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 Auteur Message
Kerian MessagePosté le: Lun 15 Fév 2010 17:30   Sujet du message: Répondre en citant  
Déchiqueteur de Fics


Inscrit le: 01 Aoû 2008
Messages: 1700
Bon, chapitre intéressant, on sent bien le malaise d'Eric, ainsi que l'atmosphère pesante qui entoure l'organisation.

Continue comme ça ! Bon courage !
_________________
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"La sévérité prévient plus de fautes qu'elle n'en réprime." - Napoléon Bonaparte

"L’élévation d’un homme au-dessus des autres ne se justifie que s’il apporte à la tâche commune l’impulsion et la garantie du caractère." - Charles de Gaulle
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aurel2108 MessagePosté le: Lun 15 Fév 2010 17:39   Sujet du message: Répondre en citant  
[Rampant]


Inscrit le: 20 Fév 2009
Messages: 330
Localisation: The Internet
Arg !!!
Ce suspense est insoutenable.
Je ne vois pas trop ce que sont "les programmes de gestion et de stabilisation de l’énergie quantique mis au point par Hopper" mais ce chapitre est très bien.
Longueur parfaite et je n'ai pas vu de fautes d'orthographe.

Vivement la suite Smile !!!
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GIJim MessagePosté le: Jeu 18 Fév 2010 22:08   Sujet du message: Répondre en citant  
[Kankrelat]


Inscrit le: 07 Fév 2010
Messages: 4
Très bon chapitre. Le contraire m'aurait surpris venant de toi Smile.
Ça m'a tellement plu que j'ai décidé de reprendre l'histoire à son commencement.

J'en profiterai pour relever les fautes de langue que je rencontrerai.
D'ailleurs je commence tout de suite avec le chapitre 1 (Causalité):

Citation:
"Le réseau informatique mondial, par exemple, n’est rien de plus qu’un système dont les lois qui le coordonnent respecte ce sacrosaint principe de la causalité"
Je mettrai respectent car le sujet est "les lois"
Citation:
Les bases de notre civilisation repose désormais sur une création humaine, une création aussi fragile que l’homme lui-même
=> reposent
Citation:
Et ce point de rencontre qui permet à notre univers réel d’interagir avec cet univers que nous avons fabriqués, ce point de rencontre est la cause
=> fabriqué
Citation:
Aelita et lui étaient en vacances sur la côte bretonne, puisque, comme à chaque vacances, les parents de Jérémie avaient acceptés sans poser de questions d’emmener la jeune adolescente pour faire plaisir à leur fils.
La logique voudrait qu'on mette chaque vacance mais c'est vrai que c'est moche. On écrit toujours les vacances
Citation:
Mais au-delà de cette nécessité, Jérémie se souvenait surtout du cri de désespoir et des pleurs de son amie lorsque l’orbe lumineuse, l’enveloppe virtuelle incomplète de Franz, avait explosé, laissant ses données s’éparpiller au quatre coins du réseau.
=> aux
Citation:
Les cauchemars au sujet de X.A.N.A avait été remplacé par des cauchemars au sujet de son père.
Je mettrai "avaient été remplacés"
Citation:
le projet d’Aelita n’apaisaient pas leurs esprits
=>apaisait
Citation:
Ce parc avait toutefois été le théâtre de très bon souvenirs également.
Là, je ne suis pas sûr de moi: je dirai que "bon" est un adjectif donc il s'accorde. Je ne sais pas si il peut être utilisé comme un adverbe. A méditer.
Citation:
Aussi fut-il surpris lorsque, brusquement, la chaleur et la lumière du rayonnement solaire semblèrent être bloqués par une masse quelconque.
Il manque un "e": bloquées
Citation:
Totalement essoufflé par la cadence infernale que lui avait imposé son partenaire plus sportif, le jeune Belpois se laissa tomber sur le bord de son lit et passa sur son front pour éponger un peu de sueur et replacer une mèche.
COD = "cadence" placé avant l'auxiliaire il me semble => "imposée"

Voila, je continuerai au fil de mes lectures si tu le désires ^^. Ça sera en quelque sorte ma petite contribution en tant que fan de ton travail !!! Sache que je n'ai rien remarqué d'anormal sur le dernier chapitre. Voilà voilà...

Bonne continuation et vivement la suite ! Smile
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Shipping MessagePosté le: Ven 19 Fév 2010 11:58   Sujet du message: Répondre en citant  
[Kankrelat]


Inscrit le: 01 Jan 2010
Messages: 26
Ouai, super suite.

Je comprend pas bien se que veut l'A.D.A.M mais sa ma pas l'air d'être pour la bonne cause.

Alors comme sa Dévoltaire avait une famille? Comment elle est morte? Bon je pense qu'ont auras la réponse dans un chapitres qui suivras.

Toujours aussi agréable à lire, seul hik: J'ai du relire les dernière ligne de la précédente partie pour me repeller de ou on en était. ^^
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Kinshii MessagePosté le: Sam 20 Fév 2010 14:11   Sujet du message: Répondre en citant  
 


Inscrit le: 20 Juin 2009
Messages: 970
J’y crois pas ! Il a osé !
Il a osé publier pendant que j’avais le dos tourné ! Ça y est c’est le bordel. Je n’ai pas encore lu le dernier chapitre, et je me le réserve pour plus tard. Alors du coup, je vais commenter le chapitre 16-1, et j’éditerais ou reposterais plus tard.
Boulet ! Tu vas avoir un train de retard à chaque chapitre.
Mais non, suffit que je commente plus vite qu’il n’écrit ^^


Me disais bien qu’il y avait un souci…
Tu ne me prendras à défaut sur ce sujet, j’ai un prof de physique complètement dingue, et le TNT, la Nitroglycérine etc. ça n’a plus vraiment de secret pour nous…

Le TNT (ou trinitrotoluène / tri-nitrate de toluène) c’est de la roupie de sansonnet à côté du plastique, niveau puissance d’explosion j’entends. (et comme son nom l’indique, il n’y a pas de nitroglycérine dedans ^^)

Et sinon, c’est vrai que la dynamite tend à s’exprimer joyeusement par des températures importantes (~35°C si ma mémoire est bonne) mais on peut pallier ce problème avec des adjuvants (ne me demandez pas lesquels)
On ne t’a rien demandé du tout, c’est toi qui t’enflamme. Pourquoi tu nous parle d’explosifs d’abord ?
*Pointe PhilippeKadic du doigt* C’est lui qui a commencé !

PhilippeKadic a écrit:
Mais pourquoi je parle de ça moi ?! Ah, oui pour prouver que je suis pas sadique

… Tu nous as juste prouvé que tu étais incompétent, et donc encore plus dangereux que ce que j’imaginais. (Heu… incompétent dans le domaine des explosifs. Je préfère préciser)

Citation:
En plus, le plus sadique de nous deux, c'est pas moi j'te ferai dire.

*estomaqué* Qu-que… qu’essaies-tu d’insinuer ? Sadique ? Moa ? Juste pour quelques égratignures ?

Sache donc que les blessures que l’on peut voir sont celles que l’on peut guérir.

Le retour vers le passé peut soigner un tympan percé, mais il ne peut rien contre un cœur brisé.
Je te laisse méditer sur le sujet.


Il y a quelque temps, je t’avais dis que je ne répèterais plus à chaque que tel ou tel autre chapitre était bon, puisqu’ils ils étaient tous bon. Mais comme celui-ci n’est pas bon, je vais m’attarder (un peu) dessus.

Effectivement, je le trouve pour ma part meilleur que les précédents (c’est dire !).


Dommage que l’on se contredise pour un des rares sujet où il aurait été de bon ton que je te copie ou que tu me copies avant que je ne publie mon texte… Je veux parler de notre divergence d’interprétation du devenir de l’esprit des Lyokô-guerriers quand ils sont virtualisés. Mais je ne m’étendrais pas sur le sujet, puisque c’est stérile.


L’échange entre Yumi et William m’a particulièrement plu.
« Désolé Yumi. Mais le banc de touche, ça ne me dit rien si je suis en pleine forme. Autant rester dans cet état. »
Ça me plait cet état d’esprit, et ça me semble coller avec le caractère de William. (qui a évolué, car il y a quelques années, il n’aurait pas eu l’honnêteté d’avouer son refus de rester en retrait, il aurait promis d’être bien sage, et se serait finalement incrusté dans le groupe.)


Le malaise de Yumi ressort bien. La jeune japonaise a perdu de son détachement, et William ne lui est plus aussi indifférent qu’avant semble-t-il. Ça devrait être mauvais pour Ulrich, mais je ne m’inquiète pas vraiment. Vu la façon dont tu as présenté leur relation au début de ta fic (qui a d’ailleurs soulevé quelques remarques) je pense que pour toi, le couple Yumi Ulrich est naturel. C’est juste une mauvaise passe, quoi… Un prétexte pour exprimer ton talent de s(d’accord j’arrête)
… Jusqu’ici, mes analyses ne se sont pas révélées d’une exactitude transcendante…
« Qui vivra Véra. »


Un rebondissement à envisager lors de la restauration de l’esprit de William ? Je ne pense pas, ce sera suffisamment compliqué comme ça (même si je ne doute pas de ta capacité à lui en faire voir encore de toutes les couleurs…)

J’ai vu en rentrant que tu étais passé commenter ma fic (je vais pouvoir entamer ma réflexion pour attaquer ensuite la rédaction de la partie suivante avant de la publier Razz) ça va prendre du temps, alors je te répondrais par mp ^^

Je te souhaiterais bonne continuation et réclamerais la suite à mon prochain passage Smile


Evana, c'est pas cool de mettre la pression comme ça à PhilippeKadic, il est désormais le seul lecteur de ma fic Sad
C'est plutôt toi qui est en train de lui mettre la pression là...
A qui ?
_________________
 
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Dernière édition par Kinshii le Mar 23 Fév 2010 18:43; édité 1 fois
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Abadjin Pieckoyt MessagePosté le: Sam 20 Fév 2010 15:23   Sujet du message: Répondre en citant  
Défenseur Galactique


Inscrit le: 22 Aoû 2008
Messages: 493
Localisation: Aux côtés du Catalyseur pour mettre fin à la menace des Moissonneurs...
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!! Je plaisante ! Mr. Green Enfin le retour de Dévoldère dans tous ses états qui plus est ! I like it ! Et on sait enfin ce que cherchait le Méka dans les tours de Lyoko, je n'ose imaginer ce qu'ils comptent faire avec des codes pareils... Voilà que Eric cherche à protéger les Lyokoguerriers maintenant... la suite se fait pressante...

A plus !

_________________
http://nsm07.casimages.com/img/2012/02/05//120205103503633029399575.png

Tel un feu purificateur, nous rétablissons l'équilibre.
Le Catalyseur s'adressant au Commandant Shepard,
quelques secondes avant l'activation du Creuset et la fin des Moissonneurs.

Tiré de Mass Effect 3
Liens de mes Fics et Fans Fics


Dernière édition par Abadjin Pieckoyt le Lun 22 Fév 2010 19:17; édité 1 fois
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Sayan MessagePosté le: Lun 22 Fév 2010 18:23   Sujet du message: Répondre en citant  
[Frelion]


Inscrit le: 20 Fév 2010
Messages: 41
Localisation: Dans la cellule N°: 13 d'une prison de haute sécurité.
Bonjour, tu est la première fan fic sur laquelle je suis tombé, et je la trouve très fidèle à la série d'origine, tu à bien préparé l'action, posé les nouveaux personnages...
Je n'ai repéré aucune faute d'orthographe qui gêne à la lecture, tu à un meilleur niveau que moi, je ne peut que t'encourager.

Par contre, j'ai du mal à visualiser les créatures que l'ADAM envoient sur Lyoko, tu pourrais peut être m'éclairer, et aussi un autre point, par la même occasion : maintenant que le problème de William va être réglé, pourquoi Jérémie ne débranche pas le super calculateur ? Comme ça, l'ADAM ne pourrait plus y activer de tours.

La fiction est très réussie, à pars ces deux questions qui me trottent dans la tête...
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Kinshii MessagePosté le: Dim 28 Fév 2010 12:25   Sujet du message: Répondre en citant  
 


Inscrit le: 20 Juin 2009
Messages: 970
C’est bien aimable à toi d’avoir attendu ^^
PhilippeKadic : Absolument pas.
Moi : Bon, et bien peu importe, mon retard est comblé.

Voici donc mon commentaire du chapitre 16-2 Smile

Une seule faute m’a gêné à la lecture :
« un canon se posa contre sa crâne » Il faut choisir ^^

GIJim a écrit:
une intrigue très bien conduite, on sent qu'il y a tout un projet derrière et que tu sais où tu vas.

Mort de rire, je suis sûr qu’il est plus paumé que Dévoldère.
Nan, tout ça s’enchaîne sans heurts Wink


PhilippeKadic a écrit:
je n'arrive pas du tout à m'en faire un qui soit définitif concernant cette séquence.

*tire la langue* tu n’arrives jamais à te faire un avis définitif, moi non plus d’ailleurs, et c’est pour ça que tu publie ta fic ici, non ? Moi aussi d’ailleurs.


Un chapitre qui fait plaisir, puisque Dévoldère continue ses bêtises, franchissant les points de non-retour avec une allégresse certaine. Maintenant, il a l’Organisation des affreux et l’Agence des méchants sur le dos sans avoir pour autant la confiance des Lyokô-guerriers. Il ferait mieux de planter sa croix à côté de celle de sa femme et de sa fille…

Décidément, Dévoldère est un maniaque du pistolet, et il est surprenant qu’il n’ait pas vidé son chargeur sur son (ex-)supérieur ^^
Et d’ailleurs, ça fait plaisir de voir du vocabulaire technique, « chambre de combustion » Wahou ! tu m’as impressionné Razz
J’exagère un petit peu, mais c’est vrai que j’ai été agréablement surpris Wink


Je prends ce chapitre comme la promesse d’un voyage sur Lyokô dans un avenir proche, c'est-à-dire dans le futur.

Au menu, poulpe à la broche.

Est-ce que l’ADAM va réussir a obtenir ce qu’elle cherche… difficile à dire. Ce que je ne comprends pas bien, c’est pourquoi ils sont passés par le réseau et pourquoi ils n’ont pas empêché les héros d’accéder au supercalculateur…


Il y a aussi d’autres choses que je ne peux pas vraiment développer ici, alors je t’envoie ça par mp.


J’attends donc la suite avec grande impatience.
Bon courage na toi Surprised
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Shice MessagePosté le: Dim 07 Mar 2010 08:17   Sujet du message: Répondre en citant  
[Frelion]


Inscrit le: 28 Fév 2010
Messages: 52
Localisation: Sur un iceberg salé du territoire de la Banquise
J'adore ton histoire ,de par le style l'action avec très peu de fautes d'orthographe, c'est bien écrit Very Happy
_________________
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PhilippeKadic MessagePosté le: Ven 09 Avr 2010 18:34   Sujet du message: Répondre en citant  
[Blok]


Inscrit le: 22 Juil 2009
Messages: 108
Localisation: Croix, France
Bonjour à tous ! Ça fait un bail, pas vrai ? Je suis absolument désolé de vous avoir laisser sans nouvelles pendant presque deux mois, ça a un côté ignoble, je l'avoue, mais connaissant ma propension au sadisme psychologique, vous ne devriez pas être étonné.

De brèves explications tout de même à cette absence. Les cours, essentiellement. Les révisions et les contrôles continus à la chaine ne sont pas étrangers à cela, associés à une (très) mauvaise note qui avait porté un grand coup à mon moral. De plus, je me pense atteint du syndrôme Aquatikelfik, c'est-à-dire que j'entame plein de projets en même temps et qui n'étaient absolument pas à l'ordre du jour. Bref, c'est le souk.

En tout cas, un grand merci à Kerian, Kinshii, Abadjin Pieckoyt, GIJim et tous les autres (ce n'est pas parce que je ne cite pas tous les noms que vos commentaires ne m'ont pas fait plaisir). Ça fait vraiment chaud au coeur ce soutien.

Pour le coup, je ne ferai pas de tour d'horizon des remarques puisque c'est surtout Kinshii qui joue les pointilleux Razz. Ça me fait penser, je m'excuse de pas t'avoir répondu par MP, je vais me mettre à jour au niveau des réponses ce week-end (et je te rassure, t'es pas le seul à qui j'ai pas encore répondu après une telle période, je suis vraiment désorganisé comme gars).

Voilà, sur ce, voici la dernière partie du chapitre.





Chapitre 16-3
Vivre ensemble...


La nuit venait de laisser tomber son voile de ténèbres sur la ville lorsque l’on frappa à la porte de Jérémie. Celui-ci, occupé à déclencher une énième simulation du programme de transfert qu’il projetait d’utiliser sur William avec tous les risques que cela comprenait pour une première tentative réelle, se contenta de lancer un laconique « Entrez » sans quitter des yeux l’écran de son ordinateur. La porte s’ouvrit et ses amis pénétrèrent dans la chambre et Odd essaya de refermer discrètement. Mais les gonds de la porte en avaient, semble-t-il, décider autrement et un grincement strident se fit entendre. Jérémie leva les yeux au ciel d’un air exaspéré avant de poursuivre la saisie de la séquence d’initialisation du transfert simulé. Au bout d’un temps, alors que seul se faisait entendre le bruit des touches du clavier que Jérémie malmenait à une vitesse impressionnante, Odd sentit qu’un malaise s’installait. Einstein ne semblait guère décider à décrocher son regard de son écran et ses amis n’osaient pas l’interrompre, sachant qu’une fausse manipulation pouvait faire échouer un long labeur. Mais Della Robbia se moquait bien de ce détail et ne se priva pas pour faire remarquer se présence, comme s’il eût fallu plus que sa discrète fermeture de la porte de la chambre pour que Jérémie en eût conscience. Un raclement de gorge très exagéré obligea donc le génie de Kadic à s’arrêter de taper quelques secondes. Sans cela, il savait que son ami continuerait à le déconcentrer.

« On était pas censé se retrouver à l’usine ? demanda Belpois de manière un peu sèche.
- Ben, c’est ça le problème, répondit Aelita d‘un air gêné. On s’était donné rendez-vous à vingt heure à l’usine et il est déjà vingt-et-une heure. »

Le surdoué sembla stupéfait et jeta un œil à sa montre. Il était effectivement vingt-et-une heure, déjà.

« Et j’ai pas allumé mon portable, pas vrai ? lâcha-t-il en passant ses mains sur son visage dont les traits étaient marqués par la fatigue.
- Non, mais t’es pas le seul en fait… intervint Odd avec un rire nerveux.
- Qu’est-ce que tu veux dire ? demanda Jérémie en faisant pivoter sa chaise. »

Lorsqu’il se retrouva face à ses amis, il eut, lui semblait-il, une partie de la réponse. Devant lui se trouvaient Aelita, Odd et William. Il y avait à n’en pas douter un problème.

« Où sont Ulrich et Yumi ? demanda-t-il.
- Yumi était censée nous rejoindre à l’usine mais elle nous a appelé pour nous dire qu’elle devait garder Hiroki, répondit Aelita.
- Et Ulrich ? insista-t-il en regardant le roi autoproclamé de la glisse.
- Ben, tu vois, c’est-à-dire que…
- Accouche, Odd, soupira Belpois, exaspéré.
- Il voulait parler à Yumi… avoua Odd. »

Il y eut un silence. William sembla ne pas rester insensible à ce qu’il venait d’entendre même s’il fit tout ce qu’il pût pour ne rien laisser transparaître. Puis Jérémie laissa échapper un nouveau soupir :

« Génial… Je suppose que t’as essayé de le dissuader.
- Ben en fait… C’est moi qui lui ai donné l’idée. »

Jérémie ne remarqua pas le regard étrange que lança Aelita à Odd et lança un acerbe :

« Pas de quoi être fier… Maintenant, on est plus que quatre.
- On peut toujours les attendre, protesta Odd.
- Oui, ça c’est clair, reprit Jérémie sur un ton cinglant en détournant le sens de la phrase de son ami.
- De toutes façons, je vois pas où est le problème, se défendit Odd. On va au labo tous les quatre, t’initialises ton machin, tu soignes William et on rentre au bahut pour le p’tit déjeuner.
- Le problème, c’est que l’on avait dit que l’on ferait ça tous ensemble et…
- Quoi, Einstein ? T’as peur de pas pouvoir décharger tes responsabilités sur Yumi ? »

Aelita regardait son meilleur ami et le garçon avec qui elle sortait se disputer. Plus le ton montait et plus elle se sentait mal à l’aise. Elle commença à serrer les poings puis n’y tint plus lorsque Jérémie se leva de sa chaise.

« Ça suffit ! C’est pas la faute d’Odd. C’est la mienne.
- Quoi ? lâcha Jérémie, abasourdi.
- C’est moi qui ai dit à Ulrich de parler à Yumi… Si tu dois t’en prendre à quelqu’un, alors vas-y, Jérémie, engueule-moi.
- Mais, si c’est toi… Pourquoi il… ? »

Aelita secoua la tête, dépitée :

« Parce qu’il voulait me couvrir, me protéger. Tu te rappelles ? Ce truc que font les amis entre eux. Ce truc qui faisait qu’on formait un bloc uni contre X.A.N.A. »

Jérémie baissa les yeux au sol. Odd le foudroyait encore du regard mais rapidement, en voyant Belpois se laissait tomber sur sa chaise, l’expression de son visage passa de la colère à l’empathie. Il posa une main sur l’épaule de son ami qui leva les yeux dans sa direction. Odd lui sourit légèrement et Jérémie se sentit idiot de s’être emporté comme ça contre lui.

« J’suis désolé, Odd. Et Aelita, j’te présente aussi mes excuses. Je me comporte vraiment comme un crétin parfois.
- Seulement parfois ? le railla Odd. »

Jérémie lui lança un regard mauvais.

« Ah ça va, un partout, la balle au centre. »

Belpois ne put s’empêcher de rire devant le ton employé par Della Robbia pour sa « défense ». Puis il tourna son regard vers Aelita avec un peu d’appréhension. Il accumulait les gaffes ces derniers temps et il avait toujours peur que sa maladresse ne lui coûte un jour cher, très cher, trop cher. Elle s’efforça de lui sourire mais il voyait bien la tristesse qui s’exprimait à travers ses yeux verts. Il lui rendit son sourire tout en sachant que cela ne suffirait pas. Il fallait qu’il lui parle, seul à seul, qu’il lui explique. Mais là, il y avait plus urgent. La vie de William était peut-être en jeu.
Il se tourna vers Dunbar et lui demanda comment il se sentait, question à laquelle le jeune homme répondit en haussant les épaules. Aelita réalisa que, depuis tout à l’heure, ils agissaient presque comme s’il n’était pas là. Elle s’approcha de lui et le regarda dans les yeux :

« Il faut qu’on sache, William. C’est vraiment important.
- Sans blague… La seule personne dans votre groupe que ça inquiète vraiment, c’est Yumi. Vous, vous vous en moquez. Tout ce qui vous importe, c’est de vous donner bonne conscience. Depuis que vous êtes passé me chercher dans ma chambre, vous agissez comme si j’existais pas.

- On voulait pas te blesser. C’est juste que… On traverse des moments difficiles et on te connait pas beaucoup. Mais on a envie que ça change, vraiment. On veut que tu fasses partie de la bande. Mais c’est une opération risquée qu’on s’apprête à faire et on est tous sur les nerfs. Même toi. Alors, on a besoin que tu coopères. Il faut que tu nous dises où en sont les symptômes. »

Lorsque la voix douce et apaisante d’Aelita se tut, un silence s’installa. Elle posa une main sur l’épaule du garçon et lui adressa un sourire pour le mettre en confiance. Jérémie avec un certain étonnement à quel point la « naïve » Aelita pouvait se montrer persuasive ; Odd, lui, s’amusait intérieurement de la stupéfaction de son ami. Finalement, William céda et accepta de décrire l’état dans lequel il se trouvait depuis ce matin. Loin d’avoir connu une rémission, les symptômes semblaient même se montrer plus violent que jamais. Il avait de plus en plus de mal à cacher les tremblements dont il souffrait et les cauchemars qui avaient peuplé sa nuit précédente avaient été encore plus violents. Jérémie hocha la tête de manière presque mécanique à l’énonciation des symptômes mais garda le silence. William avait le sentiment étrange et inconfortable de se trouver face à l’un de ces fichus médecins de l’hôpital. Aelita vit bien la frustration qui l’habitait et sentit même son corps se raidir puisqu’elle avait toujours sa main posée sur son épaule. Elle lui sourit à nouveau et le rassura :

« T’inquiète pas, le système est au point et dès demain, tu seras à nouveau en pleine possession de tes moyens et tu feras partie de la bande. Promis.
- Je te fais confiance, Aelita, annonça-t-il en lui rendant son sourire. Yumi a vraiment de la chance de t’avoir comme amie.
- Mais je suis aussi ton amie, William. Comme Odd, Jérémie et Ulrich. Et on fera tout ce qu’on pourra pour t’aider.
- Je… Merci…
- Très bien, alors on y va, lança Jérémie.
- On attend pas Ulrich ? demanda Odd.
- J’ignore combien de temps va prendre le processus exactement, dit Jérémie avec sérieux. »

Les trois amis hochèrent la tête. Ils se dirigèrent alors vers la porte et Odd se saisit de la poignée, s’apprêtant à entrouvrir la porte, lorsque Jérémie l’interrompit en lui disant qu’il allait le faire lui-même. Einstein parvint à ouvrir silencieusement la porte et jeta un œil dans le couloir. La voie étant dégagée, les adolescents sortirent et entreprirent de gagner le laboratoire.

Cependant, Ulrich était assis sur le trottoir en face de la maison des Ishiyama. Une vingtaine de minutes plus tôt, il avait aperçu, caché derrière un arbre, les parents de Yumi quitter la maison. Yumi leur avait fait signe sur le pas de la porte mais heureusement, elle ne l’avait pas aperçu. Le regard fixé sur son téléphone portable qu’il tenait fébrilement entre ses mains, il se demandait pourquoi elle n’était toujours pas sortie pour rejoindre les autres à l’usine. Il était tout de même vingt-et-une heure vingt. Il faisait coulisser nerveusement l’écran de bas en haut puis de haut en bas en se demandant s’il devait l’appeler. Il avait déjà rejeté de nombreux appels d’Odd et d’Aelita en sachant pertinemment que ces derniers voulaient juste s’enquérir de sa situation et pourtant, il restait là, planté sur ce trottoir à fixer tantôt son portable, tantôt la maison sans oser ni aller sonner ni appeler. Il avait trop peur de se faire rejeter, trop peur de ce que pourrait être la vérité, trop peur que tout soit réellement terminé. Il poussa un long soupir et leva une énième fois les yeux en direction de la maison. Pourquoi cela devait-il lui arriver à lui ? Et maintenant ? Pourquoi avait-il fallu qu’ils se disputassent ? C’était vraiment injuste.

Il attendit là encore un moment avant que son portable ne se mette à sonner. Il eut la présence d’esprit de baisser les yeux avant de refuser l’appel et vit le nom d’Hiroki affiché sur son écran. Surpris, il hésita à décrocher pendant un instant avant de finalement accepter l’appel. À peine eut-il le temps de poser le téléphone contre son oreille que la voix du frère de Yumi se fit entendre, moqueuse.

« J’en connais un qui est amoureux. »

Étonné, Ulrich jeta un regard autour de lui puis en direction de la fenêtre de la chambre d’Hiroki qui était plongée dans l’obscurité. En observant avec une attention redoublée la pénombre, il aperçut une silhouette à la fenêtre. Sans vraiment réfléchir, Stern se leva précipitamment et se cacha derrière un arbre proche, priant pour que cette silhouette ne soit pas celle de Yumi.

« Tu m’observais ? demanda Ulrich, gêné.
- Elle est pas mal celle-là. C’est moi qui devrait être mal à l’aise. T’es devant notre maison depuis plus d’une heure. Je sais pas comment ma sœur a fait pour pas te voir.
- Hiroki, j’compte sur toi pour rien lui dire.
- Hmmm… J’sais pas, faut voir. »

Ulrich n’arrivait pas y croire. Non seulement ce gamin avait le culot de l’espionner depuis sa chambre mais en plus il jouait avec ses nerfs. Il faut dire qu’en deux ans, Hiroki avait gagné en assurance et n’hésitait pas, plus encore que par le passé, à s’amuser aux dépends de sa sœur et d’Ulrich à ses heures perdues.

« Fais pas l’idiot, Hiroki.
- Attends, c’est toi qui me dit ça ? Toi qui te caches derrière un arbre à chaque bruit que tu entends et qui soupires sous la fenêtre de ma sœur sans oser lui dire en face ce que tu ressens.
- J’ai l’impression d’entendre Odd…
- Tu devrais l’écouter, il est de bon conseil parfois. »
Ulrich soupira. Il savait que le petit frère de Yumi ne l’appelait pas par hasard. S’il prenait un air taquin, il avait envie de tout, sauf de se jouer de lui, ce soir. Après tout, Hiroki était sûrement au courant de leur rupture.
« La Terre appelle Ulrich, répondez.
- Ça n’a rien de drôle, Hiroki… C’est pas un jeu.
- Là je suis d’accord. Écoute, je connais pas les détails de ce qui s’est passé entre vous mais Yumi est vraiment… mal.
- Je sais… Et moi aussi.
- Alors, bouge toi. Et fais quelque chose.
- Si je frappe, elle répondra pas… Si je sonne, ce sera pareil.
- Alors, dans ce cas, il ne reste plus qu’une solution, lâcha Hiroki d’un air espiègle.
- Tu me fais peur là. T’as quoi en tête ?
- Si tu ne viens pas jusqu’à ma sœur, alors ma sœur viendra à toi.
- Que… Quoi ? Attends, Hiroki, tu… »

Ulrich n’eut pas le temps d’ajouter quoi que ce soit, le jeune Ishiyama lui raccrocha au nez.

« Et merde, maugréa-t-il en rangeant son portable dans sa poche. »

Il ne savait plus quoi faire. Il était encore temps pour lui de faire marche arrière. C’est ce qu’il aurait du faire à cet instant, en toute logique. Pourtant, il en fut incapable. Il devait parler à Yumi. Il resta donc adossé à cet arbre jusqu’à ce que la porte des Ishiyama s’ouvrît et que Yumi s’avançât dans l’allée. À cet instant, il jeta un coup d’œil furtif dans sa direction, toujours dissimulé derrière le tronc de l’arbre. Yumi refermait le portail puis s’avançait dans la rue. Hiroki l’avait donc convaincu de rejoindre les autres. Il pouvait donc encore s’en tirer en partant de l’autre côté. Mais il ne put s’empêcher d’appeler la jeune femme qui se retourna, surprise de le voir traverser la route à sa rencontre.

« Qu’est-ce que tu fais là ? Tu devrais pas être au labo avec les autres ?
- Il fallait que je te parle et…
- Laisse-moi deviner. Hiroki était dans le coup.
- Hein ? Non, je…
- C’est vraiment naze de te servir de mon frère pour essayer de me parler.
- Mais je t’assure que tu te trompes, se défendit Ulrich.
- Alors, t’es là par hasard ? demanda Yumi avec une moue significative.
- Non… »

Yumi secoua la tête avant de continuer sa route. Ulrich resta un moment immobile avant de la suivre et de la saisir par le bras.

« Yumi, attends. J’ai besoin de te parler.
- Et moi, j’ai pas envie.
- Mais…
- Écoute, Ulrich. Je croyais que c’était clair. C’est fini entre nous. Ça ne te fait pas plaisir, ça ne me fait pas plaisir mais c’est mieux pour tout le monde, pas vrai ? »

Ulrich relâcha la prise qu’il avait sur son bras et elle continua sa route. Mais à peine avait-elle fait une dizaine de pas que la voix de Stern se fit à nouveau entendre :

« Non. La situation n’est meilleure pour personne. Tu souffres, je souffre et la bande en souffre.
- Et tu crois que si on se remettait ensemble, tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ? Tu crois que je pourrais oublier que t’as embrassé Sissi ?
- Je t’ai dit que j’étais désolé, que ça représentait rien. Je vois pas ce que je peux faire de plus, se désespéra Ulrich. »

Yumi le considéra pendant quelques secondes avant de serrer les lèvres et de répondre :

« Rien… C’est justement ça le problème. Tu ne peux rien faire. On ne refait pas le passé.
- C’est William, hein ?
- Quoi ?
- T’es amoureuse de lui ?
- T’es hors-sujet là, Ulrich.
- Au contraire, t’es sortie pour aller le rejoindre, pour aller le « soutenir ». Après tout vous êtes les meilleurs potes.
- T’es vraiment minable quand tu veux, Ulrich. Égocentrique et minable.
- Bien sûr…
- T’es le seul garçon que j’ai jamais aimé, pauvre imbécile. Mais ça, t’es trop borné pour le comprendre.
- Le seul ? répéta Ulrich comme s’il voulait se convaincre qu’il avait bien entendu.
- Si on doit combattre l’A.D.A.M, ce sera avec William. Autant t’y faire. Et c’est pour ça qu’on ne se remettra pas ensemble. Parce que sinon notre histoire mettra en péril l’intégrité du groupe… Ou ce qu’il en reste. »

Ulrich resta silencieux. Il avait envie de pleurer mais s’efforçait de ne rien laisser transparaitre. Dans la voix de Yumi aussi on percevait une forte émotion et un très grand trouble. Puis finalement, le garçon laissa sa frustration éclater :

« Alors quoi ? On va se sacrifier pour le bien commun ? »

Yumi ferma les yeux comme pour lui signifier qu’il n’y avait malheureusement pas d’autre solution.

« Et… Et si je fais des efforts. J’te promets que je peux… »

Il posa sa main sur la joue de la Japonaise qui rougit à ce contact doux contre sa peau.

« Je peux changer. »

Yumi leva lentement sa main et la posa sur celle d’Ulrich en lui adressant un regard chargé d’émotion. Le temps sembla se figer. Il entendait les battements de son propre cœur, elle aussi. Au bout d’un temps, elle ferma à nouveau les yeux et retira la main de son ancien petit ami de sa joue.

« C’est ça le problème, Ulrich. Je ne veux pas que tu changes. »

Elle se retourna et prit la route du lycée tandis qu’Ulrich restait là, incapable de dire ou de faire quoi que ce soit. Il leva la tête vers le ciel, le cœur serré. Sa vision commença à se brouiller et il passa son avant-bras sur ses yeux pour ressuyer les larmes qui commençaient à couler. Il ne savait plus quoi penser. Il était maintenant certain qu’elle ne le haïssait pas. Mais il ne comprenait toujours pas ce qu’elle attendait de lui… Si elle attendait quelque chose. Après quelques minutes, il décida de marcher sur ses pas pour gagner à son tour le laboratoire.






Voilà. Alors ? Qu'en pensez vous ? J'espère que la cohérence n'en aura pas pris un coup après cette pause intempestive de deux mois. Si c'est le cas, faites moi signe. Et n'hésitez pas à critiquer. Wink Merci d'avance.
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« L'homme est le plus cruel de tous les animaux : il est le seul capable d'infliger une douleur à ses congénères sans autre motif que le plaisir. » Mark Twain
« Le mal triomphe par l'inaction des gens de bien » Edmund Burke


Dernière édition par PhilippeKadic le Sam 10 Avr 2010 00:26; édité 2 fois
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Kerian MessagePosté le: Ven 09 Avr 2010 18:43   Sujet du message: Répondre en citant  
Déchiqueteur de Fics


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Messages: 1700
Bah j'en pense que tu n'es rien de plus qu'une saleté de sadique confirmé. Mais cela doit sonner d'un doux bruit à tes oreilles...


Bah sinon on a enfin des nouvelles, c'est pas trop tôt !

En espérant que la suite arrive bientôt !
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"La sévérité prévient plus de fautes qu'elle n'en réprime." - Napoléon Bonaparte

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aurel2108 MessagePosté le: Ven 09 Avr 2010 18:55   Sujet du message: Répondre en citant  
[Rampant]


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Messages: 330
Localisation: The Internet
Formidale, génial, supperissime, etc... x)

Un bon p'tit suspens comme je les aime \o/
Sadique vas ! Faire zouzou avec Ulrich comme ça, quel culot !

Bon allez, j'attend la suiteuh Wink
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Shuyin MessagePosté le: Ven 09 Avr 2010 19:46   Sujet du message: Répondre en citant  
Shuyin RANG


Inscrit le: 01 Mar 2010
Messages: 633
Waouw j'adore j'adore j'adore ! Depuis le temps que je revais qu'il y est une grande amitié sur Yumi et William ! C'est super surtout les suspence !
Continue comme ça j'ai hate pour la suite !
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Quater MessagePosté le: Sam 10 Avr 2010 10:41   Sujet du message: Répondre en citant  
[Blok]


Inscrit le: 31 Mar 2010
Messages: 107
Localisation: Je ne saurais le dire...
Eh bien enfin: la suite !!

Franchement, ta fic est absolument géniale. Un suspense de malade, des sentiments parfaitement retranscrits ...
Bref, sensationnel !

Par contre, t'accorder une "propension au sadisme psychologique" est très en dessous de la réalité...

Et puis sinon, vivement la suite ! (et de préférence avant les 2 prochains mois... ^^)
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Kinshii MessagePosté le: Mar 13 Avr 2010 14:53   Sujet du message: Répondre en citant  
 


Inscrit le: 20 Juin 2009
Messages: 970
J’adore ta fic elle est trop génial !

vivement la suite !



Edit :

C’était pas vraiment drôle, mais je voulais voir ce que ça faisait ^^
L’idée m’a bien fait marrer, même si je me doute que vu de votre côté, ça devait être moyen Rolling Eyes


Passons.

D’abord, quelques fautes (que je devrais écrire au singulier)
« en avaient, semble-t-il, décider autrement » > décidé
« en voyant Belpois se laissait tomber sur sa chaise » > se laisser
« à s’amuser aux dépends de sa sœur et d’Ulrich à ses heures perdues. » > Je vote pour « aux dépens »
« Pourquoi avait-il fallu qu’ils se disputassent ? » > C’est franchement pas terrible. Ne viens pas me dire que c’est la bonne conjugaison, c’est pas la question. C’est juste que c’est super moche. Met « qu’ils se disputent » ce sera très bien ^^

Remarque, maintenant que j’y pense, ça me semble bizarre. (hormis le fait que ce soit moche).
On dit pas « Pourquoi aurait-il fallu qu’ils se disputassent ? »
Ou « Pourquoi eut-il fallu qu’ils se disputassent ? »
Je sais que ça ne concordent pas avec ta phrase, mais c’est plutôt ce que j’aurais tendance à dire si je voulais employer le mot « disputasse » (ce qui ne m’arrive pas souvent.)

C’est pourquoi je vais présumer que tu es mieux placé que moi pour en juger Wink



Citation:
Pour le coup, je ne ferai pas de tour d'horizon des remarques puisque c'est surtout Kinshii qui joue les pointilleux Razz .


Sur mon écran je lis : « Je ne ferais pas de tour d’horizon des remarques pour cette fois puisque seul l’ emm*deur de service a décidé de faire ch*er. »


Je vais te donner mon impression générale sur ce chapitre :
Je pensais que seuls les modèles mathématiques pouvaient s’approcher indéfiniment d’une certaine valeur sans pour autant l’atteindre, et que ce comportement ne s’appliquait pas à un récit. Plus je lis ta fic, et moins j’en suis convaincu. N’aurais jamais cru qu’on pouvait étirer un récit comme ça en conservant quand même une intensité narrative et une accroche pareille.


« Vous êtes en direct.
- Kerian vous considère comme un sado-masochiste accompli, est-ce que vous avez enfin l’impression d’être reconnu à votre juste valeur ? »
*tend le micro à PhilippeKadic*


Bon, tu va encore dire que je joue les pointilleux (on restera poli) mais personnellement, je trouve qu’il y a, non pas des incohérences, mais un léger manque de description de la situation, des choses trop implicites.

Je sens que je vais avoir du mal à faire passer mon idée…

Quand tu as écris le passage dans la chambre de Jérémie, je pense que tu visualisais bien les personnages, que tu mesurais la tension ambiante, mais du coup, des choses qui te paraissent probablement normale et en accord avec la situation me choque.

T’as pas trop à t’en faire vu que j’ai l’air d’être le seul.

L’agressivité qui flotte dans l’air m’a surpris, et je trouve certaine répliques un peu excessives.

Jérémie : « Oui, ça c’est clair, reprit Jérémie sur un ton cinglant en détournant le sens de la phrase de son ami. »
Bon, à la rigueur, on sait Jérémie sur les nerfs depuis quelques temps.

Odd : « Quoi, Einstein ? T’as peur de pas pouvoir décharger tes responsabilités sur Yumi ? »
C’est méchant de dire ça Shocked

Aelita : « Si tu dois t’en prendre à quelqu’un, alors vas-y, Jérémie, engueule-moi. »
Ça aussi, c’est pas gentil Sad

William : « Sans blague… La seule personne dans votre groupe que ça inquiète vraiment, c’est Yumi. Vous, vous vous en moquez. Tout ce qui vous importe, c’est de vous donner bonne conscience. »
Cruel le William Neutral


Je ne remets pas en cause tes choix narratifs, c’était une remarque plus qu’autre chose. Le niveau d’écriture est toujours aussi bon, simplement certains accents que tu t’es laissé à marquer avec enthousiasme. (On ne lutte pas contre sa nature, hein ?)


Et moi, ma nature c’est de relever ce genre de truc :
« Hiroki l’avait donc convaincu de rejoindre les autres »

Remarquez, je pourrais me retenir, même si je trouve bizarre que Hiroki soit au fait de leurs petites magouilles.


Je penserais à envisager d’étudier la possibilité de considérer la probabilité d’examiner aussi les points positifs la prochaine fois.


Vivement la suite bon courage, tout le blabla, et on se quitte sur un note d’espoir.

« Il décida de marcher sur ses pas pour gagner à son tour le laboratoire. »
Chouette, de l’action.
_________________
 
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Dernière édition par Kinshii le Ven 07 Mai 2010 06:29; édité 4 fois
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