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[One-shot] À ses chimères

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 Auteur Message
Icejj MessagePosté le: Lun 15 Juin 2015 13:24   Sujet du message: [One-shot] À ses chimères Répondre en citant  
Vé-Si


Inscrit le: 24 Nov 2014
Messages: 62
Localisation: Bangkok, Thaïlande
C'est pas fouillé. Pardon. Il était pas prévu.

Spoiler

_________________
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JCVgamer MessagePosté le: Lun 15 Juin 2015 14:24   Sujet du message: Commentaire Répondre en citant  
[Blok]


Inscrit le: 29 Aoû 2012
Messages: 170
Localisation: Dans le labyrinthe de mon âme
Bonjour Icejj,

Pas de RP aujourd'hui, celui de ce matin m'a épuisé, donc bon. Mais décidément certains (certaines) ont le chic pour publier un texte pendant les Carpes ^^. Non pas que ce soit un problème.

Bref, toujours est-t-il que ce com sera affreusement court puisque je vais me contenter de dire si j'ai aimé ou pas et pourquoi. Je ne ferai pas d'analyse détaillé car ton texte est je trouve un peu trop difficile pour moi (non je me sous-estime pas non plus) et surtout j'ai aussi ta fiction à commenter Wink

Bien alors qu'en-ai-je penser ?

Je vais résumé cela en une phrase : C'était beau (a)

Magnifique texte (court mais il n'y avait à mon sens pas besoin d'en faire plus).
Le style et la forme sont particuliers mais donne un cachet à ce texte que nous n'aurions pas forcément eu si il avait été écrit d'une manière différente.
Aelita qui décrit ce qu'elle vit, ses sentiments, le monde qui l'entoure. On a accès dans les coins les plus sombres de l'âme de la jeune fille.
Sinon j'ai pu voir aussi que tu avais une fois de plus inséré un passage, je dirais pas sexuel mais presque. Nous dirons physique. (Tu aimes bien ce genre de choses me trompe-je ?).

Bref, bien que j'ai beaucoup de mal à vraiment détailler ce que j'en ai pensé, sache que cet OS est très touchant et j'en ressors de façon positive (c'est français ce que je dit ?)

Au plaisir de retrouver sur ta fiction.

Bonne journée.
_________________
S'il existe différents maîtres contrôlant chacun un élément, je m'exerce à devenir le maître de la lumière.

https://nsa40.casimages.com/img/2021/03/07//210307030201528667.jpg
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Silius Italicus MessagePosté le: Jeu 18 Juin 2015 18:11   Sujet du message: Répondre en citant  
[Krabe]


Inscrit le: 03 Fév 2015
Messages: 252
Localisation: à l'Est d'Eden
Bonsoir Icejj,
de la brièveté à la beauté.

Une force mélancolique extraordinaire vient avec la chute de cette nouvelle. C’est je pense le plus beau des textes que j’ai pu lire de votre main.

Il fallait le préciser avant d’en passer par les rigueurs analytiques.

Il y a plusieurs manières de voir ce texte. Tout d’abord, c’est une chronique disparate de la maturation. De la sortie de l’enfance. C’est aussi la complainte d’une exilée. Il présente aussi des aspects de l'impossible retour de guerre.

Tout d’abord, ce texte est un paradoxe. Aelita s’adresse à sa mère, mais ne parle jamais de la rencontrer. Pour elle c’est une impossibilité. Alors qu’elle s’imagine rencontrer ses grands-parents, ou du moins elle est capable de faire cet effort-là. Il semble donc assez clair qu’elle considère Anthea comme morte, sans pouvoir se l’avouer pleinement. Adresser des lettres à sa mère devient alors un moyen de se libérer de ses pensées. Les confier à quelqu’un d’autre, afin de leur faire perdre du poids et de l’importance. Ces lettres, enfin ces fragments sont donc plus proches d’un journal que d’une correspondance.

Une chronique des plus fragmentaire. Mais cela s’explique par le fait que pour Aelita, les mots ne valent que si une expérience peut les remplir. Aussi toutes ces lettres sont-elles littéralement vaines. Anthéa n’est qu’un nom sans image et sans être, et en conséquence tout ce qui lui est écrit se trouve néantiser. C’est peut-être cela même qui, paradoxalement, explique le fait qu’elle continue à écrire. Elle peut ainsi vider mots et émotions de leur puissance en les confiant au néant maternel.

Si l’on se penche sur une analyse psychologique, Aelita se sert de ces lettres pour pallier le manque de repère. Elle n’a plus de père ni de mère, et la seule autre figure adulte mentionnée est celle du proviseur, justement pur dénoncer son incapacité à servir de repère. Quant à ses amis, ils sont contradictoires et peu fiable. D’où l’estime placée dans Yumi, seul femme de son entourage direct.

Si l’on met de côté l’explication de la puberté et de la croissance, un peu simpliste, ce désarroi de l’identité peut sembler un peu étrange. Aelita a manifesté une personnalité bien à elle à plusieurs reprises. Certes le texte n’est pas daté, à l’exception d’une mention particulière sur la fin, mais cela ne change pas fondamentalement cet état de fait. Cette personnalité, elle l’a forgé dans le feu des épreuves. Et pourtant, ici peu de mots de ces épreuves, de son origine si particulière. En effet, sa plainte sur l’aliénation à son époque est une plainte assez classique. Certes elle prend un relief plus marquant chez la fille de Franz Hopper, mais sans plus. En fait le jardin secret d’Aelita est plus vaste et assuré que celui de la majorité des adolescents. Mais il est aussi par trop étrange et éloigné. De là vient son sentiment d’aliénation. Ses amis ont des bases fermes et solides dans le monde, y sont ancrés. Elle, même après le retour de ses souvenirs, a perdu des années, n’a pas tout récupéré. Et tout ce qu’elle a en propre, elle ne peut l’affirmer, ne peut s’en réclamer. Si ce n’est auprès de ses amis, mais pour eux ce n’est pas essentiel. Alors elle doit dissimuler et camoufler. Et ainsi se perdre, se condamner à la différence. De la son opposition aux facettes dans lesquelles d’aucun voudraient la ranger. Tous, ils passent outre ce qui pour elle est l’essentiel. Elle les trompe et en souffre, car en retour leurs réactions s’adressent à un fantôme, à une ombre sans substance.
La rêverie sur ces grand-parents est une manière d’exorciser cela. Elle crée un monde où tout s’accorde à la réalité de son être. Elle imagine tous les détails. Mais bute à l’ultime instant sur la réalité. Elle n’a pas de grand-parents, et quand bien même, ils ne pourraient être ce qu’elle désire. Le fait qu’elle pense cette rencontre sur le mode du cliché champêtre est caractéristique de cette impossibilité.


À cela s’ajoute la maturation du corps, qui précède celle de l’esprit. Aelita est plus jeune que ses amis, du point de vue du nombre d’années vécues. Et elle le ressent durement. Ils sont plus sortis qu’elle de l’enfance et ont des réactions presque adultes. Elle n’en est pas à ce stade. D’où un désarroi accru. Et la recherche de sécurité avec Yumi.

La chute de la nouvelle est des plus surprenante. Elle est positive car Aelita a surmonté ses difficultés. Au travers du printemps, c’est le renouveau qui se dit. Elle a fait sien le changement. Elle a accepté.

Et pourtant, les derniers paragraphes sont des coups de couteau assassins. Une vengeance extrêmement violente contre sa mère et son abandon. Derrière l’évocation des futurs possible, il y a le reproche de l’absence. Anthéa ne saura jamais ce qui est advenu, ce qui est. Et derrière cette évocation, il s’agit bel et bien de faire souffrir celle à qui ces lettres s’adressent, si jamais elle pouvait les lire, ou si les mots étaient performatifs.

La chronique se termine sur son commencement. Le néant. Il ne s’agit pas d’en finir, ou d’enterrer sa mère, comme il pourrait s’agir de tuer le père en psychologie. C’est pire encore, puisqu’il s’agit de nier le fait qu’Anthéa ait pu exister. Aelita ne coupe pas les ponts, elle nie qu’il y ait jamais eu de berge pour les ponts. Ainsi Elle semblait avoir atteint le calme et l’équilibre. Avoir trouvé sa place, mais tout révèle que non. Son malheur va se reconduire. En fait, elle est parvenue au terme de la logique de dissimulation. Pour que tout ce qui rattache à Lyokô, et donc tout ce qui l'empêche de se convaincre qu'elle est ce qu'elle montre aux autres, ne compte plus, il lui faut nier en bloc et à la racine. Autrement dit Ses parents. Son père étant mort en inconnu au sein de son œuvre, ce point est déjà fait. Mais il restait sa mère. Alors elle la nie. Afin de se conformer à ce que d'autres attendent d'elle. Elle a fini par s'abandonner.

Aelita est morte. Et le lecteur a accompagné cette mort. Il croyait la voir passer par des épreuves somme toutes classiques liées à la croissance, à l'adolescence. Il s'est réjoui de la voir se débattre avec succès et surmonter ces épreuves. Il s'est rendu complice de cette mort. Là réside, à mon avis, la puissance de ce récit.

Au plaisir d'admirer sans fin les échos de votre monde très chère.
_________________
AMDG

Prophète repenti de Kane, vassal d'Anomander Rake, je m'en viens émigrer et m'installer en Lyoko.
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Icer MessagePosté le: Jeu 18 Juin 2015 19:01   Sujet du message: Répondre en citant  
Admnistr'Icer


Inscrit le: 17 Sep 2012
Messages: 2316
Localisation: Territoire banquise
Ce texte a fait naître en moi des sentiments très partagés.

Au début, il était incroyablement inintéressant. Le cadre et le scénario étaient volontairement flous, comme pour dissimuler un travail bâclé, et les anaphores pour tenter de faire accrocher le lecteur ne donnaient au final qu'un effet Moi, président de la République. Bref, un texte de vieille salope.

Et puis :

Icejj a écrit:
« À
Rien »


À partir de là, tout a basculé. Une partie enfouie au plus profond de moi s'est réveillée, et je suis devenu :

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http://i18.servimg.com/u/f18/17/09/92/95/7_du_210.png


L'évocation de la race suprême m'a fait comprendre toute la profondeur et la véritable portée de ton texte qui est en réalité un parti pris évident en faveur du concept de toutes les civilisations qui ne se valent pas et aux méthodes qui doivent être mises en place pour disons, accélérer le processus de sélection naturelle. Décryptage :

- Le brave fonctionnaire du Reich Delmas avait tenté de faire comprendre à Aelita qu'il ne s'adressait pas à la même personne, qu'elle pourrait faire une grande école si ses cheveux étaient blonds et ses yeux bleus... Mais elle n'a pas écouté, et cela va lui coûter cher. Sa mère, aux dégoutant cheveux roses, ne lui répond pas et pour cause, elle a déjà été arrêtée pour ne pas avoir tenu compte des ordres officiels.

- Lorsqu'Aelita parle des Hunger Games, j'ai décelé la métaphore qui renvoie évidemment aux camps d'extermination.

- La scène avec l’Ermitage est une référence magnifique à la Reichskristallnacht, où Nuit de Cristal pour les noobs, où l'environnement est dans le même état que les commerces juifs après le 10 novembre 1938.

- Dans la séquence où la petite évoque ses talents musicaux, on voit bien qu'elle n'arrive à rien car elle n'a pas pris le bon modèle, vu qu'elle se perd avec ses imbéciles de Subdigitals, au lieu d'écouter du Wagner.

Par ailleurs, le coté lettres du récit est une allusion évidente au Journal d'Anne Frank et laisse, comme dans l'histoire originale où le père de la petite échappe à la mort, un goût d’inachevé.

Merci malgré tout pour ce texte, qui prouve que tu fais partie des rares femmes, à l'instar d'Hanna Reitsch, dont la place n'est pas à la cuisine. C'est Staline qui doit plus savoir où se mettre avec une telle adhésion à nos si chères valeurs. Je me devais en tout cas te pondre un commentaire de mec super naz'.


Wait, des seins ? Quels seins ?

_________________
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« Les incertitudes, je veux en faire des Icertitudes... »

https://i.imgur.com/9E3sBM3.pnghttps://i.imgur.com/C4V4qOM.pnghttps://i.imgur.com/R4Yt6QC.png
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StellaeArrente MessagePosté le: Jeu 18 Juin 2015 21:59   Sujet du message: Répondre en citant  
[Blok]


Inscrit le: 08 Aoû 2009
Messages: 146
Localisation: Around Paris
Pas prévu mais c'est toujours agréable de lire un un texte imposé comme ça, qui est simple mais possède une part d'originalité que j'apprécie.
C'est beau, on ressent bien le personnage de la saison 1/2 humaine certes mais plus une créature virtuelle dans l'âme..
J'ai été un peu étonné par le dégoût du sexe mais en soit je n'ai rien contre cela, c'est même plus ou moins compréhensible.

"A Tribute" & "A Rien"
Tu as bien marqué le changement dès que l'on passe A Tribute et on sent de plus en plus le désespoir d'Aelita à ne jamais pouvoir retrouver sa mère. Et ces deux petits titres sont bien rares dans ces lettres, ce qui les rend encore plus marquant.

J'aime particulièrement l'anaphore de "Imagine-moi", sachant que sa mère ne fera jamais partie de sa vie actuelle. Et ce "A rien" finale, juste très beau. La chute. Les lettres finis, finit pour Aelita d'écrire.

Bravo.
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Sirix MessagePosté le: Jeu 18 Juin 2015 22:38   Sujet du message: Répondre en citant  
[Tarentule]


Inscrit le: 27 Aoû 2013
Messages: 403
Localisation: Entre une chaise et un PowerMac G5
Bonsoir Icejj...

Que dire...C'est un texte encore une fois très particulier que tu nous offres. Mais contrairement aux deux autres, qui bien que très bien écris ne m'ont pas bien convaincu, ce dernier m'a plu.

La forme épistolaire dans le récit n'est plus si originale qu'elle tend à l'être mais elle traduit une immersion particulière dans l'histoire que j'apprécie, surtout quand il s'agit de lettre intimes comme celles-ci. En réalité...Aélita écrit plus pour elle que pour sa mère, et, on s'invite au plus profond de sa vie, ses problèmes, ses joies, ses chagrins...

L'impression de désordre, de chronologie, de contraste entre les lettre montre une vie assez remplie, jeune, agitée d'événements et torturée par un lourd passée menant à de grosses interrogations, des réflexions sensibles...

Les sujets qu'aborde Aelita à sa mère et sa manière de le faire sont assez émouvants, car directs et sensibles, elle se questionne, elle rêve, elle attend...

Après, cette Aelita qui écrit...Me paraît assez différente de celle de la série, oh ! ce n'est pa un mal, du tout. Elle est plus mature, plus réfléchie, un peu plus complexée. mais...d'un certain côté, on est au plus profond d'Aelita (sans sortie de contexte, merci.), la façade extérieur que l'on voit dans la série peut cacher cette Aelita un peu plus fragile...Toutefois, je ne peux m'empécher de penser, du peu que je sais de toi, que tu as mis un peu de ton expérience et de ton vécu dans ce texte, ce qui lui donne un peu d'âme et le rend plus réaliste, plus touchant aussi...

Le seul défaut que je pourrai lui reprocher, et ce n'en est pas vraiment un...Je le trouve un peu...Court, j'aurai aimé, à vrai dire, voire la vie d'Aelita racontée à sa mère encore plus longtemps, développer un peu plus, avant d'arriver à la conclusion, mais ce texte est déjà très beau et peut amplement se suffire à lui même.

Un joli texte, donc, comme je disais, très touchant et agréable à lire, il m'a beaucoup plu, félicitations, j'espère en voir d'autre du genre.^^

En attendant, bon courage sur tes autres projets !^^

_________________
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Icejj MessagePosté le: Mar 23 Juin 2015 05:41   Sujet du message: [One-shot] À ses chimères Répondre en citant  
Vé-Si


Inscrit le: 24 Nov 2014
Messages: 62
Localisation: Bangkok, Thaïlande
Yosh, yosh, yosh. L'auteure tant acclamée a traîné sa grosse tête jusqu'à vous pour vous répondre.

-

@Jérémy-chou : Merci (a) Ton commentaire aussi inonde ce sujet de lumière o/ Sache que je n'insère pas des passages "physiques/sexuels" pour le pur plaisir... déjà, Aelita est une ado, et les ados explorent leur corps. En plus de ça, elle s'habitue à être humaine, donc à son corps... et elle est très curieuse, la cocotte.

On dirait plutôt, j'en ressors avec une très bonne impression. Je crois.

Merci encore Mr. Green

-

@Sinus : ah, parce qu'À ses Chimères ne peut pas être court et beau à la fois ? Razz
Merci.
Morte, ou inexistante, elle se demande si son père n'a pas crée Anthéa de toute pièce, d'où le passage où elle parle 'du gêne des cheveux roses'.

En réalité, je ne sais pas trop pourquoi Aelita écrit à sa mère. Soit c'est qu'elle espère - inconsciemment - obtenir une réponse (alors même qu'elle n'envoie jamais ces lettres, elle n'a pas d'adresse) et dans ce cas là, sa colère vers la fin vient du fait qu'elle n'a pas obtenu ce qu'elle voulait. Dans ce cas elle n'a pas évolué, elle va juste chercher à obtenir de l'affection inconditionnelle ailleurs. Soit le but était de néantiser, les lettres étaient un échappatoire. Dans ce cas, la colère à la fin marque un changement de besoin, et Aelita a évolué.

Oui pour le proviseur et Yumi.

Aelita a un personnalité bien à elle. Mais quelle est cette personnalité ? Est-ce qu'elle la cache par peur d'être abandonnée, et agit comme elle perçoit inconsciemment qu'on lui demande, en petite fille gentille fidèle à Jérémie ? L'adolescence, c'est aussi, en grandissant, assumer sa personnalité. Je pense qu'Aelita, à peine débarqué dans le monde humain et pour seuls repères constants ses amis, va tout faire pour les garder... quitte à se travestir. D'où le sentiment d'être déboussolée, sans savoir pourquoi.

Après, je pense effectivement que sa personnalité forgée dans les épreuves, bien trempée, existe. Mais il n'est pas garantie que cette facette se manifeste au quotidien. Elle est peut-être bien enfouie pour ne faire peur à personne. J'approuve l'analyse du jardin secret. Et l'insertion des grands-parents.

Pour la fin, waouw, moi qui croyais que l'OS se terminait plutôt bien. XD Mais en fait, t'as raison. Argh, tu me désespères. x)

Merci pour tes commentaires, si fouillés. Merci de prendre le temps de commenter, de mettre en parallèle, de décortiquer, de t'intéresser. C'est génial, et j'apprécie tes réponses à leur juste valeur.

-

@Icer - Merci pour ton commentaire Mr. Green

-

@StellaeArrente - À mon avis, le dégoût du sexe est juste une phase, elle veut s'enfuir dans l'enfance, dans les certitudes, c'est tout. En fait, c'est pas des titres, mais des signatures. Merci de les avoir repérées quand même Razz Merci, et merci d'avoir commenté.

-

@Rixi - Je trouve pas ça particulier moi. Razz Yep, t'as tout compris. Mais elle écrit aussi en espérant, inconsciemment, recevoir une réponse. Même si elle se répète que c'est impossible.
Personnellement, je ne trouve pas Aelita de l'OS particulièrement mature. Ou alors celle de la série l'est tout autant. Eh oui, un peu de moi y est passé aussi.

Comme tu le sais peut-être, le texte aurait DÛ être plus long, j'avais juste la flemme. XD Un jour je réécrirais peut-être. Dans ce cas je rajoute les quatre phases différentes, etc... en tout cas, merci d'avoir commenté.

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Willismine MessagePosté le: Mer 15 Juil 2015 21:05   Sujet du message: Répondre en citant  
[Blok]


Inscrit le: 09 Avr 2014
Messages: 106
Localisation: Les deux mains dans le chocolat.
Bonsoir ma Jiji :*

J'ai trouvé le troll d'Icer plutôt excellent (la Première m'est revenue si fortement en mémoire...) mais ton texte m'a bien plu, malgré ses flottements. Il y a un petit moment où le rythme a du mou, et une impression d'intrusion de goûts personnels. Cependant, je trouve que ça donne à Aelita un petit côté "ado dans la moyenne" qui est appréciable. Ce n'est pas ton plus grand texte, mais il m'a fait passer un moment agréable.
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Willismine : nom égoïste. Vieux psychotrope interdit à la vente.
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