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[Drabbles] 24 morceaux d'heures

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 Auteur Message
Shaka MessagePosté le: Lun 02 Juin 2008 18:55   Sujet du message: [Drabbles] 24 morceaux d'heures Répondre en citant  
[Administrateur]


Inscrit le: 12 Avr 2006
Messages: 3893
Localisation: Sur une colline, près des étoiles
Salut le peuple.

Ca fait une paie que j'ai pas posté de fanfictions, ni même écrit quoique ce soit, but, je reviens.

Au programme, 24 drabbles !

Tout d'abord qu'est-ce que c'est que des drabbles. Des mini-fictions de 100 à 300 mots sur un thème précis.
L'avantage d'une telle brièveté ? Traiter d'un sujet strictement, sans avoir à l'introduire ou quoique ce soit ! Ne donner que le meilleur d'une fanfiction en l'occurence.

Comme, pour une fois, ces fan-fictions ne reflètent pas ma propre vie et ne visent pas à aboutir à une conclusion, je me suis donc mis ça sous forme de 24 Drabbles ^^

Les thèmes, vous les découvrirez en lisant. Ils ne sont pas de moi mais de Linkicaro (dont vous pouvez voir le profil ici, sur fanfiction.net !)
Ces thèmes sont très intéressants et les avoir empruntés m'a permis de varier un peu des thèmes que j'utilise la plupart du temps.


Tout le reste est de moi (Avec la dose de joie que ça implique (ironique)) ! Je vous laisse appréciez, j'espère que ça vous plaira.
Les personnages que vous retrouverez dans les drabbles sont :
Yumi (2 fois)
Ulrich (2 fois)
Odd (2 fois)
Jérémie (2 fois)
William (2 fois)
Aelita (3 fois)
Hopper
Antéa
XANA
Le proviseur
Jim
Milly et Tamiya
Hervé
Sissi
La réplique
Les deux drabbles restant sont consacrés au groupe tout entier.

Le narrateur de chaque drabble n'ai jamais mentionné. A vous de chercher.

PS : En ce qui concerne les commentaires, je ne veux pas de "C'est trop bien" "J'ai adoré, bravo Shaka T-T", ni de "c'est nul", "trop naz".

Si vous commentez, je vous en remercie, mais je vous demande de bien me dire pourqwa vous avez aimé ou détestez, ce que vous avez préféré ^^
Je préfère que vous ne me commentiez qu'un seul drabble bien comme il faut, plutôt que la globalité mais de façon bâclée ^^

Merci bien !


24 Morceaux d’heures


Adolescents, adultes ou programme. Que l’on soit jeune ou vieux, machine ou corps de chair, le temps nous est toujours compté. Aussi, il est bien triste de gaspiller une seule heure de sa vie. Si seulement chacune des heures de notre vie pouvait être aussi remplie que celles de la leur…


1) Dans la pureté de la pénombre

Tu ne sais pas la chance que tu as.
Tu n’es même pas foutu de te rendre compte d'à quel point tu as reçu ce don que tu ne mérite pas.

Je ne sais pas quel est ce monstre mécanique qui nous as attaqués. Finalement, ça m’a permis de défouler mes nerfs, mais ce n’est pas suffisant. Il m’en faut encore. Il faut quelque chose pour me faire oublier.

Hier soir, j’ai fait la chose la plus risquée de ma vie. J’ai parlé de mes sentiments concrètement à Yumi. Je n’ai sûrement pas fait de la meilleure façon en essayant de l’embrasser de force… mais la force, je ne l’ai pas. Parler avec mon cœur, je n’en ai pas eu le courage. Pas parce que je suis lâche, mais parce que l’issue me terrifiait. Car en fin de compte, je pressentais qu’elle serait la même quelle que soit mon approche.
Non.
Car elle est amoureuse d’Ulrich. Mon attitude assurée m’aura peut-être permis de ne pas avoir le cœur trop brisé. Pourtant, une fissure s’est creusée quand c’est moi qui ai dû en fin de compte dire à cet abruti que le cœur de Yumi lui était dévoué.

Maintenant il faut que j’oublie. M’être battu avec Ulrich ne m’a pas soulagé. Avoir détruit un monstre de deux fois ma taille non plus. Peut-être qu’en tuer un second dans cette voiture jaune que j’ai empruntée me suffira. Après, je me réfugierai dans la pureté de la pénombre. Car comme dans le noir, il n’y a sûrement aucune justice, il n’y a pas non plus d’injustice.

2) Ce son qui traverse le silence

L’harmonie. Contrairement à ceux que l’on nomme humains et dont je ne connais que quelques membres, je la fréquente tout les jours.
Malgré ses dangers, Lyokô est un monde d’harmonie. Le silence qui y règne me rassure souvent car je vois toujours tout et je ne perçois rien qui me menace.

Quand Jérémie est absent, je m’assois en tailleur et je connecte mon esprit. Je vogue sur cette harmonie. J’ai le sentiment d’être la gardienne. Je sais que j’ai quelque chose à défendre. Un Monde. Et plus encore. En défendant, ce monde, je défends les humains. Et cinq, tout particulièrement… Cinq « amis » ? Cinq Personnes que j’aime.

Je dois les protéger à tout prix, malgré mes craintes. Car mon harmonie n’est pas éternelle.
Et c’est pour ça que j’ai si peur, quand il résonne, ce son qui traverse le silence.
Les pulsations de mon cœur répondent toujours à celles de Lyokô, comme un écho… A ça près que je n’ai pas encore de cœur…

3) Et quand tes yeux croisent les miens

La vie est un jeu.
La drague, c’est le terrain des mauvais perdants.
Pour évoluer dans la cours, il faut être la meilleure. Pour ne pas se sentir menacée, il faut bluffer. Pour vaincre, il faut surprendre l’adversaire. Et celui-ci vous distance, alors il faut manipuler pour reprendre l’avant.

Mon quotidien dans ce collège est une bataille. Je ne peux m’y soustraire. C’est pour ça que je reste collée à mes deux valets.
Pourtant, au fond de moi, j’ai besoin d’une trêve. Une trêve que j’aimerai tant pouvoir trouver ailleurs que dans tes deux bras. Mais il n’y a que là que l’armistice pourrait être signée.

C’est pour ça que quand tes yeux croisent les miens, je me supplie de réussir à adoucir mon regard. Je donnerais tout pour parvenir à te dévoiler toute la tendresse que je saurai t’offrir.
Et c’est aussi pour ça que chaque soir, en me rappelant que j’ai échoué, je pleure. Silencieusement pour ne pas être entendu.
Car ma guerre ne connaît pas de trêve.

4) Le sable dans tes cheveux

Le sable que balaie le vent est sale. Il ressort sur ta chevelure noire.
Il y paraît aussi brillant que du sable fin d’une plage vierge.

Quand je vois à quel point je suis béat devant de la saleté qui s’est soulevée dans tes cheveux, je réalise que je suis vraiment l’illustration parfaite d’un « gaga d’amour ».
Tu me regardes, avec ce regard si assuré. Tes lèvres dessinent alors un sourire craquant et je fonds. Alors, je m’approche de toi et je t’embrasse. Dans tes cheveux noirs à mèches rouges, je passe une main délicate pour chasser ce sable de tes cheveux. Mais ce que je chasse avec lui, c’est les questions car je ne veux pas qu’elles me tourmentent et la peur car même si je ne sais pas pourquoi je suis heureux et que l’émotion m’effraie un peu, je veux rester contre ton corps et ton cœur battant.
Tes lèvres sont douces, Samantha.

5) Vos caprices me peinent

« Jérémie ? Tu penses qu’on peut être amoureuse de deux personnes à la fois ?
- Euh… Pas vraiment non, répond l’intéressé. Personnellement, je ne suis… ou plutôt si je devais être amoureux d’une fille, je ne concevrai la vie qu’avec elle et personne ne pourrait la remplacer.
- Tu dois avoir raison, soupira-t-elle. Mais je me demandais si on pouvait connaître deux fois l’amour simultanément. Quand tu apprécies deux personnes pour leur qualité et leur défaut. Que toutes deux méritent que tu ne les abandonnes pas. Que chacune t’apporte une chose complémentaire. Mais que ces deux ne peuvent être heureux que si tu les aimes… »

Jérémie voyait clair sur les identités.
Il répondit qu’il faudra que l’un se ressoude à ne recevoir qu’une amitié, ce qui n’était pas si mal, en fin de compte. Après tout, lorsque l’on aime une personne, il faut aussi savoir s’effacer pour son bonheur.

Elle pensait pareil.
Cependant, elle était persuadée que ni Ulrich ni William ne supporteraient une amitié, si celle-ci devait cohabiter avec l’amour d’un autre. Ils le lui avaient fait comprendre en s’affrontant à de multiples reprises…
*Ulrich… William… Vous ne me persuadez de rien… Vous me faites mal. Si Vous saviez comme vos chamailles me peinent… Car les conflits ne font jamais autant mal que lorsqu’ils brûlent entre ceux qu’on aime*

6) En souvenir de…

De mon bureau, je suis penché à ma fenêtre qui donne sur la cour.
J’observe Elizabeth. Notre Elizabeth. Mon Elizabeth, puisque tu n’es plus là…

Elle aborde une nouvelle fois le groupe d’Ulrich Stern.
Est-ce qu’il est au courant, ce cancre, d’à quel point ma fille en pince pour lui ?

Il y est des fois où j’aimerai me glisser parmi les collégiens que je surveille pour écouter leurs mœurs et découvrir ma fille autrement, loin de mon enveloppe de proviseur. Je suis un père qui voudrait découvrir sa fille.
Ma fille avec qui j’ai perdu contact. Ma fille avec qui je n’arrive plus à communiquer. Ma fille qui se fait passer pour une diva superficielle, qu’elle n’est pas au fond d’elle. Je le sais, le jour où, peu fier, j’ai lu son journal intime.

En souvenir de toi, je fais tout pour faire d’elle une fille bien et respectable, pourtant, je suis incapable de la punir, lorsqu’elle tire sur la corde de ma patience.
Je n’y arrive pas puisque ta douceur est encore trop présente. Je voudrais l’entretenir, hélas, il y a longtemps que Sissi ne m’a plus sauté dans les bras. Alors, pour trouver un peu de tendresse, il m’arrive d’enlacer mon oreiller, en souvenir de toi…

7) Le bruit des cloches

C’est une sacrée première pour moi.
C’est la première fois que je suis sur Terre et seule, loin de mes amis. J’ai pris la liberté d’aller me promener. Découvrir la ville un peu seule. Je m’habitue assez vite.

Curieusement, ce n’est pas le million d’informations nouvelles que je reçois qui occupe mon esprit. C’est un sentiment.
Jérémie avait appelé ça amour. Sur Lyokô, je savais que j’aimais beaucoup Jérémie, toutefois il me décrivait des choses qui m’étaient inconnues.

Je m’assois sur le banc à côté d’une église, il est 18H59.
Je pense à Jérémie. J’ai un frisson. Je ferme les yeux. Son image me vient.
Je tremble un peu des mains et je sens une chaleur qui m’envahit. Une envie soudaine et inexpliquée m’étreint. Le désir qu’il soit à côté de moi et d’être contre lui, comme connectés.

Alors, comme pour répondre à mon appel, mon portable vibre et Jérémie me dit par texto qu’il a pu se libérer et qu’il va me rejoindre pour passer la soirée avec moi.
Il est 19H. Les cloches se mettent à sonner, le carillon résonne fort, pourtant son cri, même puissant, n’est rien en comparaison des battements de mon cœur.

8) Sous une pluie de nénuphars

S’il y a bien une chose que j’ai toujours bien vécu, c’est ma faible carrure !

Je suis le stéréotype du blondinet binoclard, grosse tête sans rien dans les bras, comme mon prof de sport prend un intense plaisir à me le rappeler. Cependant, ça ne m’a jamais dérangé, car ce n’est pas spécialement pour ça que personne ne venait me parler. C’est tout simplement parce que je suis associable et introverti. Un geek comme on en fait plus.

Aujourd’hui, il semble que j’ai encore moins de raison de m’en plaindre, vu que j’ai trouvé des amis pour la vie ! Ca n’a plus d’importance. A Cinq nous sommes forts !

Et pourtant, c’est aujourd’hui que j’en souffre pour la première fois, car je n’ai pas la force de les protéger. Et si j’ai pu me convaincre que ma force, c’était de les guider aux commandes, quand je me suis vu, en spectre polymorphe, fort et puissant, j’ai éprouvé un mal-être. Et tandis qu’un faux-moi dont j’envie la force m’a jeté comme une grenouille malpropre dans la rivière de notre usine, je me sens sale, mal, complexé et faible. Je me maudis, tandis que je m’extirpe de la vase de l’eau, sous une pluie de nénuphars…

9) L’enfant qui ne grandissait pas

Aujourd’hui, comme tous les matins, je me lève dans la plus grande plénitude qui soit. Tout me parait normal. La journée sera sans surprise. Ca ne me dérange pas.

Je pourrai toujours m’amuser à écouter et regarder les autres. Ils sont bizarres les autres. Ils parlent bizarrement et il rigole chaque fois que je parle. Moi, je ne les comprends pas, mais comme la vie suit son cours, je ne m’embête pas à trop réfléchir.

Quand j’ai de l’audace, je m’amuse à faire quelque chose d’incroyable. Essayer. Imiter. Comme en catapultant un verre d’eau avec ma fourchette. Un peu de changement s’est marrant.

Les autres me disent souvent que je suis un éternel enfant.
C’est ce que j’ai l’impression d’être, dans mon corps de pixel. Un enfant qui ne grandit pas.

Ce que j’ignore, c’est pourquoi les autres ne font pas comme moi ! C’est tellement agréable de ne pas grandir !

10) Quand la pluie pleure

L’équilibre est une chose précieuse, qu’il faut savoir entretenir. Le changement est une phobie qui touche beaucoup de personnes. Quand un organisme s’effrite, chaque membre en souffre.

Le splendide pentagramme s’est transformé en un austère carré. Ulrich a disparu dans l’expérience funeste.
Même si seules Aelita et Yumi pleure, en se rattachant aux beaux souvenirs partagés avec le jeune homme, les quatre orphelins d’amitié ont l’âme exsangue et pleurent d’invisibles larmes de sang.

Tous regardent à un moment de la nuit, la beauté du ciel nocturne et des étoiles qui, elles, n’ont rien perdu de leur équilibre. Ils en détournent les yeux, jaloux… La douleur est plus facile à supporter quand il pleut. Et quand il pleut fort, car il est plus facile de survivre au mal-être quand même la pluie pleure.

11) Rien qu’un dernier mensonge

Il était une fois, un petit garçon, qui rêvait toute la journée.
Il savait qu’il n’était pas très original, car ses rêves étaient les rêves de tout le monde : Ceux d’une vie d’aventure. Ainsi, le petit garçon dut s’habituer, chaque fois qu’une aventure lui semblait palpitante, à la vivre lui-même, en gambadant dans son jardin, en se déguisant, ou en fermant les yeux le soir, pour s’enfermer dans son rêve.

Là, où le petit garçon devint original, c’est qu’il fit le choix de ne pas changer et de continuer à vivre ses aventures, alors que tous ses amis s’en détournait.

Il comprit vite que dans le monde, les places pour les grands enfants étaient rares. Cependant, il persévéra. Il choisit de travailler au milieu des enfants. En les surveillant, au jour le jour, en quête de nouvelles idées d’aventures.

Mais comme en réalité, sa vie était bien monotone, le grand enfant décida de mentir, aux autres et à lui-même, sur son expérience. Il prit pour acquis, ce sur quoi il avait fantasmé. Et c’est pourquoi, chaque fois qu’il pouvait parler de sa vie, le surveillant inventait un mensonge, rien qu’un dernier mensonge, jusqu’à la prochaine question !

12) Le goût du mépris

Pour moi, chaque émotion a un goût bien propre.
L’amour est sucré, l’amitié salée. La honte est acide, la défaite amer.

C’est donc pour répondre à une fin que je dois prouver aux gens autour de moi que je suis le meilleur. Sans ça, je garderai un mauvais goût dans la bouche.

Pour éviter cela, il y a un sentiment que je tache de toujours conserver. C’est le mépris. Car quand il est satisfait, c’est une réelle explosion de saveur.

En revanche, le plus mauvais des goûts survient quand le mépris se retourne contre soi-même. Quand on ne se sent pas le meilleur ou que l’on est distancé. Si je hais Ulrich et Jérémie, c’est parce qu’ils me laissent toujours un sale goût dans la bouche…

13) Le trèfle qui n’existe pas

Les reproches de cette glousseuse me laissent de marbre.
Tandis que Mélanie prend une revanche frivole en m’énumérant l’intégralité des raisons qui font que notre relation a été nulle et vaine, j’attends, imperturbable, que cette nouvelle relation de deux jours puissent enfin s’achever, quand elle aura fini de déblatérer.

Depuis qu’entre moi et Sam, tout espoir de futur est fini, ces relations s’enchainent. Je refuse de laisser la vie me faire croire qu’il n’existe pas une fille parfaite. Une fille avec qui je serai en osmose totale… Une Sam en qui je pourrai avoir confiance… Une Sam droite… Alors je cherche cette perle rare… Ce trèfle à quatre feuille, avant de ne réaliser, coup après coup, qu’il n’existe peut-être pas… Ou que je n’en suis peut-être pas digne…

14) De l’acidité des remords

Mais que m’a-t-elle fait ?
Je me réveille comme d’une longue nuit. Des flashs me harcèlent. Je me revois, avant de m’embringuer dans cette aventure de fous. Je ne sais plus exactement ce qui s’est passé, je sais juste que je dois lutter contre ce mal qui me dévore de l’intérieur.

La voix de Yumi résonne. Mon visage se détend un peu, tandis que je pousse un petit cri plaintif. Désormais la mémoire m’est revenue. Je me demande encore ce qu’elle m’a fait. Mais plus Yumi, la Méduse.

Je serre les poings. Un mal indicible me ronge toujours. Mon cœur est un feu, ma tête en éruption. La voix de Yumi m’aide et je canalise finalement la douleur.

Quand je la regarde dans les yeux, son regard apitoyé me fait mal.
Aelita lui a-t-elle dit combien bêtement je m’étais emporté ? Son regard reflète-t-il la disparition du peu de sentiment qu’elle a pu avoir pour moi ? Va-t-il se changer en un regard réprobateur, pour toutes les misères que je lui ai fait subir malgré moi sur Lyokô ?

Je voudrais m’expliquer, mais je n’ose pas. Car j’ai trop honte et les remords me rongent. Et je préfère mourir d'embarras.

Pour me faire pardonner, je caresse une dernière fois le bras qu’elle me tend. L’émotion m’envahit. Je ne la mérite pas. Pour m’échapper, je me laisse aller à cette puissance occulte qui sommeille en mon cœur. Et c’est le noir total. A nouveau. Hélas pour me faire souffrir toujours plus, le marionnettiste démoniaque qui me tient au bout de ses fils me laisse entendre un cri plaintif d'une Yumi que je viens de frapper…

J’espère que je mourrai plutôt que d’être libéré et que je n’aurai jamais à souffrir de l’acidité de mes remords.

15) Jeux enfants, jeux méchants

Les enfants ne sont pas des anges. Ce sont des démons. Leurs jeux sont mauvais. On m’a souvent dit de ne pas jouer avec le feu. Je n’ai jamais voulu écouter. Je suis resté un enfant.

La première fois que je me suis opposé à quelque chose de mal, c’est le jour où j’ai quitté le projet Carthage et que j’ai décidé de la combattre. Mais au final, je ne valais guère mieux que le mauvais joueur, qui décide de détruire le jeu auquel il a échoué.

Se dissimuler pour mieux guetter l’autre. Tels des gangs d’adolescents rivaux qui se livrent une guerre. Ca a été une grande partie de ma vie.

Puis, à mon tour, j’ai fauté. J’ai joué avec le feu, pour brûler le projet Carthage. Mais j’ai créé pire. XANA. Et je lui ai donné sa plus forte arme : Mon Supercalculateur. Frankenstein des temps moderne, j’ai voulu, comme un caïd, créer un monde et me prendre pour Dieu.

Parce que j’ai joué avec le feu, j’ai vu ma femme m’être arrachée sous mes yeux. J’ai vu des meurtriers venir jusque chez moi. Continuant mon jeu d’enfant, j’ai voulu fuir, avec ma fille, dans un jeu dangereux que j’ai également créé.

Aujourd’hui, à mesure que ma vie disparait et que le jeu m’emporte, je réalise qu’un dicton est trop vrai.
Jeux enfants, jeux méchants.
Je paie pour l’avoir compris si tard.

16) L’autre côté de la barrière

« Dix !! C'est largement suffisant... Et voila le travail !
... Et Jérémie la prochaine fois profite du spectacle et laisse les vrais héros faire leur boulot... Ok !? »

Des mots qui résonnent dans ma tête.
Si seulement il savait à quel point c’est douloureux.

Le sait-elle ? Elle ?

Sans moi, le supercalculateur aurait été éteint parce qu’ils avaient la trouille. Sans moi, Aelita ne se serait jamais réveillée. Elle m’aime. Je l’aime. Plus que mes amis, je donnerai ma vie pour elle.

Seul parmi mes amis, je rêverais pouvoir enjamber le mur qui nous sépare. La toucher, ou même l’effleurer. Seulement un instant. Poser ma tête contre son épaule et fermer les yeux.
Mais je suis coincé de l’autre côté de la barrière, cherchant encore et toujours, le marteau pour la briser.

17) Goutte à goutte

Le coup de foudre n’existe pas.
Pourquoi ?
Parce que l’Amour ressemble en tout point à l’amitié.
Il nait d’un contact, grandit dans les mots, fleurit dans le rire et s’éternise dans le temps.
Comme l’amitié ne nait pas en un jour, l’amour ne peut pas naître si subitement.

Notre amitié s’est construite sur de blanches pages que nous avons remplis. En distribuant nos journaux, nous nous rapprochons et chaque sourire sur le visage d’un lecteur est aussi réchauffant qu’un feu de bois.

C’est ce qui nous motive, chaque mois, à imprimer notre feuille de choux. Car on sait, au fond l’une de l’autre, que le visage éclairé des lecteurs est le plus beau cadeau que l’une fasse à l’autre. Et c’est ainsi que dure notre amitié, goutte à goutte, dans des feuilles de papier.

18) Douces revanches

Il ne m’est pas toujours facile d’analyser les sentiments.
On ne m’a pas créé pour ça. On m’a créé pour détruire un projet. Dans la Haine. Un projet de destruction. De Haine. Le seul sentiment qu’on m’ait inculqué, c’est la haine. Un sentiment de solitude et d’indifférence.

Pourtant, aujourd’hui, la haine m’apporte une autre chose. Un sentiment de bien-être. Pour la première fois. C’est intense et si bon. La joie procurée par ces douces revanches.

D’un côté, mon père qui se livre à moi. Mon Créateur. Un père enfante par Amour. Lui, il m’a créé. Sans Amour. Sans projet à long terme. Sans se soucier des émotions que j’aurai aimé découvrir et qu’au cours de la lutte qui m’oppose aux terriens, que je n’ai fait qu’essayer de détruire.
Aujourd’hui, il est enfin vulnérable. Et mes Mantas le mitraillent. Chaque impact, chaque coup qu’il encaisse me fait frémir de bonheur. Paie ! Paie pour m’avoir abandonné ! Ton fils va te tuer !

De l’autre côté, elle. Sa fille. Celle qui a reçu de lui ce que je n’ai jamais reçu. Celle qui m’a provoquée de ses sourires heureux. Celle qui m’a combattu quand je l’ai séparé de son géniteur.
Aujourd’hui, j’ai plus gagné que jamais. Je jouis en la voyant se débattre et hurler à son père mourant.
Hurle ! Hurle enfant. Hurle jusqu’à ce que j’en ai fini avec lui et que tu t’effondres. Avant la fin, laisses moi savourer ces douces revanches.

19) Le temps qui file sous tes doigts alors que tu voudrais l’arrêter

J’ai toujours eu une peur secrète du temps. N’est-il pas la seule et unique chose qui est toujours lié à la mort ? Bien sûr que si, puisque c‘est lui qui nous l’apporte.

Tandis que je souffre dans cette lourde combinaison qui ne stoppe pas le froid, celle que j’aime est écrasée sous un arbre congelé et abattu. J’ai déjà prié le ciel en remerciement de ne pas lui avoir brisé le dos. Hélas les remerciements ne suffiront pas. Ayant installé une poulie, je tire sur une chaîne pour soulever l’arbre. Espoir vain. Effort pourtant obligatoire. Que faire d’autre ?

A vrai dire, je ne tire pas sur l’arbre. Je lance ma force contre le temps pour lui envoyer mon message : Jamais je te laisserai me la prendre !

Je m’excite, contre cet ennemi titanesque. Je déploie toute ma force dans les armes que j’ai trouvées pour sauver Yumi. Le froid me fait mal mais je tire contre le temps.

Vain espoir. Les chaînes se brisent et je chute. Le froid vient cette fois de l’intérieur de mon corps. L’insignifiant humain que je suis a fini de m’agiter face à l’ennemi qui me surpassait avant même que je ne le défie. Alors, je me glisse, désespéré vers Yumi, pour lui tenir chaud et si je devais la perdre, pour mourir avec elle, le cœur enfin gelé.

20) Ce pourquoi les fantômes n’existent pas

J’ai longtemps cru aux fantômes.
Comme toute petite fille, ils m’ont terrifié. Leur chaine sombre. Leur rire terrifiant.

Puis, à mesure que je grandissais, mes fantômes se sont matérialisés sous forme de loups qui me poursuivaient avec leur longs crocs. Ensuite, des hommes en noir, qui m’arrachèrent ma mère, bien en chair, avant de hanter mon quotidien sous forme de flash.
Et les spectres, dont j’étais la mortelle favorite en termes de hantise.

Oui. Ma vie fut remplit de fantômes en tout genre.

Mais aujourd’hui, je sais que les revenants n’existent que dans nos têtes.
Car s’ils avaient pu, papa et maman seraient revenus me voir. Et même si je n’avais pas pu les serrer dans mes bras, nous aurions pleuré à chaudes larmes tous les trois.

Ce soir, l’écho de mes pleurs m’a renvoyé cette vérité. Et le bruit de la larme solitaire qui éclate sur mon journal est la preuve de ce pourquoi les fantômes n’existent pas.

21) Parce qu’il ne te reste plus qu’à courir

Les décisions les plus marquantes de la vie sont toujours les plus difficiles à prendre.
Accepter un amour, ou y mettre fin. Stopper une amitié et accepter une perte.

Ce sont des luttes continuelle puisque tout les jours, il faut continuer à les assumer. La lutte contre XANA touche à sa fin et sur le territoire Banquise, tu me rappelles une chose que je n’arrive pas à croire que j’ai pu dire…

« Copain et pis c’est tout ? »

Est-ce de ma bouche que c’est sorti ?… C’est vrai… Je me suis surestimée… Chaque fois que nos yeux se croisent, je me sens honteuse. Je me suis menti. Je t’ai menti. J’espère que tu me pardonneras et que tu voudras toujours de moi.

En attendant, il ne me reste plus qu’à courir, pour échapper à cette décision stupide que j’ai prise.
Néanmoins, je veux que tu saches, que mon plus grand espoir est qu’une racine me fasse trébucher et que ce soit dans tes bras que j’atterrisse…
Alors, priant de toutes mes forces, je cours… Est-ce que tu me poursuivras ? S’il te plait… Poursuis-moi…

22) Ici, le loup ne t’attrapera pas

Des pleurs me réveillent dans la Nuit.
Je prends mon temps pour me secouer. Je suis sereine. Comment pourrai-je ne pas l‘être ? Ici, tout me semble ordonné. Dehors, la neige et belle et les murs du chalet me protège de son froid. Dans la cheminée, la bûche n’a pas fini de crépiter, répandant une douce et agréable chaleur.

Toutefois, la plus agréable chaleur émanait du corps de mon mari, endormi paisiblement. Beau. Pas aux yeux de la Beauté universelle des beaux mecs musclés et virils, pourtant si resplendissant dans son sommeil, là où aucun tourment n’altère les traits de son visage.

Là, j’approche du berceau de mon bébé qui pleure. Je prends Aelita dans mes bras, qui se tait instantanément. Petit Ange. Elle sait qu’ici, pour elle comme pour moi, le loup ne nous attrapera pas !

23) Joyeuse déception

« Ouais c’est ça ! À demain ! À demain toi... Bonne nuit !
- Ouais... bonne nuit... ! »

Plénitude.

« Quoi ? Qu’est-c’qui y’a ?
- Tu veux des gyrophares en plus des pancartes ?!
- Qu’est-c’ que t’attends ?! Hein ?!
- Tu sais, ils n’ont pas tort Ulrich ! Allez faut qu’tu t’lances ! »

Angoisse. Et si le rêve devenait réalité ? Est-ce vraiment possible ? Ca n’est pas moi qui rêve ?

« Quoi, là ce soir ?!
- Non ! Attends plutôt que fatiguée de t’voir hésiter, elle sorte avec un autre mec ! Là t’auras toutes tes chances ! »

Il a raison.
Alors que les quatre personnes en qui j’ai le plus confiance me supportent, je pars, en courant. Je me sens porté par le vent. Rien ne pourrait m’arrêter dans ma déclaration.
Si seulement j’avais pu la faire… Mais ce que je vis me stoppa net.

Mon retour fut une épreuve. Ce n’est pas le vent mais tous les éléments qui ont semblé se liguer contre moi.

Lorsque je m’assois sur mon lit, je réalise que tout est vrai… J’ignore les questions de mes amis.
**Fermez-là… Laissez moi cuvez ma joyeuse déception**

24) Il ne te reste qu’une heure

Nostalgie.
La maladie du passé.

N’importe qui l’éprouve au moins une fois dans sa vie !
C’est un passage normal. Ne pas être nostalgique, c’est ne pas avoir eu de vie. Ne jamais avoir eu un instant de bonheur auquel repenser. C’est inhumain de ne pas être nostalgique.

Malgré les coups durs, c’est une page de notre vie qui est en train de se tourner. Nous avons tous le baume au cœur. L’acte sera dur. Mais maintenant que nous en avons parlé, nous savons que nous n’aurons pas le choix. Il nous faudra éteindre le supercalculateur.

Alors, durant la dernière heure de cœur qui nous sépare du rendez-vous avec la machine, nous nous sentons tous mal. Vie merveilleuse et exceptionnelle que nous avons vécue. Vie qui nous a liés et rapprochés… Nous te regretterons, quoiqu’on en dise. Si tu savais à quel point nous sommes désolés, qu’il ne te reste qu’une heure…

Pardon de te terminer. Pardon de ne pas avoir su combien on te regretterait.



...

Fini. En espérant que ça vous ait plu ! A Plus !
_________________
http://img.codelyoko.fr/upload/files/1197977355_142.png

Les fleurs naissent, puis se fânent. Les étoiles brillent puis s'éteignent. Ainsi, la galaxie et notre Univers tout entier seront, un jour, amenés à disparaître...
A côté, la vie d'un homme ne représente qu'un éphémère battement de cils... Durant ce temps, l'homme naît et grandit, il s'amuse et se bat, il aime et déteste, il est heureux, puis triste... Tout ça, en un très court instant...
Avant de tomber dans un éternel sommeil qu'est la Mort...


Dernière édition par Shaka le Dim 23 Fév 2014 01:18; édité 2 fois
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iggy-fol MessagePosté le: Mar 03 Juin 2008 09:35   Sujet du message: Répondre en citant  
[Frelion]


Inscrit le: 25 Déc 2007
Messages: 95
mdr,génial,trop top,number one,extra bleu ciel, vite la suite, pas mal , (0~0) , et j'en passe et des meilleurs, cool ,

voila la liste de tous se que tu veux pas comme réponse

soyons serieux .

pour parler de la globalite chaque lecteur doit sûrement y trouver quelque chose qui le touche.
j'ai particulièrement apprécie les drabbles 1 - 14 - 22

1) Dans la pureté de la pénombre

il met en scène Williams dans la saison deux
le rendu des sentiment intérieur de William est bien rendu bien que je les aurait plutôt associe a ulrich.( je parle la en tant qu 'auteur)
c'est dut a un question de circonstance qui finalement détermine nos actes.

14) De l’acidité des remords

encore William mais dans la saison 4
suicidaire le William j'en sait rein, mais pour faire court c'est " je t'aime mais pas toi je te fait souffrir et j'en souffre"
il est le mal aimée ( et voila en 5 mots je résume sa vie)

22) Ici, le loup ne t’attrapera pas

sa résume par la présentation des sentiment d'un personne que l'on s'imagine connaître.

tu m' excusera de presenter les choses de cette manière, mais c'est mon style.

http://i222.photobucket.com/albums/dd247/iggy-fol/code%20lyoko/ryokoworldv1.jpg

-----------------------
mes fanfics : les blagues belges de xana.
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ma fan movie : code ryoko
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Superfan MessagePosté le: Mar 03 Juin 2008 14:56   Sujet du message: Répondre en citant  
Commentateur de fics


Inscrit le: 14 Fév 2008
Messages: 507
Ouais ! Une nouvelle fic de Shaka ! Bon, avant de commenter quoi que ce soit, je voudrais récapituler les narrateurs de chaque "Drabbles" :

Spoiler


Bon bon bon... Alors, on va le dire tout de suite : je n'aime pas ce principe de "Drabbles".
Pour moi, une histoire, qu'elle qu'elle soit, se doit d'être plus long. On ne peut pas, en seulement quelques lignes, raconter toute une histoire, toute une vie, tout un sentiment. Mais ce n'est que mon humble avis ^^
Ce qui est tout de même assez "fort", c'est que tu as réussi à adapter les thèmes proposés à ce que toi, tu voulais raconter.

M'enfin bon, même si je n'ai pas aimé ce principe, il n'empêche que c'est (comme toutes tes fics) magnifiquement écrit. Parmi ces 24 morceaux d'heures, il y en a un que j'ai quand même bien aimé, c'est le 18 "Douces revanches", du point de vie de XANA. XANA qui est tout de même le personnage dont on ignore le plus de choses... Dont on ignore ses sentiments, dont on ignore s'il en a. Et là, tu nous présentes un XANA au sommet de sa puissance, alors qu'il sait qu'il va mourir. Je sais pas vous, mais moi je trouve ça... noble. On a enfin l'impression qu'il n'est pas seulement un "méchant pas beau", mais qu'il est aussi un personnage à part entière.

Donc, pour récapituler, je n'ai pas aimé le principe des drabbles, mais certains de ces "morceaux de fics" sont tout de même très appréciables. Ce que j'ai bien aimé aussi, c'était d'essayer de deviner à chaque fois qui était le narrateur ^.^
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Math MessagePosté le: Mer 04 Juin 2008 13:56   Sujet du message: Répondre en citant  
Math Rang


Inscrit le: 30 Déc 2007
Messages: 1196
Localisation: Avec Dora, mon héroïne préférée.
C'est une bonne idée de faire autre chose qu'une fic. Le principe des drabbles est original. Comme Superfan, je n'accroche pas trop. Des petits chapitres qui n'ont aucun rapport, c'est pas mon truc. Deviner qui est le narrateur à chaque fois était marrant. Certains drabbles sont très bien, d'autres moins bien. C'est recherché du point de vue des chapitres d'amour. Tes hypothèses sur les fantômes, les loups sont très problables. A mon avis, c'est presque un peu trop compliqué, au point que j'ai zappé certains passages de drabbles Rolling Eyes. Mon préféré est le 18. Bonne idée d'exploiter XANA sous sa facette d'"humain" qui réfléchit, plein de pyschologie. Celui que j'aime le moins est le 24. C'est sur ces passages là que j'ai zappé. Une idée originale, des drabbles plus ou moins bien donnent une histoire appréciable.
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Merci à Chdidi pour mon pack, à Iceberska pour l'userbar et à KiiSka pour la barre de rang !
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missM MessagePosté le: Mer 02 Juil 2008 14:27   Sujet du message: Répondre en citant  
TV addict


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Localisation: 59
Mon avis rejoint à peu près les précédents, les drabbles c'est bien plus original que les fanfics, certaines sont géniales, d'autres moins, on a l'essentiel de l'histoire, ça tourne pas autour du pot, mais du coup on a moins le temps de rentrer dans l'histoire, et puis c'est amusant de chercher qui est concerné. En tout cas, généralement j'ai beaucoup aimé.
Faisons les choses dans l'ordre.

J'ai apprécié la numéro 3) Et quand tes yeux croisent les miens, car Sissi n'y ai pas montré sous le côté peste que tout le monde lui accorde sans regarder au delà.

Dans le numéro 5) Vos caprices me peinent, je fut quelque peu surprise, pas énormément mais je pensais que cela concernait Aelita, Jérémie et Odd puisque Jérémie était mentionné jusqu'à ce qu'il soit évident que c'était à propos de Yumi, Ulrich et William.

Le 6) En souvenir de…, m'a semblé bien triste. La solitesse d'un veuf qui a l'impression que sa fille et lui sont complètement étrangers. C'est comme ça que je l'ai ressenti.

Le numéro 7) Le bruit des cloches, j'aime bien la manière dont Aelita vit ses débuts sur terre. Que les nouvelles informations qu'elle reçoit passe après ses sentiments.

Le 8)Sous une pluie de nénuphars, me plait dans le sens où Jérémie réalise sa faiblesse physique. Ca rejoint un peu le 16) L’autre côté de la barrière, où il souffre de ne pas être comme les autres, mais aussi de ne pas être vu comme un égal.

Le 11) Rien qu’un dernier mensonge, et je pense une très belle hypothèse sur la véritable nature de Jim. Ce doit être parmis mes favorites.

Le numéro 12) Le goût du mépris, est un bon mélange des saveurs. J'aime bien comment elles sont associées à des émotions, et aussi la manière dont Hervé et concerné, Ulrich qui interesse Sissi, et Jérémie qui le surpasse intellectuellement.

C'est dommage que dans le 13) Le trèfle qui n’existe pas, Odd soit aussi pessimiste. Il me semble bien plus optimiste que l'image que tu en as donné. Après on peut se dire qu'il s'est forgé une carapace et que c'est ce qu'il y a en dessous que tu as retranscrit.

Le numéro 14) De l’acidité des remords, nous donne une bonne image de ce qu'à pu ressentir William quand il était du côté des forces obscures de Lyoko.

Le 15) Jeux enfants, jeux méchants, me donne un avis mitigé. Dans un sens on a les regrets de Franz/Waldo mais dans l'autre... en fait je sais pas... je crois que c'est pas mauvais mais j'accroche pas.

Le numéro 17) Goutte à goutte, est encré de vérité et c'est un gros point positif.

Le 18)Douces revanches est très plaisant car on y découvre un XANA presque humain, juste déçu d'avoir été renié par son père, qui n'a d'yeux que pour sa fille.

J'aime beaucoup le début du 19) Le temps qui file sous tes doigts alors que tu voudrais l’arrêter, "J’ai toujours eu une peur secrète du temps. N’est-il pas la seule et unique chose qui est toujours lié à la mort ? Bien sûr que si, puisque c‘est lui qui nous l’apporte." Ca me parle, et c'est tout ce que j'ai à dire là-dessus.

Je ne suis pas d'accord avec ceci, le 20) Ce pourquoi les fantômes n’existent pas. Ca n'a pas rapport avec ce que tu as écrit, mais moi j'ai l'intime conviction sont des ames perdues qui n'ont pas trouvé la paix èrent et apparaissent parfois aux vivants sous formes diverses, une forme, une lumière, un son ou même un rêve. C'est pour ça que là j'ai pas accroché.

Le 22) Ici, le loup ne t’attrapera pas, me parait comme un mélange de sérénité et d'inquiétude. D'un côté on a une Antéa paisible, ainsi que sa famille, mais de l'autre il y a l'évocation du changement de nom, ce qui nous rappelle un passé lourd et le risque que leur couverture soit découverte.

Le numéro 23) Joyeuse déception, est à mon avis trop proche de l'épisode concerné. L'état d'esprit d'Ulrich aurait pu être plus creusé ou je ne sais pas, mais là je trouve ça un peu trop calqué sur l'épisode.

Et puis voilà, j'ai commenté une bonne vingtaine de drabbles sur 24 et là je dois bien avoué ne plus avoir grand chose à dire alors voilà.
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