| Yurietsute |
 Posté le: Dim 29 Avr 2012 01:34 Sujet du message: [Fiction] Don't leave me |
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Chris Colfer's fan
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Cet fiction est en quelque sorte une biographie. Non, je ne fais pas ça par pur orgueil. C'est une biographie d'un amour que j'ai connu et qui me reviens à la surface. Cette histoire relatera les moments clés et mes réfléxions sur la vie et l'amour. J'espère que ce ne sera pas ennuyeux, que mon style d'écriture sera agréable et que la fiction vous plaiera et touchera quelqu'un d'entre vous.
Je commence par le prologue et un chapitre d'introduction pour comprendre la vision globale du personnage (moi). Les caractères et mentalités évolueront au fil des chapitres. Un peu comme les frères scott XD ! Surtout que je commence au collège et je finierais au BTS. Enfin quelques parts, si cela durera plus longtemps que je crois, ca peut être plus loin.
Je me rends compte que l'heure tourne, je suis inspirée niveau style d'écriture ce soir XD !
Bref, enjoy 
Prologue.
Assise sur mon lit, pleins de questions me vinrent à l’esprit. Tellement de choses ce sont passées depuis ses six ans. Les yeux dans le vide, l’ipod en marche, je réfléchissais aux différentes solutions. Je ne savais que faire, je ne savais pas si cette solution était la bonne. Je posais la tête sur mon oreiller, la seule chose que je savais était que je repris espoir mais cela m’émanera sans doute à un fléau.
1.
Mon année de primaire s’achevait. Beaucoup d’enfants furent joyeux, ils rigolaient ensemble. Ils courraient, chahutaient, jouaient au ballon. Quand à moi, je les regardais joués…J’étais seule au fond de la cour. Une chose que j’avais l’habitude. En effet, pendant ses six ans, je n’avais vécu qu’un cauchemar que je croyais sans fin. Les gens, les professeurs ne m’appréciaient guère et c’était réciproque. J’essayais néanmoins de m’ouvrir et de jouer, comme une enfant. En revanche, je n’avais aucune estime de moi, je me haïssais et je pensais que tout le monde avait la même image que j’avais pour moi-même. Donc quoi que je faisais, mon comportement reflété ce que j’éprouvais…Je les comprenais quelque part…
Quand ce fut le dernier jour, j’étais heureuse ! Plus jamais j’aurais à faire à eux. Je pourrais enfin changer, on pourra enfin m’aimer. Je regardais encore une fois tous les élèves s’amusaient, les professeurs souriant. Je fais signe d’adieu avec une grande satisfaction.
En rentrant chez moi, mes parents m’accueillirent et me demandèrent comment c’était passé cette fin d’année. Je ne cachais point mon bonheur, j’étais enfin parti de ce lieu que je détestais tant ! De nature franche, je disais mon objectif au collège : être moins violente & meilleur en classe. Mes parents me rassurèrent que je ne l’étais pas. Je fus touchée, leur amour pour moi était une source de repos. Je ne doutais pas de leur franchise. Néanmoins, ma mère me disait une chose qui me blessée mais qui me motiverais plus à l’avenir…Ce qui deviendra même une obsession
- Ceux sont les professeurs qui n’arrivaient pas à comprendre ta solitude.
- Pourquoi ? Qu’est-ce qu’ils ont dit sur moi ? Me suis-je énervée
- En faite, c’est surtout ton professeur de cette année qui a été cruelle dans ses propos lors d’une réunion. Elle disait qu’elle te laissée passer en sixième car tu étais un cas désespérer. Une chose que je n’ai pas acceptée. Disait ma mère d’une voie très sereine
- Ah oui ?!!!! C’est ce qu’on va voir ! Je lui prouverais que je peux changer et devenir bonne en classe et adorable !!! Franchement, je ne pensais pas qu’elle serait aussi méchante. Je suis blessée ! M’écriais-je !
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Un des objectifs étaient atteint. Être moins agressive. En outre, je ne m’appréciais pas pour autant ni les autres collégiens. En revanche, tous les professeurs m’appréciaient mon sérieux, mon calme malgré les notes moyennes mais largement passable. Le seul souci était que quoi que je fasse, j’étais seule. J’étais passée d’une fille sans gène à une introvertie. Je l’étais tellement que j’étais devenue le souffre douleur. Mes amies de début d’année se moquaient de moi, la nouvelle me taquinée méchamment sans cesse et surtout, j’étais seule à toute les récrés. Pendant ses longues minutes, je lisais ou les gens m’insultaient ou me tapaient…De plus, les mimines minutes où j’étais tranquille, j’observais une bande de garçon qui m’intrigué. Etrangement, ils m’inspiraient la confiance.
Un jour où j’étais seule sans livre, sans problème ; je me décidais enfin à leur adresser la parole. En effet, deux garçons de la « bande » étaient que deux adossés à un mur. Je prenais mon courage, je m’approchais d’un pas incertain, d’un sourire nerveux j’engageais la conversation :
- Bonjour. Je peux me joindre à vous ? Demandais-je timidement.
- Non, on parle entre mec la ! Répondais l’un d’eux avec dédain
- Chris, écoute au moins ce quelle souhaite dire. Conseilla l’autre avec calme
- Bon…Je t’écoute. Accepta-t-il
- Voila, je suis seule depuis trop longtemps. Je regarde votre bande et je remarque que vous avez l’air sympathique comparais au con de la classe. Disais je avec une franchise et une voie plus forte et sure
- Comment dire. Comme tu la pu observer, nous sommes que des mecs donc les filles ne sont pas acceptées. Refusa le jeune qui sembla être le chef
- Connais-tu des mots vulgaires ? Demanda le co-équipier qui feint l’indifférence à la réponse catégorique de son ami
- Heu oui…Ainsi je citais tous le lyrics
- Hum…Mouais, ca me parait correct. Je veux bien t’accepter. Mon prénom est Christophe et lui c’est Benjamin. Concluait-il
Sur ces bonnes paroles, la cloche sonna. Je fus officiellement intégré à cette bande étrange avec leur test qui l’était aussi. J’étais néanmoins ravie. Je ne serais plus seule.
A la deuxième inter-court. Je fis la connaissance du reste de la bande. Il fut constitué de quatre personnes à cet instant. Les deux individus que j’avais pu connaitre, le frère du chef qui se nommait Sebastien et enfin Michael. Les deux inconnus étaient dans une classe supérieure à nous, donc en cinquième. Cet aspect ne me dérangeait absolument pas, tant qu’ils étaient sympathiques et étranges, cela me suffisais. Pendant une longue minute, je les observais. Effectivement, mon jugement fut bon. Ils aimaient rire à des blagues, se charriaient à tous les moments possibles et le plus important, ils semblaient être sincère. Je n’osais pas intervenir à leur discussion. Pendant que je les écoutais, un des membres s’approcha de moi.
- Dis-moi, tu sais combien il y a de ta ta dans l’air d’Indiana Jones ? Demanda Michael
*Il est sérieux là ?!* pensais-je. – Heu...Non.
- Il en a 32. Tu pourras constater ça en chantonnant l’air. Ainsi, il montra une démonstration. Tu voies ? Il en a bien 32. Disait-il content de ça blague
En échange de ce moment qui restera gravé dans ma mémoire, je lui souriais poliment en espérant que cela ne se remarquerait pas. En effet, il ne vit que du feu. Je pouvais voire que j’avais des sacrés nouveaux amis !
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Des mois passèrent. Malgré ma nouvelle bande d’ami, je ne changeais pas de vision. Je n’osais qu’à des rares moments à les joindre comme je les fais pour la première fois. Donc, je les regardais de loin avec la solitude qui me rongeait. Les comportements de mon entourage ne changeaient pas non plus, je me faisais toujours rabaissé même si quelques fois je ripostée. Je n’étais absolument pas doué pour me défendre. Un jour, j’avais craqué, j’ai dis toute ma pensé sur cette classe d’imbécile. Ce qui fait que je me suis pris tous mes ennemis à dos. A la pause de dix heure, tous m’entourèrent prêt à me frapper. A cet instant, j’ai eu les larmes aux yeux, j’étais comme paralyser et muette. Quand j’ai cru que ma dernière heure allée sonner, deux jeunes s’approchèrent de cette troupe.
- Vous pourrez arrêter de l’embêter constamment ? Essayer pour une fois, de vous en prendre à plus fort que vous et on verra ! Intervenait l’un des nouveaux arrivants.
Le groupe d’élève s’éloignèrent. Je fus encore sous le choc des événements. Le seul mot qui pu sortir de ma bouche était un simple merci. L’intervenant me répondit joyeusement que c’était normal. Je remarquais également que la personne qui l’accompagnait était plus petit que nous tous. Il voulait montrer qu’il était confiant mais au fond, je m’étais demandée s’il n’était pas complexé. Après cet acte, nous avions parlé. Je fus à cet instant comblée, je me sentais tout de suite liée à ses deux jeunes garçons. Après ce moment là, je n’étais plus jamais seule.
Pendant mon année de sixième, je trouvais une personne de ma classe intelligente et mignonne. Quelque chose que je n’avais jamais ressentie auparavant. En sa présence, je n’osais pas lui adresser la parole même si j’étais habitué à trainer avec des garçons. Je l’observais toujours discrètement. Par ailleurs, une fille de ma classe qui m’embêtais le plus, l’aimer également. Ce qui fait que notre rivalité fut encore plus accentuée. Néanmoins, ce fut en parti grâce à elle que j’ai pu lui adresser la parole en fin d’année.
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Mon année en cinquième fut moins mouvementée que la sixième. Premièrement, mon ennemi juré était parti du collège. Deuxièment je parlais plus facilement avec la bande et avec la personne que j’idolâtrée. Enfin, les deux personnes avec qui j’étais immédiatement proche avaient été acceptées dans la bande. Ce récit sera plus écourté puisque ce fut le moment où j’avais vécu que des choses quotidiennes inatéressantes. Le moment clé de cette histoire était la fin d’année.
En effet, le dernier jour, le chef de la bande et son frère arrivèrent d’un air grave. On n’avait pas cherché à comprendre, nous les avions tous simplement regardé avec une curiosité flagrante.
- Seb et moi on va déménager. Annonça Christophe d’une voie la plus neutre possible
- Ce sera loin de Peltre (le village où se situe le collège) ? Demanda Michael
- Oui. Se sera à Toulouse. Répondit-il
Nous ne répondîmes pas. Tous le monde était sous le choc.
*Déjà, la personne que j’avais cru aimé aller également partir loin d’ici et maintenant eux ? Où va le monde ! * Pensais-je avec une mine triste
La conversation fut clause. Une autre est survenue. Je n’étais pas en état de les écoutais. Ainsi je regardais le ciel, assise à côté de Sebastien à gauche et Michael à droite. Je ne su jamais combien de temps je m’étais absentée. Ce fut la voie de Sebastien qui me demandait une chose par rapport à la conversation. J’étais prise totalement en dépourvue. Michael répondit à ma place. Quand il parlait, je dirigeais ma tête vers lui. Mon champ de vision n’était que sa tête car j’étais assez proche de lui sans me rendre compte. Depuis les deux ans qui ont suivi, je les jamais regardée avec autant d’intérêt. Je vis plein de détail comme son expression, son regard. Ce fut à cet instant que la pause était finie. Mon état second fut envolée et mon côté euphorique et gène pris la place. Je m’étais levée d’un bon, j’ai pris mon sac à dos et je me suis dirigeais en courant vers les prochains cours. Je remarquais également que mon cœur battait à une vitesse qui n’avait jamais atteinte jusqu’à présent. Une sensation agréable.
Voila la fin du chapitre 1. Un changement aura lieu dans le chapitre 2. De plus la fiction aura plus de caractère =).
Quand pensez vous de cette première ébauche ? |
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| Nelbsia |
Posté le: Dim 29 Avr 2012 02:28 Sujet du message: |
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Inscrit le: 26 Mai 2010
Messages: 323
Localisation: Dans les bras de la Mort |
L'écriture est un peu maladroite (l'imparfait est à mon avis inadapté), beaucoup de fautes (environs 80) et certains détails ne semblent pas très utiles à l'avancée du récit (mais c'est peut-être trop tôt pour le dire).
Néanmoins, le fait qu'il s'agisse d'une histoire vraie donne envie de connaître la suite, en espérant que la fic gagnera en caractère comme promis. |
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| Lorilis |
Posté le: Dim 29 Avr 2012 17:49 Sujet du message: |
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Lectrice à plein temps
Inscrit le: 05 Nov 2006
Messages: 798
Localisation: Au Jal'Dara <3 |
Coucou!
Aleurs, je dois dire que je suis d'accord avec Nelbsia : y'a pas mal de fautes, et ça gêne un peu dans la lecture. Par exemple, celle-ci : "mais cela m’émanera sans doute à un fléau." Certes, le verbe "émaner" existe, mais je pense que "m'amènera" serait plus approprié.
Ou encore : "Quand à moi, je les regardais joués…" jouer.On dirait :je les regardais mordre. Tu sais, c'est la vieille astuce un peu débile de remplacer par un verbe du 3e groupe pour connaître la terminaison du verbe du 1er groupe, enfin bref.
"mon comportement reflété" reflétait, imparfait.C'est souvent ce genre de fautes qui revient. Ca arrive souvent aux gens qui prononcent -é, même quand on écrit -ai.  Serait-ce ton cas ?
Y'en a pas mal d'autres.
Après, y'a un truc qui m'a frappée, aussi. Tu utilises des mots genre "guère" "point", etc... ce langage soutenu fait un peu faux je trouve. Tu veux raconter ta propre vie, tu pourrais alors écrire plus ou moins comme tu parles, toute proportion gardée bien sûr. Enfin, si tu utilises couramment des mots très soutenus à l'oral, je retire ma remarque !
A ce propos, d'ailleurs, dans les dialogues, j'ai ressenti un peu la même sensation. Quand tu dis : "ce quelle souhaite dire" "Connais-tu" Tu parlais vraiment comme ça en 6ème ? C'est une véritable question.
Peut-être qu'un peu plus de description des lieux et des personnes serait agréable.
En dehors de ça, on sent très bien que cette histoire te tient à coeur. Comme c'est ta vie, ça n'a bien sûr rien d'étonnant ! xD
Je suis d'ailleurs assez... impressionnée par ce que tu fais. Ecrire sur soi, sur un forum, à la portée du premier abruti en plus, c'est pas simple, ça demande une certaine lucidité envers soi-même. Mais bon, c'est pas vraiment la question. L'histoire ne fait que commencer, je ne peux pas vraiment juger du contenu.
En tout cas, je la suivrais autant que je le pourrais !
Bonne continuation !
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| DimIIy |
Posté le: Dim 29 Avr 2012 19:16 Sujet du message: |
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![[Kongre]](http://download.codelyoko.fr/forum/rang/kongre.png "[Kongre]")
Inscrit le: 23 Oct 2009
Messages: 1044
Localisation: Dans mon lit , en train de manger des kinder Bueno ! |
*Se ramène alors qu'elle a une dissert' à finir*
Coucou, je viens de finir de lire ton chapitre et j'ai bien aimé. :)
Je trouve ça courageux de ta part de poster ton "autobiographie"( si je puis dire) sur un forum. Comme l'a dit Lorilis, c'est visible pour le premier abruti venu xD.
L'histoire me plaît dans l'ensemble et j'ai bien envie de connaître la suite.
Néanmoins, je rejoins Lorilis et Nelbsia. Il y'a beaucoup de fautes
Par exemple : "La discussion est close et non "clause" ;)
Ou alors "une voix sereine" et non "voie" (à ne pas confondre, on dit une voie publique par exemple)
Attention à l’orthographe !
Sinon tu a une syntaxe maladroite, fais gaffe et j'ai repéré beaucoup de fautes de conjugaisons.
Et il est vrai que ton langage est un peu soutenu, se sont tes pensées qui sont relatées non ?
Ce n'est pas un commentaire ou une dissertation que tu es en train de faire ^^ !
Bref, je ne vais pas trop me la ramener, je ne suis pas mieux de toute manière alors ne t'inquiètes pas :D. On ne se rend pas forcément compte des fautes qu'on fait quand on se relit, mais quand c'est d'autres personnes qui te lisent c'est vraiment flagrant !
Bon courage à toi ! :)
En tout cas bon courage
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Merci me98 !!
Texte by me : Disparition (2eme version de préférence )
Dernière édition par DimIIy le Ven 04 Mai 2012 17:16; édité 1 fois |
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| hollyhope13 |
Posté le: Dim 29 Avr 2012 21:17 Sujet du message: |
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![[Frelion]](http://download.codelyoko.fr/forum/rang/frelion.png "[Frelion]")
Inscrit le: 22 Mar 2012
Messages: 41
Localisation: En Alagësia |
Bonsoir,
Je n'ai pas lu toute ton histoire, seulement quelques morceaux (je prendrai le temps de le faire dans la semaine  ) mais c'est vrai qu'on peu rapidement voir que tu traines la pate pour écrire et que par conséquent tu fais des erreurs de style, des fautes, et un mauvais choix souvent pour les temps utilisé.
Je ne vais pas plus enfoncer le clou, les autres ont déjà étaient assez précis sur tes difficultés, maintenant je sais combien il est difficil de faire une autobiographie. J'ai moi-même entrepris récemment d'écrire la mienne (je ne suis pas narcissique j'ai une bonne raison d'écrire, ce que je vis je le souhaite à personne ! ). C'est un exercice difficil, déjà parce qu'il y a l'exercice de la mémoire, il faut se souvenir des évènements, de se qu'on a pu ressentir à ce moment précis etc ...
Après il y a la réstitution de tous ça, on couche sur le papier tous ce dont on se souvient.
Et enfin il faut polir tout ça, réecrire pour donner la même impression qu'on a si on lit un roman et ça, c'est pas facil, et tu t'en sors plutôt pas mal pour le moment mais il y a des progrès à faire ^^. Alors bon courage !!
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L'amour est patient, il est plein de bonté,
l'amour n'est point envieux,
l'amour ne se vante point,
il ne s'enfle pas d'orgueil,
il ne fait rien de malhonnête,
il ne cherche pas son interêt,
il ne s'irrite pas,
il ne soupçonne pas le mal,
il ne se réjouit pas de l'injustice,
mais il se réjouit de la vérité;
il excuse tout, il croit tout,
il espère tout, il supporte tout.
L'amour ne périra jamais. |
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