En dehors de ça, je n'ai aucune idée d'intro. Alors y en aura pas.
Spoiler
Seul le bruit des touches de clavier qui s’enfonçaient déchirait le silence. Ce petit son, ou plutôt ces salves de sons irrégulières. Tout dépendait de la vitesse à laquelle il trouvait la suite de son code. Parfois, il pouvait s’écouler de longues minutes tandis qu’il cherchait l’inspiration. Oui, en cela, il était comme l’écrivain. Ils avaient le même outil de travail, et parfois, les phrases ou les lignes de codes, se suivaient vite, avec fluidité. Parfois, il devait chercher. Attendre de longues minutes, avec toujours une légère peur de ne jamais trouver la suite. Mais elle venait.
Et les cliquetis qui continuaient, continuaient jusqu’à ce que…plus rien.
Il faisait sombre. La seule lumière provenait de l’écran de l’ordinateur. Mais pour lui, ce n’était plus un écran. C’était une porte vers un autre univers dans lequel il pouvait faire ce qu’il voulait, percer les mystères qui devaient l’être et réaliser les plus grands hauts-faits. Une porte vers un univers qui le fascinait et, sans qu’il ne s’en rende compte, le vidait de son énergie. Il passait ses nuits entières dessus. De longues heures calmes. Dormir n’était plus une priorité. Il recherchait le calme avant tout. Le brouhaha permanent de la journée l’épuisait. Désormais, il se reposera en plongeant dans ses codes.
La soif de découverte l’animait. Plus il cherchait, plus il voulait trouver, et il cherchait encore plus. Ce terrible cercle vicieux le tirait toujours davantage. C’était comme si son clavier cliquetant collait à ses doigts, craignant qu’il rompe le charme qui permettait à l’ordinateur de le vampiriser. Cligner des yeux devenait une épreuve, car ça impliquait de perdre l’écran de vue, même pour un centième de seconde. Cette idée lui était insupportable.
Il s’accrochait. Il avait dépassé le stade de fatigue pure. Il était dans cet état illuminé des insomniaques, lorsque la perception s’exacerbe au-delà de ses limites normales et qu’on se sent plus réveillé au cœur de la nuit qu’au zénith. L’illumination avait gagné son esprit, aussi, mais ce n’était pas à cause de la fatigue. C’était le casque merveilleux de Franz Hopper. Il avait l’impression que son esprit était trop vaste pour sa boîte crânienne, maintenant. Et grâce à ce casque, il allait continuer à creuser dans ce monde merveilleux. Il irait plus loin que tous. Et il délivrerait sa princesse des chaînes posées par leur ennemi de toujours.
Oui, c’était un peu ça. Il jouait le chevalier sur son destrier mais à sa façon. Son clavier qui cliquetait pouvait être considéré comme le coursier mais aussi comme l’épée et le bouclier. Et lui, calme, dans un état de plénitude suprême, chevauchait vers l’endroit où était cachée la clé. La clé qui casserait ce lien maudit entre Aelita et XANA.
Il trouverait l’antivirus.
Les signaux que lui envoyait son organisme étaient distants. Il sacrifiait ses pauses repas à son ordinateur et à tout ce que lui voyait à travers. La faim, la soif et les autres besoins triviaux ne l’atteignaient plus. Enfin, c’était ce qu’il croyait. A cet instant, sa vessie protestait tellement que même l’extase intellectuelle ne suffirait pas à l’ignorer.
Il n’aimait pas ça.
Avec un soupir, il fit une énième sauvegarde de ses avancées et se leva. Quelques vertiges le prirent, les murs penchaient, il tituba et se rattrapa au dossier. Lorsqu’il s’arrachait à son monde, il était vulnérable. Aussi faible qu’il avait été fort. Les signaux de son organisme se firent plus insistants, profitant qu’il n’était plus connecté à son ordinateur, espérant qu’il les écouterait.
Lorsque l’univers se stabilisa, Jérémie reprit son avancée en s’appuyant sur un mur. Son pied se cogna dans quelque chose qu’il avait laissé traîner (l’entretien de sa chambre n’était pas sa priorité, il avait mieux à faire) et il retint un gémissement de douleur. Il enjamba l’obstacle, courageusement, mais c’était plus facile à faire en informatique.
Ses mains finirent par trouver la poignée de la porte. Il colla l’oreille au battant, puis jeta un œil à son réveil. Il indiquait trois heures du matin. Personne ne serait debout à cette heure-ci. Jim non plus, donc. Rassuré, il sortit sur la pointe des pieds. Il faisait noir dans le couloir et il dût encore s’aider du mur comme repère. Suivre le mur. Au moins, là, rien ne viendrait lui agresser les orteils.
Il pouvait y avoir beaucoup de choses tapies dans l’ombre. Jérémie le savait mais il n’avait plus l’âge d’avoir peur du noir. Et il n’était pas en état, non plus. Son esprit était trop exalté pour de telles puérilités.
Il trouva les toilettes et fit rapidement son affaire, pressé de retourner dans sa chambre, sur sa chaise, face à cet ordinateur qui l’hypnotisait. En se lavant les mains, il jeta un regard à son reflet dans le miroir. Les traits tirés, de gros cernes violets qui contrastaient avec des yeux presque fous d’excitation. Il avait l’air d’un mort vivant shooté. L’image le fit rire nerveusement. Il cligna des yeux et rajusta ses lunettes. Puis il sursauta.
Dans le miroir, un deuxième Lui le fixait. Son sang se glaça. Il se retourna, mais rien. Convaincu d’avoir rêvé (la fatigue sans doute), il jeta un dernier regard à la glace pour s’en assurer et se figea. L’apparition était toujours là. Avec une moue désapprobatrice dans le regard. Jérémie retira ses lunettes et se frotta les yeux, rien n’y fit.
-Qu’est-ce que…
Aucune réaction de la part de ce double étrange qui n’avait l’air d’exister que dans ce miroir. Et qui le fixait avec réprobation. Tremblant, il n’arrivait pas à détacher ses yeux des siens. Il nota au passage quelques différences : l’autre n’avait pas de valises sous les yeux ni ce regard. Il était plus normal, plus détendu.
-Non, c’est la fatigue, je délire, murmura-t-il pour tenter de s’en convaincre.
Il nota qu’il était appuyé sur le lavabo, les jointures blanchissantes, le souffle court. Et il était blafard, encore plus qu’en entrant. Il s’efforça de respirer plus calmement, les yeux fermés, puis s’avança lentement vers la porte, précautionneusement, comme s’il pouvait lui arriver quelque chose à tout instant.
Une migraine lui traversa le crâne comme un éclair et il tomba à genoux, se tenant la tête. Visiblement, c’était le cas. Ce qu’il voyait se mit à onduler et il préféra refermer les yeux, attendant que ça passe. La douleur lui vrillait l’esprit, cet esprit qu’il sentait si grand auparavant et qui maintenant ne demandait qu’à se faire tout petit. Ses doigts se crispaient autour de ses cheveux blonds auxquels il s’agrippait comme si sa vie en dépendait. Il avait tellement mal. Il voulait juste que ça s’arrête. Pour le moment, oubliés les rêves de gloire et l’antivirus d’Aelita. Là, on était dans le contrecoup de son audace. Là, on était dans la souffrance intolérable qui lui donnait envie de tout laisser tomber. Refluée, son exaltation, piétinée l’image du chevalier héroïque. La douleur n’aime pas partager. Lorsqu’elle se trouve une cible, elle s’y accroche de ses tentacules épineuses et serre jusqu’à l’impossible. Elle est tenace. Elle refuse de partir. Elle refuse de libérer sa victime, même par la Mort. Elle veut la presser comme un bête agrume pour en extraire tout ce qui la construit et tout ce qui fait ce qu’elle est. Elle veut la ramener au stade de coquille vide ballotée, sans volonté, et lui laisser un traumatisme assez profond pour qu’elle le reste. Elle est cruelle. Elle veut qu’on se souvienne d’elle longtemps après son départ et c’est pour ça qu’elle tient à faire forte impression.
Et elle s’est installée dans la tête de Jérémie qu’elle met au supplice. Elle aime ça. Elle attend qu’il se prosterne. Ça ne devrait plus tarder. Ça fait une dizaine de minutes qu’il souffre. Il est couché sur le sol, roulé en boule, et il crierait grâce si ça servait à quelque chose. Ses mains serrées ont déjà arraché quelques cheveux. Il a perdu ses lunettes au passage.
C’est le bon moment. La douleur aime ménager sa sortie. Un pic de douleur transperça le crâne de Jérémie et il perdit connaissance.
Même l’inconscience ne lui apporta pas la paix. Il se retrouva sur Lyoko, sur le cinquième territoire plus exactement. Ce lieu de mystère, qui incarnait en partie tout ce qu’il cherchait sur son ordinateur. Il ne savait pas vraiment vers où se diriger, il y avait trop d’endroits. Comme dans ses recherches. Il s’y perdait et il le savait, au fond. Mais il voulait y croire, il voulait se faire porter par l’espoir.
Voir les lieux de ses propres yeux lui faisait bizarre. D’habitude, c’était à travers un visuel et un écran, comme toujours. Dans le fond, il avait toujours voulu venir mais se virtualiser était une expérience effrayante pour lui. Inconsciemment, il savait que ce n’était qu’un délire de plus mais il admira les lieux, émerveillé. Il imagina toutes les lignes de codes qui parcouraient ces cubes bleus, toute la patience qu’il avait fallu à Franz Hopper pour créer tout ça. Et il réalisa une fois encore à quel point cet homme était un génie et à quel point il voulait lui ressembler. C’était peut-être pour ça qu’il utilisait le casque, aussi. Pour cet état d’extase spirituelle, comme une drogue. Il se demanda si Franz Hopper était comme ça en permanence. Un frisson lui parcourut l’échine à cette idée. Le rêve.
Il commença à avancer, trébucha sur une petite marche et se rattrapa tant bien que mal. Il décida de laisser courir sa main sur le mur, comme s’il pouvait sentir la structure de ces mystérieux murs bleus. C’était magique. Il se sentait bien, là. Aelita avait-elle ressenti ça lorsqu’elle vivait sur les territoires de surface ? Ils en avaient déjà parlé mais il se rendait maintenant compte que les mots ne signifiaient plus rien à cette échelle.
Il avançait dans les couloirs, tournait, peu importe où il devait aller. Il profitait simplement.
Et puis un son le tira de sa torpeur, de sa trans’, de sa fascination. Ce son, c’était son nom.
« Jérémie ! »
Il semblait venir de nulle part et de partout à la fois. Et il reconnaissait la voix.
-Aelita ?
Elle ne lui répondit pas. Tout de suite, il eut peur qu’il lui soit arrivé quelque chose. Où était-elle ? Il regarda tout autour de lui, cherchant à identifier une direction où il pourrait aller pour la retrouver. Aucune ne lui semblait meilleure. Une boule au ventre, il se rua dans un couloir au hasard, appelant régulièrement sa belle. Il finit par la voir, dans une impasse, plaquée contre le mur, le souffle court.
-J’arrive Aelita !
Elle secoua la tête.
-Non, ne t’approche pas…
Il vit une sorte de chaîne noire, l’espace d’un instant. Elle enserrait la jeune fille et semblait l’empêcher de bouger. En cela, il reconnut la marque de XANA. C’était le lien qu’il avait avec elle.
Un sifflement à glacer le sang résonna.
-Sauve-toi Jérémie ! XANA arrive ! le supplia-t-elle.
Il n’écouta pas, restant sur place. Il n’entendait même plus ce qu’elle pouvait lui dire. Tout ce qu’il voyait, c’était les tentacules émergeant lentement du mur pour s’enrouler autour de sa belle. Petit à petit, la Méduse se montrait, l’envoyée de XANA, son incarnation. Elle sortait de la paroi comme si elle n’existait pas et ligotait Aelita. Cette dernière jeta un regard désespéré à Jérémie :
-Va-t’en ! Ne le laisse pas te consumer !
Il hésita. Et avant qu’il puisse se décider, la créature l’avait emmenée. Tirée, elle aussi, dans ce maudit mur. Il courut jusqu’à lui, le frappa du poing.
-Aelita !
Soudainement, comme une marionnette dont on aurait coupé les fils, il se laissa tomber par terre, au désespoir à son tour. Il se sentit incapable de bouger. Il avait échoué. XANA l’avait emportée, elle pour qui il se battait depuis plus d’un an. Elle était devenue le centre de sa vie tellement vite. Depuis qu’il avait vu son visage en forme de cœur s’afficher sur l’écran de ce vieil ordinateur, il n’avait eu de cesse de vouloir la ramener sur Terre avec lui. Et puis ensuite, il avait entamé une campagne contre XANA pour qu’il la laisse en paix, qu’il se détache d’elle. Maudit XANA. Et là, il…
Jérémie reprit connaissance. Il avait froid, ce qui était normal vu le temps passé sur le carrelage. Il lui fallut quelques instants pour se rappeler où il était. Son songe lui revint très vite après, et provoqua comme un électrochoc. Il remit fébrilement ses lunettes et se dépêcha de regagner sa chambre. Il faisait encore noir. Le couloir restait sombre, impénétrable. Jérémie avait encore mal mais ce n’était pas sa migraine cette fois, seulement les vestiges de petites lésions qu’il s’était infligées lui-même sans s’en rappeler. Quelques griffures, son cuir chevelu douloureux.
Les images lui restaient en tête et elles faisaient plus mal encore. Il avait vu l’incarnation de son échec. Ce qu’il redoutait le plus. Perdre Aelita. Et c’était pour éviter ça qu’il allait continuer à travailler et à sacrifier ses nuits. Il y était prêt. Non il ne pouvait pas ménager sa santé comme lui suggéraient les autres. Si il se ménageait lui, qu’adviendrait-il d’Aelita ? Sa vision se réaliserait. Ou plutôt, la métaphore qu’elle portait.
Il rentra dans sa chambre, la démarche mal assurée. Il était quatre heures du matin, cette fois. Il voyait son ordinateur, là-bas, à l’autre bout de la pièce, qui lui faisait presque signe. Pour un peu, il aurait pu l’entendre dire « Viens, rejoins-moi, continuons à travailler pour le bien être d’Aelita ». Alors il avait envie de le retrouver, oui. La présence de cet objet était rassurante. Apaisante, même.
Il se cogna à nouveau le pied dans le même objet que la dernière fois. Ou alors était-ce un autre ? Il était trop embrouillé pour le savoir. Cette fois, il s’étala bien par terre. Il croisa les doigts pour ne pas avoir fait trop de bruit et se releva.
Il était temps de se reconnecter. Enfin, il aurait dû se reconnecter à son ordinateur mais une nouvelle migraine lui traversa le crâne, beaucoup plus brève, et il se retrouva, à nouveau, en train de délirer.
Il était sur le Cinquième Territoire, encore. Mais cette fois, il était juste devant l’interface, le puis des données, la source infinie de savoir. Et sans doute qu’il y aurait de quoi créer un antivirus pour Aelita, là.
Il franchit le pas qui le séparait de l’écran holographique. Ça y était. Il allait tout savoir. Toutes les réponses à toutes les questions qu’il avait jamais pu se poser étaient dans cette interface.
Il s’apprêtait à poser la main dessus quand une voix l’arrêta. Sa voix.
-Attend, si tu utilises l’interface, je n’ai plus le contrôle.
Il jeta un regard derrière lui et sursauta. Lui, une fois encore. Il devait avoir des hallucinations. Jérémie se força à se focaliser sur l’écran et, après un instant, le toucha du bout du doigt. Un bref coup d’œil par-dessus son épaule lui suffit à constater que ce double avait disparu.
_________________
"Prouve-moi que tu avais raison, Jérémie, dans tout le mal que tu as causé."
Oblitération, chapitre 13
Et je remercie quand même un(e) anonyme qui refusait qu'on associe son nom à ce pack
Posté le: Lun 30 Juin 2014 13:48 Sujet du message:
Inscrit le: 16 Mar 2013 Messages: 1110 Localisation: Au beau milieu d'une tempête.
Court et efficace. C'est ce qui m'est tout de suite venu à l'esprit en terminant ma lecture.
Tournons-nous vers la forme pour commencer. Introspection oblige, la majorité devait revenir à la description, même si un dialogue avec soi-même, c'est toujours amusant . En fait, je me demande vraiment pourquoi j'en parle o/. Rien qu'à la lecture de ce texte, on sent que tu aimes écrire les passages psychologiques. Il y a vraiment des tournures agréables à l'œil qui favorisent l'immersion et bonifient le texte (placer le verbe « bonifier » : fait ✔ !). Du coup, on va passer au fond.
Concernant le personnage, on constate que tu n'as pas reprit Odd . *S'enfuit*
Plus sérieusement, je serais hypocrite en disant que Jérémie est mon personnage préféré. Autant pour une fanfiction s'étendant sur la durée, j'ai du mal à lui trouver un rôle qui lui aille bien (coucou Sur le champ de bataille), autant pour un One-Shot, je trouve que c'est le personnage idéal, surtout pour une introspection. Parmi les héros, Jérémie est celui dont on voit le moins souvent les émotions et sentiments. De même, on a souvent l'occasion de le voir revêtir le costume du mec incompréhensif (kassdédi 57 et 89), ce qui a tendance à le montrer comme quelqu'un de dur (kassdédi Pika) et froid (kassdédi Icer). Du coup, avoir un aperçu de ce qui bouillonne et marine en lui n'est pas dénué d'intérêt. Tout ça pour dire que le choix du thème et du personnage pour ce texte est judicieux selon moi.
Concernant l'histoire, c'était intelligent de partir de l'obsession du blondinet montrée dans l'épisode 38 et de développer. Inutile de créer une situation de toutes pièces. On prend un épisode qui se prête largement à ce type d'introspection et on approfondit ce que l'épisode n'a pas approfondi. Ce procédé présente l'avantage d'accentuer l'effet One-Shot du One-Shot, car présenter la situation ne devient plus vraiment nécessaire, ce qui permet de se concentrer sur l'essentiel : les pensées et émotions du personnage. La brièveté du texte tend également à renforcer la puissance de ce maelström Jérémien.
(J'ai placé « maelström », on applaudit.)
Le petit passage personnifiant la douleur m'a beaucoup plu. C'est un procédé qui est vraiment utile pour donner un côté poétique à ce qui est personnifié, ou au contraire, renforcer sa négativité.
Pour le respect du caractère de Jérémie, ça m'a semblé très juste (l'approbation d'un pro-Jérémie vaudra sûrement mieux que la mienne) et bien fait. Mention pour le dernier petit paragraphe et le parallèle fait entre la perte de contrôle et l'interface du 5ème territoire. C'était bien pensé il faut l'avouer. En plus de ça, ça t'as permis de mettre en avant l'obsession de Jérémie caractéristique de la période. D'ailleurs, le fait qu'il s'aperçoive lui-même pourrait symboliser cette part de lui qui résiste à la Tentation, qui au final, se révèle aussi puissante que l'odeur d'une intrigante qui se lave les cheveux au P'tit Dop Fraise.
Petite conclusion : je trouve pas grand chose à redire sur ce texte. Une introspection bien exécutée reste toujours des plus agréables. _________________
« Jérémie avait fait un superbe travail. Ce dernier voyage sur Lyokô promettait d'être inoubliable. » Un jour, peut-être.
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