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 Auteur Message
Princesse MessagePosté le: Sam 06 Jan 2007 18:31   Sujet du message: [Fanfic] Parce que c'est ainsi Répondre en citant  
[Gardien ancien]


Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 2638
Ps : Vu que j'ai terminer mon autre histoire, je vais en faire une dernière. Plus longue, mieux expliquer au niveau des mots, et pas trop de narration. Et je passerai du temps dessus ^^ .

Chapitre I : Un début à tout

Le ciel était d'un bleu clair recouvert de nuages, qui a travers, y passait des rayons de soleil. Une petite fille courait dans la neige, se jetée dedans, faisait des boules de neiges, est tout en faisant cela elle souriait. Ses cheveux étaient d'un rose clair, soyeux. Ses cheveux reflétaient les quelques rayons de lumières. Ses yeux étaient d'un bleu. Elle portait des habits classique mais qui lui collait parfaitement à son effigie. Elle portait une jupe blanche, accompagné de petite fleur roses. A ses petites mains, se trouvait des gants roses, aussi, et à son cou une écharpe blanche. Elle portait aussi une doudoune rose et blanche. Rose comme ses cheveux, comme si la doudoune avait été fait a partir de ces cheveux, et blanche comme son sourire. Elle avait un sourire éclatant, son sourire faisait penser à la joie de vivre et au bonheur. Et pour compléter le tout, ses pieds étaient dans des bottes en laine, qui allait exactement avec le reste. On aurait pu croire, que tout cela avait été fait pour elle, et rien que pour elle.
Elle courait dans tout les sens, sentant le vent lui caresser les joues, des flocons lui tombant sur le bout du nez et dans ses cheveux qui avec la chaleur qu'ils dégageaient, les faisaient fondre. La neige la faisait rêver, elle aurait voulu que cela dur, mais le soleil commençait à se coucher. L'obscurité s'étalait tout doucement partout, puis bientôt la nuit apparut.
- Aelita, ma chérie, il faut rentrer maintenant; la nuit est tombée. Tu viens ? Cette voix magnifique, provenait de la bouche  de la mère de la jeune fille.
- Mais maman, moi je veux encore jouer un peu, c'est si beau !
- Aelita, s'il te plait, ne contrarie pas ta mère. Le son qui se fit entendre avait un ton assez grave. Un ton d'autoriter.
Aelita, contempla une dernière fois ce paysage tel un peintre qui observe sa peinture une fois terminé. Elle fit demi-tour, et rentra dans son chalet ou régnait la chaleur.

[ Alors, comment est le début pour l'instant ? ]


--Message edité par Kris le 2007-02-28 02:49:48--
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Cyclope MessagePosté le: Sam 06 Jan 2007 18:42   Sujet du message: Répondre en citant  
[Kolosse]


Inscrit le: 18 Fév 2006
Messages: 3626
Localisation: A Tokyo, dans le dojo de Steven Seagal
C'est un très bon début Miss LyOkO, continue comme ça, pour la suite, fais que la disparition de la mère d'Aelita ne soit pas confuse.
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missM MessagePosté le: Sam 06 Jan 2007 18:48   Sujet du message: Répondre en citant  
TV addict


Inscrit le: 25 Sep 2006
Messages: 404
Localisation: 59
Bah pour l'instant on voit pas vraiment où tu veux en venir mais c'est pas mal. Y a plusieurs répétitions mais on peut voire ça comme des insistances sur ce qu'il y a. Donc bon début.

--Message edité par missM le 2007-01-06 18:49:59--
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Princesse MessagePosté le: Dim 07 Jan 2007 17:09   Sujet du message: Répondre en citant  
[Gardien ancien]


Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 2638
Le chalet était complètement en bois. Les meubles, les portes, les poutres qui se trouvaient à l'extérieur et qui soutenaient le balcon. En rentrant, il y avait un immense couloir avec plusieurs portes se trouvant à gauche et à droite. La première porte à droite laissait place au salon, ou se trouvait fauteuils, une cheminée en brique avec une vitre pour que des morceaux de bois, avec la chaleur, ne s'éparpille pas. Vers le fond de la salle s'y trouvait un magnifique piano. Plus loin du salon, vers le fond du couloir se trouvait des escaliers. Tout en les grimpant on pouvait remarquer une chambre d'enfant et à côté la chambre des parents. Mais avant de monter se trouvait aussi des escaliers pour descendre vers la cave. Le père d'Aelita interdisait à sa fille d'y aller. Sous prétexte que c'est dangereux. La cuisine était une pièce à part elle aussi, dedans on y trouvait tout ce dont une cuisine doit avoir besoin.
Après que Aelita fut rentrait, accompagnée de ses parents, tous allèrent dans le salon. Franz, qui était le père de la jeune fille, s'asseyait au près du piano et commençait à jouer sous les yeux admiratif de sa femme et de sa fille. Aelita se plaça près de son père, intriguée, et voulu essayer. Pour une jeune fille de son âge, cela était plus que difficile, mais elle essaya encore et encore jusqu'à qu'elle sut au moins jouer un petit morceau. La mère d'Aelita se tenait près de la cheminée, blottit dans un fauteuil en cuir, et lisait. Le temps s'écoulait à une telle vitesse que aucun membre de la famille ne s'en rendait compte. La femme de Franz se levait pour aller faire un petit repas copieux, pour sa famille. Pendant ce temps, Aelita monta dans se chambre et joua avec son jouet favoris, ou plutôt son petit pantin : Mr Pück. Elle adorait Mr Pück, elle pouvait passer des journées entières à s'amuser avec sans se soucier de ce qui se passait derrière son dos.
Quand le dîner était prêt, toute la famille mangeait ensemble en silence. Les parents se parlaient entre eux quelques fois, et Aelita mangeait en silence avec son pantin. Après chaque dîner, FRanz et sa femme débarrassaient ensemble la table, pendant que leur fille unique montait en haut pour attendre que sa mère vienne la laver. Le soir était assez simple; Franz lisait un livre ainsi que sa femme, et Aelita avait le droit de jouer encore un peu avant d'aller se coucher et de fermer les paupières, pour aller se réfugier dans son monde où personne n'en avait la clef sauf elle. Les nuits étaient souvent très calme, parfois du vent venait interrompre le silence et en douceur faisait claquer les volets qui n'étaient pas fermer.
Le monde extérieur était comme une sorte d'aventure pour Aelita, car avec son bas âge elle ne connaissait pas tous les dangers qu'il y avait autour d'elle. Mais cela ne l'importunait pas pour autant, sachant que ses parents serait toujours là à chaque moment, et à chaque endroit pour l'aider elle chasser la peur de ses esprits.
Aelita ne connaissait rien de la peur, rien de la mort. Elle était telle une orpheline traversant la forêt sans se soucier du moindre bruit qu'il y avait. Ses parents savaient eux, qu'il ne serait pas toujours prêt d'elle, mais ils espéraient, être assez longtemps de ce monde pour pouvoir lui apprendre ce qu'est le vrai monde extérieur. Notre monde n'est pas rose, ni bleu. Ce n'était pas un monde ou volait des papillons partout, où les fleurs pouvaient pousser sans avoit la crainte de se faire aplatir. Non, tout était noir, chaque coin regorgait de danger. C'était un monde plein de haine, aucun n'espoire ne brillait dans les pupilles des gens. Et pourtant Aelita souriait, rigolait, car elle savait que sa place était ici. Quand elle avait parfois la moindre crainte elle se rappelait de ce que lui chanter se mère avant qu'elle ne s'endorme :

J'entend le vent, j'entend le ciel
Et comme un cris, la brise m'appelle
la rivière le soleil me parlent aussi
et je sais que ma place est ici

la lune sur les montagnes
le vent dans les branches
le torrent déchainé
on ne nous séparera jamais
et si je m'éloigne parfois
je n'ai qu'une loi
oui toujours
je reviendrais toujours vers toi


Et ses paupières se fermaient avec un léger sourire.

Ps : Chanson venant du DA : l'étalon des plaines, spirit




--Message edité par Miss Ly0k0 le 2007-01-08 11:35:46--
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Cyclope MessagePosté le: Dim 07 Jan 2007 17:14   Sujet du message: Répondre en citant  
[Kolosse]


Inscrit le: 18 Fév 2006
Messages: 3626
Localisation: A Tokyo, dans le dojo de Steven Seagal
Magnifique ta suite Miss LyOkO, on dirait presque que ça raconte se qu'a vécu Aelita avant qu'elle et Franz ne déménage à l'Ermitage.
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Princesse MessagePosté le: Mar 09 Jan 2007 17:55   Sujet du message: Répondre en citant  
[Gardien ancien]


Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 2638
Chapitre 2 : Une disparition trop brutale

Les saisons passées, seconde par seconde, minute par minute, heure par heure, jour par jour. Aelita commençait à grandir, elle avait maintenant 9 ans. Après plusieurs années de maternité, Aelita était en primaire. Elle avait beaucoup d'amies, et se sentait moins seul quand son humeur n'était pas au rendez vous. Après un jour d'école, Aelita rentra chez elle, comme toujours à pied. Une amie, ou plutôt sa meilleure amie lui avait proposée qu'elle vienne chez elle au moins pour le reste de l'après midi, mais Aelita refusa. Elle voulait rester avec ses parents cette journée là, cela faisait bien longtemps qu'elle n'avais plus discuter avec son père et sa mère. Mais ils devaient s'y faire, leur petite fille grandissait de jour en jour. Bientôt elle atteindrais l'adolescence et commencera à avoir toute l'étoffe d'une femme. Loin de doux foyer, elle aperçu une ambulance garée  devant chez elle. Effrayée, elle se mit à accéléré le pas pour ainsi arriver chez elle plus rapidement pour avoir des information. Des questions rodés dans sa tête : Pourquoi une ambulance est elle devant chez moi ? Maman et Papa y sont pour quelque chose ? Une goutte de sueur coula le long de son coup. Tout à coup une drôle de sensation envahie son corps. Une sensation qu'elle n'avait jamais ressentie autrefois, la PEUR. Aelita marchait à une telle vitesse qu'elle arriva deux minutes plus tard devant chez elle. Elle entra, et aperçut quelqu'un par terre, mais étant trop loin elle voulu se rapprochait. Elle ne put apercevoir qu'une silouhette, quand une main se posa sur son épaule. D'un pas, elle se retourna. Son père était figé devant elle, laissant echapé de ses yeux des larmes. Il porta Aelita, l'emmena en dehors de la pièce ou se trouver la personne alongée inanimé.
Il l'emmena dans sa chambre et lui fit signe d'attendre ici, et qu'elle ne devait pas bouger. Elle obéie, et il ferma la porte derrière lui. Pendant ce temps, Aelita tramblait sur son lit, elle aurait voulu poser les questions qui lui trottait dans la tête, mais elle préféra garder le silence. Une longue heure passa, qui s'embla une eternité pour la jeune fille. Franz rentra dans sa chambre, ses yeux étaient mouillés, il tremblait lui aussi. Il la chercha, la pris par la main et lui demanda gentiment de le suivre sans poser la moindre question. Il prirent la direction du salon. Arrivé devant la pièce, Aelita palit! Sa mère était sur un brancard et avait un masque à oxygène. Des larmes lui troubla la vue, elle coura vers sa mère. La femme de Franz enleva son masque et commença à parler à sa fille, lui disait que tout allait bien. Aelita n'en croiyait rien, sa question fut directe :
Maman, es c'que tu vas me quitter ?
Sa maman lui fit signe que non avec la tête. Elle lui expliqua qu'elle allait rejoindre un nouveau monde, une nouvelle vie. Aelita serra sa mère, et des ambulanciers l'emmenèrent dans l'ambulance. Franz voulut alors serrer sa fille dans ses bras, mais celle ci commença à pleurer et se dirigea dans sa chambre sans adresser le moindre geste à son père. Des heures s'écoulèrent, mais Aelita venait de quitter le monde des enfants pour rejoindre celui dont on ne voudrais jamais faire partie. Elle avait appris beaucoup de chose de la part de sa mère, mais ce qui la perturba le plus : c'est qu'elle connaissait pas la mort de sa mère. Puis, engloutit par le chagrin, elle se mit à chanter :

Pour moi c'est la fin
Je suis fatigué
Je ne suis plus rien
Rien qu'un coeur blessé

Rien qu'un soldat
Qui a livré son ultime combat
Jusqu'au dernier soupir
Emmène-moi... ou laisse-moi mourir...


Son père venait d'entendre la voix de sa fille. Il décida de la laisser tranquille. La perte de sa femme fut une grande pression.
Une idée lui vint à l'esprit, il ne put supporter l'idée d'habiter dans cette maison plus longtemps. Il se dirigea vers la porte principal, et sortie dehors.

Aelita venait de sécher ses larmes. Emportez par la colère mais surtout par la tristesse, elle commença une nouvelle chanson :

Un jour on gagne un jour on perd
Mais je n'ai pas perdu la guerre
On ne pourra jamais m'abattre
Mon coeur n'a pas cessé de battre

Jamais je n'abandonnerais non
Je suis comme la rivière
Je suis fier et libre comme l'air
Je défendrais ma vie !


[ PS : Alors cette suite comment était elle ? ]
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Cyclope MessagePosté le: Mer 10 Jan 2007 14:15   Sujet du message: Répondre en citant  
[Kolosse]


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Localisation: A Tokyo, dans le dojo de Steven Seagal
Elle était magnifique ta suite, surtout assez émouvante la façon dont tu as imaginés la mort de la femme de Franz.
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Princesse MessagePosté le: Mer 10 Jan 2007 18:41   Sujet du message: Répondre en citant  
[Gardien ancien]


Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 2638
Merci Cyclope ^^ ! La suite ne sera pas pour le moment en tout cas !
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Yurietsute MessagePosté le: Jeu 11 Jan 2007 20:06   Sujet du message: Répondre en citant  
Chris Colfer's fan


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Localisation: Metz
Ah dommage car ton histoire est très imaginée et belle j'attend qu'une choses, la suite !
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Princesse MessagePosté le: Jeu 18 Jan 2007 17:06   Sujet du message: Répondre en citant  
[Gardien ancien]


Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 2638
Chapitre 3 : L'Ermitage

Après une longue et dure nuit de sommeil, Aelita ouvra l'un de ces deux oeil car elle avait entendu des bruits camions et d'hommes qui parlaient entre eux. D'un coup, elle enleva la couverture qui la couvrait, et se dirigeait déjà vers la fenêtre pour voir ce qui se passait. De sa fenêtre elle aperçut son père entrain de parler avec d'autres hommes, qui prenait les meubles de sa maison pour les mettre dans un camion, ou sur le côté il y avait marqué : Déménagement à Domicile ! Son coeur commençait a battre au rythme de ces pas qui était très rapide. Elle dévala ses escaliers, et une fois à découverte, son père la vue et s'approcha d'elle pour lui expliquer la raison de la venue de ces hommes. Il lui expliqua calmement que vivre dans cette maison après la perte de sa femme lui serait impossible et qu'il aurait bien trop de souvenirs à chaque fois qu'il observerait un objet que sa femme a touchée. Aelita hocha la tête de haut en bas, pour lui faire comprendre qu'elle avait compris le message. Il lui fit signe d'aller faire ses valises, mais avant cela qu'elle devait se laver, et s'habiller. Elle se retourna d'un pas, puis pris la direction des escaliers pour ainsi aller chercher ses habits dans son armoire.
Pendant ce temps, Franz aidait les déménageurs pour ne pas faire tapisserie. Une fois le salon et la cuisine vidée, Aelita avait finie de se préparer, et elle se dirigea vers la voiture pour s'y installer à la banquette arrière. Une fois la portière fermée, elle boucla sa ceinture et attendit son père. Une fois dans la voiture, Franz la démarra, commença à rouler. Le trajet fut très silencieux, Aelita savait que si elle parlait de sa mère, Franz n'en décrocherait pas un mot. Elle regardait défiler le paysage a travers la fenêtre puis essayait de s'évader dans ses pensés. Au bout d'un certains moment, la voiture se stoppa net. Aelita regarda autour d'elle et aperçut une maison. Elle détacha sa ceinture, ouvrit la porte de la voiture, et en sortie pour aller observer d'un air plus curieux cette drôle de maison. En attendant que les camions de déménagements arrivent, Franz s'approcha a pas lent de sa fille, et lui dit que cette maison s'appelait l'Ermitage. Aelita fronça les sourcils, puis lança un sourire à son père, et se plaqua contre son torse pour laisser passer sa peine. Un instant plus tard, les camions arrivèrent. Pendant le reste de la journée, ils firent plusieurs allés - retours, et fin de la journée la maison était enfin prête. Pour leur du dîner, Franz mijota une soupe et pendant tout le dîner Aelita posait ces questions. Les liens s'étaient renforcés cette soirée là.
Mais, pour Aelita :

<< Ce n'était que le début du commencement !! >>

Ps : Alors cette suite ? Bon le déménagement a été rapide mais je n'avais pas envie d'y passer 2 chapitres ^^ ]


--Message edité par Aelita Evolution le 2007-01-18 17:23:08--
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Cyclope MessagePosté le: Ven 19 Jan 2007 22:57   Sujet du message: Répondre en citant  
[Kolosse]


Inscrit le: 18 Fév 2006
Messages: 3626
Localisation: A Tokyo, dans le dojo de Steven Seagal
Très bonne suite Aelita Evolution, j'ai hate de voir le 4ème chapitre.
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Odd-Aelit@ MessagePosté le: Sam 20 Jan 2007 10:15   Sujet du message: Répondre en citant  
[Manta]


Inscrit le: 06 Aoû 2005
Messages: 650
Je vais être tout à fait sincère, en disant que cette fanfic est merveilleuse. On a vraiment l'impression d'être plongé dedans. On voit les images, les expressions des personnages; on peut même parfois entendre leurs paroles dans nos oreilles, comme si on observait la scène de près. Cependant, il y a quelques chose qui nous fait sortir de cette magnifique rêverie : Parfois, par malheur des fautes d'orhtographes ou de conjugaison qui nous font sortir de l'histoire. Ce n'est qu'une petite critique, pour un conseil. Je ne veux pas que tu prennes mal celà, c'est juste pour que tes fanfics soient parfaites. Voici mon sonseil :

Les conjugaisons :

J'ai remarqué que tu employait surtout deux types de conjugaison : L'imparfait et le présent. C'est une très bonne idée, mais parfois tu les accorde mal, ce qui est dommage. Utilises l'Imparfait pour ce qui se passe tout le temps (ex : la photo se trouvait sur la table de chevet), et utilise le Présent pour ce qui se passe pour et instant (tu le maîtrise bien).
Pour tes fautes d'orthographe, il 'y a que toi qui puisse te corriger.

Ce n'étaient que des conseils, tu n'es pas obligé de les suivre, mais si tu as envie que ta fanfic soit d'un merveilleux à en faire couler des larmes, utilise-les. Voilà, j'espère que tu suivras ces conseils et encore merci de nous faire rêver.
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Princesse MessagePosté le: Dim 21 Jan 2007 19:39   Sujet du message: Répondre en citant  
[Gardien ancien]


Inscrit le: 24 Oct 2006
Messages: 2638
Chapitre 4 : Le début du commencement

Les jours s'écoulaient. Tout était paisible ces temps ci du coté de l'Ermittage. Le chalet n'était plus qu'un souvenir, il n'était plus que poussière. Pourtant, cela n'empêcher pas Franz de toujours penser à sa femme. Il aurait temps voulut la retenir encore un peu. Il aurait temps qu'elle reste. Tout lui manquait, il était perdu. Son coeur n'était plus qu'un souvenir. Il ne savait même plus ce que le verbe " Aimer " voulait dire. Malgrè sa peine, il essayait de la cacher pour continuer de vivre, mais surtout pour sa fille Aelita. Aelita s'enfermait toujours chaque soir après les cours pendant une durée de trente minutes. Son père sait très bien que la journée ayant été dure, elle ne pouvait s'empêcher de se rappeler que sa mère venait la chercher presque tout les soirs. Elle venait, l'embrasser toujours sur la joue, la prenait par la main et l'emmenait avec elle.
Franz sortit de ses pensés, quand il entendu sa fille qui rentrait en vélo. Il se dirigea alors vers le salon pour ainsi jouer du piano. Quand Aelita rentra dans la maison, elle courra dans le couloir en direction de la porte du salon. Elle s'arrêta, et dit à son père qu'elle allait se réfugier dans sa chambre. Une fois en haut, on pouvait entendre Franz jouait du piano. Aelita, elle, jouait avec Mr. Pück. Elle se rappellait que à la mort de sa maman, elle voulait s'en débarasser car c'est celle ci qui lui avait offert. Mais elle avait préférer le garder car elle savait que c'est ce que aurait voulu sa mère. Et laissa tomber son pantin, et un frisson l'empara. Elle s'approcha vers la fenêtre avec beaucoup de crainte, et en apercevant deux hommes noirs assez curieux, elle cria sans plus tarder : PAPA !
Franz qui venait d'entendre sa fille, malgrè qu'il savait pourquoi, il se dirigea vers sa chambre à pas de géants. Il lui demanda de placer Mr. Pück dans un endroit qu'elle n'oubliera pas, et lui fis signe de la suivre. Il dévalèrent les escaliers en courant, et une fois en bas, deux hommes étaient devant eux. Son premier reflexe fit de prendre la main de sa fille. Car rien n'était plus important que Aelita. Après lui avoir attrapé la main, il l'emmena dans la cave suivit par les hommes en noir.
Ils couraient. Ni Franz, ni sa fille ne se retournaient. Ils avançaient vers la porte de la cave. Une fois dehors, il ferma la porte derrière lui, et par reflexe, il prit une planche en bois fine. Mais assez épaisse pour retenir les hommes. Après ils prirent la direction vers une porte en métal. Une fois à l'intérieur, il claqua la porte derrière son dos, et continuait à courir avec Aelita. Elle n'avait même pas la force de demandait ce qui se passé. La peur l'envahissait. Franz s'arrêta, il demanda a Aelita de rentrer dans un ascenceur et sans discuter. Elle l'executa. Pendant que l'ascenceur descendait, Aelita ne prit en aucun cas, le temps ce poser des questions à son père. Tout son corps tremblait. Et tout à coup, elle repensa au passé : A sa mère, quand tout était calme .... Elle aurait voulu que ce temps ci dure. Elle sortit de ses pensé quand le monte charge s'arrêta et qu'il s'ouvrit. La, elle ne put retenir son envie de poser des questions et demanda à son père où se trouvait elle ? Il lui répondit que cet endroit était son laboratoire. Elle préféra ne plus poser de questions, et accompagnée de son père elle se dirigea à nouveau dans l'ascenceur. Après être arriver encore plus bas, quand le monte charge s'ouvrit, et fit place à trois scanners !
Son père lui demanda gentimment de rentrer dans l'un de ces trois, et d'attendre. Sans plus attendre, elle rentra dans l'un des scanners, avec son père, qui lui était dans celui d'en face. Les portes se refermèrent et une larme coula le long de la joue d'Aelita ...
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Cyclope MessagePosté le: Dim 21 Jan 2007 20:00   Sujet du message: Répondre en citant  
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Localisation: A Tokyo, dans le dojo de Steven Seagal
Très bon chapitre Aelita Evolution, tu résumes drolement bien ce qu'il s'est passé avant qu'Aelita et Franz ne soient repérés par les MIB.
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Princesse MessagePosté le: Ven 26 Jan 2007 22:36   Sujet du message: Répondre en citant  
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Messages: 2638
Chapitre 5 : Un nouveau monde ...

Aelita fit une chute de quelques mêtres, et en relevant la tête, elle n'était plus chez elle ! Le monde où elle avait atteris était calme, magnigique à observer. Mais pour elle, tout était noir et sombre... La peur et la colère était les deux seuls sentiments qu'elle ressentait en ce moment même. Une voix la fit sortit de ces pensés. Elle tourna sa tête et aperçut des sphères blanches qui flottaient dans l'air. La voix continuait à parler et lui fesait comprendre que malheureusement il ne pouvait pas encore prendre l'apparence d'un être humain et qu'il avait encore des choses à accomplir dans ce monde. Aelita comprit alors que la voix était celle de son père. Mais des bruit lui firent tourner la tête. Elle se retourna alors et dit à son père que des bêtes byzarre approché. Son père n'hésita pas, et lui dit de courir, Aelita obéit. La bestiole, ou plutôt kankrelats, tira sur Aelita, qui de justesse évita le tirs. Mais par la peur, elle commença à demander de l'aide à son père, mais lui était malheureusement d'aucune aide à sa fille. Le kakrelat réussi à touché Aelita cette fois ! Elle accelera le rythme tout en tenant son bras ou venait de tirer le kankrelat.
Une fois dans la tour, Aelita était complètement démoralisée. La perte de sa mère, le déménagement, un monde dont elle ne connaissait pas l'existence. Celà était de trop pour elle. Elle cherchait du regard son père... Des sphères blanches apparurent soudains..Franz commença à expliquer à Aelita qu'elle doit rester dans la tour, et qu'il va essayer de rentrer en contact avec XANA. Il lui explique aussi que XANA est un programme multi agents que qu'il a créé… et que XANA a accédé à la conscience et cherche maintenant à éliminer sa fille et lui-même! Les sphères blanches disparaissent, laissant Aelita toute seule dans la tour.

" N'oublie pas qui tu es ! Si tu perds l'espoir, ton courage va retomber. N'oublie pas qui tu es !
Relève toi Soldat, et reste encore au combat ! Et tu dois gagner... Oui pour la liberté ! "

" Comment c'est arrivé, il va falloir me l'expliquer ... Pourquoi j'suis pas parmis les miens ???? "

Des minutes s'écoulèrent ce qui paru une eternité pour Aelita. Elle n'avait aucune nouvelle de son père, elle décida alors de sortir de la tour ! Une fois sortit de la tour, elle aperçu son père se faire attaquer par des frolions... Elle décida de l'aider ! Son père aprçut Aelita et lui ordonna de retourner dans la tour ! Les sphères blanches disparaissaient petit à petit ! La puissance de Franz baissait ! Son père alors commence à lui expliquer :

- Tu possèdes les clés de Lyokô, Aélita ! XANA ne doit jamais s’en emparer !!! Tu m’entends ?

Il ne reste presque plus de sphères blanches ... Franz et sur le point de disparaitre ! Aelita était horrifiée par le spectacle qui s'offrait à elle ! Après sa mère, elle allait perdre son père et même sa propre vie !

- C’est fini, Aélita… XANA est trop puissant ! C’est une menace pour l’humanité ! Je dois éteindre le supercalculateur…

Aelita a peur ! Plus que jamais ! Elle sait qu'elle n'oubliera jamais son père ....  Sa mère, son père, ses amis, sa VIE ...

* J'ai tout perdu *

Aelita retourne dans la tour !
La lumière vacille et baisse dans la tour : c'est la fin ...
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