Inscrit le: 17 Mai 2013 Messages: 83 Localisation: Dans une tour de passage
Alors ce chapitre....
Il me semble que c'est le meilleur que j'ai lu ! Déjà - et je rejoins l'avis de Zéphyr - tes descriptions sont meilleures. Elles sont justes sublimes !
De plus le scénario est super et le suspens est au rendez-vous ( Et voilà, ton to be continued m'a pourrit ma soirée.... J'ai tellement envie de connaître la suite !!! )
Spoiler
Je passe ensuite devant la porte de Lucie qui est ouverte. Ma petite sœur dort dans son lit avec un sourire qui ressemble à celui de Céleste. Elle suce son pouce, tout en serrant son canard en peluche. Innocemment, je souris...
Ce passage est l'un de mes préférés ( même si cela est bizarre ) car l'on retrouve l'on retrouve ce lien si fort qu'uni un frère et une sœur. Mais aussi, c'est tellement vrai que cela rend ton texte d'avantage réel.
L'action est géniale, et grâce aux nombreux dialogues ,on s'y croirait presque !
Spoiler
Non, je ne rêve pas. C’est Céleste, habillée de sa jupe et de sa veste sur une chemise de nuit, qui toque au vélux.
Quand j'ai lu ce passage, de suite j'ai pensé " Xanatification ou spectre ". Pour moi cela ne pouvait pas être la véritable Céleste mais fausse alerte.
Bonne chance pour la suite ! _________________ Lien Invalide. Merci de le corrigé. Thranhttp://u.jimdo.com/www64/o/s4815dfea7ba59eb0/img/ibcd1cc6c32b44619/1377685246/std/image.png
Inscrit le: 27 Aoû 2013 Messages: 403 Localisation: Entre une chaise et un PowerMac G5
Bonsoir à tous !
Content de savoir que ça vous à plu, je prend donc cet épisode comme modèle pour refaire les précédents. Mais ça va prendre du temps...
Au sujet du doute de Zéphyr...Oui, c'est pas très cohérent, du Code Lyoko pûr ! Mais l'on peut tout de même trouver plusieurs significations :
-La décharge ne circule pas sur les ligne électriques mais sur les lignes téléphoniques, vu qu'elle est envoyée sur le réseau. Et ces lignes sont, sauf erreur de ma part, plus lentes.
-S'ajoute à ça, un truc que nos héros ignorent pour le moment, ces décharges...Ne sont pas vraiment des décharges...Mais là aussi, je n'en dis pas plus.
J'ai corrigé la petite faute, j'en ai corrigé quelques autres à l'occasion d'ailleurs.
Concernant le prochain épisode j'ai déjà bouclé disons le premier quart, il devrais sortir d'ici quelques semaines, certainement dans un délais plus court que les précédents. Enfin j'espère...
Voilà, encore merci à vous deux pour votre assiduité et vos commentaires, ça fait plaisir !^^ _________________ Auteur de la fic Replika on the Web.
Inscrit le: 27 Aoû 2013 Messages: 403 Localisation: Entre une chaise et un PowerMac G5
Tiens, c'est marrant ça, je demande à Icer et c'est Pikamaniaque qui me débloque...Enfin bon...
Edit : C'est pour m'assurer de sa fidélité
Bonsoir à tous, ça roule ? Moi bien, j'ai eu du mal à boucler l'épisode suite à quelques rectifications scénaristiques mineures. Mais il est prêt.
Après deux épisodes d'action, celui-ci estplus posé...Il ne s'y passe pas grand chose d'ailleurs, je dois admettre que j'en suis un peu déçu, mais bon, le monde ne peut pas être en danger à chaque épisode et je n'ai pas trouvé comment améliorer le truc, si je trouve il va sans dire que je le referais. Mais bon. C'est un genre de transitions entre deux actions, le monde est bientôt fini, patiance...
Seizième épisode : Dispute d'idiots
Spoiler
Il fait noir, très noir. Je ne sais pas trop où je suis. Je constate que j’ai très mal à la tête. Je suis très fatigué. Pendant que je fais ces constatations, je vois mon champ de vision s’éclairer lentement. Une lumière diffuse et blanche arrive à mes yeux. J’essaie de voir s’ils sont ouverts ou fermés...Ouvert dirait-on : des formes se précisent. Une lueur intense, le soleil, à ma fenêtre. Je suis dans mon lit. Toute ma chambre est éclairée par le jour. Je relève la tête, lentement, elle me semble peser trois tonnes. Elle brûle encore. Je me tourne vers mon réveil mais je n’arrive pas à lire les chiffres. J’aperçois tout de même mes lunettes. Je les mets, c’est un peu mieux. Au fur et à mesure que mes yeux se réhabituent, je finis par enfin distinguer l’heure : 11h17, ainsi qu’un mot sur ma table de nuit. Je l’ouvre et je reconnais l’écriture de mon père :
Fred, surtout ne t’inquiète pas, on ne t’a pas oublié ! On a vu ce matin que tu ne te levais pas. On est allé voir et on a constaté que tu étais brûlant de fièvre, avec des sueurs froides. Du coup, on a estimé qu’il fallait mieux te laisser te reposer, tu as dû attraper la grippe. On a appelé le docteur. Il passera à midi quand nous rentrerons.
L’écriture de ma mère suit celle de mon père.
Il serait préférable vu ton état que tu ne te fatigue pas d’avantage devant un écran. On n’a pas touché à ton ordi parce qu’on sait que tu n’aimes pas ça, mais évite tout de même d’en faire.
Maman, papa.
Je replie le papier et le repose...Effectivement, vu ce qui m’est arrivé pendant la nuit, il est préférable d’éviter les machines. Attends...Durant la nuit ? J’ai fait un malaise sur le Macstodonte ! Dans le grenier ! Comment je me suis retrouvé ici ?
En quête d’explications, je me lève (en manquant de tomber) et m’approche du bureau. L’iBook attend, en veille. Je sais que c’est pas génial mais je dois savoir ce qu’il en est du monde virtuel. Je prends le laptop et un livre pour dissiper la chaleur et reviens à mon lit, j’ouvre la bestiole et m’apprête à appuyer sur le bouton d’allumage quand je remarque un autre mot qui était coincé entre le clavier et l’écran. Il est écrit d’une jolie écriture cursive.
Fred,
J’espère que tu vas bien. En tout cas ça n’allait vraiment pas hier soir, au cas où tu ne te rappellerais plus, il y a eu une attaque de X.A.N.A. en pleine nuit. On a réussi à le stopper mais tu t’es évanoui juste après. Comme je ne pouvais pas te laisser sur ton clavier, je t’ai transporté jusqu’à ta chambre et je t’ai remis dans ton lit. J’ai remarqué que ton ordi portable sur le bureau était allumé. Il affichait plusieurs alertes que je n’ai pas pu déchiffrer. Pour ne pas faire suspect, je l’ai mis en veille. Je termine d’écrire et je rentre en passant par l’échelle. J’espère que ça va aller. Bonne nuit, et j’espère à demain.
Céleste.
D’accord, je revois le truc. Bon dieux que c’est pas cool d’être malade...Attends ! Des alertes ? Sur l’iBook ? Purée, ça peut être grave ça ! Cette fois j’appuie sur le bouton. Le petit portable lance son de démarrage et allume son écran. Mes yeux envoient leur refus et leur douleur de regarder à mon cerveau, je sens la fatigue grandir. Le curseur de chargement apparaît. Plus vite, plus vite ! L’écran de session apparaît. Je tape mon mot de passe, le système se prépare. Allez mon vieux accroche-toi ! C’est une question de vie ou de mort, accélère !
L’exécution automatique lance le terminal, je rentre les commandes d’historique, allez, vite !
Error log :
Master PowerMac G5 from Macstodonte sends this : Alimentation survolted, today, 00h02
Master PowerMac G5 from Macstodonte sends this : Alimentation survolted, today, 00h24
Les décharges...Ce sont les décharges. Ouf ! Ce n’est rien. Il ne s’est rien passé de plus depuis l’attaque...Ma chère Céleste, ça ne te suffit pas que j’ai la grippe ? Tu veux en plus me refiler une crise cardiaque ? Ah là là...
Je rendors la machine et me rallonge brutalement. Le plafond semble tanguer un moment puis se stabilise. Je me rends compte que je pleure. La maladie certainement. Je prends un mouchoir posé sur ma table de nuit (oui, on trouve de tout sur ma table de nuit) et m’éponge les yeux. Je les referme.
Au lycée Jules Ferry les cours suivent leur lenteur habituelle, si ce n’est que James et Jessie se sont inquiétés :
-Et tu sais ce qu’il a ?
-Non. Il était pâle comme un mort, il avait l’air faible. Mais il respirait encore, ça devait être un malaise...Du coup je l’ai remis dans son lit, j’ai pas mal galéré d’ailleurs...
-Si ça se trouve-il est mort !
-Ne dis pas de bêtise Jessie, fait James. Tiens, 12 heures ? Faut que je vous laisse.
-Tu ne manges pas avec nous ?
-Hem...Non.
-Mais...Pourquoi ?
James ne répond que par un signe de la main et s’éloigne dans la cour. Jessie le regarde partir puis se tourne vers Céleste qu’il dévisage. Celle-ci se contente de sourire.
-Mon cher Jessie, nous allons manger en tête à tête.
Ce dernier répond en rougissant légèrement.
-Bonjour Fred ! Tu fais des heures sup de sommeil ? Le Marchand de sable t’a fait un bon prix ?
Je rouvre les yeux, devant moi se trouve Madame Causse, de son prénom Méline. C’est le médecin du village. Il y a fort longtemps que je ne l’avais pas vu, je ne tombe pas souvent malade. C’est une jeune femme aux longs cheveux noirs et raides et aux yeux bleu clair qui bien que simple médecin de quartier se permet de porter une blouse blanche sous son manteau. C’est le genre de médecin qui peut vous faire une piqûre sans vous faire peur. Il faut dire qu’elle le fait avec le visage qu’elle affiche actuellement devant moi : à savoir les yeux qui pétillent et un sourire rassurant. Mes deux parents se tiennent derrière elle.
-Alors comme ça on est malade, ça ne t’arrive pourtant pas souvent. Enfin, tu permets que je t’examine ? Allez, ouvre la bouche.
Elle me pose un bâton de bois sur la langue. J’ai horreur de ça, mais je ne dis rien, je tolère. Ensuite le thermomètre dans l’oreille, c’est déjà plus supportable. Je préfère d’ailleurs 100 fois plus son thermomètre auriculaire que le thermomètre anal de la maison...Enfin bref. La série de tests de routine, ce pour en arriver à a conclusion suivante :
-Effectivement, c’est bien une bonne grippe. Il n’y a pas grand-chose à faire, du repos, beaucoup de repos. Ça devrait passer dans trois-quatre jour. Si ça dure plus longtemps rappelez- moi.
Elle se retourne vers moi.
-Quoi qu’il en soit, tu devrais rester contagieux pendant environ une semaine, c’est pourquoi tu ne retourneras pas au lycée avant une semaine. J’espère que tu as un copain...Ou peut-être une copine qui te passera les cours. Me dis-t-elle avec un clin d’œil.
Trois-quatre jours ? Une semaine ? Cool ! Quand ça ira mieux j’aurai trois-quatre jours pour programmer le monde virtuel, on va bien avancer là !
-Tu ne mange pas Jessie ?
-Si si...Je m’inquiète un peu pour Fred...On l’a un peu abandonné sans trop savoir ce qu’il avait.
-Ne t’inquiète pas. Il n’avait pas l’air si mal que ça, il respirait encore régulièrement et semblait plus très fatigué qu’autre chose. Enfin...c’est vrai que j’aimerais savoir comment il va aussi.
-Tu le connais depuis longtemps ?
Céleste est un peu étonnée par la question de Jessie qui change un peu de sujet, suivant sa propre logique. Mais prend un léger sourire pour répondre simplement :
-Oui et non, on est dans la même classe depuis la primaire, mais Fred a toujours été quelqu’un de très fermé, on ne s’était jamais vraiment parlé avant.
-Moi je l’ai rencontré au collège. Comme ça avait d’être un bon en science, je lui avais demandé de m’aider pour un exo, puis on est devenu meilleurs potes.
L’anecdote n’est pas très impressionnante mais élargit tout de même le sourire de Céleste. Mes deux amis prennent leur plateau et repartent. Une fois dans la cour Jessie annonce :
-Je vais aux toilettes.
-Ok.
Et il laisse Céleste. William-Yann, qui devait guetter de loin, en profite pour ramener sa bobine de tronche de magazines.
-Salut Céleste.
-Ah tiens, salut William-Yann, répond-elle d’un air absent.
-Dis-moi, supertronche n’est pas là ?
-Tu parles de Fred ? Non, il n’est pas là.
-Tu ne sais pas ce qu’il a ?
-Non. Pourquoi je saurai quelque chose ?
-Vous bossez pas sur le même projet d’info ?
-Il ne m’a pas prévenu qu’il ne viendrait pas.
-D’ailleurs, il me semble que tu ne m’as toujours pas dit en quoi votre projet consistait. Pour notre part on fait un compteur sportif. Pour compter les scores de certaines équipes. On a cherché à rejoindre notre domaine, quoi.
-Ah...
-Sans doute que vous aussi, bon, Meuringue il a pas de problème vu que son truc c’est l’info. Jessie son truc c’est être un peu con et l’autre allemand ça doit être le disco. Et toi ?
Céleste hésite un moment puis rentre dans le jeu.
-Le dessin.
-Sérieusement tu dessines ? J’adore le dessin, les crayons, l’imagination tout ça. Tu dois être super bonne !
-Je me débrouille, sort-elle d’un air un petit peu hautain.
-Sérieusement, j’ai trop envie de voir ce que tu fais, si on en reparlait ce soir après les cours, on pourrait aller quelque part pour que tu me montre tout ça...
-Hé ! Le beau gosse !
C’est Bertrand qui appelle de loin.
-Ça fait presque une heure que je te cherche ! Laisse tomber ta rouquine, on doit bosser sur le projet !
-Ow ! Respecte là un peu ! La rouquine, c’est pas très sympa !
-Je l’appelle comme je veux, tu diriges peut-être ce foutu projet mais tu ne me diriges pas tout court. Et en attendant, c’est moi qui me tape tout le code, alors tu te ramènes et tu viens me donner un coup de main.
-J’ai déjà fait ma partie de boulot, à savoir les concepts.
-Et ben tu vas faire la maquette algorithmique !
-Si je veux oui !
-Tu vas te ramener oui ?
-Tes pas mon père Dagobert !
Le beau gosse et le teigneux se regardent d’un air peut amical et sortent leurs poings. Mais la sonnerie retentie. Sauvés par le gong.
-VOILA ! Une heure de boulot de perdue par ta faute !
-Par ma faute ? T’avais qu’à bosser tout seul !
-Hé Brad Pitt, je te signale que c’est un travail de groupe.
Céleste regarde les deux colérique s’éloigner d’un air amusé, quand on lui tape sur l’épaule.
-Alors demoiselle ? Bien mangé ?
C’est James...Il est...Un peu étrange. Les joues plutôt rouges et un inexplicable sourire qui ressemble un peu à celui de Jessie. Ben tiens, en parlant du loup...
-Désolé, le dej de ce matin a eu du mal à passer. Bon, on retourne en cours ?
Inscrit le: 17 Mai 2013 Messages: 83 Localisation: Dans une tour de passage
Même si ce chapitre n'est pas très mouvementé, je l'aime bien.
Déjà, tu continues à utiliser de bonnes descriptions ce qui me ravie.
On apprend quelques détails concernant les parents : Ils sont " cools " avec leur fils en ne touchant pas à son ordinateur mais en lui demandant juste de pas en faire.
De plus, on retrouve cette solidarité entre amis qui s'inquiètent pour Fred.
Pour finir, tu as écrit dans ton texte une discussion entre Céleste et William-Yann, celle-ci nous permet d'avoir des indications en plus sur le caractère de William-Yann.
Cependant ,j'ai été un peu déçue de trouver plus de fautes que d'habitude, mais rien de grave juste des erreurs d'inattention.
Continue bien cette fan-fiction qui devient de plus-en-plus intéressante ! _________________ Lien Invalide. Merci de le corrigé. Thranhttp://u.jimdo.com/www64/o/s4815dfea7ba59eb0/img/ibcd1cc6c32b44619/1377685246/std/image.png
Inscrit le: 27 Aoû 2013 Messages: 403 Localisation: Entre une chaise et un PowerMac G5
Bonsoir, ici Sirix. Je viens pour poster l'épisode de Replika on the Web. Mais si ! Vous vous souvenez ? Cette fic parallèle à la saison 3 qui n'a pas été avancée depuis trois semaines !
Et oui...Beaucoup d'imprévus, de boulot, de changements, de problèmes en tout genre sont venu perturber la progression de ma petite fic. Mais peu importe, finalement, je suis là. Avec de bonnes nouvelles et de moins bonnes.
Première bonne nouvelle, le dix-septième épisode est prêt. Ce qui est génial c'est qu'il est bien plus long que prévu et sera finalement découpé en plusieurs parties (du genre au moins trois quatre). Et j'ai donc de l'avance. Ce qui devrais sensiblement accélérer la venue des épisodes à venir durant un temps.
Deuxième bonne nouvelle je change d'ordinateur. Enfin...Je change d'ordinateur de travail. D'habitude, j'écris ma fiction sur mon PowerMac G5. Qui est la machine sur laquelle je m'amuse. Comme c'est une tour qui ne bouge pas de chez mes parents, je n'avance la fic que le week-end. Jusque là, en semaine, je me trimballait un horrible Dell Vostro bien faible et peu pratique qui ne me servais qu'à travailler. Une machine étant sur un vieux système Mac et l'autre sous Windows, avec des prises assez différentes et des protocoles opposés, passer un fichier d'une machine à l'autre était plutôt casse-pied (obligé de passer par des clés USB pas toujours très stables et pas très rapides). J'ai trouvé les fonds pour le remplacer. Ma nouvelle machine sera un Mac. Ce qui facilitera les échanges avec mon G5 et me permettra notemment de transférer plus facilement des fichiers de mon G5. Notemment la fic. Je l'avancerai donc en semaine beaucoup plus souvent qu'avant, certainement.
Et enfin, la "mauvaise" nouvelle c'est que, parce que j'en avais marre de voir mon topic tomber de plus en plus bas et par manque de temps, l'épisode n'a pas été autant vérifié que les autres, disons que c'est un peu comme le 16...Il risque d'y avoir quelques fautes, je n'ai pas eu le temps de tout relire, juste de passer le correcteur orthographique. Il va sans dire qu'elle seront corrigées dés que possible.
Quoi qu'il en sois j'espère déjà qu'il vous plaira. C'est sans plus attendre que Replika on the Web entre dans son premier arc !
EDIT du 25 Mars : ça y est, j'ai corrigé et amélioré l'épisode, ça devrais être mieux !
Arc X.A.N.Admin : premier épisode Dix-septième épisode : Un nouvel admin...
Spoiler
La trappe s’ouvre.
-Salut Fred !
-Céleste ? Mais qu’est-ce que tu fiche là ?
-On est mercredi. Et le mercredi, pas cours l’après-midi. J’avais appelé tes parents pour dire que je passerai, ils ne t’ont pas prévenu ?
-...Ben...J’ai pas vu mes parents aujourd’hui, ils sont partis bosser pendant que je dormais.
-Heu...J’ai appelé hier soir.
-Dormais.
-Ben didon...
-Fatigué.
-Si tu le dis, je suis venue prendre des nouvelles et t’apporter les cours. Apparemment, vu que tu es déjà devant ton clavier, ça a l’air d’aller...Malgré la tenue. Ajoute-t-elle dans un rire.
Et zut, suis encore en robe de chambre. Argument de défense :
-Faut dire que je ne m’attendais pas trop à ta venue...Attends, je reviens.
Je file à ma chambre me changer en quatrième vitesse puis reviens au grenier. Céleste regarde l’écran en tentant apparemment de le déchiffrer. Comme ça n’a pas l’air très concluant, elle se retourne vers moi et demande :
-Bah...Et du coup Ça avance ?
-Pas trop, je suis fatigué, j’ai du mal à me concentrer, je suis pas efficace.
Céleste me dévisage un moment puis sort un de ses mystérieux sourires. Elle se dirige vers le monstrueux bureau du Macstodonte et s’installe devant les circuits, face à moi.
-Alors, tu en étais où ?
Je la regarde et repose mes yeux sur mon écran, j’ai l’impression de découvrir ce que je viens d’y taper. Puis ça finit par me revenir.
-En fait je faisais quelques recherches sur la potentielle programmation d’une IA qui passerait par la tour de passage pour tenter de détruire X.A.N.A.
Céleste quitte les circuits, fait le tour du bureau et va s’asseoir à côté de moi devant les deux écrans du supercalculateur bourrés de code.
-Décidément, pas simple ton truc. Tu en es où globalement ?
-Et bien, j’ai commencé par d’abord étudier le terrain, et j’ai plus ou moins compris le principe de fonctionnement de Replika One.
-Tu es de nouveau allé espionner la partition de X.A.N.A. ? Comment tu as fait sans te faire éjecter direct ?
J’appuie sur la touche eject, une disquette sort du G4 numéro 1 dans un “clac”. Sur sa face avant il est écrit “Hacking II”.
-Et tu dis ne pas être efficace ?
-Ben...C’est juste de l’automatisation, c’est pas trop dur. C’est l’IA que j’arrive pas à concevoir.
-Et tu as découvert quoi ?
-Les tours sont en fait des accès directs à la RAM contrôlée par X.A.N.A., elles lui permettent de lancer des programmes comme par exemple un générateur de décharges. Elles sont toutes reliées entre elles et permettent également d’accéder aux programmes sources du Replika. Il faudrait donc accéder au terminal d’une tour pour accéder aux paramètres gérés par X.A.N.A. sans risque d’éjection. Mais pour ça il faut activer le terminal se trouvant dans la tour elle-même, sur le monde virtuel. On ne peut rien tenter à distance, c’est pourquoi il faut construire une IA sur notre monde qui passera sur Replika One et qui devra activer le terminal de la tour pour nous et ensuite me passer la main. L’ennui c’est qu’il faut une IA assez robuste...
-Je vois...Me répond la demoiselle tout en regardant mon écran. Je ne suis pas sûre de pouvoir t’aider...
-T’en fait pas, je trouverai, je cherche pas mal sur le net et je trouve pas mal de trucs intéressants. Puis pour que ça marche il nous faut terminer le monde et placer la tour de passage, on y est bientôt mais c’est pas...
Je suis soudain interrompu par ma fenêtre de code qui se ferme sans se sauvegarder. J’ouvre des yeux genre Jessie et regarde ce qu’il se passe. J’essaie de redémarrer le terminal mais un message m’annonce que le programme est déjà utilisé. J’ouvre un nouveau shell et tente de savoir ce qu’il se trame. C’est X.A.N.A. qui utilise le premier terminal. Mais...il n’en a pas le droit ! Mon dieu, ça veut dire que...
-X.A.N.A. a réussi à craquer mon Firewall, il est admin du système !
Céleste regarde l’écran et semble comprendre, elle prend une grande inspiration et lance :
-Mais ? Ça veut dire qu’il a tous les droits sur la machine ?
-Pas tous, mais une grande partie, il faut l’éjecter, vite, donne-moi un coup de main !
Céleste saute aux circuits.
-Tourne le gros bouton sur ta droite, met le à 10.
J’ouvre le moniteur d’activité et localise les processus de terminal Unix. J’arrive à consulter le terminal de X.A.N.A. Il semble manipuler plusieurs objets qu’il appelle spectres. Si j’en crois les attributs, ils possèdent une mission qui doit contenir du code, une vitesse, et il paramètre un trajet. Apparemment il a du mal à s’y retrouver parce qu’il doit traduire des instructions quantiques sans doute issues de son propre code en binaire...Il compte lancer ça sur le réseau si j’en crois les commandes qu’il emploie.
-Tu penses arriver à...
-X.A.N.A. tente d’envoyer des programmes sur le réseau, je ne sais pas encore où, mais m’étonnerai que ce soit pour offrir des fleurs. Il appelle ça des spectres.
-Des…spectres ? Drôle de nom. Sur le réseau ? Ça pourrait pas être des décharges ?
Le code file à grande vitesse sur l’écran, je donne toute l’énergie que je peux à mes yeux pour le déchiffrer le plus vite possible, le pogramme multi-agent paramètre des informations relatives aux routeurs à emprunter. Il semble que oui, c’est bien le trajet global qu’empruntent les décharges. Mais cette fois il y en a plusieurs et ne passent pas toutes par le même chemin. Attends, ça peut être intéressant. J’active mon capturateur de texte, on va récupérer ça. Ça peut peut-être nous donner un coup de main. En tout cas, oui, ce sont bien les décharges, le programme gère une tension et un voltage.
-Confirmation, plusieurs décharges en approche, un peu d’avance ne nous ferait pas de mal. Préviens James, je m’occupe de Jessie. Céleste approuve et sort son téléphone de sa poche. Je dégaine Skype, ouf ! Cette fois Jessie est connecté ! J’appelle.
-Jessie, ici Fred !
-Salut vieux. Un problème ?
-Oui...Excuse-moi mais on va sans doute avoir besoin de tes capacités de cyclise hors pair.
-Encore ! L’est vraiment casse-pieds X.A.N.A. ! Il se lève de sa webcam et raccroche.
-A qui le dis-tu vieux...Que je murmure pour moi-même. Céleste semble tendue face à son téléphone.
-Quelque chose ne va pas ?
-James ne répond pas. Il sait pourtant très bien que ce genre d’urgence peut survenir à tout moment !
-Jessie se prépare, je peux lui dire de passer chez lui.
-S’il est chez lui.
-Pourquoi ne le serait-il pas ?
-James passe son temps à s’absenter ces temps-ci, et on ne sait jamais où il est...
Je soupire.
-Je demande quand même à Jessie d’aller voir chez lui.
C’est ce que je fais par message écrit. La réponse est immédiate.
Jessie : Négatif. Gé mon fréro a garder, je ne peu pa le laissé seul, je passe le posé chez toi.
Fred : Mais...On va en faire quoi ?
Jessie : On a ka le filé a ta tite seur.
Je resoupire.
Fred : Reçu.
Je sens qu’on va rigoler...ha...ha...ha. Fais-je du ton le plus pas drôle du monde.
-Heu...Fred ? Qu’est-ce qui te fait rire ?
-Heu...Rien du tout Céleste. Alors ?
-J’ai fini par avoir James. Il arrive.
-Ok, Super. Bon, on va pas l’attendre pour stopper X.A.N.A. ! On peut déjà tenter un truc ! Tourne le bouton sur ta droite.
-Qu’est-ce qu’on fait au juste ?
-On éloigne X.A.N.A. du système principal.
Je sors le journal de bord et atterris à la première page blanche que je trouve. Alors, un programme d’éjection, ça fait longtemps que je n’en ai pas fait et je n’en ai pas encore remis sur ma disquette de hacking, c’est le moment pour.
Inscrit le: 27 Aoû 2013 Messages: 403 Localisation: Entre une chaise et un PowerMac G5
Thanks Icer !^^
Pas de réponses ? Il n'y a pas que moi qui manque de temps on dirait, allez, deuxième épisode de l'arc !!!
Malheureusement, comme l'épisode précédent, cet épisode risque d'avoir besoin d'un remake. Mais pour le moment, je n'ai pas le temps. Les commentaires et le relevé de certaines fautes me faciliterai bien la vie...^^'
Allez, bonne lecture !
Arc X.A.N.Admin : deuxième épisode Dix-huitième épisode : Commodore.
Spoiler
Je commence à écrire la structure du code, du plus vite que je peux. Je sens que Céleste me regarde mais je n’ose pas lever la tête pour voir son expression, je perdrais du temps. J’aligne les conditions, structure les boucles. Très minutieusement. Je n’ai pas le temps d’utiliser le débuggeur, je vais devoir lancer le programme directement compilé. La moindre erreur peut détruire tout le système. Et entre nous, ce ne serait pas génial.
Céleste ne dit rien, elle reste debout derrière les circuits à attendre. Tendue, sans doute...Peut-être admirative. Je ne sais pas. Nan, je rêve un peu là.
Je relis mon code, ça semble Ok. Je rapproche le clavier et me mets à taper à toute vitesse dans le terminal. Arrivé environ au premier quart du code, la trappe du grenier s’ouvre, James et Jessie rappliquent.
-Salut. Briefing ? Fait l’Allemand, un peu plus rouge que d’habitude.
Je me lève et me mets face à eux.
-X.A.N.A. vient de pirater le Macstodonte. Il n’a pas encore tous les droits mais va en profiter pour faire une attaque massive de décharges. J’ai réussi à capturer un bout de code qu’il utilise, je m’en servirai plus tard. Je vais tenter de le recloîtrer dans son disque dur avec Céleste. J’avoue qu’avec James aux circuits ça serait sûrement plus rapide mais il faut neutraliser les décharges. Et James est le seul qui sait paramétrer la bombe. Les décharges vont partir sur différents itinéraires mais se rejoindront toutes à l’entrée du Mans, si vous partez maintenant vous devriez être assez large. Jessie approuve :
-Ok Fred. On y va.
Ils quittent la pièce, je me remets à mon clavier et tape. Stressé et concentré. La moindre erreur peut être fatale.
Le temps semble passer lentement. Pourtant j’ai l’impression de taper le code très vite. Mes yeux me font mal, je vois presque l’écran clignoter, il floute. Mais je m’accroche. Je ne dois pas céder à la fatigue, pas maintenant. J’arrive à la dernière procédure.
-Céleste ?
-Oui ?
-Active les interrupteurs blancs du circuit le plus proche de toi. Le 1, le 2 et le 3.
-C’est fait.
-Maintenant retire la vitre du G5 maître et appuie sur le bouton situé au-dessus du processeur, à côté du ventila...
-AIIIIIIIIIIIIIIE !
Surpris par le cri, je relève la tête de l’écran. Céleste louche sur son doigt qui a l'air de vouloir se transformer en tomate. Ça enfle et ça rougit à vue d'oeil. J'ai la soudaine impression de perdre l'assurance que j'avais en tapant mon code. La demoiselle serre les dents devant ses phalanges blessées, des larmes perlent dans ses yeux. Je me lève et fait le tour du bureau pour me rapprocher d’elle :
-Céleste qu’est-ce qu’il s'est passé ?
-Le...le...G5...Il est...Il est...
Je me tourne vers la machine. Machine qui au passage fait un bruit d’enfer. Les ventilateurs tournent plus vite que les réacteurs d’un avion. Je constate que cet ordi n’est pas dans son état normal. En fait, j’étais tellement concentré que je ne m’étais même pas rendu compte que tout le Macstodonte fait bien plus de bruit qu’à l’ordinaire. Je tends la main vers le G5. Lentement, au fur et à mesure qu’elle s’approche je sens la chaleur émaner de la machine, une vraie fournaise. Je fais demi-tour et consulte l’écran principal, une alarme clignote depuis tout à l’heure :
Master G5 : Overheated.
D'accord. Résumé : le G5 maître est visiblement en surchauffe. Moi comme Céleste on ne l'a pas remarqué et Céleste s'est du coup brûlé le doigt...Pas cool.
Bizarre tout de même qu'on ait pas été mieux averti. Le Macstodonte est programmé pour biper quand il y a un problème. Etrange...Je cherche un peu et je comprends : X.A.N.A. veut le contrôle du Macstodonte. Pour ça, il doit se débarrasser de moi. Et pour ça, le moyen le plus rapide c’est de se débarrasser de la machine maître du Macstodonte, le G5, vu que c'est avec lui que je pilote le supercalculateur. Le but est de le faire surchauffer jusqu’à ce qu’il passe en sécurité. Une fois cela fait, je ne peux plus piloter le Macstodonte. Toutes les autres machines du superordinateur ne font que traiter les infos et il me faut plusieurs heures pour passer l’autre G5 en maître, X.A.N.A. a alors tout son temps pour envoyer ses décharges.
Master G5 : Too much temperature, disable CPU, RAM and all vital processes.
Ça y est. Pile au moment ou j'ai compris, la console affiche ce message similaire à un Game Over. Je n’ai plus de machine de saisie, j’ai perdu. Je me suis fait avoir comme un débutant. Les LED du G5 maître se coupent, mais les turbines continuent de tourner à plein régime pour sauver les composants de la fusion. A côté, Céleste semble souffrir silencieusement, son index serré dans son autre main. Je reviens de son côté et cherche un truc à faire. j’avoue que ça me dépasse un petit peu, je viens de réaliser que X.A.N.A. m'avais méchamment roulé et je n'ai plus beaucoup de confiance en moi...Je me mets à côté d’elle et remarque un verre d’eau qui traîne derrière l’écran secondaire. Mon verre d’eau ! Celui que j’avais apporté durant l’attaque nocturne ! Je le prends et le tends à Céleste. Elle ouvre ses yeux verts qui étincellent derrière quelques larmes. Je tente de lui sourire. Je doute avoir réussi. Mais son sourire à elle se redessine doucement, elle plonge son doigt dans le verre. Elle semble se calmer petit à petit. Elle finit par demander d’une voix toute petite :
-Tu ne retourne pas coder ?
Je baisse les yeux.
-Non...Je ne peux plus, X.A.N.A. m’a roulé.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-On ne peut plus rien faire de ce côté, on peut juste espérer que James et Jessie stoppent les décharges...
-Mais...X.A.N.A. n’a pas gagné ?
-J’avoue que là je ne sais pas...Il faudrait que j’arrive à réparer. Mais j’en ai pour des heures, et qui sait ce qu’il peut faire pendant ce temps...
Céleste me regarde, son sourire s’efface.
-Tu ne pourrais pas aller plus vite ?
Je soupire : non.
Elle reste un moment comme ça, le doigt dans le verre. Elle semble petit à petit se recharger, reprendre sa vigueur et sa force. Tandis que moi je perds petit à petit la mienne.
-Ressaisis-toi, Frédéric, il y a forcément un moyen.
Son ton est redevenu aussi assuré et sérieux que d’habitude. Derrière elle le G5 se calme, ses turbines ralentissent. Mais il devra encore refroidir pendant au moins quatre heures.
Je relève la tête et regarde autour de moi. Le grenier est plus lumineux qu’à l’ordinaire. Je me retourne vers le supercalculateur. Je me rappelle bizarrement de comment j’ai établi toute cette structure ultrarapide qui sert de coeur au Macstodonte. Le G5 maître fait office de terminal de saisie et traite les infos standards. Pour les gros calculs, il refourgue ça au circuit multitâche qui va se charger de déléguer à ça aux autres machines. Le circuit multitâche est une très vieille carte mère. Une Intel i486. Elle nécessite pour fonctionner au sein du Macstodonte d’un convertisseur PPC et de plusieurs autres circuits annexe, mais j’avais choisi ce circuit en particulier parce que...Parce que...
-Parce qu’il permet la compatibilité envers beaucoup de machines.
-De quoi ?
-Je...Je crois que j’ai trouvé ! Vite ! Viens m’aider ! Il faut trouver un ordinateur !
Céleste me regarde d’un air étonné et réponds d’un air amusé en pointant le Macstodonte du doigt (de l’autre main) :
-Ça c’est pas dur !
-Non, pas celui-là, un autre !
Je cherche dans le grenier, retourne tout le bric à brac. Céleste me regarde sans trop comprendre.
-Tu n’as pas ton iBook ?
Je mets un peu de temps à répondre, je soulève une vielle armoire renversée que mon père avait dû faire tomber en cherchant ses sandales, une fois...
-Oui, c’est vrai...Mais je crois que j’ai mieux.
Sous l’armoire se trouve un genre de clavier massif, de couleur marron, avec de vieilles touches brunes et poussiéreuses. Un pavé alphanumérique principal et un pavé d’une seule colonne plus clair, regroupant les touches de fonction. La machine semble dater d’une époque révolue, bourrée de prises plus grosses les unes que les autres et plus utilisées du tout aujourd’hui. Une petite LED rouge fait office de témoin d’allumage sur le haut de la machine. A côté de ce vieux coucou se trouve une alimentation électrique de la taille d’une chaussure. Céleste s’approche et regarde.
-Qu’est-ce que c’est ?
-Un Commodore 64. Celui de mon père.
-Mais Ça a l’air super vieux ?
-Justement ! Il est plus compatible avec le circuit multitâche que les PowerPC du Macstodonte, on va la brancher et prendre directement le contrôle du circuit. Un peu comme le G5 mais avec un convertisseur beaucoup plus rapide. Avec un peu de chance, vu que X.A.N.A. est toujours sur son G4 qui utilise un convertisseur plus lent, vu que ça machine est un peu plus moderne et compliquée pour le circuit multitâche, on devrait le prendre de vitesse. Vu que je n’ai que des commandes simples à envoyer, la lenteur de la machine ne devrait pas poser problème.
-J’ai pas tout suivi, mais si tu le dis. On le branche ?
To be continued...
___
EDIT du 25 : épisode refait, comme ces deux premières parties de l'arc se révèlent compliquées niveau informatique, je pense qu'il est bon de vous faire un petit résumé/explication :
Spoiler
Fred à réussi à recréer ça disquette de piratage. Ce qui lui a permis de comprendre une bonne partie du fonctionnement du replika
X.A.N.A. a réussi à devenir admin sur le Macstodonte. Cela lui donne beaucoup plus de droits qu'avant sur la machine. Il va en profiter pour envoyer une attaque massive de décharges électriques sur le réseau. Toujours en direction du Mans. Fred arrive à intercepter le code que X.A.N.A. s'apprête à envoyer et constate que ce dernier apppelle les décharges des "spectres", on verra se petit détail plus tard.
Fred envoie donc James et Jessie sur les lieux et tente d'ejecter X.A.N.A. du système principal pour qu'il ne sois plus admin. Pour ça il créée un programme sur place avec Céleste. Sauf que pendant ce temps, X.A.N.A. a mis au point un plan pour se débarrasser de Fred. Le Macstodonte est constitué de plusieurs ordinateurs. Mais sur ces 6 ordinateur, seul 1, le G5 maître, permet de le piloter. X.A.N.A. va donc neutraliser le G5 pour quelques heures pour avoir la paix. Fred va tenter de contrer ce plan en mettant une nouvelle machine maître sur le circuit multi-tâche (celui qui relie l'ordi maître aux esclaves). Circuit qui est en fait un modèle de carte mère très ancien. Mais comme mettre un ordinateur puissant, complexe et moderne comme le G5 serait trop long, il va utiliser un vieil ordinateur plus simple. Le Commodore 64 de son père.
Valaa. J'espère qu'avec ça vous aurez tout compris ! Ne vous en faites pas, normalement la suite de l'arc devrait être plus simple à comprendre.^^ _________________ Auteur de la fic Replika on the Web.
Dernière édition par Sirix le Ven 17 Juil 2015 16:31; édité 6 fois
Inscrit le: 16 Mar 2013 Messages: 1110 Localisation: Au beau milieu d'une tempête.
Cet arc me paraît tout indiqué dans l'histoire : après la période que l'on pourrait comparer à la saison 1 de CL, soit Xana attaque sur Terre, les héros le contrent, on a ici un élément plus spécifique. Xana vise un peu plus les personnages avec une attaque un peu plus lourde et plus subtile, preuve qu'il commence à les prendre au sérieux. Je n'ai techniquement pas vraiment de choses particulières à dire puisque les deux chapitres donnés ne font que présenter la situation. Reste juste à voir s'ils s'en sortiront indemnes de ce passage en admin de Xana.
En fait si, j'ai une remarque à faire au sujet des deux derniers chapitres. Côté longueur, tu sembles garder une certaine moyenne, mais ici, on se rend compte qu'en collant tes deux chapitres, on obtient une seule et même scène (ce qui implique que le lieu et l'endroit restent identiques). Je pense donc que faire fusionner tes chapitres 17 et 18 aurait été plus judicieux, parce que du coup, si le lecteur n'est pas dépaysé côté longueur, il peut se sentir un peu escroqué au niveau du contenu et avoir une impression de répétition.
Donc, essaie quand même de faire attention au découpage de tes chapitres en variant les décors présents, histoire que le lecteur se sente voyager quelque peu.
Sinon, un détail me chiffonne pour le dernier chapitre :
Citation:
La demoiselle serre les dents devant ses phalanges blessées
Citation:
et Céleste s'est du coup brûlé le doigt
Il faut savoir, elle s'est brûlé la main ou le doigt ? Fait gaffe à ce type de détail (a).
Que dire d'autre ? Il semble que côté personnages, James ait un petit secret. Je mise sur l'histoire d'amour, avec une probabilité de 69% qu'il s'agisse de Tim, vu qu'on ne l'a plus revue depuis un bail (a). C'est toujours bien de voir qu'ils vivent un peu à côté.
Allez, je suis de bonne humeur (grâce à l'élément Chrome o/), listing des fautes relevées pour les deux derniers chapitres :
Spoiler
Dix-septième épisode :
Citation:
Puis ça fini par me revenir.
« finit »
Citation:
sur la potentielle programmation d’une IA
Généralement, on évite les abréviations dans un texte, surtout dans une phrase de dialogue. À moins que le personnage ne dise IA naturellement, on préfèrera « Intelligence artificielle » en entier.
Citation:
Tu en est où globalement ?
« Tu en es où » il me semble.
Citation:
Je ne suis pas sûr de pouvoir t’aider...
« pas sûre », c'est Céleste qui parle.
Citation:
Fais-je du ton le plus pas drôle du monde.
Je sais pas si la tournure est intentionnelle ou non, mais dans le doute, c'est mieux de mettre « le moins drôle du monde ».
Citation:
-Ok. Super, bon, on va pas l’attendre pour stopper X.A.N.A. !
Souci de ponctuation. Ce serait plus fluide ainsi : « Ok, super. Bon, on va pas l'attendre, etc... ».
Dix-huitième épisode :
Citation:
Céleste louche son doigt qui a l'air de vouloir se transformer en tomate. Ça enfle et ça rougie à vue d'oeil.
« louche sur son doigt » non ? Et « ça rougit à vue d'œil »
Citation:
J'ai la soudaine impression de perdre l'assurence
« assurance »
Citation:
Le Macstodonte est programmé pour biper quand il y a un problème. Etrange...
C'est bien aussi de laisser son accent à la majuscule de « Étrange ».
Citation:
Pour ça, il doit se débarrasser de moi. Et pour ça, le moyen le plus rapide c’est de se débarrasser de la machine maître du Macstodonte,
Double répétition : « pour ça » et « se débarasser ».
Citation:
je viens de réaliser que X.A.N.A. m'avais méchemment roulé et je n'ai plus beaucoup de confience
« méchamment » et « confiance ».
Citation:
elle plonge son doit dans le verre.
Tu dois modifier cette faute à « doigt ».
Citation:
Elle finis par demander d’une voix toute petite :
« Elle finit ».
Citation:
Le circuit multitâche est une très vieille carte mètre.
Une carte mètre Oo ?
Citation:
-Une Commodore 64. Celle de mon père.
-Mais Ça a l’air super vieux ?
« Commodore » est masculin jusqu'à preuve du contraire. Et nul besoin de majuscule à « ça ».
Sur ce, je te redis bon courage pour la suite . _________________
« Jérémie avait fait un superbe travail. Ce dernier voyage sur Lyokô promettait d'être inoubliable. » Un jour, peut-être.
Inscrit le: 27 Aoû 2013 Messages: 403 Localisation: Entre une chaise et un PowerMac G5
Merci pour ta réponse !
Alors, pour le découpage, s'il est un peu bancal c'est effectivement parce que les deux épisodes n'en faisaient qu'un que j'ai préféré découper en deux. C'est un peu maladroit, je sais...Mais bon, ceci ne devrais pas se reproduire (trop souvent...^^).
Concernant la brûlure, et bien...Sauf erreur de ma part, les phalanges, c'est dans les doigts. Non ? Et je n'entendais pas en disant "les phalanges blessées", à ce que TOUTES les phalanges soient blessées.
Pour James, je ne dirai rien.^^
Et pour les fautes, ben j'ai du boulot, mais ça m'en a enlevé une bonne partie, la recherche. Thanks.^^
Je corrige ça dés que je peux !!!
EDIT :
C'est fait. Mais j'ai laissé quelques trucs : d'abord oui, Fred prononce IA naturellement, le but n'est pas sépcifiquement de diminuer Intelligence Artificielle. Fred parle dans son jargon, et dans son jargon, on dis IA.
Pour le plus pas drôle. Evidemment que c'est fait exprais. Tu crois quand même pas que j'écris ma fic comme si c'était que je savais pas parler la France, non ?^^
Concernant l'accentuation des majuscules, je ne les fait pas pour trois raisons, tout d'abord parce qu'elles sont pas pratiques à faire sur mon clavier, ensuite parce que j'aime pas trop ça et parce que mon correcteur orthographique les réprimente.
En ce qui concerne pour ça et débarrasser c'est aussi volontaire. Ça accentue la relation de cause à effet. C'est un peu moche à l'écris mais vu que l'on est en discour direct, ça me semble passer. Vu qu'on utilise ce genre de répétitions à l'oral.
Fin Edit.
Faut dire que moi je suis sois sous Safari, sois sous Firefox, aime pas Chrome, son interface sans barre des menus et son un peu trop côté....Google.^^ _________________ Auteur de la fic Replika on the Web.
Dernière édition par Sirix le Mar 01 Avr 2014 23:18; édité 4 fois
Inscrit le: 17 Mai 2013 Messages: 83 Localisation: Dans une tour de passage
Je viens de lire les deux chapitres. Et, je vais te dire le plus beau compliment que j'ai, ils sont meilleurs que tous les autres ( enfin d'après moi ) par l'action, le mystère et surtout le parfait équilibre entre le récit et les dialogues. Ils sont parfaits !
J'ai juste remarqué deux petits détails pas bien méchants. Je ne sais pas si c'est volontaire, mais j'ai remarqué que Fred s'est fâché avec les sujets et les négations dans ses paroles. Il y a des endroits où cela manquent dans les dialogues, du coup cela donne une tournure de phrase assez bizarre.
Après, si c'est volontaire, cela peut donner du caractère à ton personnage.
Voila, continue bien la suite de ton histoire ( et désolée d'avoir été si longue ) ! _________________ Lien Invalide. Merci de le corrigé. Thranhttp://u.jimdo.com/www64/o/s4815dfea7ba59eb0/img/ibcd1cc6c32b44619/1377685246/std/image.png
Inscrit le: 27 Aoû 2013 Messages: 403 Localisation: Entre une chaise et un PowerMac G5
Amis du soir, bonsoir !
Ce soir, je n'ai pas d'épisode à vous proposer. J'ai encore quelques petit détails à régler au sujet du Commodore. On verra ce Week-end, si tout va bien.
En revanche, j'ai deux autres petits trucs pour vous.^^
Tout d'abord, vous vous souvenez de mon dessin de Tim ? Celui que j'avais fait avec mon style Manga, et bien, je n'y ai pas touché....Mais j'ai ajouté Céleste à côté !^^
Spoiler
Vala ! C'était le dessin de la soirée. L'autre surprise, c'est du graphisme. Allez donc jeter un coup d'oeil au premier post de la fic...Quelque chose à changé...^^
EDIT : Et il n'y a pas que ça ! J'ai remanié l'épisode 1 ! Avec les descriptions et tout !!!^^ _________________ Auteur de la fic Replika on the Web.
Je viens enfin de rattraper mon retard sur tes chapitres publiés, et je peux commenter. Je ne vais pas faire une critique détaillée de chacun, déjà parce que j'ai la flemme (justification universelle) mais aussi parce que comme toujours j'ai lu très peu des autres commentaires et qu'il y aurait forcément des redites.
Le simple fait que je sois allée jusqu'au chapitre 18 implique que ça m'a plu. Si je n'accroche pas un texte, vu que je n'aime pas particulièrement lire sur un écran, je ne dépasse pas le chapitre 1.
En survolant j'ai vu que certains trouvaient qu'un narrateur lycéen qui écrit avec un langage relativement oral enlevait de la densité à l'histoire, je ne suis pas d'accord. Certes, ça empêche quelques tournures qui sonneraient bizarrement au milieu du reste, mais le langage de Fred offre un certain dynamisme et un style d'humour qu'il serait difficile de dégager autrement.
Au niveau de tes personnages, rien à redire. Chacun à son caractère, bien défini et différent de celui des autres. Zéphyr se plaignait du manque de leur description, je ne sais pas si j'ai lu un chapitre 1(ou 2 peut-être, je ne sais plus) remanié par rapport à celui auquel il avait eu droit, mais j'ai trouvé que de ce côté-là ça allait, sauf pour le narrateur, que j'ai un peu de mal à me représenter. D'ailleurs je trouve aussi que son nom est mal amené. Dans le premier chapitre on l'a attendu sans même sans rendre compte, ou en tout cas je n'avais pas réalisé qu'il n'avait pas encore été cité, bon point. Mais d'un seul coup un autre personnage l'appelle Fred et c'est tout. J'aurais bien vu un petit truc du style : "Au fait, Fred c'est moi, je ne vous l'avais pas encore dit ?" adressé au lecteur. Mais c'est un détail.
En résumé une fanfiction bien agréable et dans laquelle on ne risque pas de trouver du déjà-vu. Mais tu as déjà été tellement encensé sur l'originalité que c'est inutile de revenir sur ce point.
Ensuite je vais faire une petite parenthèse sur tes dessins. Je suis loin d'être une pro, en fait je ne suis douée que quand j'ai un modèle, donc ne prends pas mes paroles pour paroles d'évangile, mais si je peux me permettre fais attention aux proportions. Personnellement je fais toujours les membres un peu courts sur le premier jet, et je m'énerve à les rallonger ensuite, parce que j'ai un mal de chien à juger de la bonne longueur. Tu as un peu le même problème que moi à apprécier cette longueur je trouve. C'est mon seul reproche ^^ _________________
Posté le: Lun 07 Avr 2014 21:33 Sujet du message: Re: [Fanfic] Replika on the Web
Inscrit le: 27 Aoû 2013 Messages: 403 Localisation: Entre une chaise et un PowerMac G5
Bonsoir Dyssery, bonsoir Ombeline, bonsoir Zéphyr, bonsoir à tous mes lecteurs.^^
@Dyssery : Content que ça te plaise. C'est certe un cran au dessous de ta propre fic (pour le moment... ), mais je suis assez content de mon boulot. Même si bouuuudi ! C'est pas encore terminé !^^
Concernant le chapitre 1, tu es sûre de ne pas l'avoir un peu survolé ? Parce que Fred se présente en tant que tel dés la première ligne de la fic. Il souligne d'ailleurs la stupidité de son nom de famille.
Chapitre 1 a écrit:
Bonjour à tous, mon nom est Frédéric Meuringue. [...]
Puis ensuite, il est assez précisément décris quand il se regarde dans un miroir. Après, peut-être ces passages du texte ne sont pas assez mis en valeur...J'avoue ne pas trop savoir.
Pour ce qui est du dessin, je suis au courant de mon problème de proportions. Ça s'observe surtout dans mon style Manga. Et c'est vrai que je ne suis pas encore à l'aise avec ce style. Vu que faire un dessin avec me prend plusieurs jours et je ne sais dessiner que les filles (-_-'). J'ai aussi ce problème avec le Franco-belge notemment quand je vais trop vite. Mais bon, en règle générale, ça passe. Quoi qu'il en sois j'essaie d'y faire attention. Mais j'ai du mal à apprécier les proportions (notemment celles du manga qui sont spécifiques) sur la feuille. C'est une petite question d'entrainement.^^
Enfin...Quoi qu'il en sois, ce soir, la suite de votre programme ! Un nouvel épisode de l'arc !!!
Encore une fois, cet épisode a été disloqué et coupe une scène notemment en deux. Je ne respecterai pas le conseil de la fusion de Zéphyr ce parce que j'ai envie de vous laisser un petit peu de suspence. Mais en contrepartie je vais sortir la suite le plus rapidement possible...Dans la mesure du possible.^^
Allez, sur ce, bonne lecture !
RAAAAH Zut ! Mon correcteur orthographique a perdu la boule ! Le texte doit être bourré de fautes ! Bougez pas, j'y remédie.
EDIT : Résolu !^^
Arc X.A.N.Admin : troisième épisode Dix-neuvième épisode : Orage sanguinaire...
Spoiler
La bicyclette file sur la route de campagne, du plus vite qu’elle peu. Sur un paysage terrifiant. Il n’est pas rare, quand le soleil se couche, sur la ville du Mans, de voir le ciel se rosir en un splendide crépuscule. Ce soir, c’est un ciel rouge sang qui annonce la nuit. Accompagné de gros nuages noirs qui déversent toutes leurs menaçantes larmes dans une pluie violente. Des éclairs blancs comme des spectres accompagne ce cauchemar par leur terrifiant coup de timbale.
-On en est où James ? Hurle le pilote.
-Je ne sais pas Jessie, il pleut trop pour que je puisse voir quoi que ce soit. A part le ciel rouge et les nuages noirs.
-Ouais. Moi aussi, j’ai du mal à voir la route. En plus, je me les gèle.
-On va y arriver vieux, accroche-toi !
Le vélo dérape dans les virages. Il faut dire que la bombe à l’arrière n’aide pas aux manœuvres. James manque de la lâcher à chaque angle.
Au bout d’un moment, une silhouette brillante apparaît au milieu du rouge, elle est presque éblouissante. La pluie semble refléter sa lumière.
-James ! Il y a un panneau là bas ! Tu peux essayer de le lire ?
James lève la tête et concentre ses yeux sur la plaque qui se rapproche. Les caractères apparaissent et se précisent avec la distance qui diminue, finalement il en arrive à cette conclusion :
-Le Mans, 1 km.
-On y est presque, purée, j’ai hâte que ça se termine.
___
-Tiens, branche moi ce câble sur l’adaptateur DVI. La prise blanche sur le moniteur principal.
- Je ne risque pas de me rebrûler ?
-Non, m’étonnerai que le moniteur ait chauffé.
-Ok. C’est le troisième adaptateur d’affilé qu’on branche...Cette machine n’a plus rien de moderne, tu es sûr que ton plan va marcher ?
-Je ne sais pas, Céleste. En théorie, oui, et on a pas grand chose d’autre à tenter.
-Soit Fred. C’est branché.
-Ok.
J’appuie sur l’interrupteur. La LED du Commodore s’allume. L’écran principal reste noir quelques instants puis affiche le très célèbre :
**** COMMODORE 64 BASIC V2 ****
64K RAM SYSTEM 38911 BASIC BYTES FREE
READY.
Suivi du curseur qui clignote. Pas le temps de crier victoire. Je commence déjà à initier la machine au sein du Mastodonte.
-Céleste, active les trois interrupteurs du circuit où on a branché le Commodore.
-Fait.
Et c’est reparti à zéro. Programme d’éjection. En Basic Commodore cette fois. Pour changer...Les touches sont un peu plus dures que le clavier du G5, mais j’ai l’impression que le vieux mécanisme se dépoussière au fur et à mesure que je tape. Céleste sort un mouchoir de sa poche et l’enroule autour de son doigt. On a tenu face à la ruse de X.A.N.A., on redémarre, la bataille n’est pas terminée. Je sens mon courage remonter en moi, j’accélère le rythme. Le Commodore se montre de plus en plus réactif. Le doux ronronnement des condensateurs semble montrer le contentement de la machine de sortir de 30 ans de sommeil. La mise en place d’autorisation et l’entrée du Commodore s’effectue en quelques minutes. J’avoue ne pas avoir fait tout seul. Mon père avait une disquette qui contenait un début d’instruction pour MODEM de Commodore. Ce truc était une vraie arnaque à son époque et n’aurait jamais pu marcher. Mais en se servant du circuit multitâche comme décodeur réseau et comme traducteur x86 PPC, j’ai réussi. J’essaie de retrouver le log du G5 dans les fichiers, pour me reloger en possesseur root sur le Macstodonte et récupérer le plein pouvoir. J’espère que X.A.N.A. n’a pas eu le temps de toucher à ces fichiers. Sachant qu’avec le Commodore je le prends par surprise je devrais avoir l’avantage.
J’entre la commande de visionnage, corrige PPC en MOS, Macintosh en Commodore, G5 en 64. Je lance la fast Mt486 execution. Ça marche, je rentre mon nom et mon mot de passe, le second mot de passe et la clé de cryptage. Ouf ! Ça marche ! Retour à la case départ. Allez, maintenant, le programme.
Céleste, qui a remarqué mon sourire, m’interroge.
-Tu y arrives ?
-J’ai de nouveau les pleins pouvoir. X.A.N.A. va morfler, dis-je en crachant bien chaque syllabe entre les dents de mon sourire. Tu te souviens des manips que tu as fait au début de l’attaque ?
-Heu...A peu près ?
-Refait tout.
-D’acc.
Céleste s’exécute. Elle active la passerelle réseau (elle appuie sur sa droite), passe le Macstodonte en mode Root program (en enclenchant les interrupteurs) et met le potentiomètre général à 10 (je pense que c’est assez compréhensible comme ça). Du coup les condensateurs B1 à 25 passent en mode charge. Les turbines de la machine accélèrent. C’est parti.
Je tape sur le clavier. Le fait qu’il soit en QWERTY ne me dérange pas le moins du monde. Je ne me préoccupe pas de ce genre de détail, c’est la partie auto-inconsciente qui s’en charge, comme sur un vélo. Je me concentre sur le code, chaque commande, chaque caractère. Le programme fait une ligne, puis deux, puis dix...
Arrivé à la 324ème ligne je lève le doigt bien haut et “le jette” sur la touche Enter.
Exécution...
-Yes ! Ça marche. Le programme va recalculer les droits selon les anciens logs de roots. X.A.N.A. devrait perdre tous ses droits d’ici quelques minutes, ma chère Céleste, on y est...ATTENTION !
Sans trop comprendre ce qu’il se passe Céleste se jette sous le bureau. Visiblement surprise par mon cri. Cri que j’ai poussé à la vue de l’écran secondaire qui affiche une alerte de tension. Et il ne s’est pas trompé. 5 grand flashs accompagnés de 5 détonations ont fusé dans la pièce. Les spectres sont partis. Sous l’onde de choc provoqué par les décharges le vélux s’ouvre et la pluie s’engouffre dans le grenier. L’ampoule du vieux spot explose dans un fracas de verre et laisse place à l’éclairage rouge et sombre du ciel à la couleur d’hémoglobine. Je me relève. L’onde de choc m’avait fait tombé de ma chaise. C’est passé tellement vite que je n’avais même pas percuté. Lentement, je me remets devant le Commodore. Le programme tourne toujours. Mais le Macstodonte se calme. Ça ne lui demande plus autant de puissance. Bientôt, le vrombissement devient un faible ronronnement que la pluie parvient à couvrir. Bizarrement, cette ambiance sonore est pire que le bruit d’avion habituel...Je sens une bouffée de peur monter en moi.
-Céleste ?
Ha ha, oups ! Effectivement, maintenant que tu le dis ça me reviens. D'ailleurs je plussoie le nom de famille ridicule. C'est l'effet "je le signale et on y revient pas" + mon manque de concentration occasionnel quand je lis qui ont effacé ces détails de ma mémoire.
Concernant le chapitre, pas grand chose à dire dessus. Le fait que j'ai lu le reste de ta fic plusieurs chapitres à la suite doit jouer, mais je le trouve bien vite fini. On y apprend pas bien grand chose, pas d'avancée majeure de l'histoire non plus, donc je ferai un commentaire quand j'en aurai lu un peu plus. Attention de ne pas trop faire traîner en longueur
Une dernière petite chose, bien que j'interdise à quiconque de compter sur moi pour relever les fautes, laisse-moi juste dire ceci : il n'y a rien de plus frustrant qu'une parenthèse qui ne se ferme pas (n'est-ce pas ?
Citation:
(elle appuie sur sa droite, passe le Macstodonte en mode Rot program (en enclenchant les interrupteurs) et met le potentiomètre général à 10 (je pense que c’est assez compréhensible comme ça).
Inscrit le: 27 Aoû 2013 Messages: 403 Localisation: Entre une chaise et un PowerMac G5
Chose promise, chose due. Voici l'épisode du soir, le plus vite possible. Cet épisode sera peut-être à remanier, parce que j'en suis pas complètement satisfait. Nous verrons à l'avenir. En tout cas, bonne lecture !
-Jessie regarde ! Le Mans ! On arrive !
Effectivement, les lampadaires du Mans luisent à travers la pluie comme un phare dans la tempête. L’allemand disco et le lunaire de service sont trempés jusqu’aux os. Ça doit bien faire trois quarts d’heure qu’ils roulent.
-C’est pas malheureux. Je présume qu’on va là où se rejoignent les lignes électriques ?
-Affirmatif, pour une fois tu as l’esprit vif vieux !
Jessie se contente de grogner.
___
-Céleste ?
Pas de réponse, je me lève. Je distingue à peine le bureau. En fait seule la zone éclairée par les écrans m’est visible...Je retente.
-Céleste ? Est-ce que ça va ?
C’est un éclair qui me répond. Toutefois suivi d’un bruit de pied. La silhouette de Céleste se lève et apparaît dans le carré rouge de lumière émise par le vélux, lentement...Comme si c’était la première fois qu’elle le faisait.
Une bourrasque s'engouffre dans le grenier. Une pile d’objets tombe derrière moi. Céleste semble me fixer, mais comme elle est à contre jour, je ne vois pas ses yeux...Ça me gène un peu.
-Heu...Céleste...Rien de cassé ?
La demoiselle contourne lentement le bureau et se rapproche de moi. En silence. Elle semble dégager une drôle d’énergie...Un autre éclair l’illumine une fraction de seconde. Durant cette fraction de seconde j’ai l’impression de voir un sourire sur son visage...Mais un sourire totalement différent de celui que je connais. Mon cœur s’emballe, il se passe quelque chose d’anormal. Je recule d’un pas. Machinalement mes mains se mettent à trembler, je sens la sueur perler sur mon front.
Céleste quitte la partie éclairée du grenier. Son visage se dessine. Effectivement, elle me fixe. Et c’est effectivement un sourire que j’ai vu sur son visage. Mais un sourire...Terrifiant. Les yeux de la demoiselle semblent clignoter. Des étincelles sortent de ces cheveux. Elle tourne lentement autour de moi et se met juste devant la trappe. Je recule encore d’un pas mais me heurte au bureau du Macstodonte. Je me plaque contre ma chaise et tente encore une fois de parler :
-C...C...Cél...Céleste...Que...Que...Qu’est-ce que qu’il...se se passe ?
Céleste lève brusquement la main dans ma direction. Ma peur prend instinctivement le contrôle et me jette contre le sol. Je ne m’attendais pas à ce qu’un éclair parte de la main de Céleste mais son geste m’a fait suffisamment peur pour que mes réflexes me protègent. Sur le coup je n’ai pas compris que Céleste a tenté de m’électrocuter. En fait, je n’ai rien compris du tout.
Je comprends en me relevant. Le visage de Céleste brille par les éclairs qui étincellent autour de lui. Ses yeux…N’ont plus rien d’humain. Leur pupille a une forme que j’ai déjà vue. Mais où ? En me voyant me relever, le sourire de la jeune fille s’efface. Un halo d’énergie semble émaner d’elle. Comme si elle était magnétiquement repoussante. Le Macstodonte se réveille et fait hurler tous ses ventilateurs. Céleste relève la main en ma direction. Une foule d’émotions se bouscule dans ma tête. Peur, fatigue, surprise, incompréhension…J’ai la pure et simple impression de faire un cauchemar. Comme l’autre nuit de feu où les pastèques sont au final peu utiles.
Céleste envoie un deuxième éclair. Je me jette au sol. C’était plus juste cette fois. L’éclair passe à deux centimètres du Commodore, brûlant au passage le clavier du G5. Depuis cette position inconfortable d’où m’ont entrainé mes réflexes je distingue l’écran secondaire. Une série d’écritures rouges s’affiche, un programme est lancé. C’est en essayant d’en distinguer les mots que je me rends compte que je pleure…J’avoue ne pas savoir pourquoi…L’émotion sans doute. Je m’essuie comme je peux et regarde. Chaque entrée de ligne comporte les mêmes mots :
Xanatification process : …
J’entends les pas de Céleste se rapprocher de moi, caché derrière ma chaise. C’est donc X.A.N.A. qui la contrôle…Vu les choses qu’il arrive à lui faire faire, il est bien plus dangereux que ce que je pensais. Et je ne vois pas vraiment quoi faire.
La Chaise qui était sans doute mon dernier rempart contre la mort part valser à l’autre bout du grenier, la sombre Céleste est face à moi. Sans trop contrôler mon corps, je me relève en une fraction de seconde et fonce vers la partie sombre de la pièce, évitant au passage un nouvel éclair qui fait tomber un vase et brûle deux livres. Je tombe à genoux, mes jambes ne veulent plus m’obéir. Je me sens terriblement fatigué et pourtant terriblement tendu, ça fait mal, ça brûle. Que ce soit la fièvre ou les muscles. Les larmes continuent de ruisseler sur mes yeux. Pitié ! N’importe qui ! Arrêtez ça ! Je n’en peux plus ! Je ne veux pas mourir tué par une de mes meilleurs amies, pitié ! Pitié !
Je sens un nouvel éclair arriver dans ma direction. C’est la fin…C’est fini. Game Over.
Mais soudain j’ai un déclic, je vois l’éclair se refléter dans un objet non loin de moi, j’arrive à le distinguer et à le deviner grâce à mes souvenirs ! Le Miroir de grand-mère ! Dans un dernier espoir, mon intellect se remet en route. Je me saisis de la grande plaque polie et la braque devant moi. L’éclair ricoche et repart dans l’autre direction. Droit sur Céleste. Je sens le miroir chauffer, se fissurer et devenir de plus en plus dur à tenir. Je rouvre les yeux et regarde devant moi. La lumière m’éblouit mais je distingue assez bien la silhouette de Céleste illuminée par les éclairs, je réalise soudain ce qu’il se passe et lâche le miroir. A ce moment précis tout s’arrête. Le miroir tombe et se brise…Un peu comme Céleste, blanche comme la mort, qui tombe lentement vers l’arrière. Le silence revient dans le grenier à moitié dévasté. Le Macstodonte semble être repassé en mode calme. Je contemple un moment ce décor terrifiant toujours éclairé par le rouge du ciel. Lentement, sur les genoux, je me rapproche de Céleste. Sa jupe et sa veste sont toutes déchirées. Son visage est blanc par endroit et noir à d’autres. Elle affiche une expression totalement neutre. J’essuie une nouvelle fois mes yeux toujours légèrement humides. Je cherche un instant quoi faire puis me penche contre sa poitrine. Ouf ! Ça bat encore ! Elle a l’air juste méchamment sonnée. Je ne sais pas trop comment elle se tire d’un tel choc mais vu les pouvoirs que X.A.N.A. lui a conféré…Quelque part ça ne m’étonne pas trop qu’elle ait tenu.
Je me relève doucement. Des tas d’images de la scène précédente tournent dans ma tête…Tête qui brûle comme une allumette. Pour essayer de me calmer et pour penser à autre chose je soulève Céleste comme je peux et la transporte jusqu’au lit défoncé au fond du grenier. J’arrive à l’y allonger et à m’écrouler juste à côté. Je reste un moment comme ça. Son visage, pile au niveau du mien, reprend petit à petit ses couleurs. Le ciel perd petit à petit son rouge pour virer au…violet. Petit à petit la respiration de Céleste s’intensifie, son visage semble renaître. Elle semble passer du coma au simple sommeil. Si bien que son sourire, son vrai sourire, finit par se redessiner. Elle doit rêver, me dis-je. Petit à petit je me calme, et en même temps qu’elle je retrouve le moral que j’avais perdu. Au bout d’un moment Céleste finit par ouvrir les yeux…Assez brusquement. Surpris je tombe en arrière.
-…Fred ? Que…Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Je me relève, réfléchis deux secondes et joue la carte la plus simple :
-Ce serait un peu long à t’expliquer…
C’est à ce moment là que je me rappelle qu’il y a un supercalculateur derrière moi !
-Euh ! X.A.N.A. a lancé ses décharges et j’ai lancé le programme d’éjection. Il faut voir où ça en est tout ça. Tu peux te lever ?
Céleste semble soudain très fatiguée.
-Il est quelle heure ?
-Il doit être un peu plus de 18 heures.
-Tes parents ne sont pas rentrés ?
-Ils sont en réunion.
La trappe du grenier s’ouvre en grinçant. Surpris, on se tourne tous les deux vers elle. Lucie et Nestor, le petit frère de Jessie, apparaissent et entrent dans le grenier, l’air un peu paniqué.
-Grand frère ! J’ai peur de l’orage !
J’hésite un moment, je ne sais pas trop quoi répondre. Céleste affiche son sourire pour de bon, se lève et se dirige vers ma sœur.
-Il ne faut pas avoir peur petite Lucie, c’est juste de l’orage.
-Mais oui, juste des nuages chaud qui croisent des nuages froids et qui par leur différence de températures créent une tension électrique qui…
-Fred !
-Quoi ?
-Heu…Et si tu t’occupais du projet d’info, je vais m’occuper de Lucie et Nestor. Ça te va ?
Je réfléchis. Il ne semble pas y avoir d’autres options et ça permettra pour une fois que ma sœur soit réellement surveillée.
-…Soit. Je descends dès que c’est fini.
-Ok. On t’attend.
Céleste et les deux bouts de choux descendent, refermant la trappe derrière eux. Je me remets devant le Commodore. Le programme tourne toujours. X.A.N.A. a l’air d’être déjà un peu neutralisé par ce processus. Mais la carte indique que quatre décharges sur cinq sont parties. J’espère que James et Jessie arriveront à s’en occuper.
To be continued…
___
Et pour finir les réponses :
@Dyssery : Les chapitres de Replika on the Web font en moyenne deux pages et demi en verdana 10 pt. C'est certes court mais j'ai du mal à faire plus. Comme tu as tout lu d'un coup, tu n'a pas pu constater mais deux épisodes dans la même semaine relève de l'exploit. Il faut des fois patienter un mois entier...Ce parce que j'ai beaucoup de trucs à côté de ma fic. Pas facile d'être écrivain, dessinateur, musicien et accessoirement étudiant en informatique en même temps.^^
En tout cas, ça ne devrais pas trop traîner. Ici ça traîne un peu plus que d'habitude parce qu'on est dans un arc. Arc qui devrais se terminer dans un ou deux épisodes. Après quoi, la fic reprendra son rythme d'épisode classiques...Jusqu'au prochain arc.^^
Et pour ta petite faute, c'est corrigé.^^ _________________ Auteur de la fic Replika on the Web.
Dernière édition par Sirix le Ven 17 Juil 2015 16:34; édité 5 fois
Inscrit le: 16 Mar 2013 Messages: 1110 Localisation: Au beau milieu d'une tempête.
Orage ♥.
Rien que pour sa présence, je vais passer le fait que tu ais encore coupé un chapitre en deux. Oui, je ne me prends pas pour n'importe qui *Vlaaan*.
Soyons sérieux quelques minutes. J'ai pas grand chose à dire pour la partie sur le Commodore, elle ne m'a pas marqué plus que ça. La xanatification de Céleste est déjà plus intéressante. Néanmoins, j'ai quand même quelques réserves. Je l'ai trouvée un peu lente à attaquer Fred. Xana cherchant à l'éliminer, il ne prendrait pas son temps de bien faire lever la main à sa marionnette avant de lui faire envoyer l'éclair. Quand on veut éliminer quelqu'un, on essaie de faire vite, sauf si l'on est un psychopathe.
Deuxième chose : le fait que le retour d'éclair mette Céleste xanatifiée K.O, ou plutôt, la libère de sa possession. Parce que pour posséder un humain, Xana active une tour (tour certainement implantée sur le Réplika One). Pour libérer la victime, le seul moyen connu est la désactivation de ladite tour. Du coup, le fait qu'une bonne décharge la déxanatifie me laisse un peu perplexe. À moins bien entendu qu'il n'y ait une subtilité là-dessous.
Après, on peut peut-être mettre ça sur le compte du supercalculateur, qui est moins puissant que celui que l'on connaît bien (a). *Sort*
Allez, comme j'aime pas les commentaires courts, on passe aux remarques stylistiques, même si je ne possède pas d'Œil de Faucon :
Spoiler
Épisode dix-neuf :
Citation:
Ce soir, c’est un ciel rouge sang qui annonce la nuit. Accompagné de gros nuages noirs qui déversent toutes leurs menaçantes larmes dans une pluie violente.
Je suis perplexe sur cette description. Vu la manière avec laquelle tu montres l'orage en question, celui-ci à l'air d'être assez violent. Et à ma connaissance, un phénomène météorologique de cette ampleur aurait plutôt tendance à couvrir entièrement le ciel non ? Ici, j'ai l'impression que les trouées entre les nuages représentent des éclaircies, mais le fait que l'orage batte encore son plein m'en fait douter.
Citation:
-On va y arriver vieux, accroche toi !
« accroche-toi ».
Citation:
L’écran principale reste noir quelques instant puis affiche le très célèbre :
« écran principal ».
Citation:
Céleste qui a remarqué mon sourire m’interroge.
Il faut mettre « qui a remarqué mon sourire » entre virgules pour plus de fluidité.
Citation:
-J’ai de nouveau les pleins pouvoir. X.A.N.A. va morfler. Dis-je en crachant bien chaque syllabe entre les dents de mon sourire.
Virgule après « morfler » au lieu du point. Règle de dialogue.
Citation:
5 grand flashs accompagnés de 5 détonations on fusé dans la pièce.
« ont fusé ».
Épisode vingt :
Citation:
Ça doit bien faire trois quarts d’heures qu’ils roulent.
« trois quarts d'heure ».
Citation:
En fait seul la zone éclairée par les écran m’est visible
« seule » et « les écrans ».
Citation:
Une bourrasque s’enfourne dans le grenier.
Mauvais verbe, on parle de vent ici, pas de pain. Utiliser « s'engouffre » serait plus approprié.
Citation:
Céleste semble me fixer, mais comme elle est à contre jour, je ne vois pas ces yeux
« ses yeux ».
Citation:
son geste m’a fait suffisamment peur pour que mes reflexes me protègent.
« mes réflexes ».
Citation:
Une foule d’émotion se bouscule dans ma tête.
« émotions » au pluriel.
Citation:
L’éclair passe à deux centimètres du Commodore. Brûlant au passage le clavier du G5.
Point après « Commodore » inutile et rendant un peu bête l'usage du gérondif juste après. Virgule après « Commodore » donc.
Citation:
Une série d’écriture rouge s’affiche
« Une série d'écritures rouges s'affiche »
Citation:
Sans trop contrôler mon corps je me relève en une fraction de seconde et fonce vers la partie sombre de la pièce. Evitant au passage un nouvel éclair qui fait tomber un vase et brûle deux livres.
Une virgule après « corps » serait plus fluide. Ensuite, le point avant « Évitant » (avec un accent aigu) est inutile, sinon il faut mettre autre chose qu'un gérondif pour la suite. Donc : « fonce vers la partie sombre de la pièce, évitant au passage... ».
Citation:
Je ne veux pas mourir tuer par une de mes meilleurs amies
« tué »
Citation:
Dans un dernier espoir mon intellect se remet en route.
Une virgule après espoir donnerait plus de fluidité.
Citation:
L’éclair rebondie et repart dans l’autre direction.
« L'éclair rebondit »
Citation:
J’essuie une nouvelle fois les larmes de mes yeux qui se sont arrêtés de couler.
Telle quelle, ta phrase signifie : mes yeux ne coulent plus, j'essuie mes larmes. Un peu étrange comme formulation non ? Limite, le fait de dire que les larmes coulent des yeux fait un peu pléonasme. Tu m'excuseras d'avoir la flemme de reformuler ;
Citation:
Si bien que son sourire, son vrai sourire, fini par se redessiner.
« finit par »
Citation:
Au bout d’un moment Céleste finis par ouvrir les yeux
C'est « finit » maintenant ! *Sort*
Citation:
Je me relève. Réfléchis de secondes et joue la carte la plus simple :
Point inutile après « relève », le « Réfléchis » étant dans la continuité. Donc : « Je me relève, réfléchis deux secondes, etc ».
Citation:
La trappe du grenier s’ouvre en grinçant, surpris, on se tourne tous les deux vers elle. Lucie et Nestor, le petit frère de Jessie, apparaissent et entrent dans le grenier. L’air un peu paniqué.
Plusieurs problèmes de ponctuation. La virgule avant « surpris » casse la fluidité. Il vaut mieux la remplacer par un point et commencer une nouvelle phrase depuis « Surpris ». À contrario, le point avant « L'air un peu paniqué » est inutile également, puisque précisant l'état des deux enfants. En mettant ce point, tu casses littéralement la phrase précédente. Il faut donc une virgule avec « l'air un peu paniqué » au lieu du point.
Citation:
-Il ne faut pas avoir peur, petite Lucie, c’est juste de l’orage.
La virgule avant « petite » est inutile.
Citation:
-…Soit. Je descends dés que c'est fini.
« dès » avec un accent grave.
Une fois encore, je te redis bon courage pour la suite ! _________________
« Jérémie avait fait un superbe travail. Ce dernier voyage sur Lyokô promettait d'être inoubliable. » Un jour, peut-être.
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