Je sais.
1) Non je ne tente pas d'établir un record. Enfin, je crois. J'ai déjà dépassé la dizaine de textes tfaçon.
2) Oui, mes titres sont toujours aussi à chier. ça fait partie de mon style, je crois. 8D
3) Non je n'ai pas trouvé de meilleure intro.
Euhm, plus sérieusement. (D'aucuns me demanderaient pourquoi tellement de sérieux, surtout que cette intro est partie pour comporter son lot de conneries...ah ben tiens, encore une de plus.) Cet OS a été utilisé pour faire une rétrospective de la vie d'un perso que j'avais envie de disséquer psychologiquement, et j'ai accessoirement coupé l'herbe sous les pieds du vent d'Ouest (ce qui n'est pas peu faire). C'est un perso récurrent. Un peu comme un....Non, faut que j'évite de sortir cette connerie-là.
Non mais sérieusement, pourquoi faire une intro à un texte? Je viens de perdre toute crédibilité.
Spoiler
Au fond, ce n’est pas si terrible. Je ferme les yeux, de toute façon la lumière s’amenuise petit à petit. Elle n’est plus qu’une tâche à la surface. Je lâche prise, je me sens partir. Je coule, mais est-ce simplement à l’intérieur de moi ? Je ne sais pas, et je ne sais pas si je veux savoir.
Odd a cinq ans. Il est en maternelle, comme beaucoup d’enfants. Des baskets bleues, un short violet et un T-shirt vert : de toute façon, sa mère lui a assuré que les assortiments de couleurs dépendent du goût de chacun. Alors il fait à son goût. Odd aime jouer au ballon avec les autres petits garçons remuants, et c’est normal. Odd aime se dépenser, il a toujours eu beaucoup d’énergie à revendre.
Odd aime bien dessiner aussi. Il est toujours dans les premiers à foncer quand la maîtresse qui surveille la récréation leur donne des craies. Il invente des univers fantastiques qu’il développe sur le bitume. Il a de l’imagination, ses parents sont les premiers à le dire, et affirment vigoureusement que plus tard il sera un grand artiste. Ils ont beaucoup de projets pour lui. Lui ne sait pas ce qu’il veut faire, il change d’avis parfois plusieurs fois par jour en fonction de son humeur. Odd est un personnage à double face.
Odd lit. Il fouille dans les bibliothèques de sa maison, là où ses sœurs le laissent tranquille, mais comme il n’aime pas se fatiguer, il prend les comics de son père, là où il y a des images. Il aime beaucoup les Batman, à cause de Robin, mais il n’aime pas le Joker pour une raison mystérieuse. Ça l’énerve quand on lui dit qu’il lui ressemble un peu à cause de son humour. Il préfèrerait être Iron Man, pour pouvoir voler, parce que Odd est un grand rêveur.
Odd s’entend bien avec tout le monde. Même le personnel de l’école qui lui reproche d’être un peu remuant l’apprécie. La petite vieille qui vit à côté lui donne souvent quelques bonbons, sans même que ce soit le soir d’Halloween. Il a une sorte d’énergie communicative qui fait qu’il dégage une impression positive à tout le monde. Et ça tombe bien, parce que Odd aime tout le monde en retour. Sauf ses sœurs, qui sont immunisées à son aura. Mais ce qu’Odd ne sait pas c’est qu’elles sont jalouses du fait que leurs parents s’occupent beaucoup de lui. Elles se sentent abandonnées. C’est ça, la nature humaine.
Je continue à descendre. A couler. Je n’ai même pas peur, en fait. Les courants ballotent doucement mon corps, mais je ne les sens plus. J’attends. Mon esprit se vide lentement. Il a comme une envie de s’engourdir, de s’endormir, de disparaître. Je devrais le retenir, mais je ne sais pas si j’en ai envie. Au fond (ahah, au fond), pourquoi faire ?
Toujours plus profond. Toujours, toujours. Je ne perds pas vraiment pied : je n’ai jamais eu pied. Ce n’est pas de l’ennui, c’est une grande sensation de calme intérieur. Je rouvre les yeux : autour de moi, le bleu.
Odd a onze ans. Il est en sixième, comme beaucoup de préadolescents. Le violet prédomine de plus en plus sur ses vêtements, avec un peu de jaune pour aller avec ses cheveux. Il se spécialise, en quelque sorte. Il a un peu perdu de l’exubérance de la jeunesse qui pousse dans tous les sens et veut tout essayer. Il commence à savoir se définir. Il commence aussi à devenir plus calme, plus discret. Il aime bien s’enfermer dans ses rêveries, un peu à l’écart, mais reste sociable. La compagnie ne le dérange pas.
Odd aime toujours dessiner. Son trait s’est affiné, mais il espère n’avoir rien perdu de son imagination. Ses parents lui assurent qu’il est toujours aussi merveilleux, mais il a quelques doutes. Il n’en dit rien, et le dessin reste un instrument incroyable pour étaler son monde intérieur sur le monde extérieur. Il pourrait aisément recouvrir plusieurs fois la surface de la Terre avec ce qui bouillonne sous son crâne, mais il ne le fait pas pour laisser aux autres la place de rêver aussi.
Odd lit encore. Les comics restent, il les relit parfois en repensant à son enfance, mais s’aventure vers d’autres livres. Des livres que des enfants de son âge n’ouvriraient pas forcément : poésie, théâtre. Il aime bien le théâtre, il s’amuse parfois à déclamer de longues tirades, l’éloge de l’inconstance de Dom Juan, debout au milieu d’un cercle de livres qui représente son public, son texte dans une main, et l’autre qui accompagne son discours de grands gestes. Les livres sont un public courtois, mais silencieux. Ils ne perturbent pas sa prestation, mais ne l’applaudissent pas non plus. Mais ce n’est pas grave. Maintenant, Odd a Kiwi qui lui fait la fête quand il ressort de ce temple du savoir où il ne peut entrer. Ça lui suffit.
Odd ne s’entend plus aussi bien avec tout le monde. Le corps enseignant se montre plus ferme à son égard, prétextant qu’il n’est plus un enfant et qu’il doit se montrer plus sérieux. La petite vieille d’à côté n’a plus de bonbons à lui donner à Halloween : tout est pour les autres bambins du quartier, et quand Odd arrive avec son costume de fantôme, elle lui adresse un petit sourire triste avec ses dents jaunes. Ses camarades sont plus moqueurs, plus agressifs. Son énergie communicative a l’air de s’être évaporée sans aucune explication. Il ne comprend pas pourquoi les gens le trouvent bizarre maintenant. Quand il était enfant, ça marchait bien. Il aime toujours les gens, mais les gens ne l’aiment plus. Ses sœurs le jalousent encore. Ça non plus, ça n’a pas changé. On lui dit parfois qu’il est resté coincé en enfance, mais il aimerait nuancer : il est coincé dans son enfance, mais entouré par des adultes qui le considèrent comme un adulte. Ce qu’il pouvait faire petit lui est interdit, et la perception que les gens ont de lui change. C’est ça aussi, la nature humaine.
Les images défilent dans ma tête. J’essaie d’en saisir certaines, mais je suis trop lent. Mon esprit est paresseux en ce moment, il n’a pas envie de s’accrocher. Il veut dormir. Je me vois voler. J’ai toujours voulu voler. C’est chouette, de voler. On se sent libre, et puissant. J’ai toujours voulu être libre, je crois. J’ai ça dans la peau. On ne peut pas me retenir. Une image remonte : une petite rousse avec des tresses. Plus petite que moi. Ah, c’est Mélanie. C’est l’excuse que je lui avais sortie quand elle avait découvert que je la trompais avec…comment s’appelait-elle ? Je ne sais plus. Laurie, Leslie. Laurine, peut-être ? Aucune importance.
Toujours plus profond. Je sens de moins en moins mon corps. Est-ce que je suis en train de mourir ? Si c’est ça que ça fait, c’est drôlement paisible. De toute façon, je n’ai pas vraiment de chance de m’en sortir, hein ?
Odd a quatorze ans. Il est en troisième, comme beaucoup d’adolescents. Ce qu’il fait d’original, c’est de participer au sauvetage régulier du monde dans le secret le plus absolu. Il combat une IA maléfique et ça lui donne le sentiment d’être un héros, ce qu’il est sans doute. Il a changé sa coiffure et s’est teinté une mèche pour se démarquer des autres et assumer le fait d’être resté en enfance. Il réduit ses moments d’introversion pour aller avec la personnalité qu’il s’est construite, pour rester cohérent avec ce qu’il appelle lui-même.
Odd dessine un peu moins. Il n’a plus le temps, il suit d’autres passions, mais ça lui arrive encore de temps à autres, pendant un cours ennuyeux. A la place, il fait parfois du skate, de la musique, comme la guitare par exemple. Il arrive à exploiter ses talents mais se lance souvent dans beaucoup de choses à la fois. Théâtre, compétition de skate, création d’un groupe qui n’a pas duré longtemps…il fait beaucoup de choses mais en termine peu. Il vole d’un passe-temps à l’autre sans tout à fait s’y consacrer. Odd est aussi volage avec ses loisirs qu’avec les filles. Il retrouve de plus en plus ce côté enfantin qui fait qu’il pourchasse tout à la fois. Ça colle avec son personnage.
Odd ne lit plus. Odd est en internat maintenant, et il a préféré prendre sa console de jeux plutôt que ses recueils de poésie. Il se met dans la peau de l’enfant qu’il est censé être, par nostalgie pour ce bon vieux temps où il pouvait faire l’enfant, justement. Il se dit que s’il refait le gosse, il aura encore les mêmes passe-droits. Quand on joue aux jeux vidéo, on a pas de public de livres autour de soi, juste un colocataire grincheux qui cherche le sommeil. C’est moins accueillant. Certes, il y a encore Kiwi, mais Kiwi ne sort pas de son tiroir souvent. Maintenant, il y a Jim. En fait, Jim est l’ombre qui plane sur son public et le fait fuir. Mais au fond, le chien lui fait encore la fête quand il rentre dans sa chambre. Même le surveillant ne pourra pas changer ça.
Odd est resté relativement introverti d’un point de vue amitiés. Les professeurs sont à nouveau partagés entre bienveillance et sévérité envers lui. Il y a Mme Hertz qu’il agace, et Chardin qui l’adore. La première se plaint de ses résultats, le second adore sa vivacité et son dynamisme. Odd ne voit plus la petite vieille du quartier, puisqu’il est en internat. Sans doute qu’elle ne lui donnerait plus rien, de toute façon. Ses camarades sont globalement neutres à son égard, mais l’ont quand même élu délégué. Il sait être populaire, mais sans vraiment nouer d’amitiés avec tout le monde. En gros, il reste dans son groupe sectaire et dédaigneux, mais sait être apprécié et passe son temps à courir les jupons. Ses conquêtes sont très éphémères et finissent toujours par une belle gifle, mais il ne désespère pas de trouver le grand amour. Son énergie communicative s’applique très bien au groupe, et il peut l’étendre à loisir aux autres. Il voit beaucoup moins ses sœurs. Toutefois, il aime constater qu’il arrive à faire admettre son enfance aux autres en l’assumant pleinement lui-même. Il ignore juste s’il est mieux comme ça en forçant son caractère exubérant ou s’il préfère être un peu lui-même. Peut-être que son existence est une mascarade, ce qui n’est pas totalement impossible. Mais la société pousse à changer pour être accepté, parce que c’est ça aussi la nature humaine.
Je me perds de plus en plus, et je coule. Je dois arriver à me rappeler pourquoi je suis là. C’est lent à revenir, je trouve.
…
…
Ah, si, voilà, je crois que je sais. C’était lors d’une énième mission de sauvetage du monde. XANA avait attaqué…qu’est-ce qu’il avait fait, déjà ? Je crois qu’il avait xanatifié les chats. Ils avaient commencé à prendre le contrôle du monde à la vitesse de l’éclair. Enfin je crois. Je ne sais plus vraiment. Si ça se trouve, XANA avait juste xanatifié Jim, pour changer. Mes souvenirs fuitent, comme un robinet qui fermerait mal. Aha, un robinet. De l’eau. Ils se déversent dans ma tête en même temps, mais je n’arrive pas à les saisir. Il y a trop d’images. Je commence à comprendre. C’est parce que je suis là. C’est la mer numérique, elle broie mon esprit et commence à le disperser dans ses données. Mon avatar subira sans doute le même sort. Je me trouve très lucide, pour une fois. Trop, peut-être. Sûrement la mort qui approche.
Ce n’est même plus une chute, c’est une défenestration sur la lune. Je tombe lentement.
Oui, tomber, c’est ça. Je suis tombé. Ne pas perdre le fil. Fil de fer. Fer à cheval. Cheval de Troie. Trois petits chats. Chat ! Oui, c’est ça, je suis un chat. Je suis un chat violet. XANA a attaqué et je suis allé sauver le monde sur un monde virtuel. A quoi ressemblait le territoire, déjà ? Peut-être une forêt. Ou un désert. Je ne sais plus, j’ai oublié. Je crois que je pète un câble. Sérieusement, je deviens cinglé. Pour de bon. Au pire, je vais mourir donc je ne sais pas trop si c’est important.
Pourquoi je suis là ? ah oui, je suis tombé.
Je vais mourir, et je disjoncte. Je pourrais faire quelques dernières volontés tant que j’ai l’esprit clair. Même si je n’ai plus vraiment l’esprit clair. Je voudrais que mes amis surmontent la menace de XANA. Et qu’ils s’occupent bien de Kiwi, aussi. Il s’est bien occupé de moi, lui, y a pas de raison. Je voudrais bien que ma famille vive heureuse, etc. Mais à part eux, j’ai personne à remercier, au final. Que je sois introverti ou extraverti, je n’ai jamais creusé de profonds liens, à part avec ces gens.
Et là, je suis vraiment tout seul.
Mon dos rencontre quelque chose. Et je crois qu’il s’agit d’un fond.
J’ai touché le fond. Aha, quelle ironie. Je suis étendu, les bras en croix, au milieu de nulle part. Dans les profondeurs de la mer numérique, là où la croûte de Lyoko marque la coupure avec le réseau. Et là, je suis tranquille, je m’en rends compte. Je n’ai pas à me poser des questions, je n’ai qu’à attendre la mort. La mort, c’est la fin de la souffrance, après tout. Bonne nouvelle. Je l’attendais depuis un moment, celle-là.
Du coup, je vais pouvoir voir à quoi ça ressemble, la mort. Est-ce que ça se mange ?
Mon esprit se délite vraiment. Je vais le laisser s’échapper, je crois, ce sera plus reposant. J’entends presque XANA dire « Oui, allez, meurs, ça me fera une personne de moins à affronter ! ».
Allez, c’est décidé, je meurs. Je vais voir comment c’est, là-bas.
Inscrit le: 03 Avr 2014 Messages: 84 Localisation: Entre les ombres.
Prem's!
Ton os me fait penser à celui que je suis en train d'écrire sur le passé d'Odd, où il a du changer d'école et... ON S'EN FOUT!
Bref, je disais donc, tu as utilisé une figure de style que j'adore et que j'utilise souvent (parfois même trop...) les répétions pour donner un air plus fort au texte et à des phrases précises, mon dieu j'adore!
La répétition des "Odd" à chaque début de phrases au début de ton Os est bien utilisée, j'applaudis des deux mains!
J'aime également la description que tu fais de sa perception de l'école, et pourquoi il l'a déteste autant, à mes yeux, Odd est un enfant qui ne veux pas grandir, et qui assume totalement! Contrairement à beaucoup d'autres, lui souhaite garder ses habitudes et ses manies d'enfant (on peux le voir d'ailleurs parfois avec son égoïsme et ses blagues à tout bout de champs) et c'est pour ça qu'on l'adore ou qu'on le déteste.
J'ai moins accroché sur le changement de P.O.V, j'aurais gardé la troisième personne (alors que presque toutes mes fanfictions sur Castle sont à la première personne, sans commentaires...) mais enfin, ce n'est que subjectif
Je trouve ton titre très profond au contraire (cette phrase est bizarre...) et surtout très poétique, franchement j'aime bien, et ça colle avec le fait qu'il aime la poésie, donc moi je le trouve très bien trouvé.
Voilà, commentaire express parce que j'ai la flemme de faire un décorticage, et j'adore la chanson de la fin, je me disais: Hum... Pas d'humour noir? C'est bizarre... _________________ Il n'y a pas de victoires, il n'y a que des batailles...Roy Montgomery, Castle 3x24.
My puddin's a great kidder, but he loves me, really... Harley quinn, comics.
Oh diantre, un texte rétrospectif. Tout ce que j'aime (surpriiiise *VLAN*).
En plus c'est Odd. En fiction, il n'est jamais mieux que sorti de son habituel caractère désinvolte pour quelque chose de plus sérieux, je trouve. Les rigolos fictionnels sont souvent ceux qui se font malmener. Mais là, l'idée est amenée avec un certain humour, certes peu joyeux mais flagrant à la toute fin, quand son esprit lâche prise. J'ai bien aimé ce passage, notamment la phrase: "Ce n’est même plus une chute, c’est une défenestration sur la lune". Magnifique, l'image qui vient après lecture est prenante. Joliment dit.
Ses souvenirs, ensuite. Très cohérents avec Odd, on imagine sans problème qu'il ait pu vivre tout cela. Ca amène très bien sa dualité, coincée entre ce qu'il est et ce qu'il aimerait bien être parfois. Ca rejoint aussi l'idée d'une alternance entre première et troisième personne. Les souvenirs affluant deviennent plus objectifs, comme un commentaire audio sur ce qu'il se remémore. C'est comme si sa fin lui racontait son histoire. L'impression de décalage amène encore plus d'émotions pour le lecteur. Ainsi, à la troisième personne, il est témoin éloigné, et à la première il vit les choses avec Odd, il s'en rapproche.
Le doute est maintenu dans l'esprit de Odd, aussi, sur son sort, on trouve beaucoup de marques du questionnement, on voit qu'il perd pied (haha) de plus en plus, et ça suit le fil logique de son évolution en tant que personne, comme si au fur et à mesure qu'il se perdait dans son identité, il perd aussi sa vie. Le parallèle est bien géré, je trouve.
... Diantre numéro deux, je suis sacrément analytique ce soir. Donc bref, joli texte. Si je devais trouver un reproche, ce serait le manque de surprise dans l'épilogue, même si je ne sais pas si c'est important ici. Autant au premier "Odd", j'en étais encore à me demander qui était ce "je" (Tiens, quelqu'un qui connait Odd? Kiwi, peut-être? C'est peut-être un piège pour qu'on s'attende à Odd, et en fait non, ce sera surpriiiiise!), mais il parait rapidement clair que non, c'est bien Odd. Mais encore une fois, si le suspense n'était pas le but, peu importe o/ _________________
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Inscrit le: 17 Sep 2012 Messages: 2316 Localisation: Territoire banquise
Moi Président
Moi Président des fanfics, j'ai apprécié l'originalité de cet écrit. Moi Président des fanfics, je ne peux que saluer le travail effectué pour garder une cohérence dans l'évolution du personnage au fil des ans, chose que tu as très bien maitrisée. Moi Président des fanfics, je pense que cet OS illustre tout ton potentiel qui n'a pas intérêt à arrêter de grandir (sinon, tu connais le tarif : Une baffe). Moi Président des fanfics, je tiens juste à te mettre en garde car ta multiplication des OS sur Odd est peut-être un signe précurseur d'un basculement William ==> Odd, chose qui s'est déjà vue dans le sens inverse et qui pose des problèmes émotionnels à certains personnages dans les fanfics
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