Coucou les gens ! x) J'ai (enfin ? ^^' ) décidé de poster ma Fic' ici, j'espère qu'elle vous plaira, en tout cas n'hésitez pas à commenter, bons ou mauvais commentaires, je prends de tout ! ^^ Et puis, je suis bien déterminée à m'améliorer. ^^
Spoiler
CHAPITRE 1 :
Onna
Le monde.. Si nous devions le décrire que dirions nous ? Et si à force d'y vivre nous avions perdu ce coup d'œil ? Le monde, ce n'est après tout que des plateaux, des plaques, assemblées les unes aux autres. Des étendues de Terre, submergées d'eau d'une couleur saisissante... Depuis toujours, disons nous, l'homme y vit, et y a marquer son territoire. Bien qu'ici-bas, des centaines d'espèces animal se disputent cette Terre avec son maître. Mais, que savent réellement les hommes, femmes, et bêtes, de cet univers ..? Ce que l'on a bien voulu leur dire, ou plutôt, leur faire croire. Et si, par le plus grand des hasards, tout cela n'était pas vrai ? Si les chercheurs du monde entier n'avaient tout simplement aucune hypothèse, ou mieux encore ! Si ce qu'ils avaient découvert leur avait fait peur ?
C'était un matin automnale. Une douce brise procurait un agréable frisson sur les joues de rares personnes déjà dehors. Hormis celles-ci, les lumières s'allumaient, ainsi que les murmures qui commençaient à s'échapper des logis. Tout commençait à reprendre vie, tout doucement. A s'échapper du monde des rêves, et de la noirceur ténébreuse, pour revenir dans ce que l'on appel la réalité.
Qui aurait put soupçonner, dans ce calme apparent de jours paisibles et habituels, que le monde était sur le point de recevoir une visite, qui pourrait dans le meilleur des cas faire exploser la Terre en millions de fragments rocheux ? Et pourtant, en ce mois de Novembre 2012, pendant que les enfants à peine réveillés se préparaient déjà à leur journée d'école, aussi subitement qu' inévitablement, une jeune fille ouvrit les yeux.. De grands yeux roses, aux reflets rouges sang.
A l'inverse, sa peau était teintée verte émeraude. Sur celle-ci apparaissaient des tâches plus foncées, ou plus clairs selon les endroits, et la luminosité existante. Ses mains étaient palmées; et son dos cranté, histoire de faire dépasser des ailes en métal.
La fillette était attachée par des câbles électriques aux mains et aux jambes, et sa tête était reliée à un complexe informatique assez futuriste grâce a des électrodes. Cependant, elle n'y prêtait que peu d'attention. Elle explora quelque peu la pièce, quand quelque chose attira son regard, une chose lumineuse. Une fenêtre de 10 centimètres environ, recouverte de moitié par la poussière qui s'était installée.
Intriguée, et presque possédée, l'humanoïde s'entoura d'une lueur marron. A cet instant précis, l'air alentour devient oppressant, presque irrespirable. Mais de son côté, l'adolescente se défit de ses chaînes, comme d'un simple branchage posé sur elle. Une fois libre, elle se jeta sur la fenêtre en la brisant en centaines de morceaux. Elle se protégeait le visage, puis elle le lâcha brutalement en dépliant ses ailes métalliques.
Après une chute brutale, elle commença à planer, pour finir sa route tel un tourbillon céleste. Puis, arrivée à une bonne altitude, elle revint vers un chemin plus classique, en battant des ailes à la façon gracieuse d'un papillon. Elle ne savait pas où elle était, ni même d'ailleurs qui elle était. Elle se contentait pour le moment de virevolter, comme emportée par le vent..
Qu'est ce qu'elle était ? Elle ne pouvait tout simplement pas être humaine ! Et d'où tenait-elle le pouvoir de voler ?
Une chose était sure, elle ne savait pas quelles étaient ses pouvoirs, elle ne savait pas exactement les maitriser, ni quelle était leur limite !
Et effectivement, arrivant aux environs d'un collège/lycée, une de ses ailes se replia subitement. Arrivée trop près de la Terre, ses ailes devenaient inutiles, alors elles disparurent. Sa peau teintée de vert disparut elle aussi, laissant place à une autre, légèrement bronzée. Les doigts de ses mains se détachèrent maladroitement, quant a ses yeux, ils prirent la teinte émeraude de sa peau originelle.
Ses cheveux bleus azurs devinrent légèrement rosés, attachés avec une pince et apparaissant sur le devant comme deux longues couettes, sauf deux mèches bouclées devant son visage. Pour finir, son armure métallique – plus fine que ses ailes – disparut à son tour; laissant place à une courte robe décolorée, et trouée à diverses endroits. A la suite de cette transformation, elle s'écroula. Retombant inerte sur le sol de la cour du collège qu'elle survolait encore il y a quelques secondes.
Attirés par ce bruit étrange, les collégiens, lycéens, et instituteurs se hâtèrent dehors pour voir se qu'il se passait. Là, ils virent la Fillette allongeait par terre. Peut-être plus instinctivement que par gentillesse, des professeurs l'emmenèrent à l'infirmerie de l'école; avant de rentrer en cours, comme si de rien n'était.
Puis les cours se succédèrent, indubitablement; quand la sonnerie de fin des cours retentit dans l'établissement. Les collégiens et lycéens sortirent de la salle puis rentrèrent chez eux, pour les externes, tandis que les internes retournèrent dans leurs chambres. Tous, sauf un groupe de 6 adolescents en classe de 4e. Ils avaient assistés à la venue inopinée de l'adolescente arrivée par les airs, et décidèrent d'aller se renseigner et prendre de ses nouvelles. Parmi ces collégiens 2 garçons, Tony et Julien. Ce premier était assez petit et brun, avec des yeux bleus azur. Julien, lui, était le plus grand du groupe, jeune blond aux yeux verts, il était aussi le plus vieux avec quelques mois d'avance. Tout deux avaient un air tantôt plus mature, plus mystérieux ou drôle, et ils portaient l'uniforme de l'établissement; soit un pantalon marron-gris clair, et une chemise blanche-beige rayée sur les manches seulement de la couleur du pantalon. Pour finir à cette tenue, ils portaient une cravate de la couleur originelle des yeux de la créature, et de simples chaussures noirs.
Avec eux, 4 autres filles : Amélie, Margaux, Anna et Farah. Amélie était assez grande, de peu plus petite que Julien, avec de longs cheveux châtains et de grands yeux marrons. Ses passions ? L'écriture, et le Japon. Le plus clair de son temps libre – sans ses amis – lui servait à écrire, sur le Japon très souvent.
Margaux, elle, avait des cheveux châtains très clairs, avec une frange qui cachait presque entièrement son œil droit, celui-ci, comme le gauche, était bleu clair. Toujours de bonne humeur, elle savait garder le sourire et le transmettre à ses amis.
Anna, elle avait de courts cheveux blond-châtains avec sa raie sur le côté gauche. Tout comme Margaux, elle possédait de beaux yeux bleus clair, mais, avec des reflets verdâtres. Et enfin, Farah. C'était la plus petite des filles du groupe, elle avait des cheveux coupés à la hauteur de son cou, châtains foncés, et des yeux de la même magnifique couleur.
Les 4 jeunes demoiselles portaient elles aussi l'uniforme de l'établissement, à savoir une jupe rose, de la couleur de la cravate des jeunes hommes, de longues jambières repliés sur elles même à la hauteur des genoux beiges. Une chemise de la même couleur, avec également une cravate de la couleur des jupes, et des petites bottines noirs.
Les adolescents toquèrent à la porte de l'infirmerie avant de rentrer à l'intérieur de celle-ci. Là, ils trouvèrent la créature allongée dans un lit, et qui avait revêtue la tenue de l'internat. Ils entourèrent lentement le lit, en essayant de ne pas la réveiller, ils murmuraient quelques paroles, très bas :
«_ Vous croyez qu'elle vient d'où ..? Questionna Julien.
_ Comment on pourrait savoir ça ? On la juste vu... Commença Amélie.
_... Tomber du ciel. Termina Farah, d'un air suspicieux. »
Malgré le silence pesant, la Fillette ouvrit ses grands yeux verts émeraudes. Elle regarda le groupe d'amis, quand quelqu'un prit la parole.
«_ Hum.. Bonjour ! Comment tu t'appelles ? Moi c'est Margaux, enchantée ! Lui sourit l'adolescente.
_ Euh... La créature tenta de répondre, mais sa bouche s'ouvrit indépendamment de sa volonté; je m'appelle Onna. »
Doucement, mais elle avait parlé. Enfin, elle n'en était pas sure...
Ses sons étaient sortit de sa bouche, mais est-ce qu'elle contrôlait vraiment ce qu'elle disait ? Ou est ce que la discution était juste perceptible, pas contrôlable à sa volonté ?
Le groupe d'amis était heureux de savoir qu'Onna allait bien, mais Anna restait perplexe devant l'intitulé de son nom. Aussi elle ne tarda pas à lui en faire réflexion...
«_Onna ? Ça ne veut pas dire ''créature'' ça ?
_Je.. je ne sais pas. C'est mon nom, le reste, je n'en sais rien. Répondit-elle, désolée.
_ Et euh, sinon tu viens d'où ? Demanda Tony.
_Je … je l'ignore !
Les amis se regardèrent, intrigués. A tel point qu'ils avaient envie d'en savoir plus sur cette mystérieuse jeune fille et son histoire fantastique à leurs yeux !
_ Alors tu vas rester ici ? Demanda Amélie.
_ Ça tombe bien ! Renchérit Farah, on est tous interne ici nous. »
Finalement, l'infirmière entra et vint perturber leur rencontre.
«_ Bonjour, Mme Myssa. Dirent, étonnés, les adolescents.
_ Bonjour les enfants, il vaut mieux que vous partiez, Onna Alcara a besoin de sommeil. »
Les enfants s'exécutèrent, et sortirent de la salle, laissant Onna seule avec l'infirmière. Les adolescents s'en allèrent alors en direction du réfectoire.
Une fois qu'ils furent installés, avec leurs plateaux, sur une table, leur discution reprit son cour.
«_ N'empêche que je me demande bien d'où elle vient ! Dit Amélie.
_ Peut-être s'était-elle perdue ? Proposa Julien.
_ Quand même, se perdre dans la cour d'un collège tu trouves ça normal toi ? Contredit Tony.
_ Mais si..
_ Si, quoi Anna ? Demanda Margaux.
_ Si elle venait vraiment du ciel ?.. »
Coucou n'Estel!
Tu sais déjà une bonne partie ma réfléxion sur ce Chapitre mais je vais te le re-dire plus détailler x)
Je dois dire que j'aimes beaucoup les personnage (gros clin d'oeil à Shuyin, Lillie, Mya, Lyoko2, Darkee ) Anna est le personnage qui me resemble je dirai le plus ( )
J'apprécie particuliérement comment tu formules tes phrases et les mots que tu emploies. Les Dialoges donnent vraiment un air d'Amitier. Ce qui est vrai d'ailleur ^^
Une super idée, je dois dire que j'admire tes talents d'Ecrivain
En tout cas le mot de cette fic serait: Parfait!
J'attends avec impatience la suite et Bonne Continuation!
Merci Punkoo, ça me fait plaisir. ^^' Je ne pense pas que ce soit aussi parfait, mais l'avis du lecteur est plus important que le mien après tout
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Sur ce, voilà la suite ! Sans le vouloir, je me suis trompée, cette suite n'est pas le chapitre 2, c'est la suite du chapitre 1. Désolée, pour la suite je ferais attention ^^"
Spoiler
Le lendemain matin, les six amis étaient à nouveau réunis autour d'une table du réfectoire. Une fois encore, leur discution était perturbée par leurs pensées envers Anna et son arrivée furtive.
«_ Effectivement, c'est étrange. Dit Farah.
_ D'ailleurs... Vous trouvez ça normal, vous, qu'elle atterrisse comme par hasard dans la cour de Wirda-Nilme – soit le nom du collège/lycée - ? Questionna Julien.
Soudainement, la fan du Japon releva la tête de son bol de chocolat chaud, pour continuer la conversation.
_ Ça n'existe pas, le hasard. Si elle a attérit ici, alors c'est qu'il y a une raison.
_ Maintenant que j'y pense, elle est arrivée dans la ''petite-cour'' . Or, il n'y a aucun accès direct, sans passer par les bâtiments. Avoua Anna.
_ Le pire, c'est qu'elle même n'a pas l'air de se souvenir de tout ça ! Termina Margaux.
_ On ferait peut-être mieux de ne pas s'intéresser trop à elle. Après tout, on ne sait pas qui elle est... Reprit Amélie.
_ Effectivement. Acquiesça Tony.
_ Oui mais, et alors ? Elle n'a pas choisie d'être ce qu'elle est.. Il faut parfois savoir voir plus loin que se que l'on nous montre ! Rectifia Anna.
_ Bon, très bien. Alors on fait quoi ? Demanda Amélie.
_ On a pas vraiment le choix : on attend, l'avenir nous dira le reste. Termina Margaux. »
Après ce déjeuner, les adolescents rejoignirent leur salle de cour. Anna était placée près de la fenêtre, à côté de Farah; devant elles il y avait Tony et Julien. Puis, sur leur droite, Amélie et Margaux. La salle de cour était d'une sobre couleur beige, avec quelques affiches sur les murs; des exposés d'élèves, mais aussi des cartes de pays, sans oublier des documents tels qu'une affiche sur ''les droits de l'homme''.
Puis leur professeur entra. Elle était de taille moyenne, avec des cheveux courts et bruns. Sur son ordre, les élèves de la classe s'asseyèrent. Puis Mme Olosta distribua des copies à tout les élèves. Mais étrangement, la plus part des personnes avaient l'air calmes, et pas si tendues qu'elles devraient l'être.
Inopinément, quelqu'un toqua à la porte, le directeur fit irruption dans la classe. A son entrée tout le monde se leva, il rejoignit le centre de la salle pour parler.
«_ Bonjour, asseyez vous. Aujourd'hui, votre classe va accueillir une nouvelle élève. Elle se prénomme Onna, merci de lui faire un bon accueil. »
Après cette révélation, il partit, en laissant passer Onna par la porte, avant de s'en aller. Celle-ci s'assit derrière Anna. Puis le cour continua normalement, le contrôle avançant. Comme toujours, certains élèves finirent en avance, mais d'autres laissèrent aussi leur feuille blanche. Ensuite, la sonnerie rappela à tous l'heure de changement de cour. Les élèves rendirent leurs copies, rangèrent leurs affaires, puis prirent la direction du cours de Français.
Un cour normal, une simple étude de Texte, ''L'intersigne'' se nommait-il. Quand le professeur décida de tester les connaissances d'Onna en l'interrogeant. Il lui demanda simplement de s'avancer vers le tableau pour corriger un exercice que les élèves avaient pour devoir de faire. Onna se trouvait donc devant le tableau, la craie dans les mains... Et puis rien. Elle regardait le tableau, puis le professeur, et à nouveau le tableau.
«_ Et bien alors Onna, écrit ! Lui dit-il. »
Mais Onna n'entendait que les murmures qui venaient de derrière elle et qui semblaient se moquer d'elle. Toute fois, elle prit la craie dans sa main, et commença à l'appuyer sur le tableau noir. Mais à la place de phrases et de réponses s'inscrivit une succession de chiffres et de lettres : '' PA3D1C_10Z ''.
Le professeur ne savait que rajouter d'autres à ça, mais de toute façon il n'en eut pas besoin. Après avoir inscrit ce semblant de code au tableau, Onna sembla avoir quelques maux de tête; elle tenait cette dernière entre ses mains : en vain. Finalement elle finit par s'écrouler sur elle-même.
Les élèves se levèrent tous pour voir comment se portait Onna, puis le professeur sortit de la salle pour aller chercher un surveillant. Pendant ce temps les élèves essayaient d'élucider ce problème, certains étaient apeurer de voir la malheureuse allongée sur le sol. De leur côté, le groupe d'amis n'attendit pas. Eux se dirigèrent vers Onna, en lui maintenant la tête en hauteur.
Et, pour le bonheur de tous, la Fillette rouvrit les yeux. Mais, ses yeux justement, ils étaient étranges. Leur magnifique teinte verte émeraude disparaissait en laissant place a des yeux d'une saisissante couleur de sang... Elle ressentit la même chose que lorsqu'elle avait attérit dans le collège et qu'elle avait prit une forme ''humaine'' ! Elle mit ses mains devant son visage et les regarda, elles faisaient comme des flash, apparaissant et disparaissant à leur guise, à chaque fois d'une couleur différente. Avant que sa véritable apparence ne soit révélée aux yeux de tous, elle se releva et sortit de la salle. Elle courait comme elle pouvait, essayant de ne pas trébucher !
A un croisement, elle croisa le professeur de Français avec le surveillant. Elle les bouscula involontairement en voulant passer, et continua son chemin.
Dans la classe, les élèves ne savaient plus quoi penser : ils étaient perdus.
Tout cela avait-il eut lieu ? Et, qui était réellement Onna ?!
Pas le temps pour les questions ! Il fallait juste courir. Aussi, Amélie se lança à la poursuite d'Onna, tandis que ses amis essayèrent d'aider les élèves encore sous le choc. Ils ne savaient pas réellement pourquoi ils faisaient ça, mais ils sentaient qu'il fallait le faire à fond ! La fan du Japon bouscula à son tour le professeur de Français, et ne s'arrêta pas non plus.
La créature, elle, se sentait trop faible pour maintenir son état. Et pourtant ce n'était pas elle qui s'était changé en atterrissant dans l'école; se pourrait il que ses pouvoirs soient limité une fois sur Terre ? Sans savoir ce qui se passait, des larmes coulaient le long de ses joues.
Onna avait finalement réussi à sortir du bâtiment. Avec un sentiment d'étouffement, elle abandonna l'uniforme du collège pour reprendre sa combinaison en métal. Ses cheveux abandonnèrent leur couleur rosée et redevinrent bleus azurs. Ses doigts se re-palmèrent et laissèrent réapparaitre leur teinte émeraude.
C'est à ce moment là qu'Amélie fit irruption derrière l'adolescente. Elle tenta de la retenir en l'agrippant par le bras, mais Onna s'envola immédiatement vers le ciel.
Onna se rendit alors compte de ce qu'il se passait. Elle rentra à l'intérieur d'un bâtiment par une fenêtre brisée, puis fit disparaître ses ailes.
«_ Enfin... Murmura-t-elle.
_ Enfin quoi ? Et on est où exactement !? Demanda Amélie. »
Elle regarda autour d'elle; la pièce était étroite et ses yeux ne s'habituaient pas à l'éclairage blafard. Puis, son regard se stoppa sur un siège entouré d'électrodes et de câbles électriques. Ils étaient reliés à un ordinateur.
«_ C'est ici... Continua la créature.
_ Ici que quoi, à la fin ? »
Onna ne répondit pas. Elle se rapprocha de l'ordinateur, et appuya au hasard sur deux boutons. Sortirent alors du soldes des dizaines de fils électriques. Onna se retourne, indifférente, vers Amélie. Les fils se rapprochaient d'elle, ils la retenaient prisonnières d'ailleurs !
L'adolescente fut transpercée par l'électricité qui passait dans ses chaînes, en même temps que celles-ci la soulevaient en l'air. Alors, un cri sortit du plus profond de ses poumons. C'était à vous glacer le sang... Un de ces bruits qui torture votre âme, à son écoute; plus un son, plus un geste.
Ce cri qui s'élevait dans le ciel paraissait annoncer quelque chose, quelque chose d'horrible. Et soudain, il cessa.
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