CodeLyoko.Fr
 
 Dernières news  
[Créations] 10 millions ! (et compagnie...)
[IFSCL] L'IFSCL 4.6.X est jouable !
[Code Lyoko] Un « nouveau » monde sans...
[Code Lyoko] Le retour de Code Lyoko ?
[Code Lyoko] Les 20 ans de Code Lyoko...
[Code Lyoko] Les fans projets explosent !
[IFSCL] IFSCL 4.5.X: Bande annonce et re...
[Site] Sophie Decroisette & Jérôme Mous...
[Créations] Notre sainte Trinité a du talent...
[Site] Les trouvailles du Père Dudu - E...
 
 Derniers topics  
[Fanfic] Le Labyrinthe du temps
[Tuto] Utiliser la colorimétrie
Les Lyokofans parlent aux Lyokofans
[VN] Travail d'équipe v1.0 - Sortie !
[Fan-fiction] MIST & CODE LYOKO : les...
Que pensez vous des attaques de XANA ?
Beaucoup de culottes...
Parlons jeux vidéo !
Nouveaux Membres : Présentez-vous !!!
La place des personnages féminins dan...
 
     
 Accueil | Règles du forum News | FAQ | Rechercher | Liste des Membres | Groupes d'utilisateurs | T'chat | Retour au site 
  Bienvenue, Invité ! (Connexion | S'enregistrer)
  Nom d'utilisateur:   Mot de passe:   
 

[Fanfic] Le Labyrinthe du temps

Forum Code Lyoko | CodeLyoko.Fr Index du Forum -> Vos Créations -> Fanfictions Code Lyoko


Page 1 sur 1







Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet


Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant 
 Auteur Message
Theoph69 MessagePosté le: Dim 19 Mai 2024 15:46   Sujet du message: [Fanfic] Le Labyrinthe du temps Répondre en citant  
[Blok]


Inscrit le: 20 Avr 2016
Messages: 143
Chers lecteurs,

Ce prologue marque le début d'une ambitieuse aventure, tant pour nos héros que pour moi en tant qu'auteur. Ces dernières années, j'ai exploré l'écriture pendant mon temps libre, et aujourd'hui, je franchis le pas en publiant cette fanfiction Code Lyoko.

J'espère sincèrement que cette aventure vous plaira autant qu'à moi.

Theoph.

https://i.ibb.co/Tw4XXJR/Frame-2791.png

https://i.ibb.co/cL9BRqj/Frame-2811.png



L'usine désaffectée se dresse, imposante et mystérieuse, au bord de la ville. Ses structures métalliques rouillées et ses murs décrépits témoignent d'un passé industriel révolu. Le vent s'engouffre dans les ouvertures béantes, produisant des sifflements sinistres. À l'intérieur, des machines abandonnées et des câbles emmêlés créent un labyrinthe inquiétant. C'est ici, dans ce lieu déserté par le temps et les hommes, qu'un homme a trouvé refuge.

Dans une salle obscure, éclairée par la lumière vacillante des écrans d'ordinateur, l'homme s'active. Ses traits marqués par la fatigue et le stress, il jongle entre des plans complexes et des lignes de code défilant à toute vitesse sur les moniteurs. Sa concentration est intense, chaque mouvement précis et calculé, comme s'il savait que le temps lui était compté. Une urgence palpable émane de lui, ses yeux scrutant fréquemment l'obscurité au-delà des écrans, guettant une menace invisible.
Dans une salle métallique, entièrement fabriquée par ses soins, l'homme s'apprête à enregistrer son journal. La pièce est dominée par le pupitre de ce qui semble être un superordinateur, un chef-d'œuvre technologique.
L'homme ajuste une caméra posée précautionneusement sur l'un des nombreux écrans lui faisant face. Il prend une profonde inspiration, son regard parcourant la pièce. Les murs métalliques, froids et austères, sont recouverts de schémas complexes et de notes manuscrites. Les écrans clignotent, affichant des lignes de code et des simulations.

Une lueur de détermination traverse son regard. Il doit documenter chaque étape, laisser une trace de ses efforts et de ses découvertes. Après un instant d'hésitation, il appuie sur le bouton d'enregistrement. La caméra émet un léger bip, signalant le début de la capture vidéo. L'homme redresse les épaules, tente de calmer sa respiration, et commence à parler. Sa voix résonne dans la salle, grave et chargée de tension.
— « 6 juin 1994, jour 1286, » déclara-t-il d'une voix chargée d'une gravité solennelle. Il marque une pause, fixant la caméra avec une intensité qui trahit l'urgence de sa situation.

Il poursuit, son ton empreint de détermination : « J'ai tenté de détruire le supercalculateur et d'effacer toutes traces de mes activités. Mais c'est trop tard, mes ennemis sont trop proches. Je dois fuir et protéger Aelita, c'est ma seule priorité. »

Ses yeux se dirigent un instant vers un coin sombre de la pièce, comme s'il espérait y voir un signe rassurant. Reprenant, sa voix plus ferme : « J'ai décidé d'abandonner le développement de XANA et de consacrer toute mon énergie au programme de virtualisation et à la construction des scanners. Il n'y a que sur Lyoko que nous pourrons être en sécurité. »
La caméra enregistre chaque mot, chaque expression, capturant la détermination farouche et l'épuisement palpable dans ses yeux. L'homme reste silencieux un instant, son regard perdu dans ses pensées, avant de tendre la main pour arrêter l'enregistrement.

https://i.ibb.co/qx9r8y9/Frame-2821.png


Dans la salle métallique, l'homme se tient de nouveau devant la caméra. Cette fois, une jeune fille lui tient compagnie. Le supercalculateur trône au centre de la pièce, éclairant faiblement leurs visages. Le siège sur rail, évolué et fonctionnel, est un témoin silencieux de leurs espoirs et de leurs peurs.

L'homme ajuste la caméra, veillant à ce que la jeune fille, aux cheveux d'un rose atypique, soit bien visible à ses côtés. Elle est très jeune, son visage marqué par l'inquiétude et la confusion face à la situation dans laquelle ils se trouvent. Malgré tout, une lueur de confiance brille dans ses yeux.

« 6 juin 1994, jour 1566, » déclare-t-il d'une voix empreinte d'une gravité solennelle, ses yeux fixant la caméra avec une détermination farouche. La jeune fille se tient à ses côtés, son regard cherchant le réconfort dans celui de l'homme.

« Ils m'ont trouvé. L'Hermitage n'est plus sûre. Désormais, Aelita et moi devons vivre dans l'usine. C'est le seul endroit qui échappe encore à la surveillance de Carthage, » poursuit-il, son regard se posant sur la jeune fille, qui lui rend un regard empreint de confiance et de résilience. Ils sont seuls, mais ensemble, prêts à affronter les défis qui se dressent devant eux. Ils ont fui dans la précipitation, ne prenant que le minimum, laissant derrière eux leur ancienne vie et leurs souvenirs.

« Mais ce n'est qu'une question de temps. Le développement de Lyoko est presque terminé, et le premier prototype des scanners est opérationnel, » ajoute-t-il, marquant une pause, son regard parcourant la pièce comme s'il voyait déjà le futur qu'ils ont construit de leurs propres mains.

« Une fois le programme de virtualisation achevé, elle et moi pourrons vivre en sécurité sur Lyoko, pour toujours, » conclut-il, sa voix tremblante légèrement, trahissant l'émotion qui le submerge. Il se tourne vers la jeune fille, lui offrant un sourire courageux, un geste de réconfort dans ce monde en constante évolution.

https://i.ibb.co/qx9r8y9/Frame-2821.png


Dans la semi-obscurité de la pièce austère, l'homme se tient seul devant la caméra, son visage tendu par le stress et l'urgence. Autour de lui, le silence oppressant est brisé par le faible bourdonnement des machines, leurs lumières intermittentes jetant des ombres dansantes sur les murs nus.
« 6 juin 1994, jour 1612, » déclare-t-il d'une voix hachée, ses mots précipités alors qu'il fait face à l'imminence du danger. Il ne prend pas la peine de regarder la caméra, ses yeux fixant un point invisible dans le vide.

« Dernière communication. C'est trop tard. Dans quelques jours, Carthage m'aura localisé, » continue-t-il, son ton empreint de désespoir, le poids de la défaite pesant lourdement sur ses épaules. Il sait que le temps lui est compté, que chaque seconde qui s'écoule le rapproche un peu plus de son destin inévitable.

« Le programme de virtualisation est incomplet et ne permet pas encore le transfert des adultes sur Lyoko, » ajoute-t-il après une pause, une lueur d'angoisse traversant son regard. Il aurait voulu être capable de protéger plus que ce qu'il a réussi à accomplir. Mais il sait que ses efforts sont limités, que certaines batailles sont perdues d'avance.

« J'ai virtualisé Aelita et je vais éteindre le supercalculateur. Au moins, elle sera en sécurité sur Lyoko, » conclut-il avec un soupir de soulagement mêlé à une pointe d'amertume. Il aurait voulu pouvoir l'accompagner, mais il sait que son propre sacrifice est nécessaire pour assurer sa survie.

« Je vais cacher ce journal et tenter de faire diversion pour éloigner Carthage de la piste de l'usine. Que cette chronique soit le témoignage de notre combat, de nos erreurs et de nos triomphes. Que ceux qui viendront après nous trouvent dans ces lignes la force et le courage de poursuivre le combat contre les ténèbres. Que notre histoire ne soit pas oubliée, mais transmise comme un héritage précieux, une lumière dans l'obscurité. »
Sa voix se perd dans l'obscurité de la pièce, un murmure désespéré dans la nuit. Il sait que c'est la seule chance qu'il a de sauver ce qu'il peut, même si cela signifie sacrifier son propre avenir.
Avec un soupir résigné, le visage de l'homme, autrefois empreint d'une jeunesse vibrante, semble avoir subi le poids de nombreuses insomnies. Il éteint la caméra, mettant fin à l'enregistrement de ses derniers mots. Se levant lentement, son cœur lourd de tristesse et d'espoir mêlés, il quitte la pièce dans un silence chargé de significations.

https://i.ibb.co/qx9r8y9/Frame-2821.png


Je me sens épuisé mais déterminé. Cela fait maintenant trois jours que j’ai désactivé le supercalculateur et caché mon journal. Il est temps désormais de mettre mon plan en marche. Les cernes sous mes yeux et les traits tirés de mon visage trahissent le poids de l'anxiété et des nuits blanches. Chaque décision que je prends est cruciale, chaque mouvement doit être minutieusement calculé. Je ne peux pas me permettre la moindre erreur. Ma priorité absolue est de protéger Aelita et de maintenir nos travaux à l'abri des griffes de Carthage. Pour cela, je dois créer une diversion qui les éloignera de notre cachette.

Le crépuscule enveloppe l'Hermitage, notre ancienne demeure. Cet endroit, isolé et mystérieux, est idéal pour ma diversion. Carthage surveille ce lieu en espérant que j'y reviendrai un jour. Je vais leur donner ce qu'ils attendent.

À pas feutrés, je m'approche de la maison en traversant le parc, prenant soin de rester dans les ombres pour éviter les regards électroniques des caméras de surveillance. La forêt dense m'offre une couverture naturelle, bien que je doive avancer lentement et prudemment. Ma voiture est garée à proximité, et je sais que Carthage peut probablement suivre ses mouvements grâce à un GPS. Mais c'est justement ce que je veux. Je vais les attirer loin d'ici.

Je contourne la maison, trouvant une fenêtre légèrement entrebâillée à l'arrière. Après une brève hésitation, je m'introduis silencieusement à l'intérieur. La maison est entièrement saccagée, les meubles retournés et les affaires éparpilées sur le sol. Malgré tout, l'air est lourd de souvenirs, imprégné de l'odeur familière du bois ancien. Je me dirige rapidement vers le bureau et prends un vieux téléphone.

Je compose un numéro, sachant pertinemment que la maison tout entière est sous écoute. Je commence à parler, feignant une conversation avec une assurance calculée.

« Aelita ? Oui, c’est moi. Écoute, je suis à l'Hermitage. Je sais, c’était risqué, mais je devais récupérer quelque chose d’important. Je pars tout de suite. Je te rejoindrai où tu sais. Ne t’inquiète pas pour moi, j’ai un plan. Je serai là dans quelques heures. »

Je fais une pause, comme pour écouter une réponse imaginaire, puis continue avec une voix rassurante.

« D’accord, je serai prudent. Prends soin de toi, et rappelle-toi ce que nous avons discuté. Tout ira bien ma chérie. »

Je raccroche le téléphone et l'essuie soigneusement pour ne laisser aucune trace. Je me rends alors dans l'ancienne chambre d'Aelita, afin d'y dissimuler le troisième témoin silencieux de notre ancienne vie. Enfin, je prends une vieille lampe de bureau et l'allume à l'étage, près d'une fenêtre. La lumière vacillante visible de l'extérieur simule une présence humaine. Je sais que cela attirera l'attention de Carthage.

Je quitte l'Hermitage par la même fenêtre, me glissant à nouveau dans les ombres du parc forestier. Les caméras n'ont pas détecté ma présence, mais il est temps de les diriger ailleurs. Je me dirige vers ma voiture, conscient que chaque mouvement est probablement surveillé. Je démarre le moteur et prends la route, roulant délibérément en direction opposée à l'usine. Mon plan est simple : les attirer aussi loin que possible de notre cachette.

Au volant, je garde un œil vigilant sur mes rétroviseurs, cherchant des signes de surveillance. Les rues se vident progressivement alors que je m'éloigne de la ville. La nuit s'épaissit, et je roule à travers des paysages de plus en plus désertiques. Je sens la présence invisible de Carthage, mais c'est exactement ce que je veux. Mon objectif est de les mener loin de l'Hermitage et de l'usine.

La route déserte se prolonge sous le halo des phares. Je conduis vers une destination incertaine, l'adrénaline maintenant ma vigilance à son maximum. Le silence de la nuit est mon seul compagnon, lourd de promesses et d'espoir.

https://i.ibb.co/qx9r8y9/Frame-2821.png


Cela fait maintenant deux heures que je roule. La route défile sous mes yeux, chaque kilomètre parcouru m'éloignant un peu plus de l'Hermitage et, surtout, de l'usine. La capitale a cédé la place à des étendues plus ouvertes, des paysages parsemés de petites villes endormies et de routes sinueuses. Le silence n’est troublé seulement que par le ronronnement du moteur de ma vieille voiture. Je sais que ce voyage est probablement le dernier, mais c'est un sacrifice que je suis prêt à faire pour assurer la sécurité d'Aelita et de nos recherches.

Alors que je roule, je ne peux m'empêcher de jeter des coups d'œil fréquents dans le rétroviseur. L'ombre de Carthage plane au-dessus de moi, invisible mais omniprésente. Leur présence se fait sentir, une menace silencieuse qui m'étreint le cœur. Je suis conscient que chaque minute gagnée est une victoire, mais je ne peux ignorer l'angoisse qui serre ma poitrine. Mes pensées vagabondent vers Aelita, vers l'avenir incertain qui l'attend. Je dois lui offrir une chance, une opportunité de vivre librement, loin des griffes de Carthage.

La nuit avance, les étoiles brillent faiblement dans le ciel sombre. Je prends des routes secondaires, évitant les grandes artères où je serais plus facilement repérable. La voiture roule sans encombre, mais je sais que ce calme ne durera pas. Soudain, dans le rétroviseur, je distingue des phares qui se rapprochent rapidement. Mon cœur rate un battement. Ils m'ont trouvé.

Je presse l'accélérateur, sentant l'adrénaline envahir mon corps. Les phares se rapprochent inexorablement, illuminant l'obscurité derrière moi. Une course-poursuite s'engage, mon véhicule vrombissant sur l'asphalte tandis que je zigzague à travers les routes désertes. Les hommes de Carthage sont implacables, déterminés à m'intercepter. Leur ténacité ne fait que renforcer ma résolution. Je ne dois pas les laisser s'approcher de l'usine.

Les paysages défilent à une vitesse vertigineuse. Je prends des virages serrés, espérant semer mes poursuivants. Mais ils sont bien trop habiles, leurs voitures adaptées à ce genre de poursuite. L'écho de leurs moteurs résonne dans la nuit, un rappel constant de leur présence.

Mon esprit s'active, cherchant une solution, une échappatoire. La route se déroule devant moi, une bande d'asphalte éclairée par la lueur de la lune. Je me concentre sur chaque virage, chaque obstacle, ma vision perçante scrutant l'obscurité pour anticiper le moindre danger. Mais malgré tous mes efforts, je sens que la fin est proche, que la mort rôde dans l'ombre, attendant son heure.

Soudain, un éclair déchire la nuit, suivi d'un bruit assourdissant. Une voiture surgit de nulle part, son moteur rugissant dans la nuit. Je n'ai pas le temps de réagir, l'impact est brutal, déchirant le métal et brisant le verre dans un concert de destruction. Le choc est si violent que tout tourne autour de moi dans un tourbillon de chaos. Mon corps est projeté contre le volant, mes membres se tordent dans des angles impossibles sous la force de l'impact. La douleur est insoutenable, une brûlure dévorante qui consume tout sur son passage.

Je sens le sang couler le long de ma tempe, une rivière rouge dans l'obscurité de la nuit. Mes sens s'embrument, la douleur me submerge, m'engloutissant dans un abîme de ténèbres. Autour de moi, le monde devient flou, indistinct, comme si la réalité se dissolvait sous mes yeux.

Des voix murmurent dans le lointain, des chuchotements étouffés portés par le vent. Les hommes de Carthage sont là, leurs silhouettes sombres se dessinant dans l'obscurité. Leurs pas résonnent sur le bitume, un écho lointain dans les méandres de ma conscience défaillante.

Des lumières éclairent la scène, des phares blafards perçant l'obscurité de la nuit. Des voitures s'approchent, leurs pneus crissant sur le sol, un grondement sourd dans les profondeurs de mon esprit agonisant.

Je suis seul, perdu dans un tourbillon de sensations confuses. Mes pensées se brouillent, ma vision se trouble, mais même dans cet instant final, une seule pensée domine mon esprit.

« Aelita. »

Son visage apparaît devant mes yeux, son sourire radieux éclairant mon esprit assombri par la douleur. Je sais que je ne pourrai jamais la revoir, jamais lui dire combien je l'aime, combien elle a été la lumière dans ma vie sombre et tourmentée.

Le poids de mes erreurs m'écrase, une culpabilité accablante qui me serre le cœur et assombrit mon esprit. J'ai contribué à la création de Carthage, j'ai donné naissance à un monstre. Mes mains sont tachées de sang, mon âme souillée par mes propres actes.

Je ferme les yeux, laissant la douleur m'envahir, m'emporter vers l'obscurité. Adieu, Aelita. Adieu, monde cruel. Ma mort n'est qu'un soupir dans l'histoire infinie de l'univers, mais notre amour restera à jamais gravé dans les étoiles.

_________________
https://i.ibb.co/Tw4XXJR/Frame-2791.png

Repose en paix Nastia, la Lyokofan la plus gentille partie trop tôt. Je ne t'oublierai pas.
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur MSN Messenger
 
Icer MessagePosté le: Mar 21 Mai 2024 12:14   Sujet du message: Répondre en citant  
Admnistr'Icer


Inscrit le: 17 Sep 2012
Messages: 2317
Localisation: Territoire banquise
Salut !

Je dois avouer être agréablement surpris de cette publication. Tu parles d’une « ambitieuse aventure » et on en est à ce stade qu’à ses balbutiements apparemment, mais on sent déjà le travail qui y a été apporté derrière. D’un point de vue scénario, le prologue a le mérite de poser le cadre et révèle en effet que tu sembles t’attaquer à un sujet plus complexe que gérer un Ulyumi en post-saison 4. Je suis très curieux de lire la suite.
Et niveau mise en forme, tu t’inspires d’un certain standing mis en place cette dernière décennie, donc on ne peut que valider !

Bref, tous mes encouragements pour la suite.

_________________
http://i.imgur.com/028X4Mi.pnghttp://i.imgur.com/dwRODrW.pnghttp://i.imgur.com/mrzFMxc.pnghttps://i.imgur.com/X3qVFnj.gifhttp://i.imgur.com/h4vVXZT.pnghttp://i.imgur.com/gDzGjSF.pnghttp://i.imgur.com/x46kNev.png

« Les incertitudes, je veux en faire des Icertitudes... »

https://i.imgur.com/9E3sBM3.pnghttps://i.imgur.com/C4V4qOM.pnghttps://i.imgur.com/R4Yt6QC.png
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur
 
Evil Goat MessagePosté le: Mar 21 Mai 2024 12:49   Sujet du message: Répondre en citant  
Kasux - Version chèvre maléfique


Inscrit le: 24 Mar 2012
Messages: 642
Localisation: Zenotopia.
Yop Theoph'

C'est super fluide. C'est le premier point que je tenais à aborder d'un point de vue perso, les descriptions s'enchainent les unes après les autres, c'est très propre. Le choix des paragraphes POV ajoutent quelque chose de sympathique au récit, aussi. Même si le passage entre 3ᵉ et 1ʳᵉ personne d'une séparation à l'autre m'a un peu dérouté au début. Mais en vérité, je pense qu'on s'y accoutume assez vite, et ça te donne une liberté de style pour raconter le récit, donc, c'est vraiment good. Et ça se justifie aussi sans doute par la partie concernant Franz à celles des héros. Franz, il y a le rapport au passé, ce qui me laisse penser que si tu maintiens la logique du 3ᵉ personne = scène du passé, ça rendra sûrement le switch entre l'un et l'autre assez intuitif, dans le cas où t'as l'intention de mettre d'autres scènes dans le passé. Ce qui laisse les évènements présents à la 1e personne ? J'attends de voir ça, mais c'est ce que j'en comprends, du coup, pour l'instant.

Dans le paragraphe de Jérémie, ça transpire la paranoïa, et ça marche bien. Et du coup ça permet d'assez vite installer un mystère, pourquoi Jérémie se rend à l'hermitage ? Pourquoi il pense être suivi ? Etc... de quoi servir de préambule efficace à une aventure ambitieuse comme tu le décris. Surtout dans le cas du troppe de l'intrigue Carthage. Et la scène sous-entend pas mal de choses, dont le fait que lui et Aelita ont déjà discuté des risques de se rendre sur place. Donc une maîtrise intéressante des dialogues et de leur potentiel. En gros, le fait de nous faire directement entrer dans l'action était risqué, je pense, mais fonctionne ici, avec le cadre et le setup que tu as initié avec les paragraphes sur Franz. Conclure par la mort présumée de Jérémie en chapitre 1, je dois admettre que c'est couillu. C'est très couillu, et je pense important de le souligner que même si je trouve que ça fait tôt, ça laisse une certaine gravité à la situation.

Ceci dit, arrivé à la fin du chapitre et sa dernière phrase mélodramatique me vient une question, est-ce que la suite de l'histoire se fera sans Jérémie ? Ce qui peut être intéressant d'un point de vue narratif pour les héros qui devraient se débrouiller, ce qui changerait, je dois dire. La tension par la soustraction, moi, je valide à 200% haha. Mais il y a la possibilité que ça soit un prologue extrait de type "6 mois avant le drame, découvrez comment on en est arrivé là". Et du coup, je m'accroche à cette question, et j'attends de voir ce qu'il en sera. Si ça se trouve, on aura un Jérémie qui aura survécu à Carthage... même si du coup, je trouve que ça saperait tout le build up du chapitre actuel. Tout dépend de comment c'est fait, j'imagine.

Je reste à l'affut, hâte d'en lire plus !
Tu gères !

PS : Theoph' me glisse dans l'oreillette que c'était un chapitre full Franz Hopper. Toute une partie de ma critique qui s'effondre tel un château de carte, ahahaha.

_________________


https://i.servimg.com/u/f86/20/45/50/35/signwm11.png

Mes Tutos InfographiquesMon Goat'ShopMa Galerie Infographique

https://i86.servimg.com/u/f86/20/45/50/35/clfv-u19.png

"Things die. It's just what they do. On every world, in every galaxy, something dies. Crying over it is spitting into the wind."
-War Master


Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail Visiter le site web de l'utilisateur
 
Sirix MessagePosté le: Mar 21 Mai 2024 13:19   Sujet du message: Répondre en citant  
[Tarentule]


Inscrit le: 27 Aoû 2013
Messages: 404
Localisation: Entre une chaise et un PowerMac G5
J'ai lu, et c'est intéressant. C'est pour l'instant assez flou, on comprend le contexte et où se situent à peu près les actions, et pour autant, on ne sait pas encore où ça va aller, c'est intéressant. J'ai bien aimé. L'écriture est certes simple mais suffisante pour mettre dans l'ambiance. C'est un très bon début, je pense. Je te souhaite bon courage pour la suite.
_________________
Auteur de la fic Replika on the Web.
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
 
Montrer les messages depuis:   

Forum Code Lyoko | CodeLyoko.Fr Index du Forum -> Vos Créations -> Fanfictions Code Lyoko Page 1 sur 1

Poster un nouveau sujet
 Réponse rapide  
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 
Répondre au sujet



Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure

Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum




Powered by phpBB Lyoko Edition © 2001, 2007 phpBB Group & CodeLyoko.Fr Coding Dream Team - Traduction par : phpBB-fr.com
 
nauticalArea theme by Arnold & CyberjujuM
 
Page générée en : 0.045s (PHP: 39% - SQL: 61%) - Requêtes SQL effectuées : 19