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 Posté le: Dim 09 Jan 2011 17:40 Sujet du message: [Fiction] L'Ultime Conflit |
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Salut à tous !
Bon, je sais ma première fiction hors-lyoko était un vrai fiasco (je demanderai même si possible de l'éffacer).
Enfin bref, je vous offre une nouvelle fiction que personnellement je trouve beaucoup, beaucoup, beaucoup mieux que la première.
A vous de juger !
Chapitre I Le grand ennemi
Yce était un jeune garçon d’une douzaine d’années. Ce jour là, c’était le jour des vacances de Noël, il venait de sortir du collège avec son ami Kaïl.
« - Toi t’as eu combien au contrôle de maths, toi ? Questionna son ami
- 20, c’était trop facile !
- C’est toi qui le dit, moi j’ai eu onze et encore j’me suis donné pour réviser. »
Yce se mit à rire. Le jeune homme était châtain, il avait les cheveux assez longs et ceux de devant en houppette. Il était habillé d’une veste marron et d’un pantalon gris foncé, il était chaussé d’une paire de baskets blanche et grise.
« - Le tout c’est d’être attentif en cours et de bosser à la maison, c’est pas compliqué, reprit l’intellectuel
- Ouais, mais j’ai beau faire comme tu le dis, ça marche pas avec moi. »
Kaïl soupira, il était brun, les cheveux un peu moins long que ceux de son ami mais nettement plus épais, ces derniers étaient bouclés. Il avait les yeux d’une couleur très foncé ce qui lui donnait un aspect rebelle. Il était habillé d’un sweat-shirt à capuche et d’un jogging, tous deux noirs. Ses chaussures étaient elles aussi très foncé, d’un noir sombre et inquiétant.
Les deux amis empruntèrent une ruelle assez sombre, écrasée entre deux rangées de vieux immeubles. L’endroit était désert, à l’exception d’un homme dont la silhouette se découpait dans l’ombre. Au fur et à mesure qu’ils s’approchaient, les garçons discernaient l’étrange personnage de plus en plus distinctement. L’homme qui semblait plutôt âgé était vêtu d’un vieux costume marron complètement élimé, et portait aux mains des gants d’une couleur aussi sombre qu’inquiétante. Un éclat de lumière laissa deviner qu’il venait de consulter une montre à gousset qu’il rangeait maintenant dans une grande poche de sa veste en velours. Lorsqu’ils passèrent à sa portée, le vieil homme les interpella, d’une voix rauque et fatiguée.
« - Bien le bonjour, les enfants, dit-il
- Bonjour, répondit Yce
- Comment t’appelle-tu, jeune homme ?
- Yce, Yce Starillale, répondit-il
- Yce Starillale ! Le petit-fils d’Harim !
- Excusez-moi mais vous devez faire erreur, je ne connais pas cet Harim.
- Il a été kidnappé par les Cailloks, une espèce humanoïde, il y a trente-cinq ans. »
Yce regardait le vieillard d’un air moqueur.
« - Sans vouloir vous manquer de respect, je n’ai pas trois ans mais douze figurez-vous et cela fait bien longtemps que je ne crois plus aux extra-terrestres, à moins que vous n’ayez un argument pour me convaincre. »
Le vieillard semblait déçu de la réaction du garçon.
« - J’ai un argument, oui, mon jeune ami. Viens avec moi il faut que je te montre quelques chose. »
Le vieillard commença à marcher, Yce le suivit, Kaïl aussi.
« - Son histoire avait l’air vrai, chuchota le brunet à son ami
- Peut-être, mais moi j’y crois pas, comme si les extra-terrestres allaient débarquer et kidnapper mon grand comme ça. Crois-le si tu veux, mais moi j’y crois pas.
- Tout de même, connais-tu ton grand-père ? Ton père ne t’a jamais rien dit à ce sujet !»
Yce baissa les yeux.
« - C’est vrai, le vieux n’a peut-être pas tors. »
Le jeune homme soupira.
Quelques instants plus tard, les trois personnages arrivèrent devant un petit immeuble qui ne semblait contenir qu’une seule habitation. Ce dernier se trouvait dans une voix sans issue, non loin d’une grande place publique.
« - Voici ma demeure, informa le vieillard »
Il entra la clef dans la serrure et la tourna. La porte s’ouvrit et ils entrèrent. On pouvait apercevoir un sombre couloir, nos héros le traversèrent puis descendirent de petits escaliers. On pouvait se rendre compte du le fait que l’habitation était très mal rangée et entretenue : on apercevais du linge sale par endroits, il y avait des touches de moisi par endroit et l’endroit sentait une forte odeur de caniveau. Les trois personnages arrivèrent dans une grande salle : il y faisait très froid et il y avait très peu de lumière, encore moins que dans le couloir. Le vieillard s’avança vers une grande étagèrent où étaient disposés un grand nombre de livres. Il en pris un et l’ouvrit.
« - Dans ce livre, son répertoriés tous les phénomènes liés aux Cailloks. »
Il montra à Yce une photo d’une personne âgée d’une trentaine d’année, les cheveux en pétard. Le personnage avait une blouse et un pantalon blanc mais on ne pouvait distinguer plus détails car la photo était de très mauvaise qualité. Il y avait un petit texte prés de l’image.
En 1985 un homme, Harim Starillale, âgé d’une trentaine d’année fut kidnappé dans son laboratoire, les enquêteurs n’ont retrouvé qu’une seul chose, un mot. Il y était marqué : « Je ne put avoir la force et le courage de les affronter, ils étaient une bonne vingtaine, ils nous ressemblaient, ou plutôt, dirais-je ils étaient comme nous, ils parlaient presque comme nous mais étaient venu d’ailleurs, d’une autre planète, d’une autre galaxie. Je n’en suis pas sure mais je pense qu’ils s’agissaient de Cailloks. »
Le jeune garçon eut soudain des remords.
« - Pardonnez-moi pour mon attitude de tout à l’heure, s’excusa Yce
- Ce n’est rien, répondit le vieil homme »
Le vieillard jeta un rapide coup d’œil sur l’étagère et pris une sorte de clef USB.
« - Tu vois, cette clef ! Ce sont les plans d’une machine destructrice appelée trou noir. Il faut à tout prix le cacher des Cailloks, leur unique but est de s’en emparer. C’est toi qui va les garder à présent.
- Mais, pourquoi ne pas les détruire ? Demanda le jeune homme
- Pour la simple et bonne raison qu’on ne peut pas, ce sont les Cailloks qui l’ont imaginé, ils l’ont perdu il y a 50 ans alors qu’ils venaient faire des expériences sur Terre et depuis nous nous le transmettons. Tiens ! »
Yce pris les plans et les mis dans sa poche. Mais soudain, un bruit de glissement brusque se fit entendre, Yce, Kaïl et le vieillard se retournèrent. Une fille les observés par la bouche d’aération.. Elle se tourna brusquement et commença à courir.
« - C’est une Cailloks elle a la marque métallique sur la joue ! S’écria le vieil homme »
Yce prit immédiatement un pistolet laser qui se trouvait sur la table à proximité.
« - Je m’en servirai pas ! Lança-t-il »
Il commença à courir après la Cailloks. Il sortit de l’habitation et commença à sprinter pour rattraper son adversaire. Cette dernière sortit une sorte de pistolet épée laser et commença à tirer sur l’intellectuel. Ce dernier esquiva le tir facilement puis la Cailloks sortit sa lame laser, elle était de couleur jaune flash. Elle commença à la manier tout en tirant à nouveau sur le jeune garçon. Il dut tirer à son tour pour équilibrer le combat. Mais la ténébreuse renvoya les tirs laser grâce à son épée puis envoya une rafale de tirs sur son adversaire. Les tirs étaient suffisamment hauts pour qu’Yce puisse les éviter en se baissant, puis il augmenta sa vitesse de course afin d’arriver à hauteur de son adversaire qui ne manqua pas de lui tirer encore une fois dessus. Mais l’agilité du garçon était surprenante : malgré le fait que le tir était à parfaite hauteur il réussit à l’éviter en sautant et donna un coup de pied dans la figure de la demoiselle. Cette dernière laissa tomber son arme et s’écrasa à terre.
La fille était sonnée. Yce prit le pistolet épée laser de son agresseur et sortit sa lame. Il l’orienta vers le cou de la Cailloks. Le jeune homme devint, tout d’un coup, un peu crispé. Il se rendit compte qu’il venait d’affronter une Cailloks mais cela ne le calma pas, au contraire cela renforça son inquiétude.
« - Pourquoi tu nous espionnais ? Demanda l’intellectuel »
La jeune fille reprit ses esprits se rendit compte que son adversaire l’avait vaincu et avait pris possession de son arme, elle parut tout d’un coup un léger affairée : elle venait d’échouer dans sa mission. Mais, cela passa en quelques instants. Yce, lui, paraissait très calme, mais au contraire, il était d’autant plus soucieux par ce qui pouvait être le motif de la venue de cette ennemie.
« - Tou oi lè-s ploi-n-ès !
- Euh… en terrien si c’est pas trop vous demander ! »
La guerrière se racla la gorge.
« - Tu as les plans ! S’exclama-t-elle avec un fort accent. N’est-ce pas, petit ?
- Effectivement, je les ai mais vous pourrez toujours courir pour les avoir ? »
Yce demeurait de plus en plus crispé. Il se rendait compte, petit à petit que le fait de garder quelque chose avec autant de valeur, risquait de devenir périlleux pour lui.
« - Tu sais, il ne faut pas jouer avec les pistosabres ! C’est très dangereux ! S’exclama la Cailloks d’un air moqueur
- Pas autant que vous ! Une fois que je vous aurai posés suffisamment de questions, je vous emmènerai au commissariat et vous passerez le reste de votre vie en prison !
- Je ne pense pas, non. »
La guerrière appuya promptement sur sa cote gauche, cela actionna un bouton et la demoiselle disparut, téléporté sous les yeux ébahit d’Yce.
Le jeune garçon regarda autour de lui : il était sur une grande place, en plein centre ville, le combat s’était déplacé à plus de 200 mètres de l’habitation du vieillard. L’intellectuel était tout transpirant, il posa sa main sur son front et s’aperçut qu’il était trempé, malgré la fraîcheur de l’air en ce milieu du mois de décembre le jeune garçon transpirer abondamment. Il en avait même froid car en ces temps, le thermomètre pouvait descendre jusqu’à 0 °C. Mais Yce ne transpirait pas à cause de l’effort, mais bel et bien de frayeur : le fait que son adversaire ait disparu sous ses yeux le rendait fortement soucieux. Le devoir qu’il devait accomplir prenait, tout d’un coup, un aspect beaucoup plus difficile et périlleux.
A ce moment précis, son ami Kaïl arriva suivi par le vieillard. Les deux personnages avaient aperçu de loin la confrontation et venaient, féliciter pour l’un et mettre en garde pour l’autre, le vainqueur du combat. Ils arrivèrent près de lui.
« - Bravo ! S’écria l’un, Tu l’as éclaté !»
Le vainqueur du combat se tourna vers les deux arrivants. Et répondit.
« - Tu sais, je pense que dans cette histoire le plus dur reste à faire.
- Ca, c’est toi qui le dit. »
Le vieil homme qui jusque là était resté en retrait, entra dans la conversation.
« - Yce, je te félicite de ton exploit du jour, tu es à la hauteur de l’idée que je me faisais de toi. Cependant, sache que beaucoup d’autres obstacles se dresseront devant toi. Maintenant que les Cailloks savent que tu as les plans, ils enverront d’autres personnes, beaucoup plus puissantes, pour venir à bout de toi. Pour les vaincre, tu auras besoin de beaucoup de force et d’endurance. Je vais te donner quelques chose qui risque de beaucoup t’aider à l’avenir. »
Le personnage qui parlait jusque là mis sa main dans une grande poche sur son manteau et en sortit un pistosabre.
« - Voici un laser suisse, même si les Cailloks appellent ça un pistosabre et que laser suisse est un terme purement local. M’enfin bon, il te sera très utile comme il me l’a été. »
Le vieillard donna l’arme au jeune homme.
« - Merci beaucoup, j’en ferai bon usage. »
Yce rangea l’objet et jeta un coup d’œil à sa montre.
« - Il se fait tard, je vais rentrer. »
L’intellectuel salua amicalement le vieil homme et s’en alla, accompagné de son ami.
Mais pendant ce temps, à des kilomètres de ce lieu, un personnage était assis sur une sorte de trône et réfléchissait. La pièce dans laquelle il se trouvait était très sombre, on ne le distinguait qu’à peine. Tout ce que l’on pouvait remarquer c’était qu’il était habillé d’une armure argentée et qu’il portait une marque métallique sur sa joue. Puis, un bruit de porte retentit et un personnage aux allures plus féminines entra dans la pièce.
« - J’ai échoué dans ma mission. Oh! Sire Yubéyoh! Dit-elle »
Cette fille était celle qui avait affronté Yce quelques instants auparavant ; elle venait annoncer sa défaite à l’ultime souverain des Cailloks : le gouverneur de la planète. Il était actuellement en orbite autour de la terre dans son vaisseau.
« - Tu n’es qu’une incapable ! Lança le souverain
- Oh ! Grand maître ! Il était beaucoup trop fort !
- Ce n’est qu’un enfant ! Hurla-t-il d’un ton sarcastique »
La demoiselle baissa la tête.
« - J’ai une autre solution qui peut marcher, annonça le souverain d’une voix plus calme »
Et il commença à rire fort, ce rire était un rire malfaisant et paraissait prévoir quelques chose d'abominable.
Texte édité
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Fictions :
L'autre réalité
Extra-Dimension
Merci beaucoup à Cyclone pour ce merveilleux pack.
Dernière édition par codeM_ le Sam 12 Fév 2011 14:05; édité 4 fois |
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| Kinshii |
Posté le: Dim 09 Jan 2011 20:27 Sujet du message: |
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Messages: 970
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Il y a trop de fautes d’orthographe, et beaucoup que tu aurais pu éliminer simplement en te relisant.
« une douzaine d’année »
> d’années
« au contrôle de math »
> maths
« Ouai »
> ouais
« et ils arrivèrent dans une grande sale »
> salle (celle-là elle est marrante)
« moi j’ai eu 11 »
« il y a 35 ans. »
> Les chiffres doivent être écrits en toutes lettres, que ce soit pour une note, un âge, une heure... Il n’y a que les années (1987) qui s’écrivent en chiffres.
« à moins que vous n’aillez un argument »
> n'ayez
« allaient débarquer et kidnappé »
> kidnapper
Je m'arrête là pour les fautes, mais il y en a encore beaucoup.
Franchement, les descriptions, c’est pas ça…
« il était brun, les cheveux un peu moins long que ceux de son ami mais nettement plus épais, ces derniers étaient bouclés. »
Son ami a les cheveux « un peu longs », donc Kaïl a les cheveux un peu moins longs que un peu longs 
De manière générale, tu as tendance à te répéter lors de tes descriptions, ce qui alourdit ton texte, et gêne la compréhension.
« elle était déserte, personne ne s’y trouvait… »
« Ses chaussures étaient elles aussi très foncé, d’un noir sombre et inquiétant malgré que le jogging cachait cette couleur plus forte que les autres. »
> Je n’ai rien compris ^^
Pour ce qui est de la forme la forme, je te conseille de sauter une ligne au début de chaque dialogue, et de les placer entre guillemets pour une meilleure lisibilité.
« - Pourquoi tu nous espionnais ? Demanda l’intellectuel »
> Pourquoi tu nous espionnais ? demanda l’intellectuel. (Pas de majuscules aux incises, et un point à la fin de la phrase.)
En ce qui concerne le fond de ton récit, je suis plus que sceptique. (Il est clair que je n’aime pas pour l’instant).
La question est de savoir si ça peut donner quelque chose de bien par la suite. L’histoire des sabres lasers et des plans de l’étoile noire me fait vaguement penser à quelque chose…
J’espère que tu as compris que tout ça n’était pas d’une originalité folle, et il n’y a rien pour relever ton récit. Il faut que tu approfondisses tes personnages. Ils ne doivent pas seulement parler. Ils doivent penser, ressentir, etc.
Si tes personnages ne sont pas intéressants, ça va être difficile d’apprécier ton récit.
Soigne également tes descriptions. Demande-toi à quoi elles servent. A nous aider à visualiser un environnement, à nous faire ressentir un aspect particulier d’une situation, à suivre la réflexion d’un personnage…
| Citation: | Cette dernière laissa tomber son arme et s’écrasa à terre.
La fille était sonnée. Yce prit le pistolet épée laser de son agresseur et sortit sa lame. Il l’orienta vers le cou de la Cailloks.
- Pourquoi tu nous espionnais ? Demanda l’intellectuel
La jeune fille reprit ses esprits.
- Tou oi lè-s ploi-n-ès !
- Euh… en terrien si c’est pas trop vous demander !
La guerrière se racla la gorge.
- Tu as les plans ! S’exclama-t-elle avec un fort accent. N’est-ce pas, petit ?
- Effectivement, je les ai mais vous pourrez toujours courir pour les avoir ? |
Dix lignes. Tu vas m’en faire quinze.
Je ne dis pas qu’il faut que tu recherche à chaque fois à développer au maximum lorsque tu écriras, mais si je t’oblige à le faire maintenant, tu va prendre conscience qu’il y a pleins de façons d’enrichir un texte.
Ca tombe sur toi, pas de chance ^^
Donc avant de poster la suite de ta fic, je veux que tu réécrives ce passage jusqu’à ce qu’il fasse quinze ligne (les fautes en moins si possible).
Ce passage aurait dû être le plus intéressant de ton chapitre, c’est la confrontation directe entre le héros et son ennemi. Quinze lignes, c’est vraiment pas énorme. Je suis sûr que t'en est capable, et je suis également persuadé que ça t'aideras pour la suite.
Bon courage 
Edit : Voici un exemple.
Les deux amis empruntèrent une ruelle assez sombre, écrasée entre deux rangées d’immeubles crasseux. L’endroit était désert, à l’exception d’un homme dont la silhouette se découpait dans l’ombre. Au fur et à mesure qu’ils s’approchaient, les garçons discernaient l’étrange personnage de plus en plus distinctement. L’homme qui semblait plutôt âgé était vêtu d’un vieux costume marron complètement élimé, et tenait à la main un chapeau mou d’une couleur indéfinissable. Un éclat de lumière laissa deviner qu’il venait de consulter une montre à gousset qu’il rangeait maintenant dans la poche intérieur de sa veste en velours. Lorsqu’ils passèrent à sa portée, le vieil homme les interpella, d’une voix rauque et fatiguée.
« Bien le bonjour, les enfants.
- Bonjour, répondit Yce après un instant.
- Comment t’appelles-tu, jeune homme ?
- Yce, Yce Starillale, répondit-il méfiant, fronçant de plus en plus les sourcils.
- Yce Starillale ! Le petit-fils d’Harim ! s’exclama le vieillard, une lueur nouvelle dans le regard.
- Excusez-moi, mais vous devez faire erreur, rétorqua le garçon en reculant d’un pas. Je ne connais pas cet Harim.
- Il a été kidnappé il y a trente-cinq ans par les Cailloks, une espèce humanoïde. » insista le vieil homme en tirant Yce par la manche.
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| codeM_ |
Posté le: Lun 31 Jan 2011 18:54 Sujet du message: |
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Merci beaucoup ^pour ce commentaire trés long et trés constructif.
Par rapport à l'orthographe, j'ai corrigé les fautes que tu m'as donné et j'ai fait une rapide relecture du reste. Mais malgré ça, je pense qu'il en reste encore beaucoup j'ai beau avoir 18 de moyenne en français je ne suis qu'en 5ème.
Niveau description, c'est pas mon fort je te l'avoue, même si je me suis beaucoup amélioré depuis mon premier texte. Je sais, c'est pas une raison et je sais aussi qu'il y a encore beaucoup de boulot. Je ferai le maximum pour l'améliorer dans mon prochain chapitre.
Pour le fond du récit, je vois bien de quoi tu parles, l'histoire étant déjà complaitement imaginé, je peux te dire que le premier chapitre est le moin palpitant et passionnant (quoi que).
Concernant les détails qui sont "ressemblant à star wars" je tiens à dire deux petites choses :
- par rapport à ce que tu appelle "sabre laser" ce n'est pas tout à fait ça l'outils et multifonction il sert de pistolet, de cordes de secourt, de parachute, etc... J'ai choisis le abre laser en moyen de combat pour la simple et bonne raison que c'est moyen le plus actif de ce battre et le plus facile à décrire (question action) si tu vois ce que je veux dire.
- par rapport aux fameux plans, je doit t'avouer qu'au début j'ai pas pensé à ça et puis tu verras par la suite que seule l'idée de "plan secret" reste identique.
Pour l'enrichissement, j'ai fais les fameuse 15 lignes mais contrairement à ce que tu dis c'est une chance que tu m'ais fait faire ça. Par contre la partie que tu a écrite en édit, je l'ai légèrement modifié (je parle des détails incoérant avec le personnage que j'imaginais) et je l'ai mis au moment voulu dans ma fanfic.
Sur ce, merci encore, et à la prochaine.
Edit:
Vu que personne n'a posté deopuis mon dernier post je suis contraint d'éditer.
Voici la suite de mon récit:
Chapitre II Message
Yce marchait. Il rentrait chez lui, il était presque arrivé. Il marchait à une belle allure à cause de la terreur qui le hantait toujours. Les Cailloks risquaient de revenir pour l’affronter à nouveau. De plus, la nuit était tomber et donnait au paysage un aspect plus sinistre. Yce arriva devant chez lui, ouvrit le portillon et entra. Une grande chaleur remplissait la maison.
« - Coucou mon chou ! Le salua sa mère. C’était bien l’école, aujourd’hui ? »
Cette femme était très attentive aux études de son fils et en était, d’ailleurs très fier. Elle le chérissait plus que tout au monde. Yce était fils unique, ses parents le voyaient toujours comme un bébé mais cela ne lui déplaisait pas. Le garçon n’était pas dans sa guetté habituelle, cela inquiétait sa mère.
« - Ouais, ouais, marmonna-t-il
- Quelques chose ne va pas ? S’inquiéta sa mère
- Nan ! Rien, répondit-il. On mange quoi ce soir ?
- Des pommes de terres sautées aux œufs, ton plat préféré. »
Cette dernière phrase fit sourire le garçon, effectivement ce plat était son préféré.
Une fois le repas engloutis, Yce regarda un petit moment la télévision et alla se coucher. Mais, une fois dans son lit, il lui était impossible de trouver le sommeil, les événements de la journée lui revenaient en tête. Pendant quelques instant, il resta sur le dos, puis se mit sur le côté droit, pour finir sur le ventre, ensuite il se remit sur le dos, se tourna sur la gauche et scruta son réveil. Il y était indiqué minuit. Le jeune homme se leva, alla au petit coin puis dans la salle de bain pour se laver la figure. Une fois revenu dans sa chambre, il ouvrit son ordinateur portable. Il cliqua sur l’icône de sa boite mail. Ce dernier ressemblait à une enveloppe fermée. La page s’ouvrit. Il y avait un message non-lu.
« - Qui a bien pu m’écrire à une heure pareille ? Se demanda-t-il »
Il cliqua sur l’enveloppe et un message d’erreur apparut.
Ce message ne peut pas être ouvert avec votre logiciel.
Yce fronça les yeux. Cela l’étonnait que le message ne soit pas lisible avec son logiciel : surtout sachant qu’il venait de sortir. Le jeune garçon fit un clic-droit sur le message et choisit le fait de le se le renvoyer. Le mail disparut puis réapparut. L’intellectuel cliqua à nouveau dessus et cette fois ci il s’ouvrit.
Bien le bonjour mon jeune ami,
Il m’a été rapporté que tu avais vaincu mon espionne personnelle. Je tiens à te dire que si tu ne viens pas demain soir à l’adresse 6 rue du vautour. Nous viendrons afin de kidnapper tes parents et ton meilleur ami. C’est bien clair ? J’espère qu’oui dans tous les cas.
Yubéyoh, le roi des Cailloks
Yce devint soudain tout pal, il commença à trembler d’inquiétude. Il ferma son ordinateur, puis prit son téléphone portable et tapa le numéro de Kaïl.
« - Allô ! Répondit une voix qui semblait venir de se réveiller.
- Tu fais quoi ?
- A ton avis, qu’est-ce que je peux bien faire à une heure pareille ? S’énerva le correspondant
- Gloups ! Désolé, tu veux que je raccroche ?
- Maintenant que tu m’as réveillé, c’est pas la peine.
- Euh... Enfaîte, je viens de recevoir un message de la part du roi des Cailloks, il dit que si je ne leur donnent pas les plans d’ici demain, ils vont te kidnapper ainsi que mes parents. »
Kaïl, à l’autre bout du fil, demeurait en rage de colère, une envie d’affronter le roi ennemi lui vint. Ses yeux devinrent rouge, tout cela du fait que l’ultime roi voulait enlever, à Yce, ses proches. Pour Kaïl, ce comportement, n’était que lâche, surtout envers son meilleur ami.
« - Ils vont voir, ce qu’ils vont voir ceux-là ! S’écria-t-il d’un ton furieux. Ce ne sont que des lâches ! J’irai m’armer, chez le vieux et on ira affronter le mec qui se trouvera à l’endroit prévu, demain.
- Ouais ! S’exclama l’intellectuel qui lui aussi était exalté de rage et de terreur de perdre ses proches »
Le lendemain, après une courte nuit, les deux garçons se sont retrouvés prés du collège. Il était environ neuf heures du matin. Le soleil scintillait à peine, au loin, par delà les montagnes.
« - Bon, d’abord on va voir le vieux pour le laser suisse, ensuite on va au stade pour s’entraîner, annonça l’intellectuel
- Ouais ! Répondit son ami. On va pouvoir en découdre, ce soir ! »
Yce lui lança un clin d’œil.
Quelques minutes plus tard, les deux amis se retrouvèrent dans la rue où se trouvait l’habitation du vieillard. Les deux garçons hésitèrent quelques instants puis frappèrent à la porte. Au bout d’un petit moment, quelqu’un finit par leur ouvrir. C’était le vieil homme.
« - Bonjours les enfants ! Les salua-t-il. Qu’est-ce qui vous amène de ci bon matin ?
- Bonjours, on aimerait savoir si vous ne possédiez pas un second laser suisse, pour mon ami. »
Le vieillard réfléchit pendant quelques instant.
« - Moi je n’en ai pas, affirma-t-il. Mais, je connais un endroit ou vous pourrez vous en procurer. »
Le personnage expliqua, pendant un certain nombre de minutes, comment trouver le cabinet d’un certain, Drille Lyzer. Une fois que nos héros eurent tout compris, ils s’en allèrent en direction de l’endroit indiqué.
Quelques instant plus tard, nos deux héros arrivèrent dans une grande rue, on apercevait quelques stand de marchant à la sauvette ainsi que des mendiants, inutile de dire que la rue paraissait très fréquentée. On apercevait quelques boutiques : des librairies, des bureaux de tabac, des boulangerie… Les deux amis marchaient tranquillement en observant les deux rangées d’immeubles qui semblait dater de l’antiquité, mais malgré cet aspect ancien la rue demeurait amplement accueillante. Des raillons de soleil tapaient sur les fenêtres des immeubles, cela laissait entrevoir une belle journée. Les deux personnages comptaient les numéros des adresses : ils cherchaient le 112, 112, rue de La Marchandise.
« - 109, 110, 111, nous y voilà ! C’est le numéro 112 ! S’exclama Yce »
Les deux garçons sourirent de satisfaction : ils l’avaient enfin trouvé.
« - Le nom, c’est quoi déjà ? Demanda l’intellectuel lorsqu’il se trouva devant l’interphone
- Euh… Lyzer, je crois. »
Yce jeta un rapide coup d’œil, appuya sur le bouton où était marqué « pr. Lyzer » et la porte s’ouvrit. Nos deux héros montèrent les escaliers jusqu’au cinquième étage et frappèrent à l’unique porte du palier. Un homme d’une cinquantaine d’année ouvrit et les salua.
« - Bonjour les enfants, on m’a prévenue de notre venue.
- Bonjour monsieur, est-ce que vous avez en votre possession un pistosabre ? Questionna Kaïl
- Oui, j’en ai un. »
Le personnage les conduisit dans son bureau. Là, ils s’assirent et entamèrent la conversation.
« - Mon ami m’a compté tes exploits, Yce, tu as vaincu une Cailloks sans le moindre entraînement, félicitation.
- Oh ! Ce n’était rien, elle n’était pas si forte que ça !
- Tu n’as jamais songé à entrer dans une école militaire Kyu ?
- Excusez mon ignorance, mais que signifie Kyu ? »
Le personnage rit de cette question.
« - Il s’agit de l’art de combattre en utilisant les gadgets d’un pistosabre.
- Bien sur, quelle question stupide ! Ria le jeune garçon. Non, je n’y ai jamais songé jusqu’à cet instant. »
La personne qui se trouvait de l’autre côté du bureau ouvrit un tiroir et en sortit une lettre.
« - Yce, a-t-on déjà parlé de ton grand-père ?
- Vaguement, je sais juste qu’il a été kidnappé par les Cailloks il y a trente-cinq ans.
- Eh bien ! Figure-toi qu’il est encore en vie, il vit sur la planète Mine, elle est excentrée de l’empire Cailloks, elle se trouve au bout de la galaxie, des autochtones ont sauvé ton grand-père lors d’une guerre contre les Cailloks. J’ai, ici, une lettre de sa part, pour toi. »
Le jeune homme fut très surprit de ces dernières phrases, et dire qu’il pensait que cela en était fini pour son grand-père. Mais, il en était très heureux, puis, petit à petit, quelques interrogations lui vinrent.
« - Mais, comment cette lettre vous est parvenue ? Demanda le garçon
- C’est très simple ! Les Cailloks sont en train de préparer une attaque contre la terre afin d’être sur de te convaincre de leur donner les plans. Et, il y a de cela quelques semaines, je suis allé demander de l’aide au peuple de Mine afin de repousser les envahisseurs, c’est là qu’Harim m’a donné la lettre. D’ailleurs, j’y retourne bientôt.
- D’accord, mais par quel moyen êtes-vous allez jusque là-bas ?
- Bien, je travaille avec une grande corporation, la xailla-corporation, ils ont découvert plusieurs systèmes spatiaux qui permettent de voyager très rapidement comme l’hyperespace, ce sont aussi eux qui sont au siège de la zone 51, mais c’est top secret, même l’état n’est pas au courant.
- Ok ! »
Le garçon regarda par la fenêtre tout en repensant à ce que venait de dire le professeur. Il réfléchissait aussi à son avenir et à celui de la Terre. Une grande terreur commença à le hanter, le sort de sa planète était à présent entre ses mains. Il méditait à autre chose également, la puissance des Cailloks, monsieur Lyzer avait dit qu’il y en avait un empire, et Yce pensait à un grand empire sachant qu’ils avaient comme projet d’attaquer la terre et cela alimenta son angoisse.
« - Au départ, je venais ici pour vous demander si vous possédiez un pistosabre pour mon ami, continua le jeune homme »
Le personnage réfléchit quelques instants.
« - Il y en a au hangar de la corporation, allons-y. »
Yce hocha la tête puis les trois personnages se levèrent et partirent.
Quelques minutes plus tard, nos héros se retrouvèrent devant une sorte de grand garage, le professeur sortit une clef de sa blouse et la fit pénétrer dans la serrure qui se trouvait sur la porte. Il tourna l’objet et l’accès s’ouvrit : les trois personnages entrèrent. A l’intérieur, on voyait plusieurs scientifiques qui travaillaient sur différentes choses extraordinaires. L’endroit était très éclairait, la salle était immense et beaucoup de personnes s’y trouvaient. Les deux garçons étaient émerveillés. Au fur et à mesure, nos héros pénétraient dans les profondeurs de la pièce et au fond s’y trouvait une petite porte. Ils y entrèrent. La porte s’ouvrit sur une sorte de grand placard, des dizaines de pistosabres s’y trouvaient, rangés comme des pains dans une boulangerie.
« - Houa ! S’exclama le garçon. Il y en a des tonnes !
- Effectivement, c’est le seul endroit sur terre où il y en a, vous avez une grande chance d’être ici, beaucoup de gens en rêve. »
Les deux garçons regardaient les étalages émerveillés. Il les contemplèrent un certain temps, puis le scientifique, pris un des objets s’y trouvant et le donna à Kaïl. Le jeune garçon remercia le professeur mais celui-ci eut soudain une petite interrogation.
« - Mais, pourquoi vouliez-vous un pistosabre ? Demanda-t-il
- Eh bien, répondit l’intellectuel, c’est parce que le roi des Cailloks a découvert le fait que je possède les plans du trou noir et tente de me les prendre en me menaçant de kidnapper mes proches, Kaïl entre autres. »
Le personnage hocha la tête mais eut une mine assez inquiète.
« - Si vous voulez vous en sortir vivant, il vous faudra à tout prix vous entraîner ! »
Les deux héros se regardèrent d’un air illusionné, ils se rendirent compte que leur adversaire risquait d’être malencontreusement très fort comparé à eux et furent, eux aussi soucieux.
« - Connaissez-vous un endroit où nous pourrions nous entraîner ? Questionnèrent les deux garçons
- Euh… L’école Kyu qui se trouve non loin d’ici, répondit t-il »
L’inquiétude des personnages se calma. Puis, les enfants demandèrent le chemin de cette école au scientifique et ils y partirent.
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Fictions :
L'autre réalité
Extra-Dimension
Merci beaucoup à Cyclone pour ce merveilleux pack. |
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