elle ne comportait qu’un étrange portique de manutention circulaire sur lequel pouvait tourner un rail supportant un treuil de levage. La pièce, seulement éclairée par une lumière orangée émanant d’une ouverture dans le mur opposé d’où descendait une échelle murale, était un espace de stockage confiné pour produits dangereux. Il avait décidé de conserver le portique qui servait aujourd’hui de support au pupitre de commande mobile qu’il pouvait ainsi placer à sa convenance dans la pièce. Plus accessoire que réellement utile. Au centre de l’installation trônait sa grande fierté : une table holographique.

Franz enfila par-dessus son épais pull rouge la blouse blanche, celle du chercheur et non du discret professeur au collège Kadic, qui l’attendait sur le fauteuil situé devant les écrans. Il n’y avait pas de saisons dans ces souterrains et, mois de juin ou pas, la fraicheur régnait. Retournant sans perdre de temps vers le monte-charge, il descendit au troisième sous-sol, là où l’attendait sa plus belle création, fruit de toutes ses années de travail, son supercalculateur quantique. Une fois de plus l’ascenseur s’immobilisa, près de cinquante mètres sous le niveau du fleuve, et découvrit l’impressionnante porte métallique qui s’ouvrit dans un bruyant cliquetis. Pour protéger son invention, Hopper avait dû faire réaliser d’importants travaux qui avaient nécessité temps et argent en quantité. Il avait fait appel à la même petite société de maçonnerie qui avait aménagé son accès direct au réseau d’égout depuis l’Ermitage. Pour limiter la diffusion des radiations liées à la source d’énergie nucléaire alimentant son invention, et ainsi la camoufler, il avait fait construire une coupole à mis hauteur de la salle en vue de créer une zone tampon directement remplie d’eau du fleuve. Au milieu de cette coupole montait un puis fermé par une trappe en plomb et permettant un accès via un treuil depuis la salle située au-dessus. Le plancher n’avait pas été épargné non plus puisque une chambre de refroidissement y avait été aménagée pour installer l’ordinateur quantique.

La salle était généreusement illuminée par une éclatante lumière blanche émanant de la chambre de refroidissement d’où émergeait le supercalculateur ronronnant. Constituée d’une large base cylindrique noire tapissée de plaque dorées et surmontée en son centre d’un autre cylindre plus effilé, la machine scintillait. Hopper s’approcha d’un petit écran digital incrusté dans la machine pour vérifier une dernière fois le niveau d’énergie restante dans la pile nucléaire. Cette fameuse pile qu’il avait substituée lors de sa fuite du Projet Carthage, à l’époque où il s’appelait toujours Waldo Schaeffer. Ce vol suffisait à le rendre coupable, si encore il n’y avait que ça.

Lorsque des années avant, Waldo et Anthéa avaient déserté le programme, ils avaient emporté avec eux quantité de plans, notes et listes de contacts dans de grandes entreprises informatiques. L’enlèvement d’Anthéa quelques années plus tard par ses ennemis n’avait que renforcé sa volonté de combattre Carthage et tout ce qu’il représentait. Lorsqu’il avait découvert l’usine et emménagé à l’Ermitage avec sa fille Aelita, Hopper avait monté une société écran à caractère paramilitaire en piratant les registres officiels. Il avait ainsi réussi à attirer des investisseurs et à reprendre contacts avec les fournisseurs du Projet Carthage. De cette manière il avait pu se procurer les équipements informatiques de pointe qui lui permettraient de reconstruire un supercalculateur. Très peu de personnes avaient pu se rendre dans son laboratoire. Seulement les personnes indispensables pour réaliser les travaux d’ampleur. Le secret-défense étant le mot d’ordre, il n’avait que peu de craintes sur d’éventuelles fuites, et leur réservait de toute façon un traitement spécial lorsque leur participation n’était plus nécessaire.

Satisfait de voir que le niveau était suffisamment haut pour tenir encore quelques années, il se remit en direction de l’ascenseur en direction de la salle située au-dessus.

Impressionnante de hauteur, cette salle renfermait ce qui était peut-être son plus grand secret, celui que même ses ennemis ne pouvaient soupçonner tellement ils étaient encore loin de cet aboutissement lorsqu’il avait saboté Carthage. Trois tubes hauts de trois mètres et coiffés d’une multitude de câbles enchevêtrés fuyant vers les hauteurs se tenaient au milieu de la salle. Les scanners, comme il les avait nommés, étaient la clé de son grand projet. Ils projetaient une forte lumière jaune par leur ouverture sur les murs de la salle. Utilisant les résultats de ses recherches sur les casques neuronaux menés lors du Projet Carthage, dont il s’était servi pour effacer la mémoire de ceux qui étaient venu travailler dans son laboratoire, Hopper avait défié l’impossible en mettant au point ces scanners capables de faire passer du réel au virtuel, et vice-versa, des êtres vivants. Il lui avait cependant fallu énormément de temps avant de mettre au point les programmes de virtualisation, au moins autant de jour que de 6 juin 1994, soit plus de 2546 jours.

2546 jours depuis lesquels il avait utilisé les possibilités du retour vers le passé offertes par son supercalculateur. 2546 jours gagnés dans cette course contre la montre face à ses ennemis. 2546 jours passés à développer Lyoko, son monde virtuel, Xana, l’intelligence artificielle sensée l’aider dans sa lutte contre Carthage, et enfin les programmes de virtualisation. 2546 jours étrangement identiques. Cours au collège Kadic le matin, travail à l’usine l’après-midi, retour à l’Ermitage pour accueillir Aelita et passer la soirée avec elle, retour à l’usine pour y travailler toute la nuit. 2546 6 juin 1994. Autant de journées où il n’avait pas dormi, ne s’accordant des pauses que rarement. L’avantage du retour dans le temps était qu’il le remettait d’aplomb à chaque fois, cependant, même si cela fonctionnait pour son corps, son esprit, lui, était épuisé. Le 5 juin 1994, il avait pris des précautions avant de s’immerger dans la boucle temporelle. Ses ennemis possédant un supercalculateur similaire, la possibilité qu’ils repèrent des déformations de l’espace-temps était à envisager. Pour parer à cette éventualité, il avait installé des caméras dans le jardin de l’Ermitage, pour veiller à la sécurité d’Aelita lorsqu’il s’absentait la nuit.

Cela faisait justement quelques temps que Franz se sentait observé et il craignait que son utilisation massive du retour vers le passé ait été repérée et contrée. Il se dirigea vers les scanners, derrière chacun d’eux se trouvait un boitier de contrôle permettant de monitorer leur bon fonctionnement. Satisfait de voir que tous les voyants étaient au vert, il se dirigea une fois de plus vers le monte-charge, pour remonter vers la salle de commande. Franz Hopper s’installa sur le fauteuil face aux écrans du pupitre de commande et activa la caméra situé au bord de l’écran principal.

« 6 juin 1994, jour 2546. Les scanners et les programmes de virtualisations sont prêts. D’ici quelques heures je m’en irai sur Lyoko avec Aelita. Tout comme moi, Aelita détiendra les clés de Lyoko, et ensemble, nous en serons les maîtres absolus et nous pourrons y vivre elle et moi à tout jamais. »

Ici s’achevait son journal. Le journal dans lequel il relatait tout. Tout sur les évènements qui l’avaient amené jusqu’ici. Il tendit la main vers la caméra pour stopper l’enregistrement, qu’il crypta avant de le sauvegarder sur un CD qu’il reprit aussitôt avec lui. Il descendit de son fauteuil et rangea le CD dans une mallette déjà remplie de nombreux autres enregistrements. La mallette à la main, on pouvait lire en inscription gravée dessus « FH », il se dirigea vers l’ascenseur, traversa le pont qui le ramenait à la terre ferme et pris la direction de la gare la plus proche. Il avait prévu d’y laisser son journal dans un casier de consigne. Peut-être ne serait-il jamais trouvé, peut-être ne serait-il jamais décrypté, il n’en savait rien mais il voulait croire qu'il lui serait utile à lui ou une autre personne.

Il garda précieusement la clé du casier et rentra sans attendre chez lui, à l’Ermitage, où Aelita devait le retrouver à la sortie de l’école. Elle rentrerait en vélo, il savait déjà exactement ce qu’elle lui dirait. Mais il avait une dernière chose à régler avant cette ultime soirée. Peut-être était-ce dû à un manque d’attention, peut-être se sentait-il déjà loin de tout cela. Il ne remarqua pas la voiture noire aux vitres teintées garée au bout de la rue.

Arrivé à l’Ermitage, il monta derechef dans la chambre de sa fille située à l’étage, décrocha un poster au mur derrière lequel logeait dans une petite cavité un lutin. Mr Pück. La peluche qu’Aelita avait reçu il y a maintenant si longtemps, à une époque où ils vivaient heureux tous les trois avec Anthéa, une époque à laquelle il serait bien resté, à l’écart de tous les problèmes du monde, de tous ses problèmes à lui. Il saisit le lutin, pris la clé dans sa poche et la glissa dans un pli de la tunique de Mr Pück. Il le replaça dans sa cavité et remis en place le poster sur lequel était représenté un arbre, non sans une certaine nostalgie.

Lorsqu’Aelita passa la porte, Franz jouait déjà depuis de longues minutes sur le piano du salon.

« Papa ! Je monte dans ma chambre.
— Très bien ma chérie. »

Pensif, Franz savourait ce qui devait être son dernier 6 juin 1994, une journée ensoleillée et une soirée agréable en perspective. Bien qu’il l’ait vécu des centaines de fois auparavant, savoir qu’il n’y en aurait pas d’autre et que ce soir il partirait en sécurité avec Aelita, loin de ses ennemis tout en pouvant continuer sa lutte, le rassurait. Rien ne pourrait plus leur arriver maintenant.

Un crissement de pneu dehors. Deux hommes vêtus de noir. Un ordre.

« Allons, sortez de là »

Franz accouru vers l’escalier, vers Aelita, seule dans sa chambre, tétanisée en voyant les deux individus par la fenêtre.

« Papa ! Papa il y a des hommes en noir en bas, s’écria-t-elle terrifiée.
— Je sais. Tu te souviens où est Mr Pück ?
— Oui, dit-elle tremblante.
— Alors viens vite ! »
  Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!  
Vincent-49

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MessageForum: Projets partenaires   Posté le: Dim 08 Déc 2019 12:57   Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!
Un joli trailer très prometteur ! Le mélange des genres d'animations entre scènes de cinématique et de jeu est vraiment intéressant !

Ça me fait penser à Oban Star Racers où les créateurs (dont Thomas Romain) avaient finalement retenu des dessins en 2D classique pour mieux transmettre l'émotion des personnages, contrairement au pilote "Molly Star-Racers"qui était en Full 3D.
Est-ce le même genre de choix artistique pour toi ? Sachant que les gros plans sur les persos en 2D collent aussi plus à la série.

Cela m'amène à une autre question : aura-t-on le choix entre un mode de jeu à la première personne (que je trouve plus immersif) ou à la troisième personne (peut-être plus adapté pour les long déplacements), ou est-ce que ce sera imposé ?

Dans tous les cas, ça promet pour le mode histoire ! Wink
  Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!  
Vincent-49

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MessageForum: Projets partenaires   Posté le: Dim 14 Juil 2019 17:46   Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!
La room du supercalculateur, cette vidéo, Immu, tu nous gattes !
Un fan-projet qui va assez loin pour avoir la participation des voix officielles, c'est juste incroyable ! (Je suis content que mon petit don soit investi dans ce projet !)

No stress Cyclope, as-tu seulement remarqué que sur le plan à 1'00'' le décors de l'usine est à l'envers ? Moi en tant qu'expert de l'ile Seguin ça me choque Laughing
"Hideuse", tu exagères un peu non ? C'est pas très valorisant pour tout le travail que ça représente, et puis perso moi je l'aime bien la tenue d'Aelita, après tout elle est pas obligée de s'entendre avec Jérémie pour choisir ses fringues Wink
Mets ton cerveau de côté quelques instants et apprécie en toute simplicité, Immu a très bien rodé son projet depuis des années, vu la panoplie de vêtements qu'il a prévu, ça m'étonnerais que ce soit fait au hasard.

Merci Immu, pour tout ce que tu fais, entendre ces voix 12 ans après la fin de la série, inchangées, c'est un cadeau de dingue !


EDIT : @Cyclope : Au temps pour moi, pardon pour mon ignorance sur le sujet, je corrige par respect pour les comédiennes.
  Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!  
Vincent-49

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MessageForum: Projets partenaires   Posté le: Dim 14 Avr 2019 20:36   Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!
Wow ce trailer !!

Comme toujours, c'est d'une qualité irréprochable, très très propre !
Très sympa la musique (j'aime aussi beaucoup la version orchestrale de Livin on a prayer de ta vidéo de présentation youtube), ça colle bien au rythme de la vidéo.

La mallette nucléaire est bien mystérieuse !
Et Jérémie, il n'a pas l'air bien...

Je ne sais pas ce que tu nous prépares, mais ça donne envie Smile
Hâte de voir la prochaine room !
  Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!  
Vincent-49

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MessageForum: Projets partenaires   Posté le: Sam 10 Nov 2018 15:20   Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!
Le rêve devient réalité !!

Encore une fois, super travail, j'ai d'ailleurs été agréablement surpris en me baladant dans la salle cathédrale aujourd'hui et en voyant qu'elle avait évolué avec la dernière mise à jour ! Les ajouts sont très jolis, par contre, je ne pouvais plus ouvrir le boitier à fusible du scanner (uniquement celui à réparer).

Je n'ai globalement pas grand chose à ajouter à ce qui a été dans le live d'IcePlayer et qui était super intéressant, mais je vais quand même revenir sur quelques points de mon ressenti, juste pour le plaisir !

Tout d'abord, sympa de voir que c'est la suite de l'immu's room de la frontière, la petite quête avec le kankrelat est marrante.

Très bien joué pour le monte charge, il à beau être avec des parois en bois il est très high-tech ! ^^
Sérieusement je suis content que le sens des salles ait pu être respecté malgré les incohérences du DA, et puis après tout puisqu'il y a officiellement un panneau en bois qui descend cacher les portes sécurisés des salles souterraines, pourquoi pas un autre qui monte cacher le rideau en fer !

La salle des scanner est très bien restituée et l'éclairage aussi. J'ai vu que tu avais pris quelques libertés notamment sur les câbles des scanners qui ne vont pas jusque dans les coins de la salles mais descendent dans sortes de tubes, soit !
Je comprends bien qu'encore une fois il a fallu faire des choix pour avoir quelque chose de cohérent. Smile

La salle des machines supérieure est vraiment magnifique, l'impression de grandeur est réelle, j'ai l'impression de me balader dans ma maquette de l'usine Renault Very Happy
Pourra t-on monter sur les plateformes supérieures ? Comme plusieurs sont reliées par des passerelles et qu'une d'elles semble mener au toit de la salle des vitres, ça me rend curieux.
La salle des vitres (sympa la baie vitrée au plafond) et le couloir sont juste parfaits, pauvre Aelita, elle fait de la peine à voir. Au passage, elle et William sont très beaux !

La salle des machines inférieure est très prometteuse et restitue bien la grandeur elle aussi, de même que le corridor, la salle de la chaudière et la fameuse salle des turbines qui sera je pense impressionnante !

Bravo pour avoir réussi à placer toutes ces salles de façon cohérente et surtout compatible avec le dessin animé, ça a du être compliqué, surtout que si j'ai bien compris tu as du discrètement t'arranger sur la largeur de l'usine sur certaines parties.
Y'aura t'il une rampe qui permettra un accès à pied entre le rez de chaussé de la salle cathédrale et les coursives qui sont au même niveau que le pont ?

Sinon entre nous, je réalise à quel point les Lyokoguerriers sont des héros car même en difficulté normale je suis pas bien lorsque je me prends une attaque du cœur en même temps qu'une tour activée ! X)
  Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!  
Vincent-49

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MessageForum: Projets partenaires   Posté le: Dim 14 Oct 2018 10:10   Sujet: [Jeu Vidéo Lyoko] IFSCL 45X!
Le trailer est tellement lourd !!

Tout est magnifique, la salle des scanners et les boîtiers de l'épisode Routine, la salle des machines de l'étage, la salle cathédrale, et la salle arrondie à l'extrémité de l'usine avec ses vitres cassées... Hate de pouvoir me balader dans tout ça !! (En vrai si un jour tu réutilises ça pour faire un jeu VR ce serait incroyable) Wink
J'imagine même pas le travail monstre que ça a dû être de tout modéliser et surtout de tout texturer.

Le boîtiers de l’ascenseur, serait-ce une astuce pour régler le problème du sens du labo qui avait fait grand débat ? En tout cas ce genre de système caché qui sort d'un mur c'est tellement cool ^^

L'animation de virtualisation est très jolie aussi.
C'est drôle mais à chaque trailer on se dit que c'est magnifique, et le trailer suivant est encore plus impressionnant.

Encore une fois chapeau, dire que je m'était inscrit sur le forum pour la version alpha, si j'avais su que ça irait si loin Smile
  Sujet: [Divers] Usine Renault : construction d'une maquette  
Vincent-49

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MessageForum: Le coin des artistes   Posté le: Mer 25 Avr 2018 11:24   Sujet: [Divers] Usine Renault : construction d'une maquette
Bien vu pour la Trotec (par contre le numéro j'ai pas fait gaffe mais ça doit être ça ^^). Cette machine est juste géniale, j'ai plein d'idées de trucs à faire avec !

Je l'ai justement réutilisée la semaine dernière pour les fenêtres qu'il me restait à faire.

Tout d'abord pour le petit bâtiment à côté de la centrale :

Spoiler


Je suis assez satisfait du résultat, les fenêtres sont plus opaques, comme dans la réalité.

Et pour les fenêtres à l'arrière et dans la partie faisant le lient avec le reste de l'usine :

Spoiler


J'ai refait le mur à l'arrière de la centrale car les fenêtres en plexi laissaient un jour de 1mm au dessus et en dessous, j'ai corrigé les dimensions des trous et ajusté leur emplacement.
Maintenant que les fenêtres sont installées, j'ai enfin pu coller les murs de ce bâtiments ensembles, 3 ans après les avoir fait.

C'est une bonne chose de faite car dès le début du projet, c'est fenêtres étaient un mystère quant à la façon dont je les ferais.

Bonus :
Sinon, toujours grâce à la découpe laser, j'ai fabriqué une autre "maquette" de l'usine, représentant l'autre extrémité de celle-ci. Il s'agit en réalité d'une boîte dont la porte reproduit la façade de l'usine. Des photos seront plus parlantes :

Spoiler


Bonus 2:
Et enfin, un projet de maquette du labo fait en découpe laser et impression 3D. les plans de découpe et de gravure des murs sont faits, le pupitre est modélisé, il me faudra juste prendre le temps de les faire, mais bon c'est pas pour tout de suite, je verrai si je m'y remets. La salle des scanners et du supercalculateur seraient aussi envisagées, les scanners sont déjà modélisés.

Spoiler
  Sujet: [Divers] Usine Renault : construction d'une maquette  
Vincent-49

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MessageForum: Le coin des artistes   Posté le: Dim 04 Fév 2018 17:39   Sujet: [Divers] Usine Renault : construction d'une maquette
Merci Shaka !

Suite à mon post précédent où je détaille la façon dont j'ai enfin construit les fenêtres de la façade ouest de la centrale, voici le résultat de leur mise en place.

Spoiler


Je suis très satisfait du résultat final, il y a parfois des traces sur les vitres mais ça donne un aspect moins neuf et donc plus réaliste.
La découpe laser a vraiment été une solution optimale, les traits sont parfaitement droits et je n'ai pas rencontré de problème pour mettre les fenêtres à leur place.

Je vais réutiliser ce procédé pour d'autres fenêtres à l'arrière de la centrale et sur le petit bâtiment annexe situé de l'autre côté. Je pourrais ensuite fixer entre eux les murs concernés.
Le projet continue ! Very Happy
  Sujet: Lyoko Conquerors  
Vincent-49

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MessageForum: Créations Code Lyoko   Posté le: Ven 26 Jan 2018 22:45   Sujet: Lyoko Conquerors
Woaw !
C'est juste magnifique !

La modélisation de William est vraiment super, on retrouve vraiment le même visage et ses expressions que dans le dessin animé et ça c'est bluffant.
Le menu est très classe et les images sont très prometteuses pour les cinématiques.

Encore une fois, tu fais un travail d'une qualité rare et c'est très cool !
Hâte de voir la suite Smile
  Sujet: Position/transition salle turbines et autres  
Vincent-49

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MessageForum: L'animé Code Lyoko   Posté le: Mar 26 Sep 2017 16:39   Sujet: Position/transition salle turbines et autres
Pour le problème de l'orientation, tu pourrais peut-être tricher en faisant tourner le monte charge d'un quart de tour dans le sens horaire lorsqu'il descend pour que ce soit la même porte qui donne sur le labo (bien placé comme sur le plan de coupe), et inversement lorsqu'il remonte.

Le joueur se situant à l'intérieur ne le verrait pas.

Je ne sais pas si c'est possible, au niveau des collisions que ça engendrerait entre le puit d’ascenseur et le monte charge, le risque étant que lors de la rotation le puit traverse la parois du monte charge et que ce soit visible.

Mais cela confirme que dans le dessin animé, il y a bien 2 portes différentes, malgré les incohérences sans doute dues à l'aspect pratique de placer le boitier toujours près de la porte, chose impossible avec le rideau en fer.
 

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