Posté le: Sam 24 Déc 2011 02:10 Sujet du message: [Fiction] Une vie à rebâtir
Inscrit le: 05 Mar 2011 Messages: 260 Localisation: sur lyoko
Une vie à rebâtir :
(explications à la fin, bonne lecture, c’est ma première fiction et je veux une avalanche de commentaires^^)
« -T’es sûr qu’ tu veux vraiment t’ lancer dans l’écriture d’une fic’ ?
-Oui, j’aime l’écriture, je chéris ce moyen d’expression fort et intense, malléable comme de l’argile et solide comme quand on l’a cuit. Fort et intense par les mots, pour exprimer la colère d’un personnage ou de soi-même on peut la montrer faible, presque paisible : « Derrière une mèche de cheveux bruns se cachait un visage exprimant la contrariété. » Ou alors carrément immense, foudroyante et significative : « Le visage de Damien, déjà fort tendu depuis une trentaine de secondes, explosa en une colère, une rage plutôt, totalement monstrueuse, après que son père ait prononcé le mot de trop. » Ensuite malléable par sa diversité, les solutions infinies qui sont disponibles, l’arsenal de l’écriture s’étend à l’infini. Si je prononçais un exemple et que je tentais d’en extraire toutes les possibilités, alors mon Dieu une page ne suffirait point. Solide car inébranlable, un mot ou une phrase bien placée ne peut être contredite, et cela par quelque moyen que ce soit, par quelque puissance que ce soit. La force et la solidité vont ensemble, tout coïncide, l’écriture peut faire tomber un régime !
-J’te parle pas d’ça, j’m’en fous d’pourquoi t’aimes l’écriture, moi c’que j’aime c’est l’rap. J’te disais, t’es sûr de vouloir poster une fic’ sur le forum de codelyoko.fr ?
-Oui, aussi sûr que j’ai 2 bras et toi 2 jambes !
-J’ai qu’une jambe, ça s’ voit qu’tu m’connais pas, j’lai perdue sur une moto… D’façon c’est pas avec ces paroles de poète que tu vas accrocher les lecteurs, c’qu’ils veulent c’est d’ l’action, une histoire !
-Bah, une histoire je n’en ai pas…
-T’es bien parti, comment tu vas faire, tu vas quand même pas leur faire de la morale qu’j’comprends pas pendant des heures, c’est au moins l’temps qu’ça va durer tell ’ment qu’ça va être **** (Ennuyeux) ta fic’ !
-Je me lance quand même, j’ai encore aucune idée, mais l’appétit vient en mangeant, pourquoi pas l’inspiration ?
-J’vois pas comment manger peut t’apporter de l’inspiration ?
-Oh, ta ******… (Tais-toi) Bon si vous m’avez lu jusque-là, je vous préviens d’avance que j’ai aucune idée pour la suite, mais j’adore écrire comme ça, l’inspiration va donc venir en écrivant, n’hésitez pas à me proposer la suite. Bonne -je l’espère quand même- lecture à tous ! »
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Je suis assis dans mon lit. Je vois… rien. Ma tête est vide, mes yeux voient flou. J’entends seulement, comme venu du fin fond de nulle part, un petit son qui se répète, sans cesse. Parfois un autre, un peu différent, arrive. Celui-là est beaucoup plus rapide, plus vif. Comme à un concert, ils discutent, mais ce sont là non pas des instruments brillants, dorés et chéris par leur propriétaire virtuose, mais des bruits, comme des pattes de fourmis. J’entends maintenant d’autres pas, mais ceux d’un homme. On dirait au son qu’ils produisent qu’il marche sur un sol de marbre, comme ceux qu’on trouve dans les châteaux. Il s’arrête soudain :
« Vous avez du courrier, Monsieur. »
Il prononce cette parole d’une voix de majordome, très polie, très exagérée. Il ne l’a pas criée mais simplement annoncée, avec une simplicité d’expression remarquable. Cela suffit à me sortir de ma torpeur.
Je ne suis pas dans un château. Seulement dans un vieil appartement délabré de 60m2. Dehors se fait entendre la mélodie que produit la circulation de New-York, à 17h30, quand tout le monde rentre du travail. Cet état second n’a en aucun cas affecté ma mémoire et la lucidité me revient aussi vite qu’elle est partie. Je m’appelle Noé Ange, « Nono » pour les amis, et j’ai 22 ans. Les « amis » ? Je n’en ai pas, ou du moins je n’en ai plus. J’ai tout laissé derrière moi quand 3 mois plus tôt, j’ai pris le vol AF447 pour JFK, le célèbre aéroport de New-York. Au lieu de promettre des retrouvailles, des correspondances, j’ai tout abandonné. Je n’aime pas mentir, et je savais que promettre de telles choses revenait à un mensonge. Je leur ai dit adieu, ils ne m’ont pas retenu ; ils me connaissaient bien. Certes, j’aurais pu garder le contact de la famille, si seulement j’en avais encore… Quand j’étais petit, je regardais tous les matins sur la 3 un fabuleux dessin animé, dont les héros formaient un merveilleux groupe. Je me souviens d’une petite fille à cheveux roses, qui avait perdu père et mère. Je me retrouvais quelques années après dans la même situation, qui l’eût cru ? La raison de leur mort, pour ne pas vous laisser dans une ignorance contrariante, c’est le « traditionnel » accident de voiture : et ça n’existe pas que dans les films. C’était il y’a 9 mois. 6 mois de perdus, sauf une lumière entre les deux, pour éclairer mon chemin qui se perdait : un film de Woody Allen, « Manhattan ». Ma passion pour New-York était née. Je partis donc sans savoir ce que j’allais faire, je ne le sais toujours pas. Au moins je n’ai pas de problèmes d’argent, le seul « avantage » après la mort de ses parents ; la maison s’est vendue à bon prix et l’héritage, bien qu’inférieur à la richesse de Crésus, rassure. Aujourd’hui c’est le 24 décembre, puisqu’hier c’était le 23. Pas de réveillon tout seul, mais par tradition et pour ne pas l’oublier, si c’est possible, une crèche de fortune est installée sur un tabouret.
Sur mes genoux est installé un ordinateur. Une page « write v9.2 » est ouverte, un texte bourré de fautes dessus. Je l’efface. Un monsieur en costume pingouin est au-milieu de l’écran ; je clique dessus et il s’en va. C’est Nestor, mon notificateur de mails. Je jette donc un coup d’œil à ma boite de réception. Un message encore non-lu est affiché en gras, tout en haut des 322 mails publicitaires, que j’arrête de chasser depuis la semaine dernière. Il est intitulé « Secret, pour M. Noé Ange, de la part de l’Agence Carthage ». Je l’ouvre et commence ma lecture. Le texte est court mais clair. J’ouvre de grands yeux ronds.
Voilà pour le début de la fiction, mais que va-t-il se passer ? La suite au prochain chapitre.
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Je vois déjà les commentaires disant que c’est ennuyant, trop descriptif, etc
Je préviens donc que j’en suis conscient mais que c’est l’introduction où je pose l’histoire, pour moi-même m’y retrouver (je vous le rappelle, je n’ai aucune idée de la suite). En même temps c’est quand même la marque de mon style d’écriture, mais je ferai des efforts pour mettre un peu d’action.
J’attends beaucoup de commentaires pour m’orienter vers la suite (je sais quand même en gros l’histoire, ce qui va être écrit, car j’y ai réfléchi en écrivant, mais peut-être il y’a-t-il des erreurs de logique ou des choses qui ne vont pas).
Ma première fic, écrite pendant la nuit (peut-être que ce que j’ai écrit le prouve, j’espère pas^^). Pas encore finie, à peine commencée, mais je compte bien aller jusqu’au bout, car d’habitude j’ai du mal.
Voilà, donc il y’a pas mal de clins d’œil, beaucoup que vous comprendrez d’autres que seuls certains en seront capables et d’autres que seul moi peux. Mon inspiration étant soudaine, elle peut venir d’événements réels de ma vie ou d’éléments de mon environnement, quand j’écris. Je dévoilerai les dessous de l’histoire au fur et à mesure, c’est toujours amusant et change la tournure des événements de mon histoire.
Avertissement : elle n’a rien à voir avec code-lyoko, quelques clins d’œil lui seront tout de même adressés.
Enjoy
purée quand je vois ça sur le forum, ça fait court, mais il est tard et c'est que le début. J'espère que je n'ai pas enfreint les règles sur les fanfictions?
Bon, la suite est prête, mais je voudrais savoir avant comment vous trouvez l'histoire? _________________ déterrage de profil 4 ans plus tard et je me souvenais encore du mdp \o/
sexe: homme
Dernière édition par ae-lita le Sam 24 Déc 2011 18:55; édité 1 fois
C'est bien écrit, il n'y a notamment pas assez de fautes pour que cela me gêne dans ma lecture. C'est en effet très descriptif comme texte, et aussi très détaillé, mais ce n'est pas un problème, surtout dans un chapitre d'introduction. On a beaucoup d'éléments, on se pose des questions. Ça donne envie de lire la suite.
S'il y a bien une chose qui me dérange ici, c'est l'organisation de l'écrit : j'ai du mal à comprendre qu'est-ce qui fait partie de la fiction et qu'est-ce qui n'en fait pas partie. En lisant ton premier paragraphe, je croyais à une fic, presque une parodie du règlement... Et puis j'ai cru à une introduction à ta "vraie" fic, et puis je sais plus trop. Mais peut-être comprendra-t-on mieux cela dans les chapitres suivants ?
Enfin, je te conseille de faire un plan, même très simple, de l'histoire. Si tu te lances dans un récit sans savoir où tu vas, tu vas vite avoir des problèmes. C'est comme cela que j'ai suspendu plusieurs de mes fics il y a plus d'un an de cela. Avec un plan, tu pourras toujours savoir où va ton histoire et garder une certaine cohérence. Enfin, ce n'est pas une obligation, mais personnellement, ça aide.
Voilà pour mon avis. Te fie pas à la longueur, on a toujours plus à dire sur ce qui va pas bien que sur ce qui va comme il faut ! J'attends la suite. _________________
Inscrit le: 05 Mar 2011 Messages: 260 Localisation: sur lyoko
D'accord merci pour ce commentaire construit, Kerian m'avait effectivement parlé du plan, mais je ne supporte pas qu'on donne de leçons sans expliquer ou même lire.
Dans word une ligne séparait les 2: la discussion pendant laquelle j'expliquais un peu pourquoi je faisais la fic, comment j'allais procéder, etc
Comme certains le font mais sous forme d'un dialogue. L'histoire commence à partir de "Je suis assis dans mon lit". Je vais rééditer pour voir si je peux corriger ce problème. Autre chose: j'écris comme un rapport, il se peut donc que je parle au lecteur, ne vous en étonnez donc pas.
La suite est prête, je relis une dernière fois et je poste.
Joyeux Noël à tous!
Pour le plan je sais en gros où va l'histoire surtout que indice: ça va être un peu espionnage, secteur où l'on s'embrouille facilement et dans lequel je ne suis pas expert. J'ai tout dans ma tête, et sur la page d'origine je marque entre parenthèses sur chaque événement à quoi il est rapporté dans la suite de l'histoire.
Spoiler
voilà donc la suite!
Donc le chapitre d’avant était le prologue, voici maintenant le
Chapitre 1 : L’étrange réveillon
Voici ce que je pouvais lire :
Le 24 décembre 2020
Cher M. Ange,
Vous avez été remarqué par l’Agence Carthage comme une personne pauvre, selon les critères des Etats-Unis d’Amérique.
Mais au fait, connaissez-vous l’Agence Carthage ? Peut-être pas, et cela est normal, car elle a été créée par le Millionnaire Row dans le but de permettre aux plus démunis de passer un réveillon de Noël au chaud, agréable et de profiter d’une nourriture raffinée. 2020 est la première année où notre Agence va opérer et elle s’en réjouit, comme vous d’ailleurs, nous l’espérons dans tous les cas, car nous vous invitons à passer ce réveillon en notre compagnie.
Vous êtes invité, en cas de venue il est inutile de nous répondre, allez seulement au :
478 Avenue A, Manhattan, New-York, U.S.A.
Dans l’attente cordiale de votre venue,
L’Agence Carthage.
Le logo n’était qu’un simple sapin de Noël, simple et peu original, mais clair. Je réfléchis, car je réfléchis toujours beaucoup, à cet étrange mail. Certaines choses n’allaient pas. Je n’ai pas traduit cette lettre pour vous, bien que j’en aurais été capable, car elle était écrite en Français. Etrange, car plus personne de français ne me connaît, et ce mail a été envoyé par une Agence américaine, basée à L’Avenue A. Mais ce n’était pas encore ce qui me choquait le plus : « une personne pauvre ? », « un réveillon au chaud ? ». Bien que je ne vivais pas dans le plus grand luxe, je n’étais certainement pas pauvre, et avais bien de quoi survivre. Et pour ce qui était de passer un Noël au chaud, bien que les murs ne fussent pas épais, un grand poêle chauffait ma demeure. Mais quand on arrive seul, perdu dans une grande ville telle que New-York, même si tel était mon choix, on prend la moindre occasion disponible de se bouger, et peut-être même de vivre une aventure, car je savais intérieurement que ce n’était pas un simple réveillon de pauvres.
Je décidai donc de me lever pour me préparer à aller réveillonner, mais c’est en organisant mon planning heure par heure que je me rendis compte qu’aucun horaire n’avait été donné. En France je serais parti pour 20heures, mais je savais qu’aux Etats-Unis il fallait arriver bien avant ; je me décidai donc pour 18heures. Mais… ce n’était pas le matin, et j’allais être en retard ! Ce mail était arrivé à 17h22. Bizarre invitation, aussi soudaine ! J’enfilai un pantalon propre, un polo à manches longues, un gros pull, un anorak par-dessus, et je finis en enroulant une écharpe. Je dévalai les escaliers depuis le 11e étage et me retrouvai subitement dehors. Je ressentis une drôle d’impression, comme à chaque fois que les choses se passaient très vite, après le réveil. Je n’avais pas dormi, en fait, mais juste perdu encore une fois mon temps devant mon ordinateur. Il faisait déjà nuit, un ciel parfaitement clair et un froid qui fendait mes joues comme des lames de rasoir. 17h42, je devrais être à l’heure. J’entamai donc ma marche sans incidents, et arrivai enfin au 478 de l’Avenue A, une des plus actives de New-York, avec ses restaurants, ses bars et sa population jeune. Un grand immeuble d’une cinquantaine de mètres de haut, courant à New-York, avec le traditionnel système d’évacuation, depuis l’incendie. Seul le premier étage avait l’air actif, tant mieux, je n’aurais pas à chercher partout, car j’étais juste à l’heure. Les fenêtres étaient de grandes baies vitrées sur toute la largeur du rez-de-chaussée. J’entrai en poussant une petite porte comme celle dans les magasins, et des clochettes annoncèrent même mon entrée, et sans trop savoir pourquoi je me trouvai gêné. 2 grandes tables étaient alignées, et je n’étais pas le premier : environ soixante personnes habillées modestement mangeaient bruyamment dans la grande salle du rez-de-chaussée. Certains avaient de la sauce balafrée sur toute la figure. J’étais sans aucun doute le plus aisée de toutes ces personnes. Ou du moins de celles qui mangeaient, car à chaque coin se trouvait un « man in black », habillé tout de noir comme son nom l’indique. Il portait également des lunettes aux verres fumés et un micro sous la veste, pour rester en communication entre eux ou avec le « QG », comme dans les films. On aurait dit qu’ils étaient anxieux, comme s’ils attendaient quelque chose. Une jolie blonde me tira de mes pensées :
” -Hey, Sir, don’t stay here, take a place!
-Hein? Hue… yes, thanks you, miss.”
Elle m’installa entre 2 costauds gaillards qui, occupés à manger, ne m’avaient même pas remarqué. J'eus la sensation d’être le seul humain attablé, au milieu de porcs affamés. Les plats défilaient sans cesse, bien que je ne voie pas de serveurs. Je me servis en boudin et en pommes de terre, c’était tout ce que j’avais pu attraper étant donné les voisins que j’avais, qui ne me laissaient guère manger à ma guise. Un étrange champagne de mauvaise qualité, mais qui ravissait les convives, circulait et je pus m’en servir. Je complétai le repas par une poire encore congelée et un macaron à la fraise. Drôle de soirée. Invités étranges et pour le moins originaux, une ambiance inexistante, pas la moindre musique, pas le moindre jeu.
Mais lorsque tout le monde eût enfin terminé son « festin », la blonde qui m’avait accueillie monta sur une petite estrade, au fond de la salle, et prit la parole dans son micro. Evidemment elle parlait anglais mais cela ne me dérangeait plus le moins du monde :
“Good night, everyone. My name’s Jessie Iron and I am the assistant of Mr. Row, the creator of Carthage Agency. We hope that you passed a wonderful eve with us. Now, we would like to offer a present to each of you. It’s a check of 500 $ from Mr. Row’s bank account.”
L’un après l’autre, tous les invités furent appelés, dans l’ordre alphabétique de leur nom. J’aurais dû passer dans les premiers, et pourtant je ne fus pas appelé. Je ne protestai pas, imaginant qu’ils avaient dû penser que je n’avais pas besoin de cet argent, ce qui était très juste. Ils firent ensuite sortir les invités qui coururent immédiatement dépenser leur argent, sauf quelques-uns qui observaient le chèque comme une relique. Jessie, juste avant que je ne sorte, m’interpella en français :
« -Nous avons autre chose pour vous, monsieur Ange, dit-elle.
-Vous parlez français ?, m'étonnai-je.
-Oui, c’est moi qui vous ai envoyé le mail que vous avez dû recevoir, comme en témoigne votre présence ici. Suivez-moi donc. »
Je la suivis sans protester et nous nous aventurâmes dans les coins les plus reculés de l’immeuble. La salle où quelques minutes plus tôt des dizaines de pauvres festoyaient devant leur premier vrai repas depuis sans doute des semaines était désormais loin derrière, comme d’un autre temps. Il faisait assez sombre, nous traversions un couloir sans fin, gris, sobre. Quelques ampoules au plafond tamisaient le sol et notre route par une faible lumière. Nous avions marché des kilomètres, me semblait-il, et l’environnement était très lourd, si bien qu’il m’assommait et je devais lutter pour ne pas m’endormir sur place. Enfin, nous arrivâmes.
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Encore du suspens, vous découvrirez la raison de cette étrange invitation dans le prochain chapitre, ne vous inquiétez pas l’histoire va réellement s’éclaircir au prochain chapitre. Je serai absent à partir du 28, j’essaie donc d’avancer et de poster juste avant un gros chapitre, ou plusieurs selon le déroulement.
_________________ déterrage de profil 4 ans plus tard et je me souvenais encore du mdp \o/
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Bref, me voilà ici pour commenter de façon brève ton texte. C'est moi qui me suis permis de supprimer le [ spoil ] et la [ size ] agrandie du texte, c'est laid et ça n'a rien à faire là, la taille de sa lecture, c'est l'internaute qui la choira.
Il existe bien d'autres méthodes pour mettre en valeur son texte. Mettre un titre en gras, une légère couleur pour l'introduction, etc. Là, ton texte est complétement noyé par une introduction longue et franchement inutile et une conclusion identique. C'est limite si on ne croit pas que les traits de séparation sont là pour écarter 2 paragraphes.
Autre conseil, ça ne me parait pas du tout une bonne idée d'avancer ton texte sans avoir d'idée de la suite, ne serait-ce que quelques unes, c'est la meilleure méthode pour avancer sans comprendre et tomber dans une impasse dans ton récit. Sans moyen de faire demi-tour parce que tu l'aura déjà publié.
Je déplace et renomme la balise du topic. Il n'a pas sa place en section fanfiction Code Lyoko s'il ne s'agit pas d'une fanfiction Code Lyoko, logique. _________________
Inscrit le: 05 Mar 2011 Messages: 260 Localisation: sur lyoko
Je ne sais pas encore, pour code lyoko, mais ce ne sera pas le thème principal, ça c'est sûr.
Pour l'idée, t'inquiète pas j'ai tout à la lgne près en tête,mais j'y ai quand même réfléchi et connais le gros de l'histoire.
Sinon qu'entends-tu par introduction? le dialogue ne fait pas vraiment partie du texte, c'est pour en gros expliquer comment je le conçois. Sinon c'est le début et c'est toujours le texte qui est qui a le plus de conclusion, d'intro... la suite devrait l'être moi, déjà le chapitre 1. Pour l'espacement c'est quand même pas aisé sur l'éditeur de texte qui est minuscule, mais je ferai de mon mieux.
pareil pour le titre, mais en espacant on le voit quand même.
je sais que je prends des risques mais on verra bien^^ _________________ déterrage de profil 4 ans plus tard et je me souvenais encore du mdp \o/
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Inscrit le: 05 Mar 2011 Messages: 260 Localisation: sur lyoko
Mince, ça m'oblige à écrire la suite
Je vais bosser dessus, mais étant absent demain, pas avant la semaine prochaine. _________________ déterrage de profil 4 ans plus tard et je me souvenais encore du mdp \o/
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Inscrit le: 05 Nov 2006 Messages: 798 Localisation: Au Jal'Dara <3
Y'a que moi pour arriver sur le sujet d'une fic le jour même où son auteur s'en va...
Enfin, bref.
Comme les autres commentateurs, je pense que commencer une fic sans savoir où on va est une mauvaise idée. Etant une spécialiste de " je finis pas mes fics", je peux en parler ! Mais apparemment, le problème est réglé puisque tu sais maintenant à peu près ce que tu veux faire de cette ficounette.
Alors, prenons le prologue d'abord.
C'est vrai que l'utilité de l'intro saute pas aux yeux... Tu veux qu'on comprenne avant de lire la fic à qui on a à faire ? Tout ce que je peux dire, c'est que c'est original, et que ça induit en erreur comme je sais pas quoi pour appréhender le vrai début de fic. C'est pas forcément un reproche cela dit...
Aleurs, sinon, ta façon d'écrire est plutôt je dirais "décontractée". Ce que je veux dire c'est que tu te casses pas trop la tête à tourner autour du pot, t'écris et c'est tout, et avec des mots que le commun des mortels doit comprendre. Cool, je suis une mortelle !
Je crois ne rien avoir à dire de plus sur le prologue, c'est une intro qui nous met dans le bain.
Passons au chapitre un :
Moi, je reçois un mail comme ça, je m'enfuis en courant. m'enfin, chacun ses goûts. Tout ça pour dire que les Américains étant en général assez particuliers, on dit que ça peut coller.
Je trouve que t'as une vision assez... euh... hautaine vis à vis des "petites gens" on va dire. Ce sont " des porcs affamés" et ils n'ont jamais vu un chèque... Même si ça ne sert qu'à entrer dans le vif du sujet, ça m'a dérangé. En plus, en théorie, les gens vraiment pauvres ont peur de se regrouper car ils ont peur de se faire voler. Et, je savais pas que les mendiants avaient des mails Si ils ont été contactés autrement, je trouve ça pas clair...
"Evidemment elle parlait anglais mais cela ne me dérangeait plus le moins du monde :" En lisant cette phrase, j'ai failli me dire ah bah d'accord, on se la pète pas déjà ! Et pis, finalement, le "plus" a arrangé les choses . J'en suis arrivée à la conclusion que soit y'a un truc qui cloche, genre tout d'un coup, il parle anglais mieux que Barack Obama, soit il se fiche bien des paroles, et fait que mater la jolie blonde ! Cela dit, je ne suis satisfaite d'aucune interprétation... Tant pis, ce n'est toujour qu'une malheureuse phrase !
Enfin, bref. Ton histoire ne fait que commencer, je peux pas en dire plus.
Je te souhaite bonne chance et bonne inspiration pour la suite ! _________________
Inscrit le: 05 Mar 2011 Messages: 260 Localisation: sur lyoko
Pouh là là, je viens juste de rentrer, j'ai à peine écrit, j'ai oublié à 70% ce que j'avais prévu pour la suite et je suis épuisé... faudra attendre, mais comme il y'a pas de questionnaire à la fin, on peut prendre son temps^^
Pour l'écriture décontractée, c'est ce que je cherche à faire car j'ai pas envie de vous casser la tête : ce que me fait un classique, dans lesquels j'ai l'impression de lire une autre langue que le français tellement je n'y comprends rien...
Merci pour ce com', qui soulève pas mal de questions/problèmes, auxquels je vais répondre:
S'enfuir en courant? Il n'y a quand même pas de menace de mort, lol^^
Quand j'ai écrit, je pensais sincèrement que le personnage serait étonné, mais pas effrayé le fait qu'il ne fasse rien de ses journées et qu'il soit dans un état "second" explique aussi... enfin je n'avais pas pensé que ce message puisse lui faire peur.
Je n'aurais pas pensé qu'on puisse le prendre comme ça pour ma vision (qui est celle du personnage, pas la mienne) des petites gens. En fait je n'ai rien à dire (car je ne l'avais pas remarqué) mais désolé si tu es choqué.
J'ai pas dit que c'étaient des porcs mais qu'ils mangeaient comme ça... en fait au contraire j'écrivais de cette manière pour montrer leur détresse... enfin passons, chacun peut le voir d'une manière différente.
Pour ta théorie je pense pas, quand ils vont au resto du coeur ils refusent pas de peur d'être volés, t'as vu ça où?
Ouais, j'avoue que j'avais pas pensé pour l'ordi, mais ils contactent comme ils peuvent, et surtout ce message lui était spécialement adressé de l'Agence qui n'a rien avoir avec des restos du coeur. je savais des incohérences, que j'ai expliquées par l'état mental du personnage qui était manipulable comme une marionette et cherchait la moindre façon de se bouger. Quand t'as un essaim d'abeille dans la tête et des cernes de 3 milimètres de prof. sous les yeux, tu réfléchis à rien. Voilà mon explication.
Bon, j'y vais pour la suite, en essayant de pas trop gâcher mon texte vu mon état ce soir (ya qu'à voir mon message...)
Merci pour vos coms,
A+ et bonne année 2012!! _________________ déterrage de profil 4 ans plus tard et je me souvenais encore du mdp \o/
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Inscrit le: 05 Nov 2006 Messages: 798 Localisation: Au Jal'Dara <3
Ah oué, pour les restos du coeurs, t'as raison...Je crois que ce dont j'avais entendu parler, c'était genre des installations où les sans-abri pouvaient venir passer la nuit, ou quelque chose comme ça. Mais, c'est vrai que si ce n'est que pour manger, ça pose moins de problèmes ! _________________
Inscrit le: 05 Mar 2011 Messages: 260 Localisation: sur lyoko
Pour le moment, j'ai vraiment un arrêt, j'ai pas avancé... déjà avec le retour de l'école, j'ai pas trop le temps, peut-être donc les week-ends, j'essaierai. _________________ déterrage de profil 4 ans plus tard et je me souvenais encore du mdp \o/
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