Bon, ayant gagné le concours de fanfictions d'y a pas longtemps (ah, vous avez oublié lequel? Boarf....je sais plus trop non plus, rassurez-vous), ceci grâce à mon talent incommensurable (tout autant que mon Ego, en fait...), je vous fait partager ce texte merveilleux (mh), sympathique (HEM....) et unique (ça au moins c'est vrai)
Allez, tous en choeur, on souhaite un joyeux Noël à Odd!
Spoiler
Odd fut réveillé par les rayons du soleil à travers son store entrouvert. Encore hébété, il se redressa, et la couverture glissa pour laisser voir son pyjama plus long que d’habitude.
Un peu normal, on ne dormait pas en T-shirt à la montagne.
On était en plein dans les vacances de Noël, et plus précisément le 25décembre. Pour ces vacances tant attendues par nombres d’adolescents, Odd et sa famille étaient partis dans leur chalet des Alpes. Et c’était là qu’il se réveillait aujourd’hui, jour si spécial et plein de magie.
Il s’arracha à ses draps chauds, motivé par la pensée de son petit déjeuner qui ne manquerait pas de l’attendre dans la salle à manger, à l’étage en dessous. La simple idée d’engloutir ses tartines recouvertes de Nutella le fit saliver et parvint à lui faire surmonter la volonté instinctive qu’il avait eue de replonger sous la couette.
Il s’habilla rapidement, serrant les dents à la morsure du froid sur sa peau pâle, puis il descendit, vêtu d’une polaire bleu foncé et d’un jean.
Si ses sœurs, en parfaites adolescentes, dormaient encore, ses parents étaient déjà levés et comme toujours aux petits soins pour lui. Il suffit au blondinet de s’asseoir pour qu’on lui pose son bol de chocolat sous le nez. Ce même bol de chocolat fut très vite rejoint par trois grosses tartines dégoulinantes de pâte à tartiner.
Odd et les serpents avaient un point commun : ils pouvaient se décrocher la mâchoire pour engloutir des proies énormes. Dans le cas d’Odd, c’était une ouverture très spectaculaire de la bouche dans le but d’engloutir une tartine en entier. Et, exploit supplémentaire, il réussit à l’avaler trente secondes plus tard, alors qu’en général, quand on a une grosse portion de nourriture dans la bouche, on met longtemps à la mâcher.
Pour faire descendre au plus vite cette tartine, Odd l’arrosa d’une énorme rasade de chocolat chaud, sous l’œil attendri de ses parents. Ces derniers n’étaient plus impressionnés par les prouesses du goinfre et étaient même très fiers de l’appétit de leur fils.
Ce dernier leva le nez de sa nourriture une fois celle-ci ingérée, et son regard de prédateur boulimique se posa sur l’assiette de petits pains qui trônait au centre de la table, et il demanda, d’un air innocent
-Vous arriverez jamais à manger ça tout seuls, vous voulez pas que je vous aide ?
Les géniteurs du jeune garçon eurent l’air un peu partagés, mais devant l’air que prenait leur enfant, à savoir une sorte de Bambi qui aurait plongé le museau dans une flaque de boue, ils lui donnèrent la permission d’en prendre deux.
En fait, Odd en aurait bien volontiers englouti un troisième quand une de ses sœurs parut en haut de l’escalier et le pointa d’un doigt accusateur
-Odd ! Si tu poses pas tout de suite ce petit pain, tu vas passer le pire Noël de toute ta vie ! T’enfermer dans les toilettes sera une promenade de santé, à côté !
Déchiré entre la crainte de l’imagination de ses sœurs et celle de ne pas avoir assez mangé, il finit par reposer la viennoiserie, pour se rabattre sur une malheureuse pomme de la corbeille qui n’avait rien demandé à personne.
Une fois son repas, non, son gargantuesque festin englouti, Odd était méconnaissable. Le bas de son visage était maculé d’un mélange de chocolat chaud séché, de Nutella poisseux sur lequel se collaient des miettes de pain et de petit pain, et un peu de jus de sa pomme lui coulait sur le menton.
S’il ouvrait la bouche, c’était encore pire. C’était une sorte de bourbier brun, des bouts de peau de pomme étaient coincés entre ses dents aux côtés d’une nouvelle fournée de miettes.
Et vu qu’il venait de le faire, sa sœur grimaça de dégoût et lui ordonna de refermer immédiatement ce gouffre de l’enfer. Se rappelant les menaces qu’elle avait proférées auparavant, il s’exécuta, mais ça n’enlevait rien à l’horreur du reste de sa figure. Il avait même des trucs pas nets dans les cheveux, et sa polaire disparaissait sous les miettes.
Alors qu’il se levait pour aller se débarbouiller, ces dernières tombèrent sur le sol et sa chaise, qui devinrent impraticables. Mais ça, il l’ignorait, tout comme il ignorait combien de personnes râleraient en s’asseyant sur ladite chaise.
Il veilla à bien utiliser l’eau chaude et non pas froide, et parvint à se redonner figure humaine. Puis, regardant par la fenêtre, il constata que le soleil brillait toujours dans le ciel dégagé et songea que, pourquoi pas, on pourrait en profiter pour sortir.
Cette idée illumina son visage d’un sourire moins repoussant que le précédent, et il courut prendre sa veste et un sur-pantalon, pour éviter d’avoir froid. Ces vêtements supplémentaires étaient bien entendus violets. Il prit en plus son casque avec les lunettes, les gants et la planche de snowboard. Ses lunettes étaient teintées en orangé et ses gants en faisaient un discret rappel.
Sans se soucier de réveiller ses autres sœurs, Odd appela Kiwi avant de se diriger vers la porte du chalet, où l’attendaient ses bottes fourrées qu’il fixerait sur sa planche le moment venu de s’en servir.
Le petit fox terrier fut aussi équipé d’un joli manteau en plus de son collier, pour qu’il ne prenne pas froid. Odd était très soucieux du bien-être de son animal. Il fallait lui reconnaître ça, c’était un maître dévoué et affectueux, aimant son chien de tout son cœur.
Kiwi était d’ailleurs ravi de sortir se dégourdir les pattes dans la neige, il sautillait pendant que son propriétaire nouait ses lacets. Enfin, la porte s’ouvrit, faisant s’engouffrer un vent glacé dans la maisonnette de montagne. La sœur d’Odd ne manqua pas de se plaindre en lui ordonnant de refermer en vitesse. La seule personne à manifester sa joie fut le chien qui se rua à l’extérieur, vite suivi par le blondinet (qui avait tout de même pris soin de refermer la porte).
Tandis que l’animal commençait déjà à creuser et à se ruer dans la neige, son maître le rappela auprès de lui et désigna le chemin des pistes de snowboard en s’y engageant. Peu désireux d’être oublié, Kiwi lui courut après, soulevant un nuage de poudreuse dans sa course. Odd, sa planche sous le bras, ramassa un bâton, l’agita sous le nez de Kiwi qui sauta pour l’attraper, et le lança devant lui, entraînant le départ du missile sable sous l’éclat de rire bienveillant du blondinet.
Ils auraient pu répéter ce jeu des centaines de fois, ni l’un ni l’autre ne s’en serait lassé. Ils étaient bien, là. Heureux. C’était sans doute le plus beau des cadeaux de Noël.
-Alors mon chien, t’es prêt ?
Les pieds bien fixés sur sa planche, Odd était prêt à s’engager dans la longue descente sur le flanc de la montagne. La neige était lisse et brillante devant lui, idéale pour une belle glissade. Pas trace de verglas d’après ce qu’il voyait.
Alors il inclina doucement sa planche jaune et rose et se lança dans la pente. Kiwi bondit à sa suite, tenant à tout prix à le suivre.
Telle une fumée blanche, la neige volait derrière le snowboard qu’Odd pilotait avec maîtrise, faisant passer son poids d’un côté ou de l’autre pour slalomer dans la descente. L’impression de légèreté qui l’envahissait le fit rire, et ce rire résonna autour de lui. Il vit Kiwi tomber sur les fesses et continuer la descente avec l’air de ne pas comprendre ce qui lui arrivait.
Se penchant un peu plus il frôla la neige de la main, déclenchant un nouveau panache blanc, puis se redressa.
Le petit blond se rappelait avec émotion de Lyoko où il pilotait sa planche volante, c’était exactement pareil, on se serait cru dans la Banquise, aux commandes d’un Overboard léger comme une plume. Une larme de nostalgie émue glissa sur sa joue et y gela.
Les premières bosses arrivaient, et il s’en réjouissait déjà. Les passages avec les bosses étaient pleins de surprises. Epousant la forme de la neige, sa planche décolla si simplement du sol qu’on aurait cru que c’était écrit à l’avance. Faisant un peu pivoter son snowboard verticalement, il en attrapa le bout et lança un cri de joie qui s’en alla rejoindre ses rires dans l’écho.
Lâchant l’objet, il retomba sur la piste et enchaîna d’autres sauts, multipliant les figures bien pensées et terminant par une toupie.
Il continuait de glisser et il était content d’être là. Il faisait attention à ne pas écraser Kiwi lors de ses atterrissages, mais le plus souvent, le chien avait assez de jugeote pour ne pas se faire écraser.
A la sortie des bosses, Odd se déporta vers l’arrière, allégeant l’avant de son skate des neiges, et pivota simplement de manière à aborder la piste à l’envers. Irresponsable de sa part, mais tellement excitant. Il connaissait l’endroit par cœur, de toute façon. Il reprit la descente dans l’autre sens quand vint un petit tremplin.
Il inspira profondément en sentant son snowboard quitter le sol une nouvelle fois. L’air lui siffla aux oreilles alors qu’il plongeait vers la suite de la piste, qui arrivait si lentement et si rapidement à la fois. Il avait l’impression que le vent froid de l’hiver cherchait à s’insinuer sous sa veste et sa polaire pour lui transir les os.
Ses os, le choc les lui secoua un peu, mais il ne perdit pas l’équilibre. Le nez s’était un peu enfoncé dans la neige, créant un nuage de neige, et le temps qu’Odd redresse, il en était totalement entouré, ce qui donnait l’impression qu’il venait d’en émerger.
Un petit couinement lui fit constater que Kiwi avait atterri aussi, et sans trop de mal. Odd décida alors de faire un dérapage.
Il fit pivoter sa planche pour être perpendiculaire à la piste. Le son de raclement qui en résultat fut impressionnant. Un énorme nuage de fumée blanche se créa derrière Odd, qui exultait. Ça, sur Lyoko, il n’aurait jamais pu le faire…
La vie avait décidément un goût d’enfer, même sans le monde virtuel qu’il avait arpenté pendant des années. Non, elle n’allait pas être raplapla, cette vie.
Et tandis qu’il dérapait, Odd repensait à ses amis qu’il retrouverait à la rentrée, il s’imagina contant ses prouesses sur la neige, il pensa à tout l’avenir qui s’ouvrait devant eux, et son cœur se gonfla de joie. Loin de XANA, il avait toute la vie pour lui, ils avaient toute la vie pour eux.
Autant en profiter. En profiter jusqu’à n’en plus pouvoir, prendre tout ce qu’il y avait de meilleur à prendre, et ne plus se retourner vers le passé.
Lyoko, c’était fini, et c’était une simple page qui se tournait. Rien de plus, et Odd était heureux de ne plus s’y raccrocher et de pouvoir continuer son existence sans.
Ç’aurait pu être anodin.
Odd trouvait que son chien était un peu trop près et craignit de l’écraser, aussi vira-t-il plus sur le côté pour éviter des blessures à son animal. Il comprit qu’il y avait un problème quand son snowboard commença à vaciller sans qu’il parvienne à en reprendre le contrôle.
Et tout d’un coup, son pied droit partit vers l’avant, lui faisant cruellement défaut et le déséquilibrant, entraînant une toupie involontaire. Le monde tournoya autour d’Odd qui eut brutalement le souffle coupé et le ciel droit devant lui. Il entendit Kiwi aboyer mais ne l’écoutait pas, les « fumées neigeuses » dégagées par sa glissade lui arrivaient en pleine figure, le faisant tousser. Un second passage de bosses l’arracha littéralement à son snowboard qui continua à glisser séparément de lui.
Peinant à respirer, et dans la panique la plus totale, Odd chercha à se raccrocher à quelque chose. Mais la neige si lisse qu’il avait adoré avoir sous la planche se révélait maintenant plus traitresse qu’un savon enduit d’huile. Il ne se rattrapa à rien.
La mince réserve d’air qu’il avait encore dans les poumons sortit dans un cri désespéré, qui se perdit avec son cri de joie et son rire, dans un cruel paradoxe. Tentant de s’oxygéner, il inspira, mais il n’y eut que de la poudreuse qui entra, le faisant tousser encore plus. Une nouvelle bosse le catapulta en l’air et son coude craqua horriblement à l’atterrissage, lui tirant un autre cri.
Kiwi continuait d’appeler son maître, mais en vain, et Odd réalisa brusquement que sa manche lui collait à la peau, chaude et moite. Il glapit en voyant du sang couler le long de son poignet et tâcher la neige dans laquelle était en train de déraper.
La dernière chose qu’il sentit fut le bord de sa planche lui heurtant le crâne et l’envoyant dans les brumes de l’inconscience.
Lorsqu’il rouvrit les yeux, il était au pied d’un arbre, et avait mal partout. La neige était étonnamment chaude sous lui, il tenta de s’appuyer sur son avant-bras pour se relever mais une violente onde de souffrance lui traversa le bras et il retomba misérablement sur le côté, prostré. Il sentit quelque chose couler le long de sa joue, leva la main pour la porter à son crâne, l’espace d’un instant, et il cria d’effroi en la regardant.
Elle était complètement rouge, poisseuse, à croire qu’il venait de jouer avec les tripes d’un cadavre tout frais. Ses yeux exorbités fixaient, incrédule, cet indicateur de son état physique.
Et il constata que toute la neige autour de lui était rouge, d’un profond rouge propre à terrifier n’importe qui qui savait qu’il s’agissait de son propre sang.
En se dévissant le cou, il constata qu’une de ses jambes était tordue à un angle peu naturel, en plus de son coude qui avait transformé son bras en pelote de nerfs torturés. Il se savait blessé à la tête, de par le sang qui lui poissait les cheveux et une partie du visage.
Il éleva une nouvelle fois sa main à hauteur de son visage, comme s’il espérait que le sang ait disparu et que ce ne soit qu’un rêve.
Mais non. Le sang n’avait que séché, gênant un peu les mouvements de ses doigts. Il avait à peine mal, pourtant, pas plus que s’il avait une bosse. Il mettait encore du temps à encaisser le choc. Sa blessure avait quelque chose d’irréel, de trop distant pour être vrai. Ça n’arrivait que dans les films, enfin, de mourir d’une chute de snowboard.
Un hélico allait forcément débarquer, c’était obligé. Kiwi aurait trouvé quelqu’un pour le sauver…
Il ferma les yeux, repensant à tous ses combats, qu’il avait menés contre une intelligence artificielle très intelligente, toutes ses blagues sur les monstres ou sur d’autres sujets, les sourires de ses amis, les horribles tortures qu’il avait subies à cause de ses sœurs, les heures de colles, les heures de gloire…
Tout ça défila dans sa tête. Ce n’était pas toute sa vie, mais s’en était un bon résumé. Une scène précise se fixa dans sa mémoire, et lui revint, aussi claire que s’il y était.
Ils sont autour de la machine à café, Yumi arrive, le journal à la main. Elle relate les news en lien avec leur dernière mission, et ils rient en se rendant compte que personne n’a d’explication à fournir.
Il se lance alors dans une tirade inspirée
« C’est notre loi à nous, vaillants justiciers de l’ombre ! Combattre, risquer et vaincre dans le plus strict anonymat ! Mais après tout n’est-ce pas cela le véritable héroïsme ? Enfin qui sait, un jour peut-être notre bravoure éclatera au grand jour ! Et nous pourrons tous alors recevoir les lauriers que nous méritons ! »
Ses amis évoquent alors le contrôle de maths et rient de sa note.
Odd ferma les yeux et une nouvelle larme alla geler dans le sang.
Il savait maintenant qu’il allait mourir, et ce, sans recevoir les lauriers qu’il aurait dû mériter pour ses actes passés.
Odd Della Robbia* allait mourir sans que personne ne sache jamais quels exploits il avait accomplis, ni combien il avait été brave.
C’est sur cette pensée qu’il ferma les yeux et retomba, inerte et sans aucune force.
Joyeux Noël, Odd.
* MOUAHA, correction de la pire faute du texte _________________
"Prouve-moi que tu avais raison, Jérémie, dans tout le mal que tu as causé."
Oblitération, chapitre 13
Et je remercie quand même un(e) anonyme qui refusait qu'on associe son nom à ce pack
Inscrit le: 17 Jan 2013 Messages: 71 Localisation: hobbiton
Comment ose-tu faire mourir mon perso préfèrer ?!
Sérieusement j'ai un seul mot à dire : Magnifique ! Du début à la fin cette fic est superbe. J'ai bien aimer le passage ou ses parents le regarde attentivement, ça montre bien le culte qu'ils voues à leurs fils. Ainsi que le moment où sa soeur arrive et qu'il repose vite le petit pain, preuve qu'il a peur d'elle. Et puis je vais m'arrêter là car sinon je pourrais rester à écrire pendant des heures à complimenter la fic et son auteur. _________________ Merci à YUtiti pour le superbe avatar qu'il m'a donner
Un grand merci à Apo' pour la magnifique signature qu'il m'a créer.
Inscrit le: 27 Mar 2012 Messages: 1490 Localisation: Thugland
Argh ! Moi aussi j'ai le souffle coupé.
C'est magnifiquement bien écrit, comme d'habitude. C'est fluide, c'est beau et la chute (c'est le cas de le dire...) est aussi imprévue (tu remarqueras cette petite allusion à ta fiction *sort*) que horrible et bien retranscrite. C'est Trop BEAUUUUUUUUU ! Oo
J'espère que tu participeras à encore plein de concours pour nous donner la chance de pouvoir lire encore quelques uns de tes one-shots .
« L'avenir, je vois comment qu'y sera... Ça sera comme
une partouze qui n'en finira plus... Et avec du cinéma
entre... Y a qu'à voir comment que c'est déjà... »
Céline, Voyage au bout de la nuitr
Très bon One-Shot .
Odd qui meurt mais c'est horrible ! Très émouvant j'étais à 2 doigts de pleurer (rare sont les fics qui me font pleurer ) le texte était treès bien une bonne forme un bon début , et la chute très bien faite et aussi imprévue c'est vraiment un des meilleurs One-Shot que j'ai lu jusque là il y'avait beaucoup d'émotions à la fin c'était magnifique :O .
Inscrit le: 09 Avr 2014 Messages: 106 Localisation: Les deux mains dans le chocolat.
J'ai dit que j'allais passer, je passe ! Alors par contre, je vais être un peu moins enthousiaste que mes prédécesseurs reviewers. J'aime bien Odd et je trouve que ton OS est loin d'être inintéressant, surtout la partie sur sa manière de manger qui est bien écrite, dynamique, et témoigne de recul, mais.
Mais donc, j'ai complètement perdu le fil à la moitié de sa partie de snowboard et il a fallu que je m'accroche pour ne pas sauter par paragraphes. Je crois que c'est à cause de l'abus de participes présents et de phrases juxtaposées. Ou juste un coup de fatigue.
Ensuite, je n'aime pas trop les histoires tristes et je trouve ta fin étrange. Chacun pense différemment, c'est sûr. Mais plutôt que regretter les lauriers qu'il ne recevra pas (faisait-il du hors piste ? Je n'ai pas souvenir d'avoir lu cet élément), je l'aurais plutôt imaginé remarquer l'ironie de sa mort : il risque sa vie trente fois par mois environ sur Lyoko, et il faut que ce soit en terrain connu, sans Xana aux basques, qu'il crève. La mort c'est bête et ça fait rarement preuve de logique.
Perceptions personnelles...
Mais le coup du serpent ! Ca c'est beau, très, et avec un gros merci. _________________ Willismine : nom égoïste. Vieux psychotrope interdit à la vente.
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