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[One-Shot] Les mots s'envolent

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 Auteur Message
Zéphyr MessagePosté le: Jeu 30 Jan 2014 22:00   Sujet du message: [One-Shot] Les mots s'envolent Répondre en citant  
Z'Administrateur


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Localisation: Au beau milieu d'une tempête.
Spoiler



https://i.imgur.com/X3daKzQ.png



    Cette fois-ci, c'était le bon jour. Il allait tout avouer sur ses sentiments à l'élue de son cœur.

    La matinée était idéale : ciel bleu parsemé de rares nuages duveteux, soleil brillant, mais pas violent, ainsi qu'une température extrêmement agréable. C'était comme si la nature avait mis en place toutes les conditions pour que la déclaration d'amour se déroule sans accroc.
    Dans la cour du collège-lycée Kadic, la récréation de dix heures battait son plein. Des élèves riaient. D'autres profitaient de la météo sur les nombreux bancs disponibles. Certains révisaient leurs leçons tout en sirotant un soda sorti du distributeur. Quant aux derniers, ils prenaient le temps de ne rien faire. Oui, cette matinée était vraiment superbe.

    Il décida de partir à la recherche de sa dulcinée avant que la sonnerie ne l'en empêche. Par chance, il l'aperçut devant le bâtiment des sciences. En la voyant, sa jauge de stress gagna deux niveaux tandis que son organe cardiaque manqua un battement : elle était toujours aussi belle. Les rayons du soleil avaient même l'air de l'entourer d'une aura lumineuse, à l'instar des anges que l'on pouvait voir sur des œuvres d'art. Et malgré cet air sérieux qu'elle arborait la majorité du temps, il savait que là-dessous se cachait une personne chaleureuse, sensible et ouverte.
    Plongé dans sa contemplation, il ne s'était pas rendu compte qu'il ne marchait plus. Elle avait vraiment le don de lui faire perdre sa perception de ce qui l'entourait. Se reprenant vivement, il continua de marcher vers elle.

    Alors qu'il ne lui restait plus que quelques mètres à franchir avant de pouvoir enfin parler à sa belle, un événement non-programmé s'imposa. Il la vit lui tourner le dos : Jérémie et Aelita venaient d'arriver et entamèrent une conversation avec elle.

    « Pourquoi maintenant ? », se dit-il.

    Sa détermination commença alors à s'effriter. Son plan lui sembla d'un seul coup plein de failles. Et surtout, le doute s'insinua profondément en lui. Et si elle prenait mal sa déclaration, que ferait-il ? S'enfuirait-il pour aller s'isoler dans la forêt, afin de ruminer sa gêne et sa honte ? Ou au contraire se figerait-il sur place, jusqu'à ce qu'elle se décide à le laisser lui et ses sentiments rejetés ? Nul ne le savait. Peut-être était-ce ceci qui le bloquait tant depuis tout ce temps : le fait de ne jamais savoir ce qui arriverait après avoir franchi le pas.
    L'incertitude était un puissant frein au désir d'un homme. Et en cette matinée, si belle pourtant, cet inhibiteur allait encore accomplir sa basse œuvre en l'empêchant de se dévoiler à celle que son cœur avait choisi.

    « Allez, fais quelque chose ! », lui envoya sa petite voix intérieure.

    Un courant d'air souffla, traversant et soulevant ses cheveux bruns, tout en faisant sécher ses mains moites. La fraîcheur de ce souffle terrestre lui redonna un peu de vigueur, juste assez pour qu'il hurle dans sa tête :

    « Fonce avant de te débiner encore une fois ! »

    Il ne voulait plus être son ami, il voulait devenir plus que ça. C'était ce qui avait motivé sa décision à lui parler. Alors pourquoi ne se lancerait-il pas ? Maintenant qu'il s'était décidé après tant de tergiversations, il en avait le devoir.
    Il fit alors un pas dans la direction de celle à qui il voulait parler. Oui, le scénario qu'il s'était imaginé allait arriver. Il allait l'aborder, puis lui demander si elle avait un instant pour discuter. Si elle acceptait, il l'entraînerait à l'écart dans le parc, loin du tumulte des élèves. Enfin, il lui avouerait tout ce qu'il ressentait à son égard. Un plan à la fois si simple, mais également si complexe. Le moindre grain de sable dans ce rouage huilé était susceptible de gâcher cette déclaration. Aucun détail ne devait être oublié, pas même les éternelles incertitudes de dernière minute.
    Mais cette fois-ci, c'était différent. Il allait y arriver. Enfin positionné à côté de son objectif – ou plutôt, derrière – il ne lui restait plus qu'à tendre le bras et à poser délicatement la main sur l'épaule de sa douce et tendre.
    Le moment était enfin venu.

    « Driiiiiiing ! »

    La sonnerie annonçant la reprise des cours lui fit avoir un mouvement de sursaut. Sa belle, ne remarquant même pas sa présence de par sa position de dos, se dirigea droit devant elle, soit vers l'entrée du bâtiment des sciences, dans lequel elle pénétra.

    Le constat était désolant : sa tentative de déclaration était un échec. Et c'était de sa faute, il le savait. Encore une fois, il avait été trop lent, laissant le hasard lui jouer un sale tour.

    À elle seule, la sonnerie était parvenue à briser ses plans. Le temps d'une seconde, les portes du paradis s'étaient ouvertes devant lui. Et elles venaient à présent de lui claquer violemment au nez. La matinée qu'il avait trouvée quelques minutes plus tôt magnifique lui parut très fade au final. Quant au bruissement du vent dans ses oreilles, il lui évoquait à présent un rire moqueur d'un quelconque esprit maléfique traînant aux alentours.

    L'impression que son destin n'était plus entre ses mains l'envahit soudainement. Peut-être était-ce sa punition pour avoir traîné et caché ses sentiments aussi longtemps.

    Mais l'heure n'était plus aux regrets. Voyant Jérémie et Aelita se diriger vers le gymnase, il décida de les suivre – après avoir relâché la pression de ses poings qu'il avait serrés par dépit.
    Le cours de sport lui changerait les idées, enfin probablement.

    •••


    Le soir venu, allongé sur son lit dans sa chambre à l'internat, ses pensées se tournaient dans une seule direction : elle, ainsi que sa déclaration échouée. Il aurait bien voulu oublier cette matinée et se dire qu'il aurait sa chance un autre jour. Peut-être même qu'en se rendant au gymnase et en faisant un peu de sport, il y arriverait.
    Cependant, un autre sentiment commençait à s'installer en lui : la lassitude. Il avait tenté d'ouvrir son cœur à sa dulcinée tellement de fois qu'il ne les comptait plus. Mais ça se finissait de la même manière à chaque fois : soit un événement imprévisible se mettait sur son chemin, soit il se défilait, préférant se dire que cela se passerait mieux la fois suivante.

    « Peut-être que je devrais arrêter de m'accrocher, passer à autre chose », pensa-t-il.

    Une flopée de souvenirs choisit ce moment pour ressurgir : elle et lui discutant tranquillement, une soirée en ville où ils s'étaient incroyablement amusés, elle s'exaspérant d'une bêtise qu'il avait pu commettre ou dire, et enfin son rire, si rare, mais ô combien précieux pour lui.
    Était-il prêt à renoncer à tout ça à cause du découragement ? Non. Cela ne ferait que nourrir un peu plus le feu de ses regrets. Alors qu'attendait-il pour se lancer au lieu de ruminer comme un animal ? Qu'elle vienne d'elle-même vers lui ? Non. S'il voulait y arriver et surtout la mériter, c'était à lui de le faire.
    La cristallisation de ces pensées donna ce cri intérieur final :

    « Je dois lui dire ! Maintenant ! »

    Se redressant brusquement de son lit, il jeta un coup d'œil à sa montre : vingt heures trente-deux. S'il se dépêchait, il pouvait encore se rendre à sa maison – qui était proche du collège-lycée – avant qu'il ne soit trop tard, au sens propre comme au figuré.
    Avant toute chose, il décida de soigner son apparence, histoire de n'avoir aucun regret. Piochant dans son armoire, il enfila une chemise blanche ainsi qu'un pantalon sombre. Pas trop habillé, mais seyant tout de même. Il fit ensuite un tour dans la salle de bain commune de l'internat. En coup de vent, il se rafraîchit le visage d'un coup d'eau.

    Fin prêt, il quitta discrètement l'enceinte de Kadic – histoire de ne pas se faire remarquer par quiconque. Ne restait plus qu'à voir si sa détermination nouvelle ferait la différence.

    •••


    Arrivé devant chez elle, il pressa la sonnette sans hésiter, chose étonnante au vu des événements de la matinée. Prendre les doutes de vitesse semblait le meilleur moyen de les surmonter.
    Quelques secondes plus tard, la porte d'entrée s'ouvrit. Bien entendu, c'est elle qui se présenta pour l'accueillir.
    - Oh, c'est toi, dit-elle en le voyant. Qu'est-ce qui t'amène ici ?
    Malgré sa gorge qui s'était asséchée en un temps record, il parvint à articuler :
    - Je voudrais discuter avec toi d'un truc important.
    Le froncement de sourcils discret de sa belle ne lui échappa pas, marquant une première vague de stress et de doute en lui. Sa détermination toute fraîche lui permit de ne pas se laisser submerger.
    Elle finit par répondre :
    - Entre alors. On sera mieux à l'intérieur.
    S'exécutant, il franchit le seuil et referma l'entrée. Il fut ensuite invité à se rendre dans la cuisine en sa compagnie, lieu où elle avait l'habitude de l'accueillir lors de ses visites. Les deux prirent alors place sur les chaises bordant la table.
    - Tu veux boire quelque chose ? lui demanda-t-elle, en hôte serviable.
    - Non, non, ça ira.
    Un silence en profita pour s'insinuer dans l'air. Seul le grésillement léger de l'éclairage électrique parvint à le percer. Cela marqua l'arrivée d'une seconde vague d'angoisse chez lui, qui l'ébranla légèrement. C'était à lui de parler, puisqu'il avait demandé cette entrevue. Il devait dire quelque chose, au moins pour ne pas passer pour un grand crétin. Mais c'était comme si les mots s'envolaient de son esprit, balayés par un vent fantôme. Malgré tout, le regard interrogé qui le regardait lui injecté une petite dose de courage pour envoyer :
    - Tu te souviens de notre rencontre ?
    - Dans le gymnase de Kadic si je me souviens bien, répondit-elle du tac au tac. Je venais tout juste d'arriver dans l'établissement.
    - Oui, c'est bien ça.
    C'est le moment qu'elle choisit pour asséner une question :
    - Jim, et si tu arrêtais de tourner autour du pot pour me dire où tu veux en venir ?
    Évidement, Suzanne Hertz était quelqu'un qui aimait aller droit au but. Sa réplique le prouvait une fois encore.

    Cette fois-ci, le professeur de sport n'avait plus d'échappatoire : il devait tout lui dire à présent :
    - En gros, je voulais dire qu'on se connaît depuis une paye, toi et moi.
    Ce n'était pas la meilleure entrée en matière du monde, mais il fallait bien commencer quelque part.
    - Ce que je veux dire, se reprit-il, c'est qu'on est devenus très proches. Surtout cette année...
    L'homme la regarda alors dans les yeux. Il vit dans le regard de l'enseignante une étincelle : celle de la compréhension. Ou celle marquant son début, ça dépendait. Voyant cela, Jim n'eut d'autre choix que de se jeter dans cette eau glacée et tranchante que l'on nomme déclaration ;
    - Suzanne... ça fait un an que j'arrête pas de penser à toi, que je veux être plus qu'un ami pour toi. Je t'aime.
    Le ton bourru et maladroit qu'il avait employé n'était certainement pas le plus approprié pour la circonstance, mais il avait le mérite d'être sincère. Et surtout, il avait enfin prononcé ces trois mots qui avaient tant de mal à sortir. Il avait parcouru la moitié du chemin en quelque sorte. Le reste dépendait de sa destinataire.

    Pendant quelques instants, la femme aux cheveux grisonnants sembla chercher ses mots. Puis, elle déclara :
    - Jim. Je suis vraiment touchée par ce que tu viens de me dire, mais je ne pense pas pouvoir répondre à tes sentiments. J'en aime déjà un autre.
    Ces mots, aussi tranchants qu'un couperet, firent s'écrouler le mode autour du surveillant. Ses craintes étaient fondées : son amour n'était pas réciproque. À ce moment-là, assis dans cette cuisine, il ne savait pas ce qu'il allait devenir ni ce qu'il devait faire. Néanmoins, celle qui lui faisait face lui prit doucement la main et ajouta :
    - Crois-moi, je suis vraiment désolée pour toi et j'espère qu'un jour, tu rencontras quelqu'un qui pourra te rendre ton amour. Malgré tout, je tiens énormément à toi Jim. Tu as toujours été honnête et amical avec moi. Tu es cette personne sur qui je peux compter quelle que soit la situation. Mon ami en somme...
    Le silence reprit son cours une fraction de seconde, avant qu'elle ne dise dans un seul souffle, à la limite du murmure :
    - ...et puis c'est tout.

    •••


    C'est donc plus dépité que jamais et avec un goût très amer en bouche que Jim s'en alla de chez Suzanne Hertz, l'amie qui ne pouvait faire écho aux battements de son cœur.
    Il se sentait étrange. Vide en fait. C'était le mot exact. D'un côté, il avait enfin réussi à se libérer du fardeau que représentaient ses sentiments qui le torturaient. Mais de l'autre, il regrettait de ne pas l'avoir fait plus tôt.

    « Peut-être que l'année dernière, elle n'aurait pas été aussi catégorique... », songea-t-il.

    Et c'est en ruminant ce type de pensées saupoudrées de regrets que l'homme mal rasé laissa ses jambes décider de la direction à prendre. Curieusement, elles refusèrent de retourner à Kadic, ce qui l'arrangeait au final. Il ne se sentait pas de se morfondre dans sa chambre le reste de la nuit. Autant profiter de l'air frais.

    Au bout de quelques minutes de marche, il vit un jeune garçon à l'air mal assuré posté devant le portail d'une habitation. Il le reconnut tout de suite : il s'agissait d'Ulrich Stern, un élève interne du collège-lycée où il travaillait. D'ordinaire, dans une situation comme celle-là, Jim aurait attrapé le bras du garçon pour le réprimander copieusement sur sa sortie nocturne hors du dortoir et de l'établissement, chose interdite par le règlement. Or, le surveillant ne s'en sentait pas le cœur ce soir-là.

    Ulrich, se rendant compte de la présence de son professeur sur sa gauche, ouvrit grand les yeux avant de bafouiller une excuse :
    - M'sieur Moralès. Je peux tout vous expliquer.
    - Pas besoin de te justifier. Je travaille pas ce soir.
    Sur ces mots un peu secs, il prit la décision de poursuivre son chemin et de laisser sur place le garçon de quatorze ans. C'est alors qu'il jeta un œil à la maison devant laquelle l'élève s'était planté. Elle n'avait rien de particulier, mais la présence d'un cerisier en fleurs fit déduire à l'homme qu'il s'agissait probablement de la résidence des Ishiyama.

    Jim était loin d'être aussi stupide qu'il n'y paraissait. Ces années passées à travailler auprès d'adolescents lui avait appris certaines choses sur eux, mêmes s'ils n'étaient pas toujours évidents à suivre.
    Avec les éléments qu'il avait sous les yeux, le professeur devina qu'Ulrich devait vouloir discuter avec Yumi Ishiyama. Et au vu de l'hésitation qu'exprimait le garçon avant qu'il ne le surprenne, il devait vouloir lui parler de quelque chose d'important. Certainement de sentiments amoureux. Sinon, pourquoi faire le mur à une heure pareille ?

    Ironiquement, cette situation avait quelque chose de drôle : n'était-ce pas ce que Jim avait tenté de faire le matin même et avait réussi à faire le soir ? Se rendant compte que le jeune homme en face de lui renvoyait son échec dans sa figure, l'homme en chemise décida finalement de poursuivre son chemin. Cependant, ses jambes refusèrent de bouger cette fois-ci. Une force mystérieuse le poussa même à déclarer :
    - Un conseil Stern : arrête d'hésiter et avoue-lui ce que tu ressens. Un jour, ce sera trop tard, et tu ne pourras qu'être ami avec elle.
    La réplique eut l'air de grandement surprendre le jeune homme. Il ne s'attendait pas à recevoir une suggestion en amour de la part de son professeur. D'autant plus que celui-ci avait employé un ton des plus sérieux, chose qu'il n'avait jamais vue chez lui.
    C'est pour cela que le jeune homme osa interroger l'adulte d'une voix un peu hésitante :
    - Vous avez l'air d'en savoir quelque chose m'sieur.
    La réponse de Jim ne se fit pas attendre :
    - Je préfère ne pas en parler.


http://i.imgur.com/V6U7DDc.png


Dernière édition par Zéphyr le Sam 16 Mai 2020 14:12; édité 16 fois
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Sirix MessagePosté le: Jeu 30 Jan 2014 22:19   Sujet du message: Répondre en citant  
[Tarentule]


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J'ai lu le One-Shot un peu en vitesse mais je l'ai lu. Et il m'a plu.^^

C'est amusant cette description qui nous fait d'abord penser à Ulrich. Le concept est drôle. J'ai bien aimé.

Il y a juste un petit truc qui m'a amusé : ton OS se fait totalement écrabouiller par l'épisode Désincarnation, ou Jim montre très clairement ne pas être très très épris pour madame Hertz. Mais qu'est-ce qu'on s'en fiche, c'est bien trouvé quand même.

La fin de l'histoire est plutôt bien pensée. On vois un Jim différent de celui que l'on a l'habitude de voir (Allez en voie la sauuuuuuuuce !!!)...Pourtant le je préfère ne pas en parler, bien qu'il soit bien différent des autres, nous rappelle que c'est bien lui.

Vala, donc, j'ai bien aimé.^^

_________________
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Leana MessagePosté le: Sam 01 Fév 2014 14:56   Sujet du message: Répondre en citant  
[Blok]


Inscrit le: 09 Aoû 2010
Messages: 185
Coucou toi ! ( je t’avais dit que j’étais sûre d’avoir oublié des trucs, donc c’était prévisible de me voir apparaitre là !)

Citation:
une petite idée venue en coup de vent dans mon esprit.

Eh bah, si le vent lui-même t’inspires, tu ne dois décidemment pas manquer d’idées! (a)

Citation:
Et tant que j'y suis, j'en profite pour remercier Léana de son coup de main à la relecture.

Pour la millième fois : de rien. Smile

Citation:
Le titre n'étant pas très évocateur (ni inspiré o/)

Je viens de remarquer un truc. Envoler (= voler) = vent. Même dans les titres tu ne peux pas t’en empêcher ! ^^

Brefouille.
C’est parti pour une version plus ou moins organisée de mon commentaire.


Tout d’abord, je vais te redire ce que tu sais déjà :

— J’ai adoré ce texte. Déjà parce que c’est de la Romance (oh yeah !) et que ça fait du bien, mais surtout parce que l’idée est tout simplement géniale ! On est peu nombreux à aller chercher des intrigues autour des personnages secondaires, et c’est dommage parce que les possibilités sont démultipliées dès lors qu’ils entrent en scène.
D’ailleurs, à quand quelqu’un qui se lance sur une idée de texte pour Poliakoff ? *sors*

— Ensuite, parce que je n’ai pas arrêté de me poser des questions sur l’identité de la personne tout au long du texte.

Alors, si on récapitule, dans l’ordre ça a fait :

Au début, pour moi la fille objet de convoitise était Yumi. (parce que je m’identifie à elle plus facilement, et que Jérémie et Aelita sont cités assez tôt dans le texte, donc..)
Par conséquent :
- Le garçon pouvait être Johny. Je ne sais pas pourquoi, mais je le voyais très bien tout timide au début essayer d’approcher Yumi en se basant sur un conseil d’Ulrich ou je ne sais quoi. J’ai exclu presque tout de suite l’hypothèse que ce soit Ulrich malgré le fait que cette personne ait mantes fois tenté de se déclarer, je ne trouvais pas que ce comportement très hésitant collait à Ulrich. (ça se discute, c’est sûr, mais pour moi ce n’était pas lui.)

- Ensuite vient le "cheveux bruns", et là, ma réaction : m**de, c’est pas Johny (qui est, on va dire, euhm.. Plutôt roux ?) Alors j’ai pensé à Hiroki (même registre, même âge, même timidité envers les filles.. Et même attente des conseils d’Ulrich Mr. Green)
Donc la fille aurait pu être Milly.

- Autre hypothèse, j’ai aussi pensé à Hervé il me semble. (paix à ton âme, Poliakoff, oublié de tous)
Et par conséquent, la fille serait Sissi. Notez que jamais ne m’est venu en tête le vrai couple, honte à moi.

- Puis est apparu le mot "internat", et là... M**de. C’est pas Hiroki. Du coup, je me suis finalement rabattu sur Ulrich, et c’était bien ton but. La fille était par déduction Yumi, et tout collait parfaitement ou presque.


D’ailleurs, pour le fun, petite liste de tout ce qui m’y a fait penser :

Spoiler

Sinon… Ah oui, je n’ai pas encore commenté la fin ! Enfin si, mais pas vraiment x)

Pour moi l’effet de chute était vraiment là. Je n’ai rien vu venir mais quand j’ai compris, bon sang que j’ai aimé l’idée ! Et puis, en dehors du râteau que Jim s’est pris (pauvre choupinou va, elle ne le mérite pas ! ♥) qui ressemblait bizarrement à la rupture entre Ulrich et Yumi, il y eu.. La scène avec le samouraï.

J’ai vraiment reconnu les personnages à ce moment là. Et notamment le Jim auquel on est habitué (bourru, maladroit, tout en étant capable d’être "attentionné" envers les autres). Même s'il est étonnamment sérieux, après l'expérience qu'il vient de vivre, c'est tout à fait compréhensible. Et puis j'ai apprécié aussi le fait qu'il devine les sentiments d'Ulrich pour Yumi (et inversement, qui sait). Ça prouve qu'il s'intéresse à ses élèves... Et particulièrement à eux deux ! Car après tout, c'est grâce à lui qu'ils se sont rencontrés, faut pas l'oublier ça ! (a)

La morale finale : 'n’hésite plus et déclare-toi avant qu’il ne soit trop tard', fait écho à ce qu’il s’est passé avant dans le cas de Jim, mais également à toute l’histoire du couple U&Y. L’un comme l’autre ont trop attendu (bon, dans ce genre de circonstances, c’est le mec qui est sensé se déclarer, mais Yumi aurait pu aussi faire en sorte de changer les choses nom de nom.)

L’idée que ce OS se termine sur Ulrich qui va se déclarer m’a bien sûr comblée mais le fait que la dernière phrase (qui est aussi importante que la première car ce sont souvent les deux points que l’on retient tout particulièrement, surtout dans un texte aussi court) soit vraiment la phrase culte de Jim « Je ne préfère ne pas en parler », et qu’elle conclu le texte d’une manière grandiose, c'était magnifiquement bien trouvé. (d’ailleurs, la série se termine sur cette phrase…)

D'ailleurs avec tout ça je n'ai toujours pas parlé de ton style ! Comme je te l'ai dit, je n'ai pas vraiment lu tes autres textes, la plupart du temps je survole, et comme en plus je suis très portée sur la Romance, je n'ai jamais eu le courage de m'attaquer aux grandes fictions de ce forum.
Je le trouve particulièrement riche, surtout au niveau du vocabulaire, wow. (et oublie les répétitions, on en fait tous sans s'en rendre compte) Des fois tu nous sors de ces mots, jamais je n'y aurais pensé, et ça rend vraiment bien ! Je souriais toute seule par moments devant mon écran. Donc, en définitive, non. Ce OS était tout sauf plat.

Spoiler


Dernière chose :
« laisser sur place le garçon de quatorze ans »

Aouch... J’oublie toujours qu’ils sont aussi jeunes.


Et pour rebondir sur le commentaire précédent, je ne suis pas d’accord avec ça :

Sirix1995 a écrit:
Il y a juste un petit truc qui m'a amusé : ton OS se fait totalement écrabouiller par l'épisode Désincarnation, ou Jim montre très clairement ne pas être très très épris pour madame Hertz. Mais qu'est-ce qu'on s'en fiche, c'est bien trouvé quand même.

Je ne me souviens que de l’épisode Désincarnation car Ulrich disparait (et que Yumi montre clairement un peu plus ce qu’elle ressent, bien que la fin soit décevante de ce point de vue là), et si je me souviens bien le seul truc qui montrerait que Jim ne s'intéresse pasÀ Suzanne Hertz c’est qu’il refuse par deux fois de lui donner des cours de danse. Boh. C’est moyen comme argument. Il peut n’en avoir juste rien à cirer de ces danses (même s’il les a enseignées dans le passé, soi-disant) ou avoir d’autres choses à faire/d’autres priorités… Ou juste refuser car elle veut apprendre dans le but d’en séduire un autre. (a) Perso je trouve que les scénaristes ont quand même bien joué là-dessus dans la série, et en faire un Os c’était une excellente idée !

Donc bon, voilà. J’ai le sentiment de m’être beaucoup trop répétée (comme quoi, à froid ou à chaud, mes commentaires partent dans tous les sens Rolling Eyes )
Continue à écrire (de la romance), et au plaisir de te relire encore une fois !

PS : Je n'avais pas vu, ça !
« Mais c'était comme si les mots s'envolaient de son esprit, balayés par un vent fantôme. »
Belle allusion à ton titre finalement.

PS 2 : J'aurais dû faire un commentaire plus long encore Rolling Eyes Surtout que je suis persuadée d'avoir encore des trucs à dire...
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Mes textes :

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When we watched the sunset over the castle on the hill »
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Café Noir MessagePosté le: Sam 01 Fév 2014 22:25   Sujet du message: Répondre en citant  
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Bon. J'aime pas vraiment commenter. Parce que je commente comme une merde, et donc que ça ne te sert à rien, et qu'après, Icer, me trolle. Mais ça m'embête quand même, parce que tu fais des textes magnifiques, alors je vais essayer, pour une fois, d'être le plus constructif possible.

Bon. Alors, dès les premières lignes, tu annonces la couleur. Au programme : de la romance. Mais le tout rédigé par Zéphyr, ce pourquoi j'ai aussi lu la suite. L'intro est très bien écrite, les descriptions sont assez poétiques et correspondent parfaitement au one-shot. On reste dans une banale situation initiale, mais le style avec lequel tu écris ces premières lignes est vraiment très agréable. Sans tomber dans le gnan-gnan, tu nous décris une scène assez idyllique, avec du soleil, des rires, de la joie, tout va bien, et le one-shot débute donc plutôt bien. Même si je savais que ce one-shot ne serait pas semblable au scénario de "Ulumi : copains et c'est tout ?" ou "Le geek qui tomba amoureux d'une fille virtuelle", tous deux publiés chez les éditions You Me Me, il est difficile de ne pas imaginer le duo Ulrich/Yumi. On sait pertinemment bien que, vu l'auteur, le couple ne verra aucune évolution, mais tout porte à nous le faire croire. C'est souvent dans cette situation que j'ai envie de lire la dernière phrase du one-shot. Mais je me suis retenu. Je t'avoue avec honte que je n'ai pas imaginé un seul couple, comme ma voisine d'en haut l'a fait au cours de la lecture.

La disparition de toute motivation chez le personnage principal dont le nom ne nous est pas encore révélé passe très bien aussi. C'est très réaliste (je tiens ma connaissance sur ce sujet de l'ouvrage "GummyBear : tombeur ou tombé"), et n'est toujours pas dans la narration banale et plate. C'est cependant à ce moment qu'intervient une faute que Léana a laissé filer Surprised

Citation:
« Allé, fait quelque chose ! »

=> « Allez, fais quelque chose ! »

Mais tu t'en tires bien pendant toute cette scène, mention spéciale à ceci :
« Mais l'heure n'était plus aux regrets. Voyant Jérémie et Aelita se diriger vers le gymnase, il décida de les suivre – après avoir relâché la pression de ses poings qu'il avait serrés par dépit.
Le cours de sport lui changerait les idées, enfin probablement.
»
Là, j'ai vraiment cru que tu allais tomber dans le Ulrich-Yumi, naïf que je suis.

Le soudain regain de motivation du personnage me convainc moins. Trop banal, trop bref, trop simple. Mais bon, passage obligé si on veut que ce one-shot se termine. Quoique... Si on est dans l'idée que c'est de Ulrich dont on parle, ça peut coller. D'ailleurs, tu réussis à pas mal nous embrouiller avec le fait que Hertz n'habite pas loin du lycée Smile. J'aime quand même bien les souvenirs que Jim a de lui avec Suzanne Hertz. C'est assez rigolo de les imaginer si proches, tous les deux. C'est d'ailleurs surtout sur ce point-ci que ton OS est une réussite. A partir de peu d'éléments fournis par la série, tu arrives à créer toute une histoire d'amour sur deux persos secondaires, le tout avec beaucoup de crédibilité.

Ensuite, Jim débarque chez Suzanne. Là, on sent la chute arriver, déjà parce que les deux personnages ont enfin un échange, et ensuite parce que les parents de Yumi sont absents, ce qui réduit les possibilités d'Ulumi (si on oublie le fait que c'est The Fear qui a écrit cet OS). A nouveau, une petite embrouille, avec l'allusion au gymnase. Très bien trouvé, même si c'est un peu surréaliste que Jim et Suzanne se soient rencontrés pour la première fois dans cet endroit où seul Jim donne ses cours. Enfin bon, oseffe. Et finalement, tu nous annonces que c'est du prof de sport et de l'austère prof de physique dont tu nous parles depuis le début. Bon, je ne m'y attendais pas du tout. C'est vraiment très bien trouvé, bravo Smile. En relisant, du coup, je me suis amusé à trouver un maximum de comparaison entre le couple Ulumi et le couple... Jertz... (OMG). C'est vraiment du très beau boulot, sur ce plan-là. Mais à ce que je vois, c'est pas trpo utile de te détailler le fruit de mes recherches. Une pro est passée par là... (:

Je trouve la déclaration de Jim assez émouvante. Elle est très bien racontée, et la personnalité de Jim, pas forcément facile à imaginer en amoureux transi, est superbement respectée, et replacée là où on ne l'aurait pas attendue (c'est quoi cette phrase de merde ?). Le ton bourru, l'entrée en matière pourrie, le vocabulaire maladroit, tout cela correspond au prof de sport, et forcément, on a une sorte de compassion envers lui. Bref, cette scène, assez délicate à écrire, forcément, est magnifiquement bien gérée. JACKPOT **.

Juste un truc :
Citation:
Il vit dans le regard de l'enseignante une étincelle : celle de la compréhension. Ou celle marquant son début, ça dépendait.

Je suis totalement passé à côté de cette phrase. La compréhension, okay. Le début... de quoi ? :s

La réponse de madame Hertz, je ne peux pas vraiment la juger, parce que je n'arrive pas à me représenter l'austère professeur en train de parler d'amour/d'amitié/toussa. Rien à signaler ici, donc. Bien joué pour la comparaison avec le couple Ulrich et Yumi, évidemment. Même si en reprenant les mots de Yumi, tu donnes un ton plus catégorique à la phrase, plus crédible (parce que Yumi se rend malheureuse toute seule dans Droit au coeur. Hihi, la conne.).

Et puis enfin, Ulrich apparaît face au professeur dépité. La fin est superbement amenée. Jim est toujours aussi émouvant, cet échec face à Suzanne l'a aussi fait grandir, quelque part - il dévoile d'ailleurs une nouvelle facette de lui-même qui, même si complètement absente de la série, est très réaliste - et c'est un peu ce que nous montre cette fin. GG pour avoir placé la mythique phrase du prof bourru. C'était magnifique :').

Voilà. Pas sûr de t'avoir vraiment aidé avec ce post, mais je me ferai un plaisir de te lire à nouveau. Avec ce texte, tu nous prouves que tu sais aussi parler romance dans tes écrits, et c'est peut-être la seule chose qui manquait jusque là à ton oeuvre, les lovestories étant forcément un peu mises de côté dans L'Engrenage (oui, bon, c'est vrai, y avait celle de Chris, avec chépuki, mais bon, voilà, quoi)).
A bientôt, donc. Et bravôw.

PS : Oui, pour le titre, finalement, je suis pas fan. Mais j'aurais pas trouvé mieux. Alors je me tais. (l)(hug)

_________________
Le $ang et la $ueur chapitre 12

« L'avenir, je vois comment qu'y sera... Ça sera comme
une partouze qui n'en finira plus... Et avec du cinéma
entre... Y a qu'à voir comment que c'est déjà... »
Céline, Voyage au bout de la nuitr
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Zéphyr MessagePosté le: Lun 03 Fév 2014 18:35   Sujet du message: Répondre en citant  
Z'Administrateur


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Bon, un petit tour de ces réponses plus que positives serait je pense une bonne idée Razz :

Sirix :

Citation:
Il y a juste un petit truc qui m'a amusé : ton OS se fait totalement écrabouiller par l'épisode Désincarnation, ou Jim montre très clairement ne pas être très très épris pour madame Hertz


Pour le cas de l'épisode 62, je reste d'accord avec toi. Rien ne montre que Jim est amoureux de Mme Hertz. Cependant, il y a eu cette réplique à la fin de l'épisode :

Jim a écrit:
Aah, tatatata Suzanne ! On a encore trop forcé sur la verveine menthe hier soir ! Ça ne te réussit pas, tu le sais !


Ici, je retiendrai le « encore », ce qui implique que Mme Hertz a déjà abusé de ce thé. Le réplique se voulait certes humoristique, puisque je ne vois pas quels effets cette boisson peut avoir sur Mme Hertz (à moins qu'elle n'y glisse un doigt de quelque chose d'alcoolisé Mr. Green).
Il y a aussi le ton très familier dont use Hertz pour parler à Ulrich dans le corps de Jim. Selon moi, ces éléments ne montrent pas une attirance de Jim pour la prof, mais plutôt une sorte de complicité entre eux. Je pense, à titre personnel, qu'ils ne se fréquentent pas que dans le cadre de leurs emplois.

Pour finir, on voit dans l'animé ce duo pour la dernière fois dans le 75 et le 76. Par la suite, on ne les voit plus ensemble. Et comme c'est une période d'avant-Noël, on peut tout à fait penser que hors-caméra, ils ont eu l'occasion de se fréquenter. Bien sûr, on reste dans le domaine de l'hypothèse.
Sinon, je plussoie ce qu'a dit Léana aussi Mr. Green.

Autrement, merci beaucoup pour ton commentaire Wink.


Léana :

Citation:
« S'enfuirait-il pour aller s'isoler dans la forêt, afin de ruminer sa gêne et sa honte ? »
BAM, ça, c’est tout à fait Ulrich !

C'était voulu. Remarque inspirée par #44 Vertige. Bravo de l'avoir souligné.

Citation:
D’ailleurs, j’ai toujours un doute sur la couleur de cheveux de Jim, je ne sais pas trop pourquoi mais je le voyais 'roux' aussi…

Tu trouves ?

Spoiler


Citation:
« il quitta discrètement l'enceinte de Kadic – histoire de ne pas se faire remarquer par quiconque »
Pareil, là on pense à un élève, pas à un prof !

Techniquement, Jim est surveillant dans les dortoirs. Donc, lorsqu'il est allé voir Mme Hertz, il quittait son poste en quelque sorte, un peu comme dans #25 Code Terre où il abandonne ses élèves pour suivre Jérémie.
Mais on peut penser sans exagérer que Kadic a d'autres surveillants et que donc, ils se rendent service entres collègues. Comme couvrir une sortie de dernière minute pendant une ou deux heures (a). Voilà donc l'origine du « ne veut pas se faire remarquer ». Et puis, on peut largement penser que si des élèves l'apercevaient, les ragots iraient bon train et je pense que le prof préfère éviter ça ^^.

Citation:
j’aurais pensé qu’elle l’amène direct dans sa chambre. (pour parler en toute intimité, on arrête les pensées perverses merci !)

Tu touches un point intéressant ici. À la base, je voulais faire accueillir Jim dans le salon. Mais problème : Mme Hertz n'a pas un salon à la japonaise je pense. Et je voulais faire perdurer le doute quelques lignes encore. Donc, j'ai choisi la cuisine, lieu passe-partout =p.

Citation:
« Mon ami en somme... 
Le silence reprit son cours une fraction de seconde, avant qu'elle ne dise dans un seul souffle, à la limite du murmure :
- ...et puis c'est tout. »
Gloups. Tu as modifié où j’invente ? J’étais sûre qu’elle avait dit "copain" bien que le terme "ami" soit plus adapté dans la bouche de Suzanne Hertz… Hum…

Aucune modification. Tu as bel et bien rêvé Mr. Green.

Citation:
« Par chance, il l'aperçut devant le bâtiment des sciences. »
Ça, ça pourrait indirectement faire penser à Suzanne Hertz, mais je me suis bien faite avoir en ne relevant pas du tout cette info.

C'était un indice stratégiquement placé en effet. Mais ça restait très maigre quand même...

Léana a écrit:


(Manière simple d'abréger « content que la référence t'ai plu ».

Citation:
La morale finale : 'n’hésite plus et déclare-toi avant qu’il ne soit trop tard', fait écho à ce qu’il s’est passé avant dans le cas de Jim, mais également à toute l’histoire du couple U&Y.

C'est exactement ça ! L'histoire est un parallèle entre les deux situations, et on peut y voir aussi une prémonition de ce que deviendront Ulumi s'ils continuent de tergiverser (a).

Citation:
L’idée que ce OS se termine sur Ulrich qui va se déclarer m’a bien sûr comblée

En fait, ici, c'est une de ses énièmes tentatives. Rien ne dit s'il va vraiment se lancer ou non. C'est au lecteur d'imaginer la suite ici, mon travail s'arrête là.

Citation:
Belle allusion à ton titre finalement.

Sauf que le titre est venu après le texte ^^. J'en suis pas très fier j'avoue, mais c'est un titre au moins o/.

Encore mille fois merci pour tout ♥ !


Cafey Nwar :

Citation:
une faute que Léana a laissé filer

Pour le « fais », je plaide coupable, mais pour le « Allé », c'est justement une correction de Léana elle-même. Enfin, les deux écritures ne me dérangent pas personnellement o/.

Citation:
Le soudain regain de motivation du personnage me convainc moins. Trop banal, trop bref, trop simple.

C'est vrai que la scène est très rapide, c'est pas celle dont je suis le plus fier, contrairement à la scène finale =3. Mais dans ces quelques lignes, c'est le doute qui a été mis en avant. Le personnage (Jim donc), était certain de ses sentiments, mais il n'arrive jamais à les dévoiler. Il a donc un petit coup de mou suite à son dernier échec. Il se demande s'il ne ferait pas mieux de laisser tomber, ce serait tellement plus simple. Et en repensant à elle (Mme Hertz, encore donc), il se dit qu'il n'a pas envie d'avoir encore plus de regrets.
Il décide donc de montrer ce qu'il a dans le bide, pour être certain d'avoir tout essayé.

Citation:
 C'est assez rigolo de les imaginer si proches, tous les deux.

Pour ce point, je me suis surtout basé sur le 62. Quand Suzanne demande à Ulrich-Jim de lui apprendre à dancer, elle a une attitude très décontractée, loin de son sérieux habituel. J'en ai donc déduit qu'ils devaient pas mal se connaître, et qu'il y avait au moins quelque chose d'amical entre eux.

Citation:
Je suis totalement passé à côté de cette phrase. La compréhension, okay. Le début... de quoi ? :s

Le début de la compréhension pardi ! La phrase est peut-être maladroite en fait.

Citation:
tu nous prouves que tu sais aussi parler romance dans tes écrits, et c'est peut-être la seule chose qui manquait jusque là à ton oeuvre

Tu as 100% raison. L'idée était vraiment de m'entraîner à écrire dans ce style-là. Et puis, qui sait, le prochain OS que j'écrirai parlera peut-être de Willaura <3. *Sort*

Citation:
Oui, pour le titre, finalement, je suis pas fan. Mais j'aurais pas trouvé mieux. Alors je me tais. (l)(hug)

Je te rappelle quand même que tu fais partie des 3 personnes qui ont voté pour ce titre, avec I. et O. (abréviations pour protéger leur identité (a)). Sinon, (hug) et merci pour ce commentaire très inspiré.


Maintenant, je rebondis sur une double-remarque pertinente :

Léana a écrit:
que foutait Mme Hertz au gymnase? O.O

Café Noir a écrit:
A nouveau, une petite embrouille, avec l'allusion au gymnase. Très bien trouvé, même si c'est un peu surréaliste que Jim et Suzanne se soient rencontrés pour la première fois dans cet endroit où seul Jim donne ses cours. 


J'avais pour but initialement de décrire leur rencontre dans le gymnase en fait, mais la flemme a repris le dessus (a). Donc, ça aurait donné quelque chose comme ça : Mme Hertz vient d'arriver à Kadic, septembre 1994, pour prendre la suite du disparu FH. À son arrivée, elle est accueillie par le proviseur, qui compte lui donner les clés de sa salle de classe. Problème : il n'en existe qu'un seul exemplaire. Et c'est Jim qui l'a. Delmas la redirige vers le gymnase. Et c'est ainsi que Mme Hertz découvrit le gymnase, et Jim.

J'espère que cela éclaire vos lanternes.


Et on termine là dessus :

Sirix1995 a écrit:
Pourtant le je préfère ne pas en parler, bien qu'il soit bien différent des autres, nous rappelle que c'est bien lui.

Léana a écrit:
 la phrase culte de Jim « Je ne préfère ne pas en parler », et qu’elle conclu le texte d’une manière grandiose, c'était magnifiquement bien trouvé. 

Café Noir a écrit:
GG pour avoir placé la mythique phrase du prof bourru. C'était magnifique :')


Je ne pouvais décemment pas écrire un texte sur Jim sans placer cette phrase. En plus, elle offre une sorte de rechute après la chute Mr. Green.


Voilà, je crois que j'ai largement fait le tour de vos remarques. Je vous redis encore une fois merci à tous pour vos commentaires très encourageants et vous dis à bientôt sur un autre texte peut-être Wink !
_________________
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« Jérémie avait fait un superbe travail. Ce dernier voyage sur Lyokô promettait d'être inoubliable. »
Un jour, peut-être.
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Peppy MessagePosté le: Mar 04 Fév 2014 11:47   Sujet du message: Répondre en citant  
[Krabe]


Inscrit le: 01 Fév 2013
Messages: 241
Encore une qui est tombée dedans...Je crois qu'on zappe vraiment ce qu'on ne veut pas voir, parce que la petite phrase en italique est pourtant mise en évidence.

Bref, j'ai totalement accroché à ton OS. C'était drôle, bien écrit, romancé, triste... A tomber qwa.

Inutile d'aller plus loin, les autres ont tout dit. Félicitations, j'adore lire tes textes et j'adorerai en lire davantage.

Au plaisir !
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Deimon Mx MessagePosté le: Mar 04 Fév 2014 15:05   Sujet du message: Répondre en citant  
[Blok]


Inscrit le: 18 Mai 2013
Messages: 120
Localisation: Quelque part dans la mer numérique.
What ?! What ?! Franchement bravo, c'est vraiment super bien écris ! Pour précisé c'est le premier de tes textes que je lis et je suis bluffé.

C'est vrai que le fait de pensé d'abord a Ulrich puis qu'au final ce sois Jim était osé et déroutant. Mais sa m'a plus, car le texte est bien construit avec des émotions et surtout des description sur l’environnement assez précises.

L'histoire est accrochante, et plus je lis d'OS comme les tiens, plus je me dis qu'un bonne écrivain peut tout faire même avec un thème donné. Franchement si je pouvais applaudir je le ferais ! Tu est sortis des sentiers battus avec cet OS et s'était magnifique ! Encore bravo j'ai adorer !


[Section en option] Mais où est Lolo ?! Dernière le lit ? Non. Derrière la porte ? Non. Les Partisant Pour Lolo's l'on abandonner ? Laughing

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lecrivaindujour MessagePosté le: Ven 07 Fév 2014 13:30   Sujet du message: Répondre en citant  
[Krabe]


Inscrit le: 01 Jan 2013
Messages: 231
Localisation: Quelque part dans une crevette géante
Franchement, j'ai adoré. Outre le peu de fautes, le style narratif très sympa et le thème bien utilisé, on ne peut pas décrocher de l'histoire tant qu'on n'a pas compris qui c'est. Je suppose que je suis pas le seul à avoir pensé à Odd ou Ulrich xD
'Fin bref, chapeau bas, c'est vraiment beau.
_________________
Lecrivaindujour, geek dans l'âme, vidéaste sur Youtube, TFOL, LyokoFan depuis 2004
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Ikorih MessagePosté le: Sam 08 Fév 2014 10:24   Sujet du message: Répondre en citant  
M.A.N.T.A (Ikorih)


Inscrit le: 20 Oct 2012
Messages: 1529
Localisation: Sûrement quelque part.
Moi j'avais pensé à William/Laura. J'ai des pensées plus originales que vous Mr. Green (mouahaha)
_________________
"Prouve-moi que tu avais raison, Jérémie, dans tout le mal que tu as causé."
Oblitération, chapitre 13

http://i39.servimg.com/u/f39/17/09/92/95/signat10.png
Et je remercie quand même un(e) anonyme qui refusait qu'on associe son nom à ce pack Razz

http://i81.servimg.com/u/f81/17/09/92/95/userba11.png
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