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[Fiction] Vampire

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 Auteur Message
Iglouska MessagePosté le: Sam 06 Mar 2010 00:15   Sujet du message: [Fiction] Vampire Répondre en citant  
[Kongre]


Inscrit le: 07 Jan 2008
Messages: 1422
Localisation: Dans sa forêt à chercher une proie pour assouvir sa soif ^,..,^
    Voici une fic sur laquel le travaille depuis quelque mois, j'espére qu'elle vous plairas ! ^^
    Je remercie Sido pour m'avoir aider à corriger certaines fautes d'orthographes ;)



    *clik* clak* clik* *clak* faisaient les sabots de Lakota sur les pierres de la voie ferrée.

    J’étais sur son dos, à plus d’un mètre trente du sol, nous nous promenions depuis bientôt une heure sur ce chemin magnifique entouré d’arbres, d’oiseaux, de fougères. Sous un ciel bleu surplombé d’un soleil scintillant.

    Je m’appelle Krystale, j’ai 19 ans, je suis blonde. Je mène une vie des plus ordinaires dans un petit hameau au centre du Var, en France. Je vie avec ma mère mon beau père et ma chienne, cette dernière étant avec moi en balade aujourd’hui.
    Je n’aurais jamais cru que ma journée allait si bizarrement finir, et, en quelque sorte, me faire renaître.

    Je lançais Lakota au galop pour m’envoler. Kayla - ma chienne golden retriever de deux ans - nous suivit en courant à côté de nous. Notre destination ? Aucune.
    On se balade en suivant le cour du chemin rocailleux.
    Je remis Lakota au pas pour ne pas qu’elle se fatigue. Nous marchions depuis 10 minutes en écoutant tous les petits bruits des bois, quand tout à coup, Kayla et Lakota se figèrent. Je rassemblais mes rênes au cas ou Lakota s’emballerait, et les regardais tour à tour en écoutant alentours. Mais ma pauvre petite ouïe d’humaine ne me prévenu du danger que quand celui-ci s’abattit sur moi.
    Je tombais du dos de Lakota quand celle-ci s’enfuit au galop, Kayla sur ses talons.
    Je restais figée au sol, sur le dos, pendant 30 secondes en écoutant les sabots galoper de plus en plus loin de moi, puis m’assis pour enlever ma bombe.
    C’est alors que je vis les fougères devant moi s’ouvrir sur … Un homme. Je crois, car il était vêtu de noir, avait les cheveux blonds et la peau blanche comme la craie ; ses yeux étaient noir charbon. Il arborait des dents d’un blanc éclatant. Magnifique.

    J’attendis, attendis, attendis … mais attendis quoi ? Je ne le savais pas. Je savais juste que mon instinct me dictait de fuir, mais je restais là, à le regarder sortir des fougères, ses lèvres légèrement retroussées sur ses dents.
    Il s’accroupit en face de moi en me regardant droit dans les yeux - je fis de même sans relâcher son regard.

    - Tu n’as pas peur ? Sonna sa voix de basse autour de moi.
    - Pourquoi le devrais-je ? Murmurais-je sous le choc de sa voix magnifiquement … rassurante ?
    - Bien, c’est que normalement tu devrais être en train de crier et de tenter de t’enfuir, me dit-il.
    Je le regardais les yeux grand ouverts.
    Il sourit et renifla l’air :
    - Je n’ai jamais senti d’aussi bonne odeur venant d’un humain !
    C’est là que tout me vint à l’esprit. J’étais fan de la série Twilight depuis sa sortie, et cette homme me faisais penser au personnage principal …
    Je rêvais peut-être ? Étais-je trop folle de cette série, que ça me montait à la tête ?
    Non, impossible que je rêve - je commençais à avoir mal aux fesses d’être tombée de cheval.

    Je souris à son compliment, il haussa les sourcils, interrogateur. Il se demandait certainement pourquoi je lui souriais.

    - Vous me rappelez quelqu’un, lui dis-je en souriant de toutes mes dents.
    - Ah bon ? Et qui donc, puis-je me permettre ?
    - Oh, je suis simplement fan d’une série … de Vampires, et vous ressemblez étrangement à l’un d’eux. Dis-je devenant rouge de … honte ? Peur ?
    Il me regarda pendant un moment puis se rapprocha de moi.
    - Je n’ai pas peur des vampires ! Je voudrais être l’un d’eux, d’ailleurs ! Je lançais cette phrase tout à traque sans vraiment savoir ce que je venais de dire.
    - Tu … voudrais devenir un vampire ? Et tu crois que j’en suis un ? Me demanda-t-il en me regardant, conspirateur.
    - Oui, et oui.
    Il me regarda, suspicieux. Puis, tout à coup sans que j’eus le temps de me demander se qu’il m’arrivait, je fus couchée par terre avec des canines prêtes à transpercer ma jugulaire. Je respirais profondément, attendant ce qui allait se passer. Il renifla ma gorge puis releva la tête pour me faire face, à quelques 30 centimètres de moi.
    - Hum, intéressant. Dit-il en me regardant, interrogateur.
    - Quoi ? Demandais-je sentant mon corps trembler de tout mon être, à l’intérieur de moi.
    Il se rapprocha doucement de ma tête pour enfin ne plus être qu’à quelques centimètres de ma bouche. J’ouvris de grand yeux, ouvris un peu la bouche de surprise mais je commençais à reprendre le contrôle de ma respiration.
    J’étais couchée sur des pierres, et l’une d’elle commençait fortement à s’enfoncer dans mon dos. Je fis mine de me relever mais ma bouche alla jusqu’à effleurer la sienne.
    En ce court instant, il s’était relevé et était à 1 mètre de moi, débout, immobile tel une statue de glace.
    Confuse, je le regardais de derrière mes sourcils et me remis sur mes pieds. Il me regarda faire sans cligner des yeux une seule fois.
    - Pardon, murmurais-je comme pour moi-même.
    Il me regarda les yeux grand ouvert.
    - ... Qu’as-tu dis ?
    - Par … Rien. Répondis-je confuse.
    Je me mis à marcher en direction de la fuite de Kayla et Lakota, et dans un dernier regard pour ce bel inconnu, Je lui tournais alors le dos et sentis son regard pénétrant en moi.
    Je fis quelques pas puis me retournai, mais l’homme avait disparu.

    Après pas moins d’une heure de recherche, je trouvais les deux fuyardes dans un champs vert d’herbe fraîche.
    Je caressai ma chienne qui accourut vers moi, puis alla caresser Lakota pour voir si elle était calmée et apte à être montée, ce qui était le cas. Nous repartîmes alors en direction de la maison sans rencontrer personne en chemin.
    Arrivés à l’écurie, je décelais Lakota et la pensais soigneusement pour la détendre puis je l’emmenai à sa stalle. Kayla et moi allâmes boire tranquillement.
    Assise sur un banc, Kayla à mes pieds, je regardais la forêt s’étendant à nos pieds, mais le visage du bel inconnu me hanta pendant une bonne heure avant que je ne me décide à me lever pour échanger ma tenue d’équitation contre une tenue normale. Je donnais à manger à Kayla, fis un mot à ma mère, et repartis en direction de l’endroit où j’avais rencontré l’inconnu.
    Il n‘était pas là, bien évidemment …
    J’étais seule à plus de 2 kilomètres de la plus proche habitation, il était 18h30 et il commençait à faire noir, je devais rentrer pour ne pas inquiéter ma mère, même si je lui avais laissé un mot.
    Je marchais tranquillement, inspirant profondément la fraicheur du soir qui commençait à arriver, quand je vis les lumières de mon hameau, mais aussi une silhouette en plein milieu du chemin.
    Je m’arrêtai immédiatement, la peur me noua le ventre. Il y avait des gens pas très clairs dans les parages qui campaient en été, je ne voulais surtout pas rencontrer l’une de ces personnes.
    Alors que j’allais faire demi-tour pour passer par un autre chemin, la personne avança vers moi. Je fis mine d’avancer vers l’ancienne gare pour m’y assoir. Arrivée au banc je priais intérieurement pour que la personne me passe devant et continue son chemin. Mais elle ne le fit pas et se mit devant moi.
    C’est alors que je vis son visage si parfait. C’était l’inconnu de cette après-midi.
    - Ce n’est pas très rassurant de se promener toute seule dans le noir n’est-ce pas ? Me demanda-t-il.
    Je le regardais, cherchant à connaître ses intentions et répondis d’une voix calme :
    - J’aime la nuit, la fraîcheur, la tranquillité, alors ça ne me dérange pas.
    - Moi aussi j’aime la nuit. Me répondit-il en souriant de ses dents blanches que les lumières du hameau faisaient encore plus blanches qu’elles ne l’étaient.
    Il s’assit à coté de moi en soupirant. Je le regardais, interrogatrice.
    Il tourna alors ses yeux vers moi, d’un noir profond et incandescent qui me figeât sur place.
    - Alors comme ça, tu voudrais être un … Vampire ? Me demanda-t-il tout à traque.
    - Ou … Oui. Je les aime, j’aime leur vie et presque tout se qui s’y rapporte, répondis-je.
    - Presque ?
    - Oui. Il y a des facettes que l’on ne connait pas des Vampires, et, si ça se trouve, je suis tellement accroc que je m’en imagine partout où je regarde, dis-je en rigolant.
    Il continua à me regarder longuement, moi ne lâchant pas ses yeux magnifiques, lui me soumettant à une inspection, je suppose. J’étais tellement absorbée par son regard que je ne m’aperçu qu’il était accroupit devant moi que quand il posa ses mains sur les miennes qui étaient posées sur mes jambes. Je repris mes esprits et, le regardant toujours, lui demandai :
    - Qu … Qu’est-ce que vous faites ?
    - Est bien, que suis-je d’après toi ?
    - Bien … Un homme qui promène la nuit et qui a l’air de me suivre … ou encore … Un Vampire, répondis-je en pouffant.
    - Qu‘y a-t-il ? Tu ne crois pas ce que tu dis ?
    - Bien sur que si. Mais … je n’en ai jamais rencontré un vrai, vous voyez, souris-je en penchant la tête de côté comme un chien fait quand il est intéressé par quelque chose.
    - Et bien … Oui j‘en suis un, me dit-il le plus simplement du monde.
    Je repris mes esprits totalement, repris ma position et essayai de récupérer mes mains qui étaient emprisonnées dans les siennes.
    - Qu'y a-t-il ? Tu as peur de moi ? Me demanda-t-il en souriant comme un chat qui a attrapé un petit oiseau.
    - Non. Répondis-je simplement.
    - Alors pourquoi essayes-tu de m’échapper ?
    - Comment vous appelez-vous ? Demandais-je pour changer de sujet.
    - William. Et toi ?
    - Krystale. Quel âge as-tu ?
    - 19 ans. Sourit-il.
    - Ah oui ? Et, réellement ? Lui demandais-je en lui rendant son sourire.
    - 119. Perspicace. J’aime.
    - Je n’aime pas rester sur ma faim, même si ce soir est loin de l’être.
    - Bien, j’en suis heureux. Reprenons où nous en étions …
    - Attend, je sais ce que tu es. Quelle est ton intention ? Je suis quoi pour toi ? Un repas ou une personne que tu pourrais transformer ?
    - Très perspicace. J’ai … Assez faim pour manger deux fois un repas comme toi. Mais, je dois t’avouer que ta deuxième proposition m’intéresse plus. Me dit-il en me regardant de ses yeux onyx.
    Il me fit son plus beau sourire, si ravageur … et je vis ses canines …
    *de si belles petite dents peuvent faire tant de choses …* me dis-je en pensant et me mordant la lèvre.
    Je compris alors ce qu’il avait en tête.
    - Arrête !
    Il rabaissa ses lèvres et ses magnifique canines à qui je vouais un culte disparurent.
    - Quoi ? Tu ne veux plus devenir l’une d’entre nous ?
    Je ressentis un frissons bizarre me parcourir, comme une décharge électrique.
    - Si, mais pas comme ça, je ne connais rien de votre vie, je ne pourrais pas retourner en arrière après.
    - Hum, c’est vrai que je n’ai pas eu le choix, moi. D’accord, me dit-il.
    Je te raconterai tout sur nous.

    Ce soir là, nous nous sommes quittés sur ces paroles. Puis, tous les soirs pendant environ un mois, nous nous rencontrions ici, à cette gare, et il me racontait tout sur sa vie, ses semblables.

    - Alors vous ne craigniez pas le soleil ? Demandai-je un soir que mon « cour » parlait des craintes des Vampires.
    - Non, me répondit-il. Nous craignions juste d’être percer à jour, que le monde apprenne notre existence, et que notre âme sœur ne nous trouve jamais. Ou encore que l’on nous brise le cœur me dit-il en me regardant du coin de ses yeux d’un noir corbeau.
    Tu sais, nous vivons depuis tellement longtemps parmi vous …
    - Tiens justement, comment faites vous pour vous nourrir sans que personne ne vois rien ?
    - L’hypnose, me dit-il en rivant les yeux sur les miens.
    - ... Oh, balbutiais-je en essayent de garder les pieds sur Terre.
    - Nous nous déplaçons aussi à une très grande vitesse, mais nous aimons aussi paraitre normal, alors nous marchons plus souvent tranquillement. Comme la première fois où je t’es rencontré, mais ton odeur a mit mes sens en mode chasse, m’avoua-t-il un sourire en coin.
    Et nous avons continuer à parler pendant la Nuit.

    Mais un jour, il n’y eut plus rien à raconter, et il me demanda ce que je décidais. Si je voulais devenir l’une d’entre eux, je pouvais le faire le lendemain, après avoir dit au revoir à ma famille, même s’il m’était possible de revenir les voir et de leur avouer mon secret si j’avais assez confiance en eux pour le garder.
    Et, si je ne le voulais pas, je jurais par le sang que jamais de ma vie d’humaine je ne révélerais leurs secret.
    Le lendemain, j’avais pris ma décision. Il m’attendait assit sur notre banc.
    - C’est d’accord. Je veux devenir un Vampire, William. Mais à une seule condition.
    Il me regarda de ses yeux onyx et je vis une lumière passer dans cette obscurité brillante.
    - Laquelle ?
    - Je veux être ta …
    - Ma quoi ?
    - Ta … Femme.
    On se voyait tous les soirs depuis assez longtemps, il savait tout de moi, je savais tout de lui. Les liens qui nous unissaient maintenant étaient assez forts pour que je puisse prendre le risque de lui demander cette faveur …
    Et là je vis cette lumière étinceler telle un mini soleil à la place de sa pupille.
    Il s’approcha de moi, son regard me pénétrant littéralement, et il s’approcha de moi, lentement j’aurais crus …, et m’embrassa … Je n’avais jamais ressenti ça quand un homme m’avait embrassée … Son baiser s’embrasa et il me serra de plus en plus fort contre lui. Ses lèvres descendirent le long de ma mâchoire, puis sur mon cou … Alors je sentis ses canines s’enfoncer et sentis aussi le sang, mon sang couler, cette odeur de rouille que j’adorais étant humaine, allait être ma nourriture pour ma survie à présent.
    Il me présenta alors son cou où il avait ouvert une petite entaille avec son ongle et je bus ma première rasade de Sang. Je sentis une force très spéciale entrer en moi, mon corps se transformer, mes sens s’aiguiser, et enfin, mon amour s’accroître de plus en plus.
    Je relevai la tête pour le regarder, une goutte de sang perlant sur le rebord de nos bouches. Mes nouveaux sens acquis, je vis ses yeux comme pour la première fois, des yeux bleu nuit, comme les miens.
    Vampire, j’étais un Vampire et j‘allais vivre avec l‘homme que j‘avais rencontré il y a environ un mois.
    Nous partîmes main dans la main vers la forêt, vers la nuit, vers une autre vie.


Dernière édition par Iglouska le Lun 08 Mar 2010 21:21; édité 3 fois
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Elwing MessagePosté le: Sam 06 Mar 2010 14:49   Sujet du message: Répondre en citant  
[Kongre]


Inscrit le: 20 Mar 2009
Messages: 1336
Localisation: Dans ses bras <3
Pour les fautes:
J’étais sur son dos, à plus d’un mètre trente

Je vis avec ma mère mon beau père

nous suivie en courant à côté de nous.

ouvris un peu la bouche de surprise mais je commençais à reprendre le contrôle de ma respiration.

puis allai caresser Lakota pour voir si elle était calmée

souris-je en penchant la tête de cô

Je repris mes esprits totalement,

*de si belles petite dents peuvent faire tant de choses …* me dis-je en pensant et me mordant la lèvre.

- Alors vous ne craigniez pas le soleil ? Demandai-je un soir que mon « cour » parlait des craintes des Vampires.
- Non, me répondit-t-il.

l’on nous brise le cœur me dit-il en me regardant du coin

t’es rencontré, mais ton odeur a mit mes sens en mode chasse,

mon corps se transforma, mes sens s’aiguisèrent, et enfin, mon amour s’accrut de plus en plus.

Les nombres sont plus appréciés lorsqu'ils sont écrit en lettre et non en chiffre.

Pour le fond:
J'aime bien ton histoire. Elle est bien décrite, j'aurais presque l'impression qu'elle se déroule sous mes yeux. J'aime beaucoup le 'tit côté romantique de ton histoire aussi.^^

Je t'encourage à en écrire d'autre...avec moins de fautes bien sur. Wink

_________________
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Iglouska MessagePosté le: Lun 08 Mar 2010 19:47   Sujet du message: Répondre en citant  
[Kongre]


Inscrit le: 07 Jan 2008
Messages: 1422
Localisation: Dans sa forêt à chercher une proie pour assouvir sa soif ^,..,^
    Merci de ton commentaire Merenwen, contente que ça t'es plut ^^
    J'ai corriger se que tu m'a montrer.
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Luxord MessagePosté le: Lun 08 Mar 2010 20:22   Sujet du message: Répondre en citant  
[Frelion]


Inscrit le: 17 Fév 2010
Messages: 63
Localisation: *En train de dormir*
C'est super j'ai bien aimer l'histoire qu'elle rencontre un vampire et qu'elle en devient une et en plus c'est dans le premièr épisode , c'est pas comme dans twilight
ou elle met super longtemps pour lui dire qu'elle veut en devenir un

Vivement la suite !

_________________
http://img408.imageshack.us/img408/8013/signfd.png


Un grand MERCI à Vampyress Iglouska pour ce MAGNIFIQUE pack.
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Iglouska MessagePosté le: Lun 08 Mar 2010 20:35   Sujet du message: Répondre en citant  
[Kongre]


Inscrit le: 07 Jan 2008
Messages: 1422
Localisation: Dans sa forêt à chercher une proie pour assouvir sa soif ^,..,^
    Merci de ton commentaire Luxord, mais je ne crois pas qu'il y auras une suite x)
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Lorilis MessagePosté le: Lun 08 Mar 2010 20:59   Sujet du message: Répondre en citant  
Lectrice à plein temps


Inscrit le: 05 Nov 2006
Messages: 798
Localisation: Au Jal'Dara <3
N'ayant pas vu Twilight, je peux pas vraiment dire si tu t'en es beaucoup inspirée, mais en tout cas, ton écriture est très jolie ! Un petit peu maladroite parfois, mais on sent bien que tu aimes ce que tu écris. On arrive parfaitement à s'imaginer la scène, alors ça, ça prouve que tu es clair dans ce que tu décris. Par contre, le rythme est un peu cassé, parfois, par des petites fautes d'orthographe ou de syntaxe. Je crois que c'est ça, ton petit défaut, le manque de méthode, de grammaire.
Et justement, malgré Sido et Merenwen qui t'ont déjà a priori aidé pour l'orthographe, j'ai trouvé des fautes qui résistent :
Pour cette phrase-ci : "Je n’aurais jamais cru que ma journée allait si bizarrement finir, et, en quelque sorte, me faire renaître." A ta place, j'aurais mis "cette journée", je trouve que ça fait moins...je sais pas ! Mr. Green
"nous suivie en courant à côté de nous." euh..."suivit" pas "suivie", c'est le verbe suivre pas suiver ! =)
"On balade en suivant le cour du chemin rocailleux." Je ne crois pas que le verbe balader exister sans le "se", enfin peut-être que si mais pas dans ce sens-là ! Alors, "On se balade" aurait p't-être été mieux.

J'en ai d'autres comme ça, mais il faut que je parte xD !

_________________

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