Kay |
Posté le: Jeu 16 Avr 2009 12:23 Sujet du message: [Fanfic] Cher journal |
|
Jewel Thief
Inscrit le: 27 Juin 2008 Messages: 312 Localisation: Cherche encore =) |
Hey everyone !
J'ai décidé de faire une nouvelle fanfiction...On m'a souvent reproché la longueur des chapitres dans mon ancienne fic, j'ai donc réduit pour que ce soit moins désagréable. J'accepte toutes les critiques, ya rien de mieux pour s'améliorer, quand elles sont justifiées. Je vous laisse découvrir :
CHER JOURNAL
PROLOGUE :
Un rire joyeux sortit d’une pile de vêtements. Aelita tourna les yeux vers sa fille, Tamara, invisible sous la montagne de jupes, chemises et autres foulards. Les rayons de soleil éclairaient doucement le grenier, laissant apercevoir une grosse malle entr’ouverte dans l’ombre, débordant de vêtements.
- "Tu devrais sortir de là-dessous ! Tu vas finir par étouffer…"
Un rire joyeux lui répondit. Quelques cheveux roses émergèrent du tas de vêtements. Aelita se leva et libéra sa fille.
- "J’espère bien qu’avec tout ça, tu vas trouver un déguisement pour le carnaval.
- J’aime bien cette jupe-là, réplique la fillette, désignant du doigt un morceau de tissu aussi vert que ces yeux. Et ce haut là-bas aussi.
- Tu pourrais te déguiser en bohémienne…Je dois avoir un tambourin par ici."
La jeune femme s’agenouilla près de la malle, y glissa ses longs doigts fins, remuant des tissus de toutes les couleurs et formes imaginables. Après quelques secondes, ses doigts se fermèrent sur un objet dur, qu’elle tira tant bien que mal hors du coffre.
- "Youpi ! Avec ça mon déguisement sera parfait !, s’amusa la petite fille.
- Tu seras la plus belle des bohémiennes !"
Elle déposa un baiser sur la joue de Tamara. Celle-ci la remercia d’un immense sourire. Elle se saisit du tambourin et courut à travers la pièce, le secouant de toutes ses forces, cherchant à le faire résonner par-delà les grandes fenêtres du grenier, riant toujours. Comme une petite fille de quatre ans…
Aelita posait les yeux sur elle, à demi perdue dans ses souvenirs. Ce tambourin l’avait accompagné pour son bal de collège, en dernière année. Les déguisements étaient obligatoires, comme une dernière occasion de s’amuser avant les dures études au lycée. La jeune fille d’était alors transformée en bohémienne, accompagnée de son petit ami, désormais le père de Tamara. La vie lui avait souri toutes ces années. Un mari aimant, des études brillantes et maintenant une petite fille adorable. Elle était tout son univers. Que pouvait-elle demander de plus ?
Peut-être savoir ce qu’étaient devenus les autres…Elle les avait tous perdus de vue, sauf son compagnon. Ils en parlaient encore parfois, se demandant ce qu’ils étaient devenus…La vie avait continué, laissant dans son sillage des souvenirs heureux et des lambeaux d’amitié perdue. C’était sans doute mieux ainsi…
Tamara jouait de nouveau dans les vêtements, une jupe noire flottante en guise de cape, une bague à chaque doigt, une ceinture autour de la tête, comme un bandeau. Elle plongeait sous les tissus à intervalles réguliers et émergeait quelques secondes plus tard, ses joues rosies par l’effort, ses yeux riant aux éclats…Un objet brillant sur le sol attira l’attention d’Aelita.
Un vieux cahier rose pâle, à la couverture abîmée. Les coins étaient cornés, une tâche d’encre presque effacée sur la tranche. La fermeture, en argent terni, semblait lui crier « ouvre-moi ». La jeune femme le prit au creux de sa main, son regard perdu dans le vague. D’où pouvait bien venir ce cahier ? Elle effleura la couverture de ses doigts fins. Que faisait-il là ?
Elle saisit la fermeture entre deux doigts et la pressa doucement. Un léger bruit lui répondit. Le métal céda, laissant le cahier sans protection. Elle l’ouvrit doucement. Quelques mots à l’encre bleue sur la page rose, pâlie par les blessures du temps :
JOURNAL D’AELITA STONES
ANNEE 2004
CLASSE DE TROISIEME
INTERDIT DE LIRE
Un sourire s’esquissa sur les lèvres de la jeune femme. Elle referma le journal et le glissa dans sa poche. Elle récupéra le déguisement de sa fille et toutes deux quittèrent le grenier. Elle ne se rappelait même pas avoir tenu de journal. Plus encore, il lui tardait de le lire, pour se souvenir de tout ce que le temps avait effacé de sa mémoire.
-------------------------------------
Voilà ! Qui est le mari d'Aelita ? (je vous avoue que je ne sais pas encore ) Que sont devenus les autres ? Qu'y a-t-il dans ce journal ? A vos critiques
Edit d'Icer : Rajout de la balise [Fanfic]
Dernière édition par Kay le Lun 01 Avr 2013 21:13; édité 4 fois |
Revenir en haut de page |
|
|
Iglouska |
Posté le: Sam 18 Avr 2009 22:39 Sujet du message: |
|
Inscrit le: 07 Jan 2008 Messages: 1422 Localisation: Dans sa forêt à chercher une proie pour assouvir sa soif ^,..,^ |
Et bien et bien et bien ...
Assez bon début me semble-t-il =)
J'aime beaucoup ^^
Même si il y a déjà une fic de ce genre de Elya San ( Aelita a une fille est a des retours dans le passer dans son esprit ) Je trouve que ça pourrait être une bonne fic vu comment elle commence ...
Le mari ? Dans la logique je dirais Jérémie vu comment tu le décrit. Mais je préfèrerais Odd bien sur x)
Bref, j'attends le premier chapitre pour voir ^^
Bonne continuation. |
Revenir en haut de page |
|
|
Kerian |
Posté le: Sam 18 Avr 2009 22:41 Sujet du message: |
|
Déchiqueteur de Fics
Inscrit le: 01 Aoû 2008 Messages: 1700
|
Bon, à ta demande, je vais faire une commentaire détaillé de ta fic.
Citation: | J'ai décidé de faire une nouvelle fanfiction, la précédente étant minable et vraiment articielle. |
... Stop l'auto-flagellation.
Déjà ça ne sert à rien du tout, et ensuite, ce n'est sûrement pas en disant ça qu'on va vous consoler.
Si elle était minable et vraiment artificielle, pourquoi l'as-tu posté ?
Citation: | J'espère que celle-ci sera mieux... |
Je suis sceptique quand à la suite si toi même tu n'es pas sûr(e ?) de son succès.
Garde la tête froide et confiance en toi et ça ne pourra que marcher.
Citation: | On m'a souvent reproché la longueur des chapitres, j'ai donc réduit pour que ce soit moins désagréable. |
?! On t'a reproché la longueur des chapitres que tu fais ?
Alors déjà, je pense que ceux qui t'ont reproché cela ne donnaient qu'un avis personnel... soit on aime les longs chapitres, soit on aime pas, mais quand on est spectateur, on la boucle et on laisse faire l'auteur quand au format de son récit.
Si tu préfères faire des chapitres longs, ne te gêne pas au contraire, ce qui me mène au 2è point, qui est que je préfère personnellement les chapitres longs... mais cela reste bien sûr un avis purement personnel.
Tu es libre d'écrire de la façon dont tu le souhaites, au rythme où tu le souhaites.
Sur ce, place à la critique du texte en lui-même :
I] La mise en page
Alors déjà, pour rendre ta fic attirante, ESPACE ton texte !
La je suis venu sur ta page et j'ai vu un monstrueux pavé de 40 lignes... pas attirant du tout...
Il faut que le lecteur aie envie de venir lire ta fic, pour ça il faut une présentation exemplaire.
Pareil, pour cette "citation" si on peut l'appeler comme ça :
JOURNAL D’AELITA STONES
ANNEE 2004
CLASSE DE TROISIEME
INTERDIT DE LIRE
Je suppose que ça fait mieux en étant centré non ?
II] Le titre
Pour le titre, l'idéal est de mettre une police de texte importante de façon à ce que le lecteur ne l'oublie pas quand il lit ton texte pour la première fois.
Ensuite tu peux aussi le centrer pour qu'il se détache du reste du texte qui est aligné sur la gauche.
III] Les dialogues
Alors pour les dialogues, ce n'est pas gênant quand on est absorbé dans la lecture, mais quand on débarque sur la page de ta fic, ça peut porter à confusion.
Je m'explique :
Quand tu écrit un dialogue, ça doit ressembler à ça :
Jérémie arriva en courant et s'écria :
- "Oh non, Aelita ! Tu vas bien ?"
Toi, tu as juste oublié les guillemets, ce qui fait qu'on croit au premier coup d'œil qu'il n'y a pas de dialogue, même si en regardant bien on aperçoit des tirets... mais c'est toujours le premier regard qui est important, cela va déterminer si ta fic vaut la peine d'être lue.
IV] L'orthographe
Bon, là je n'ai rien vu de gênant, et je ne chercherai pas la petite bête, tout le monde n'est pas un crack en orthographe...
Sinon j'ai vu une seule erreur :
Citation: | Elle plongeait sous les tissus à intervalles réguliers et émergeait quelques secondes plus tard, ses rosies par l’effort, ses yeux riant aux éclats… |
Je suppose que tu as oublié "joues"...
Donc pour ta fic en général, malgré les quelques erreurs que je t'ai signalé, j'aime bien ton style d'écriture, tes idées sont cohérentes et sont en adéquation (chouette réussi à le placer) avec le monde de nos héros...
Bref, un bon potentiel qui ne demande qu'à être exploité.
Sinon voilà pour l'analyse... je suis sûr que j'ai oublié des choses, mais certains (et ils se reconnaitront) viendront compléter tout ça et chercher le petit grain de sable que j'ai oublié juste pour m'embêter
Allez bon courage pour la suite qu'on attend avec impatience.
Ps : Pour le mari d'Aelita, j'espère que ce sera Jérémie, je suis contre le couple Odd/Aelita... mais cela reste purement personnel. _________________
"La sévérité prévient plus de fautes qu'elle n'en réprime." - Napoléon Bonaparte
"L’élévation d’un homme au-dessus des autres ne se justifie que s’il apporte à la tâche commune l’impulsion et la garantie du caractère." - Charles de Gaulle |
Revenir en haut de page |
|
|
Kay |
Posté le: Dim 19 Avr 2009 10:05 Sujet du message: |
|
Jewel Thief
Inscrit le: 27 Juin 2008 Messages: 312 Localisation: Cherche encore =) |
Hello !!!!
Merci pour vos commentaires !
Vampyress => La ressemblance avec Little Flower n'est pas voulue. J'ai averti Elya_San pour savoir si ça ne la dérangeait pas et apparemment non.
Zéro-sama => Merci pour tes conseils. J'ai édité mon premier post et c'est vrai que c'est plus agréable à regarder (non sans blague ! ). Pour l'ancienne fanfic, ce n'est que quelques temps plus tard qua je me suis rendue compte qu'elle était minable...
Voilà donc :
CHAPITRE 1 SOUVENIRS
Lovée contre le canapé de cuir jaune, Aelita sortit le journal de sa veste et commença sa lecture :
« Mardi. Avant le petit dejeuner.
Cher journal
Je ne peux pas le croire. Papa est….Je ne peux pas l’écrire. C’est impossible. Je vais me réveiller. Je me suis retrouvée dans un scanner avec comme ultime souvenir l’explosion d’une sphère blanche. Non, c’est impossible. Tout cela n’est qu’un horrible cauchemar. Je n’ai même pas le courage d’écrire. J’ai juste envie de pleurer, pleurer et pleurer encore. Cette nuit, j’ai même rêvé que je pleurais. »
« - Qu’est-ce que tu lis, Maman ? »
Tamara venait d’arriver, un sourire sur ses petites lèvres fines. La jeune femme était perdue dans ses pensées. Traverser cette période avait été difficile. Même si elle n’avait jamais eu une famille normale, elle avait souffert de la disparition de son père. Il avait tout de même existé. Ce soir-là, un immense vide avait envahi sa poitrine, enserrant son cœur de lanière de cuir brûlant. Souffrir et attendre que le temps panse les blessures, c’est tout ce qu’elle avait pu faire.
« - Maman ? Ouh-ou ? »
Une petite main s’agitant devant son visage la ramena à la réalité. Tamara, juchée sur ses genoux, l’observait à travers ses sourcils froncés.
« - Pourquoi tes yeux sont tout mouillés ?
- Pour rien ma puce. Pour rien.
- C’est pas à cause de moi, au moins ?
- Non, ne t’en fais pas. »
La jeune femme esquissa un sourire. Timide, il réussit tout de même à rassurer Tamara. Celle-ci sauta à terre d’un bond léger et courut vers la salle de jeux. Aelita la suivit des yeux avant de se replonger dans sa lecture.
« Mardi. Pause déjeuner.
Cher journal
Les autres doivent se demander où je suis. J’avais besoin de m’isoler pour t’écrire. Je me sens tellement mal. On devrait éteindre le supercalculateur tout à l’heure. Mais je ne veux pas. Je sais, c’est stupide. Si XANA venait à se réveiller, le supercalculateur éteint, il ne pourrait rien faire. Simplement, Lyoko, c’est le seul élément qui représentait ma vie passée. Même si Papa était dans le réseau, il venait me voir. C’est désormais impossible… Mais Lyoko, c’est comme un dernier espoir, tout ne serait pas vraiment terminé. Mon père existerait toujours un peu.
Voilà que je pleure de nouveau. J’ai tellement mal. Je me consume de l’intérieur. J’ai l’impression de brûler, mais je ne peux rien. J’ai beau boire des litres et des litres d’eau, le feu de ma gorge ne faiblit pas. Il me vide de ma substance. Tout me semble vide et fade. Je voudrais juste me laisser tomber sur mon lit, pleurer, pleurer encore et encore…Mais je n’ai pas le droit. Je dois être forte, je dois continuer à vivre. Pour que le sacrifice de Papa n’ait pas été vain. Personne ne doit le savoir, je suis sensée être orpheline après tout…Allez, Aelita. Sèche tes larmes, relève la tête et souris. Tu pleureras dans ta chambre…Cher journal, je te laisse. »
La page était terminée. En bas à gauche, une salamandre au crayon à papier, une simple esquisse. La jeune femme aux cheveux roses l’effleura du bout du doigt. Le papier était granuleux, après avoir traversé toutes ces années. Elle referma le journal doucement et le rangea soigneusement dans sa commode, près du lit. Elle se dirigea ensuite vers la cuisine, son mari allait bientôt rentrer, elle avait un repas à préparer.
« - Tamara ?, appela-t-elle. Tu viens m’aider à la cuisine ?
- J’arrive ! »
Des petits pas légers résonnèrent dans les escaliers et le couloir. Tamara s’arrêta sur le seuil de la cuisine, une toque de cuisinier en papier sur la tête et son tablier noué de travers.
« - Viens ici que je t’arrange ça… »
Aelita attira sa fille dans ses bras, puis noua son tablier correctement. Tamara approcha un tabouret de la grande table blanche et grimpa.
« - Soldat ! La mission d’aujourd’hui est la suivante : utiliser ces moules pour faire de jolis motifs avec les pommes de terre. Laisse-moi juste le temps d’en éplucher quelques-unes. Après je les fais cuire à la poêle. Pendant ce temps, tu mettras de jolies décorations sur la table. Ton père sera content lorsqu’il rentrera… »
Un rire lui répondit. Toute trace de chagrin s’était effacée du visage d’Aelita. Elles commencèrent leur préparation, discutant de tout et de rien, riant beaucoup. Un moment de complicité mère-fille.
Une vingtaine de minutes plus tard, des anges doraient dans la poêle. Tamara pliait des serviettes. C’était son grand plaisir, préparer une jolie table pour son père. Elle courrait de la cuisine au salon, du salon à la cuisine, ses pas légers faisant doucement gémir le parquet.
La porte claqua en un grand bruit.
« - Les filles, je suis rentré !
- Papa !, s’exclama Tamara. »
Elle courut se jeter dans ses bras, riant toujours. Il planta un gros baiser sur sa joue avant de se lever et de rejoindre sa femme dans la cuisine.
« - Bonjour à la maman de ma fille chérie."
Aelita lui adressa un immense sourire. Ses yeux brillaient.
« - Je suis à toi dans deux minutes. Juste le temps de retourner ces galettes… »
Elle déposa ensuite un léger baiser sur ses lèvres. Il l’attira contre lui, la serrant dans ses bras. Elle ne résista pas, heureuse de le voir de nouveau à la maison, comme tous les midis et tous les soirs. Mariée depuis plusieurs années déjà, et toujours aussi amoureuse. Que pouvait-elle demander de plus ? Ils s’installèrent à table, soigneusement décorée par leur fille. Etait-ce simplement cela être heureux ?
----------------------------
Voilà, voilà...Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes pour l'instant...mais un élément perturbateur arrive au prochain chapitre...J'ai repris la fin de la saison 4 dans le journal pour créer un lien et pas sortir ma fic du chapeau...Je vous laisse commenter et critiquer...Merci d'avance.
princesshopper
Dernière édition par Kay le Dim 17 Mai 2009 19:21; édité 1 fois |
Revenir en haut de page |
|
|
Math |
Posté le: Dim 19 Avr 2009 10:12 Sujet du message: |
|
Inscrit le: 30 Déc 2007 Messages: 1196 Localisation: Avec Dora, mon héroïne préférée. |
C'est très bien ! Déjà, tu appliques les conseils. On est plongé dans l'histoire, une bonne (fan) fic fait toujours cet effet là.
Sur le chapitre 1, plus rien à dire. Le prologue a été corrigé, il me semble qu'il reste quelques petites fautes de frappe. Tu décris bien les sentiments d'Aelita. Dommage que ça soit un peu court. C'est bien alors on n'est pas pressé que ça s'arrête.
Voilà. Désolé c'est un petit comm'. Vivement la suiteuh et continue de prendre les conseils. _________________
Merci à Chdidi pour mon pack, à Iceberska pour l'userbar et à KiiSka pour la barre de rang ! |
Revenir en haut de page |
|
|
Lyoko-Jedi |
Posté le: Dim 19 Avr 2009 10:22 Sujet du message: |
|
Inscrit le: 01 Aoû 2008 Messages: 134
|
C'est gé-ni-al!!!!!
Y'a rien a dire sauf ça:
Sauter des lignes est si important?
Entoucas,bravo.
Bonne Continuation |
Revenir en haut de page |
|
|
Iglouska |
Posté le: Dim 19 Avr 2009 22:58 Sujet du message: |
|
Inscrit le: 07 Jan 2008 Messages: 1422 Localisation: Dans sa forêt à chercher une proie pour assouvir sa soif ^,..,^ |
Pas mal comme premier chapitre !
Tu décrit assez bien les scénes, ce que je recherche particulièrement dans une fic.
Tu applique les déjection des lecteurs de ta fic, ce qui est très bien.
Pour le père, là dans ce chapitre je dirais que c'est Odd.
C'est bien sa façon à lui de faire je trouve ^^
Chapitre assez court ... dommage.
A quand le prochain ? =) |
Revenir en haut de page |
|
|
Kerian |
Posté le: Dim 19 Avr 2009 23:25 Sujet du message: |
|
Déchiqueteur de Fics
Inscrit le: 01 Aoû 2008 Messages: 1700
|
Citation: | Tu applique les déjection des lecteurs de ta fic, ce qui est très bien. |
? "déjection" ?
C'est bizarre comme terme...
Je suppose que tu as voulu dire "conseils"...
Bref, pour ce chapitre, rien à dire si ce n'est qu'il nous tarde que l'identité du père de la petite Tamara nous soit dévoilée...
Bon courage pour la suite ! _________________
"La sévérité prévient plus de fautes qu'elle n'en réprime." - Napoléon Bonaparte
"L’élévation d’un homme au-dessus des autres ne se justifie que s’il apporte à la tâche commune l’impulsion et la garantie du caractère." - Charles de Gaulle |
Revenir en haut de page |
|
|
Kay |
Posté le: Ven 24 Avr 2009 19:32 Sujet du message: |
|
Jewel Thief
Inscrit le: 27 Juin 2008 Messages: 312 Localisation: Cherche encore =) |
Hey everyone !!!
Merci pour vos commentaires, ça fait très plaisir...J'ai déjà 5 chapitres dans l'ordi et je suis prise d'une folie d'écriture...
Zéro-sama => J'ai rêvé, où tu as dit qu'il n'y avait "rien à dire" ? MDR...Cherche un peu tu vas trouver...En tous cas, ça fait plaisir...
Vampyress => Les deux prochains chapitres risquent d'être encore courts (j'en avais parlé dans mon post d'intro) mais les suivants devraient être plus longs...
Assez de blabla ! Voici :
CHAPITRE 2 FELICE
« - C’est entendu ? Je viendrai la reprendre vers 16h ?, demanda Aelita.
- Tout à fait !, répliqua une voix féminine.
- Amusez-vous bien !, souhaita la jeune femme. »
Tamara avait été invitée toute l’après-midi chez une amie pour un anniversaire. L’habiller s’était révélé une tâche ardue. Elle ne pouvait pas tenir en place, demandant sans cesse quand est-ce qu’on partait, pourquoi elle ne pouvait pas y aller comme ça…Kelly était la meilleure amie de sa fille depuis la maternelle, Tamara avait donc été l’une des premières invitées. Aelita avait toute la seconde partie de la journée rien que pour elle.
Son mobile se manifesta. Elle décrocha :
« - C’est moi !, annonça une voix masculine.
- Que se passe-t-il ?
- Rien, je voulais juste te dire que je t’aime. Je te laisse, j’ai réunion dans deux minutes.
- Moi aussi, je t’aime. Travaille bien mais ne t’épuise pas !
- Pas de souci ! A ce soir ! »
Il avait raccroché. J’ai beaucoup de chance, songeait Aelita, combien de femmes peuvent se vanter de recevoir un appel juste pour dire « je t’aime ». Peu sans doute.
Elle récupéra dans le courrier et le posa sur la grande table en bois foncé. Le manteau suspendu, le sac à main rangé, elle ouvrit toutes les lettres. Facture, facture, facture…Pub, pub…Un coin rose pâle dépassait de sous la pile. Aelita saisit l’enveloppe. Des fleurs, des cœurs et en lettres dorées cerclées de blanc «Vous êtes invités à un mariage ». La jeune femme l’ouvrit. Un carton crème aux bordures d’or. Une photo en forme de cœur montrait les visages de Yumi et William près l’un de l’autre. Une invitation était tracée d’une écriture stylisée
« Yumi Ishiyama et William Dunbar se marient. Rejoignez-les le 15 juin pour une grande fête. » Quelques mots étaient ajoutés à la main, sans doute de Yumi :
« Amène ton mari et ta fille. Il me tarde de les voir, surtout Tamara. Bisous »
Aelita se sentit heureuse pour Yumi. Un mariage était une grande cérémonie, même si pour le sien, aucun de ses anciens amis n’avait pu être présent. La jeune femme imaginait facilement Yumi en grande robe, dans une salle de bal à la japonaise. Pourtant quelque chose ne collait pas. Pourquoi William ?
Qu’étaient devenus les deux amoureux du collège, trop timides pour s’avouer quoi que ce soit ? Tout le monde savait qu’ils finiraient ensemble un jour où l’autre. Elle avait rejeté William pourtant… Je me trompe sans doute, songea-t-elle. Je dois ignorer quelques cartes. Si elle est heureuse comme ça...
Elle posa l’invitation bien en vue sur le meuble, s’installa dans un fauteuil et continua sa lecture…
« Mardi. Soir. Dans mon lit.
Je n’ai pas pu. J’ai voté contre l’extinction du supercalculateur. Je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas tuer les seuls souvenirs de Papa. Yumi nous en a voulu à tous. A dire vrai, tout le monde a voté contre. Elle non plus semblait ne pas comprendre, mais plutôt que nous pouvions envisager de laisser cette machine allumée. Elle ne sait pas ce que c’est, elle n’est pas orpheline, elle ! Elle n’a pas passé dix ans de sa vie sous forme numérique ! Elle a un petit frère qui l’aime, des parents adorables ! Tout va bien ! C’est facile, ce ne sont pas ses souvenirs, dans cette machine !…Je m’emporte contre elle alors qu’elle n’y est pour rien. Je ne sais plus où j’en suis. Je ne vois plus de raison d’avancer. Même avec Jérémie, je ne peux rien faire. Je n’ose rien lui dire… »
Aelita sourit à la lecture de ces mots. Les amourettes d’adolescence étaient bien compliquées...
« Mercredi. Soir.
C’est fait. J’ai encore du mal à la croire. C’est fini. Pour toujours. Lyoko est éteint, Papa n’existe plus. J’ai un vide immense à la place du cœur. Je n’ai envie de rien… Odd était content, je lui ai laissé ma part de gâteau au dîner. Toujours est-il que je n’ai rien pu avaler…Je me sens faible. J’ai seulement envie de dormir et de ne plus jamais me réveiller. Lyoko c’était tout ce qu’il restait de mon ancienne vie. Et c’est fini. Vraiment fini. Comme si tout mon passé n’avait jamais existé, ou qu’on l’avait effacé d’un trait de gomme. Je ne peux pas le croire.
J’ai fait semblant de sourire tout à l’heure, pendant que Jérémie éteignait l'ordinateur. Je sais que c’était la meilleure des choses à faire. Comme on dit, le cœur a ses raisons et la Raison a les siennes, ou quelque chose dans ce genre. Il le fallait mais... j’aimerais tellement revenir en arrière et l’en empêcher. Je pourrais le rallumer moi-même...Non, Aelita, il ne faut pas. XANA est détruit mais ce n’est sans doute pas définitif. Dans le doute, je ne dois pas.»
Aelita posa le journal sur ses genoux. Cette scène resterait gravée dans sa mémoire. Les cinq amis autour du supercalculateur. La mannette à sa place, la machine s’était cachée dans le sol, en ronronnant. Puis tout s’était fermé. Une grande pièce vide, qui résonnait du bruit de leurs pas. Elle reprit sa lecture :
« Mardi.
Cher journal. Je suis impardonnable, je t’ai laissé seul pendant presque une semaine. Je n’ai envie de rien et surtout pas d’écrire. Je me contente de faire ce qu’il faut. Je suis les cours mais je m’ennuie. Toute la bande semble figée dans une sorte de torpeur, moi la première. Le soir, je m’écroule, je dors. Le lendemain, je me lève, je vais en cours, je mange, je retourne en cours, je fais mes devoirs, je mange, je dors. Cette routine me colle à la peau. Je n’ai pas le courage de m’en libérer. »
Suivaient trois pages blanches, juste une salamandre au crayon sur chaque coin. Le papier semblait étonnamment lisse. Le téléphone coupa Aelita de sa rêverie. Elle décrocha :
« - Hey ! C’est moi !, commença une voix masculine. Comment ça va, depuis le temps que je n’ai pas eu de nouvelles !"
Le téléphone lui échappa des mains. Il y avait bien longtemps en effet.
« - Bon, je ne suis pas tout à fait honnête…Si je t’appelle maintenant, c’est que j’ai besoin d’aide.. »
----------------------------------------
Voili, voilou !!!!! William et Yumi fiancés...surpris ? J'ai imaginé un mariage trop drôle...Après, je suis loin d'être une as du suspense...pas trop dur de deviner qui est au téléphone...Merci d'avoir lu en tous cas...J'attends vos conseils...
PS : j'ai oublié ... "Felice" (prononcer félitché), c'est de l'italien. ça signifie bonheur, joie...Assez approprié pour le mariage de Yumi, j'ai trouvé...N'hésitez pas à donner votre avis...
Dernière édition par Kay le Dim 17 Mai 2009 19:24; édité 2 fois |
Revenir en haut de page |
|
|
Kerian |
Posté le: Ven 24 Avr 2009 20:34 Sujet du message: |
|
Déchiqueteur de Fics
Inscrit le: 01 Aoû 2008 Messages: 1700
|
Hmmm, pour le coup de téléphone, je pense ne pas me tromper en disant que c'est Odd...
Par contre, je suis sceptique quand au mari d'Aelita... j'aurai pensé à Jérémie, mais la phrase de Yumi sur le faire part : "amène ton mari et ta fille. Il me tarde de les rencontrer" me laisse un doute.
Apparement, si Yumi est au courant qu'Aelita est fiancée (ou marié, mais j'en doute sinon elle aurait invité Yumi à son mariage et celle-ci connaîtrait déjà l'identité de son mari... donc elle n'aurait pas demandé ça...), c'est qu'Aelita lui en a parlé... donc dans ce cas, si c'était Jérémie, la demande de Yumi n'aurait eu aucun sens, vu qu'Aelita lui aurait tout révélé...
Une erreur de ta part, ou un mystérieux personnage qui a volé le coeur de notre Ange ?
Enfin, je suis surpris pour le mariage entre Yumi et William... comment ce crétin fini macho et traître a-t-il pu conquérir le coeur de la belle Japonaise ?
... On verra, tout sera révélé par la suite...
Allez bon courage ! _________________
"La sévérité prévient plus de fautes qu'elle n'en réprime." - Napoléon Bonaparte
"L’élévation d’un homme au-dessus des autres ne se justifie que s’il apporte à la tâche commune l’impulsion et la garantie du caractère." - Charles de Gaulle |
Revenir en haut de page |
|
|
Kay |
Posté le: Sam 25 Avr 2009 20:27 Sujet du message: |
|
Jewel Thief
Inscrit le: 27 Juin 2008 Messages: 312 Localisation: Cherche encore =) |
Hey everyone !!!!
Voici le chapitre 3 ! Merci Zéro-sama pour ton commentaire... Au passage, j'ai fait une boulette...Je modifie cette phrase tout de suite...Non, je n'ai pas inventé un personnage sorti du chapeau qui aurait ensorcelé Aelita...Et tu as perdu, ce n'est pas Odd...Pour le mariage Yumi-William, j'étais trop fière de moi...
Assez de blabla, voici :
CHAPITRE 3 : HESITATION
Ulrich…Ulrich Stern…Après tant de temps…Lui qui n’avait pas répondu au faire-part de mariage, ni à celui de la naissance de Tamara. Ulrich…Evaporé pendant des années, invisible, introuvable. Elle avait pourtant essayé de garder le contact, mais il faut être deux pour qu’une relation puisse vivre. Il lui était impossible de tout faire seule. Que lui voulait-il après toutes ces années ?
« - Aelita, commença-t-il. J’ai un problème… Tu as reçu le faire-part de mariage de Yumi ?
- Non, mentit-elle.
- Elle se marie avec William.
- …
- Elle fait fausse route…Enfin, tu nous connais, tu nous as vus au collège. On était…
- Je ne peux rien pour toi…, le coupa-t-elle avec douceur. Si elle se marie, ils doivent être ensemble depuis quelques temps déjà, et cela doit lui convenir…
- Mais…c’est WILLIAM ! ! ! Le frimeur, le dragueur à deux euros…Elle ne peut pas se marier avec lui, c’est impossible…
- La preuve que si., répliqua la jeune femme. Tu n’as pas remarqué que tu arrives légèrement trop tard ? Il fallait y penser avant…
- Aelita…, appela-t-il, la voix brusquement faible et plaintive. Aide-moi…Je ne peux pas vivre sans elle…
- Tu devras faire avec, répliqua-t-elle. A moins que tu n’arrives à lui faire rompre ses fiançailles à deux mois de ses noces. Réfléchis, Ulrich…
- Tu ne veux pas m’aider ?
- Mais pour faire quoi ?, s’énerva la jeune femme. Si c’est son choix…
- C’est bon, j’ai compris… »
Il lui avait raccroché au nez. Un bip régulier résonnait au creux de son oreille. Il a vraiment le don pour se réveiller trop tard, songea-t-elle. Si Yumi se marie avec William ; elle doit être heureuse comme ça.
La jeune femme posa l’invitation à plat sur sa paume. Leurs deux visages, l’un près de l’autre, respiraient le bonheur. Il avait dû se passer quelque chose. Elle aurait peut-être l’occasion de parler à Yumi après ses noces. Elle déposa le faire-part sur le buffet, s’allongea sur le canapé et reprit sa lecture.
« Dimanche ou Lundi. Au milieu de la nuit.
Papa me manque. Il est mort sans que je sache ce qui est arrivé à Maman. Il y a tant de choses que j’ai oublié de lui dire. Et je ne pourrais plus jamais…A moins que… Non, il ne faut pas, Aelita, c’est dangereux…Mais je me sens tellement mal, ici. Je voudrais rentrer à la maison… »
La jeune femme ne se rappelait que trop bien de cette période. Elle avait hésité plusieurs fois… Avant de céder…
« Lundi. Soir.
J’en ai parlé à Jérémie. Il m’a demandé si j’étais folle…comme prévu. J’aimerais tellement qu’il me virtualise et qu’il éteigne la machine après. Je dormirai pour le reste de ma vie… Je n’ai pas réussi à le convaincre. J’ai pourtant essayé… Je ne sais plus ce que je veux, je ne sais plus où je suis. »
« Lundi. Soir. Encore plus tard
Je suis mieux ici qu’au collège. Même si ce lit tombe en lambeaux, tout comme le reste de la maison, je suis chez moi. Moins bien que sur Lyoko, mais bon…J’ai tellement froid. Je sens gelée, de l’intérieur… Je ne ressens plus rien, je ne fais que souffrir. Depuis combien de temps le supercalculateur est-il éteint ? Une semaine ? Ou deux ? Ou trois ? Je ne sais plus…Je voudrais juste... »
La seconde moitié de la page était vierge. Elle s’était sans doute endormie en écrivant.
Aelita se leva. La tête lui tourna. Rester allongée toute l’après-midi n’était sans doute pas ce qu’il y avait de mieux à faire. Tous ces souvenirs enfouis dans l’abîme de sa mémoire. Elle avait oublié ce soir à l’Ermitage mais ne se rappelait que trop bien ce qui avait suivi ensuite.
Il lui fallait d’abord rédiger une réponse au faire-part de mariage. Elle savait par expérience combien il était décevant de voir que les gens vous avaient oublié…Surtout lorsqu’ils ne se souvenaient de vous seulement en cas de besoin…
Elle posa une tasse de thé fumant sur la table et s’installa, un crayon coincé derrière l’oreille à l’aide d’une mèche de cheveux roses. Ses grands yeux verts contemplaient le papier crème, comme si les mots allaient s’inscrire d’eux mêmes. Que pouvait-elle bien écrire ? Elle n’avait pas vu son amie depuis tant d’années. Sans compter le mariage avec William, incompréhensible. Son esprit restait obstinément vide.
Un papillon se posa sur le coin de la table, multicolore. Un courant d’air fit frissonner la jeune femme. La grande baie vitrée était ouverte. Aelita se leva et observa son immense jardin. Jamais je n’aurais pu obtenir cela toute seule, songea-t-elle. Surtout au vu du chemin qu’avait pris ma vie. J’ai quand même une chance inespérée.
La lourde pendule de bois du salon sonna. 15h30. Je devrais aller chercher Tamara, songea-t-elle. La jeune femme rangea soigneusement le cahier dans son sac à main, prit son manteau ainsi que ses clés et se mit en route.
---------------------
Voili, voilou !!!! Chapitre de transition mais si vous faites attention, certains éléments vous donneront une idée de la suite...Pas le nom du mari d'Aelita, je suis une sadique...mdr...Merci d'avoir lu en tous cas...J'attends vos conseils..
PS : Désolée pour le titre j'ai pas trouvé mieux... _________________ Toute barrière se franchit, il suffit juste de trouver comment sauter...
Ma FanFic : Cher journal
Le pack est une créa perso ! Venez donner vos conseils et avis sur Ma galerie
Mon pseudo se prononce "Kèï"...mais s'écrit "Kay"
Dernière édition par Kay le Dim 17 Mai 2009 19:27; édité 1 fois |
Revenir en haut de page |
|
|
Kerian |
Posté le: Dim 26 Avr 2009 12:13 Sujet du message: |
|
Déchiqueteur de Fics
Inscrit le: 01 Aoû 2008 Messages: 1700
|
.... Flûte me suis trompé... c'était Ulrich qui appelait...
J'aurais préféré que ce soit Odd, comme ça j'aurais été sûr que tu n'allais pas nous faire une fic sur une relation Odd/Aelita... à mon grand désespoir.
Bref, le mystère reste entier...
Quand connaitrons nous enfin le nom du mari d'Aelita ? _________________
"La sévérité prévient plus de fautes qu'elle n'en réprime." - Napoléon Bonaparte
"L’élévation d’un homme au-dessus des autres ne se justifie que s’il apporte à la tâche commune l’impulsion et la garantie du caractère." - Charles de Gaulle |
Revenir en haut de page |
|
|
Shadow's squill |
Posté le: Jeu 30 Avr 2009 21:43 Sujet du message: |
|
Inscrit le: 22 Jan 2009 Messages: 705 Localisation: Dans mon imagination |
Cette fic me fait penser à celle d'Elya_san, Little Flower mais rassure toi, ce n'est pas exactement la même chose. ^^
Je suis surprise que Yumi se soit mariée avec William Il est sexy mais bon... *sooort*
Ulrich se réveille trop tard comme d'habitude. ^^
Bref, le caractère des personnages est respecté (bien que je doute vraiment que Yumi se marie un jour avec William. )
Nous reste à savoir qui est le père de Tamara. ^^
Sadique? Nan, attends de voir...
A+ _________________
|
Revenir en haut de page |
|
|
Aquatikelfik |
Posté le: Jeu 30 Avr 2009 23:26 Sujet du message: |
|
Inscrit le: 13 Juil 2007 Messages: 1660 Localisation: Orléans |
Ahh ! Voilà une bonne fic' comme je les aime !
Non pas qu'il n'y en a pas d'autres de bonnes, mais je les prends souvent trop tard quand il y a plusieurs pages dans le sujet et que j'ai le flemme de lire...
Bref, j'ai commencé ta fic pendant les vacances (j'aime bien les pages dispo hors connexion), et continué ce soir.
Et j'dois dire que j'adore.
J'adore ce genre de fic où le caractère des personnages et l'empreinte de la série est parfaitement respectée.
Les deux histoires parallèles sont bien intégrés l'une à l'autre, l'avancée d'Aelita dans le passé, et les vies du groupe dans le futur.
Yumi avec William ? Comment cet espèce de... >< (j'aime pas les rebelles de ce genre), comment il a pu ?
'm'enfin... Ce Ulrich est tellement borné... Ça m'étonne pas qu'il soit passé à coté et aie réagi comme ça. :/
J'pense quand même que c'est Jérémie le mari secret, les paroles qu'on a entendu de lui ne laissent pas penser à Odd.
P'tit reproche sur le récit du passé d'Aelita, même si c'est son caractère, je trouve que c'est pas son style de paroles. Bon, après, j'ai jamais écrit ni lu de journal intime donc je sais pas quel est le style habituel de ces choses.
Ce que j'aime aussi c'est (contrairement à certains) la longueur des chapitres. Ni trop courts, ni trop longs. Trop courts, on apprends rien, trop long, je me perds et je termine pas. C'est bien !
Le point critique du râleur habituel : Le format des parties dialogués. Les guillemets sont utiles uniquement au début et à la fin de la partie si tu tiens vraiment à les garder. 'm'enfin, si tu laisse ainsi, c'est pas grave, c'est bien présenté, et propre.
En tout cas, c'est vraiment bien ! Continue ! _________________
|
Revenir en haut de page |
|
|
Kay |
Posté le: Ven 01 Mai 2009 10:20 Sujet du message: |
|
Jewel Thief
Inscrit le: 27 Juin 2008 Messages: 312 Localisation: Cherche encore =) |
Hello tout le monde !!!
*tombe en syncope* Deux déchiqueteurs de Fanfics qui laissent la mienne indemne (enfin presque )...Trop contente...
Merci pour vos commentaires, en espérant que cette suite vous plaira, je me suis éclatée à l'écrire...Voici :
CHAPITRE 4 : DIS MAMAN…
Le périphérique était encombré, comme tous les jours. Tamara était étrangement silencieuse. Elle contemplait les files ininterrompues de voitures. Rouges, vertes, noires, bleues, grises, blanches… Toujours les mêmes…
"- Tamara ?"
Un grognement lui répondit…
"- Qu’y a-t-il ma puce ? L’anniversaire de Kelly s’est mal passé ?"
Silence.
« - Si quelque chose te tracasse, tu peux me le dire. Je suis là pour ça… »
Nouveau silence. La voiture était maintenant prise dans un véritable embouteillage, le pare-brise contre un pot d’échappement. La jeune femme se retourna vers sa fille. Tête baissée, les lèvres serrées, elle luttait pour ne pas pleurer.
« - Que se passe-t-il ma puce ? »
La petite fille leva ses grands yeux verts. Une larme coula le long de sa joue.
« - Kelly m’a dit que…que…qu’elle était plus ma copine… »
La jeune femme retint difficilement un soupir de soulagement. C’était bien un drame, mais celui d’une petite fille de quatre ans…
« - Pourquoi t’a-t-elle dit ça ? Ce n’est pas vraiment gentil.
- J’ai refusé de lui donner le bonbon que j’avais dans la main. Il y en avait plein d’autres dans le saladier mais elle voulait absolument celui-là, parce qu’il était bleu et qu’il n’y en avait pas d’autres. Mai c’est pas vrai, j’en ai vu. J’ai dit non, elle a insisté… »
Elle s’arrêta quelques secondes, revivant la scène
« - Elle m’a répondu : « Puisque tu veux pas me le donner, t’es plus ma copine ! Je veux que tu t’en ailles maintenant. T’es plus invitée à ma fête… » J’ai pleuré, je suis allée voir Myriam, qui m’a dit que c’était pas grave, que je pouvais continuer à m’amuser. Mais Kelly m’a dit des méchancetés toute l’après-midi…Je voulais que tu viennes me chercher…mais j’ai pas osé demander à ce qu’elle t’appelle… »
Deux grosses larmes roulèrent sur ses joues. Aelita les essuya du bout de son doigt.
« - Je suis sûre que ce n’est rien ma puce. Demain, vous serez réconciliées. Elle était peut être en colère parce qu’un des ses cadeaux ne lui plaisait pas…Ce n’est rien.
- Tu crois ?, demanda la petite fille, la voix emplie d’une confiance absolue.
- J’en suis certaine. »
Elle lui sourit. Tamara leva de nouveau les yeux vers elle, elle ne pleurait presque plus. Heureusement, les drames des enfants sont moins graves que ceux des adultes, songea Aelita.
« - On appellera Kelly demain pour savoir ce qu’il s’est passé. Je suis sûre que ce ne sera rien. Fais-moi un sourire. »
Tamara esquissa une grimace…elles éclatèrent toutes les deux de rire…
Un klaxon impatient les interrompit. L’embouteillage se résorbait doucement. La jeune femme emprunta la sortie trente-cinq. Tamara regardait les voitures. Elles roulaient vite maintenant. On distinguait seulement leurs couleurs.
Tandis qu’elles filaient à toute allure vers la maison…
« - Dis, Maman… Comment vous vous êtes rencontrés avec Papa ? »
C’était son histoire préférée. Elle avait beau la connaître par cœur, elle voulait toujours l’entendre de nouveau. Un plaisir qu’Aelita lui refusait rarement…
« - Nous étions une bande de cinq amis : Yumi, Ulrich, Odd, Jérémie et moi. On était des enfants spéciaux, on avait une mission à accomplir, dans le plus grand secret. On sauvait la Terre d’un super virus qui voulait détruire l’humanité. Un jour, ce virus s’en est pris à maman, il l’a enfermé dans un ordinateur. Puis, Papa est arrivé et m’a sauvé. Il m’a ramené sur Terre. Je lui dois la vie, j’en suis tombée amoureuse peu après. Ton père dit toujours qu’il m’a aimée dès le premier regard, lorsque j’étais une image parlante sur un écran. »
Les yeux fermés, Tamara écoutait. Si tu savais, songeait Aelita. Tout ce que je raconte est vrai, mais on dirait un roman. Tu crois que j’enjolive la réalité alors que je n’invente rien. Peut-être qu’un jour je trouverai le courage de t’expliquer…
« - J’ai commencé à vivre normalement. On a éteint le méchant ordinateur. Mais je n’arrivais pas à comprendre ce que je ressentais pour ton père. On est resté quelques temps à se tourner autour, à rougir et bafouiller souvent. A vrai dire, je me sentais un peu perdue, et lui était très timide.
Quand Odd m’a proposé d’aller au cinéma, j’ai dit oui. Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il voulait dire, puisque nous allions déjà voir des films avec toute la bande. Quand nous nous sommes retrouvés tous les deux dans la salle, j’ai compris que je préférais ton père. Même si Odd est resté mon meilleur ami pendant longtemps.
Je me suis alors retrouvée dans une situation difficile. Je ne pouvais rien dire à mon amoureux et un autre garçon me faisait les yeux doux. Mais j’ai résisté. »
Certains détails avaient été supprimés dans ce récit, comme le fait qu’elle ait cédé à cet autre garçon avant de se rétracter. Pour une enfant, il valait mieux taire cette partie de l’histoire.
« - En troisième, ton père m’a invité au bal de fin d’année. J’ai accepté. Il était vraiment très beau ce soir-là. J’ai décidé à ce moment-là que je ne le quitterais plus jamais. »
Ce n’était pas tout à fait vrai non plus… Il leur avait fallu du temps pour devenir un vrai couple. Le chemin avait été parsemé d’embûches.
« - Quand j’ai eu fini mes études, nous nous sommes installés ici. Il est devenu mon mari et quelques mois plus tard, tu es arrivée… »
Tamara n’écoutait plus. Sa tête suivait doucement le roulis de la voiture. La jeune femme sourit. L’après-midi avait dû être riche en émotion…
Il était plus de 20h. Il aurait déjà du rentrer depuis longtemps. Et toujours la messagerie au bout des cinq sonneries. Aelita commençait à s'inquiéter.
Tamara souriait, buvant sa soupe à grandes cuillérées. Elle ne semblait pas se rendre compte de l’état de sa mère. Elle repoussa son assiette et laissa échapper un bâillement. Aelita la porta jusqu’à son lit, la borda, déposa un baiser sur son front, et s’en retourna au salon, soucieuse.
Le téléphone sonna. La jeune femme décrocha :
« - Allô ?
- Mme Aelita ?, s’enquit une voix masculine inconnue.
- Oui…
- Hôpital Rangueuil. Connaissez-vous un certain Jérémie Belpois ? Nous avons trouvé votre numéro dans son téléphone.
- Bien sûr, c’est mon mari.
- Venez à l’hôpital le plus vite possible. Il a eu un grave accident.
- J’…Je fais au plus vite ! »
Ses oreilles bourdonnaient, sa vue était trouble. Tous ses sens étaient engourdis…Il fallait réagir vite…et s’occuper de Tamara…
Un accident ! Impossible ! Jérémie était bien trop prudent…Quelque chose ne collait pas. Dans un épais brouillard, la jeune femme composa un numéro.
« - Olivia ? C’est Aelita. Viens chez moi le plus vite possible, je laisse ouvert. Tu dois t’occuper de Tamara. Jérémie a eu un accident, je fonce à l’hôpital. »
Elle raccrocha aussitôt, saisit son sac et ses clés au vol et prit la voiture. Elle écrasa la pédale de l’accélérateur. Il suffisait d’une seconde pour faire basculer une vie entière…
----------------------------------------
Voili voilou ! Le mari, c'est Jérémie...A peine dévoilé, il risque de disparaitre...ah ah ah ah (là c'était sensé être un rire maléfique, mais bon... )...Je n'ai pas oublié les fans du couple Aelita/Odd...vous verrez ce que je veux dire au chapitre prochain (je sais, je suis méchante )...En attendant, merci d'avoir lu...
A vos avis !!!
EDIT : Faute corrigée...Bouh, la honte !
EDIT 2 : Nom de l'hôpital modifié... _________________ Toute barrière se franchit, il suffit juste de trouver comment sauter...
Ma FanFic : Cher journal
Le pack est une créa perso ! Venez donner vos conseils et avis sur Ma galerie
Mon pseudo se prononce "Kèï"...mais s'écrit "Kay"
Dernière édition par Kay le Dim 17 Mai 2009 19:29; édité 2 fois |
Revenir en haut de page |
|
|
|
|
|
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum |
|
|
|
Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
|
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum
|
Powered by phpBB Lyoko Edition © 2001, 2007 phpBB Group & CodeLyoko.Fr Coding Dream Team - Traduction par : phpBB-fr.com nauticalArea theme by Arnold & CyberjujuM Page générée en : 0.0537s (PHP: 56% - SQL: 44%) - Requêtes SQL effectuées : 18
|
|